Fratrie De Wintzt 4
Görlitz
Après 2 jours torrides, où Paul na cessé de me prendre, dans tout notre appartement, quand nous étions en ville, à labri dun fourré dans un par cet même dans les toilettes dun restaurant où il mavait amené diner, genre Gasthaus de lancien Berlin Est et qui avait gardé son cachet, Paul ma enfin posé la question
.
- Pourquoi tu veux aller au domaine ? Dis-moi la vérité, Mein Liebe
Connaissant ma passion pour lallemand, il mélangeait souvent les 2 langues dans nos conversations, restant quand même, en majorité en français.
Rêvant de lui faire avaler, à son insu, des magnifiques pilules, pas des bleues, mais plutôt de bromure, ironiquement bien sûr, sa fougue me convenait parfaitement, même si jen avais quelquefois le corps meurtri, de la plus merveilleuse douleur quil soit.
- Amour, difficile à tout texpliquer pour le moment, tout se bouscule un peu dans ma tête, mais jai besoin dy aller, de sentir lodeur de nos ancêtres sur cette terre qui fut la nôtre.
- Je te promets de ty amener, quand tu veux
- Ce Week-End alors, ok ?
Sous ses airs dhorrible macho, tout comme moi, Paul me vénérait et à condition que je lui laisse le plaisir de prendre lui-même les décisions, jamais nous ne nous étions opposés. Comme je vous lai dit à maintes reprises, notre fusion était parfaite.
Le vendredi, en fin daprès-midi, nous avons pris la route pour Görlitz, pas très loin de Berlin, mais à un jeu de pierre de la frontière Polonaise. Paul, en homme attentionné quil était, avait déjà réservé pour nous, une chambre dans le meilleur hôtel de la ville. Heureusement, en territoire allemand, nous navions pas besoin de présenter nos deux pièces didentité.
Dès notre arrivée, après nous être enregistrés et que nos bagages soient pris en charge, le réceptionniste nous a demandé de patienter un instant et nous a conduits dans un petit salon.
Nous avons vu un homme dun certain âge, avec une très belle stature se présenter à nous, serrant la main de mon frère, avec respect et une inclinaison de la tête.
- Vous êtes Monsieur Paul de Wintzt ?
- Oui
- De la famille Ducale ?
- Euh
Oui
- Bienvenue sur vos terres Ihre Hoheit, après toutes ces décennies, et permettez-moi de vous offrir le champagne, français bien sûr, qui vous attend dans votre suite, pour Vous et votre ami.
- Je vous remercie pour votre attention, elle me touche beaucoup.
Accompagné du réceptionniste, nous nous sommes rendus à ce que nous croyons être notre chambre, mais qui en fait était la plus belle suite de lhôtel, prestigieuse et à laquelle nous ne nous attendions pas dans une ville comme Görlitz. Quand Paul a voulu émettre un son, lemployé sest juste incliné devant lui avec un sourire respectueux, et nous a laissé seuls.
Interloqué, Paul a parcouru de ses yeux perçants ce cadre somptueux, et ma pris dans ses bras, amené dans la chambre, et ma jeté sur le lit. Ses prunelles jetaient du feu
Son corps, ses poils exsudaient un désir violent, son merveilleux membre viril faisait une énorme bosse dans son pantalon
Et il ma pris
Il sest enfoncé dans moi dun coup
Ses 25 cm ont franchi la barre de mon puit damour, sans sarrêter avant quil ne soit bien ancré, au plus profond
Paul a joui 5 fois en moi, sans discontinuer, déversant son nectar dont la source me paraissait intarissable, ses couilles, toujours pleines tapaient contre mon orifice quil malmenait sans fin. Mes mains parcouraient son corps velu, caressant tous ses poils, sur la poitrine, sur les jambes et même dans son dos
. Je mouvrais, le plus possible, pour sentir au plus profond de moi, lénorme membre de mon frère
. Mon Frère Vénéré, Adulé
Le sceptre des « de Wintzt » était entre ses jambes et labourait le calice des « de Wintzt » entre les miennes.
Moi épuisé, et Lui en pleine forme, comme à chaque fois quil se vidait longuement dans moi.
Une fois installés au restaurant, alors que nous attendions la carte pour choisir, le maître dhôtel nous a précisé que le Directeur nous avait préparé le Menu, basé sur des recettes locales, et surtout, ancestrales, de notre province.
Au cours de ce repas somptueux, pas énorme en quantité de chaque plat, mais tous très variés, cochon, gibier, poissons, légumes anciens, plus savoureux les uns que les autres, un très vieil homme est venu nous rejoindre, tout rabougri et malingre, avec un âge
indéfinissable. Il sest incliné devant Paul, et humblement a commencé à lui parler.
- Mes respects Ihre Hoheit
- Merci Monsieur
- Bien que notre pays soit en République depuis un siècle, ce que japprouve totalement, notre région ne peut que se souvenir de tous les bienfaits que la famille Ducale des de Wintzt a accompli pour nous tous pendant des siècles.
-
..
- De là vient notre respect envers vous et je serais heureux, si vous le souhaitez, de vous accompagner au Domaine, certes, qui na plus sa splendeur dantan, mais que nous avons essayée de maintenir en espérant toujours votre visite
Et aujourdhui, Ihre Hoheit, vous êtes là
Paul était effaré, interloqué, ne sachant quoi répondre à ce petit vieux qui lui vouait autant de respect, lui donnait le titre de Ihre Hoheit, ce quil navait jamais entendu auparavant, du moins, à son égard. Un peu désemparé, il a cherché mon approbation et au vu de mes yeux brillants
- Cest avec plaisir Monsieur, même si tout cela na plus cours aujourdhui, je serais flatté de votre aide pour retrouver le domaine familial avec vos conseils
- Nous lavons préservé autant que nous pouvions le faire, avec nos maigres moyens, dans lattente quun de Wintzt revienne voir nos efforts
- Notre famille et moi vous remercions de tout notre cur, mais je ne suis que Paul, le cadet, cest Matthieu mon aîné
- Je le sais
Mais nous ne sommes plus en Monarchie avec un droit dainesse
Notre Duc de cur, cest Vous
!!!
Après une courte nuit, du moins, en sommeil, « Ihre Hoheit » avait dû émoustiller mon frère, nuit pendant laquelle il na cessé duser et dr de son droit dainesse.
Laissant de côté les envies matinales de mon homme, je suis descendu seul à la salle de restaurant pour prendre notre petit déjeuner, le fameux copieux Frühstück à lallemande et quelle ne fut pas ma surprise de voir Dieter, notre petit vieux rabougri de la veille, attendre respectueusement à côté de notre table.
- Son Altesse va bientôt vous rejoindre ?
- Oui, Paul arrive dans quelques minutes, le temps de finir de se préparer
- Si vous le désirez, je suis prêt à vous accompagner au domaine.
- Cest gentil, mais Paul vous le dira lui-même
- Je comprends quIl ait envie dy aller seul tout dabord, mais mon aide pourrait être précieuse pour vous en décrire lévolution depuis tout ce siècle.
- Attendez-nous au salon Dieter, et jinformerai Paul de votre aimable proposition.
Au moment où le café et le thé arrivaient sur la table, je vis mon frère descendre lescalier, avec une bosse indécente entre ses jambes et arborant une mine assez contrariée. Il sest assis en face de moi, et après un regard furtif sur la salle, mes lèvres lui ont envoyé un baiser. Toute trace de sa contrariété avait disparu, et cest avec un large sourire et des yeux pétillants, quil ma rendu mon baiser
Paul
Paul mon homme
Je lavais toujours vénéré, mais en cet instant, il mapparaissait comme le plus beau du monde et cest avec beaucoup de difficulté que jai refréné mon envie de me jeter sur lui, de moffrir à lui sur cette table. Il laurait certainement fait en balayant toute la vaisselle pour me posséder avec toute cette fougue toujours présente en lui.
Je me suis contenté de lui servir son café, de lui beurrer une ou deux tartines, et nous nous sommes dirigés vers le buffet, affamés après nos ébats nocturnes.
Repus, nous sommes remontés à notre suite pour nous laver les dents et avant même que je puisse atteindre la brosse, Paul avait enfoncé son membre énorme et turgescent au plus profond de ma bouche, au risque de me faire vomir. Cest après avoir déversé son précieux ducal nectar, que jai savouré, que nous avons rejoints Dieter au Salon, qui nous attendait toujours aussi patiemment et qui sest incliné respectueusement devant Paul.
- Dieter, je vous remercie et je suis très honoré de votre présence pour découvrir les terres de nos ancêtres
- Tout le plaisir et lhonneur sont pour moi Ihre Hoheit
- Alors, bien que japprécie votre respect, je préfère que vous utilisiez tout simplement Paul et Marc, nous sommes au XXIe siècle maintenant, plus sous les Hohenzollern.
- Mais je ne pourrais jamais
Vous êtes le Duc de Wintzt
- Au revoir Dieter, et encore merci pour votre offre.
Paul lui a tourné le dos et nous sommes dirigés vers la sortie, avec une légère inclinaison de tête. On sentait que ça bouillait dans la tête de Dieter, mais son plaisir et sa fierté de nous présenter le domaine actuel lont emporté.
- Paul, puis-je vous conduire au château des de Wintzt ?
- Avec plaisir Dieter, nous sommes heureux de vous avoir comme guide.
Notre père avait quand même conservé quelques tableaux, quelques photos de notre ancienne résidence, avec limmense parc de plusieurs dizaines dhectares qui lentourait. Images que je conservais gravées dans mon esprit au moment où nous sommes parvenus devant la grille.
Dieter la ouverte, avec un jeu de clefs qui sortait, je ne sais trop doù et nous nous sommes avancés, à pied, par réflexe entre Paul et moi, jusquau perron de la demeure. Elle nétait pas immense, la famille navait jamais voulu étaler ses richesses dans un bâtiment disproportionné et clinquant. Elle était debout, vieillie et fatiguée, mais on sentait encore les restes de sa splendeur passée, entretenue, tant bien que mal, par Görlitz et ses associations de bénévoles.
Dieter a confié les clefs à Paul et nous a laissé seuls pour effec notre visite. La décrire serait un peu long, mais dans un silence quasi monacal, nous avons parcouru toutes les pièces, certaines encore meublées et dautres quasi vides.
Linstinct nous a ramené vers la chambre Ducale où limmense lit trônait toujours, défraichi, mais il était là. Je nai pas pu mempêcher de my allonger, sur le dos, en contemplant le plafond. Paul me regardait, avec une réserve étonnante de sa part, mais je voyais cette barre de chair, si vénérée, si adulée, qui prenait de lampleur, compressée dans son pantalon.
Sans un mot, il sest allongé sur moi et mon Paul ma fait lamour. Il ma possédé avec puissance mais aussi avec une intense sensualité, dans le lit ancestral, celui dans lequel, un bon nombre de nos ancêtres avait été conçus. Le lien entre nous et le château avait été renoué. Par cet acte damour, si fort, si intense, si puissant
Les de Wintzt étaient retournés chez eux. Dans un hurlement, Paul ma rempli de sa semence au plus profond de moi, ses jets semblaient ne jamais se tarir et cest repu quil sest affalé sur moi, son corps épousant le moindre centimètre carré du mien.
- Tu veux de Wintzt mon Amour ? Tu veux le domaine ?
- Oui mon Paul, je le veux. Pour nous et notre famille certes, mais pas que pour ça
- Ah oui ? et pourquoi dautre alors ?
- Je veux lui redonner sa splendeur passée, même si son parc sest réduit à une peau de chagrin, pour Görlitz et par hommage pour tous ces gens qui péniblement, avec de faibles moyens, lont conservé pour nous.
- Tu crois que cela pourrait se faire ?
- Je ne sais pas, mais en tous cas rien que toi et moi sommes assez riches pour en relever le défi, sans avoir besoin de papa et de Matthieu
- Tu es merveilleux
. Je taime tant
Un peu ébouriffés, nous avons rejoint Dieter, en le priant de nous excuser de lavoir laissé seul pendant un long moment, et nous avons continué la visite. Effectivement, à quelques centaines de mètres à larrière de la maison, une haie discrète mais entourée de fil de fer, en fermait laccès. Cétait la frontière avec la Pologne et nos anciennes terres sétendaient à perte de vue devant nous, remplies de champs cultivés, de maïs, de blé et autres céréales.
- Cest mieux comme ça
Ces terres inutiles nourrissent des hommes maintenant. Que les de Wintzt les protègent
- Voulez-vous rentrer maintenant, Monsieur Paul (le Paul tout seul ne passait pas)
- Oui Dieter
Juste une question, à qui la partie allemande du domaine appartient-elle maintenant ?
- A la ville de Görlitz qui a tout fait pour le préserver.
- Merci Dieter.
- Je peux vous poser une question, humblement ?
- Bien sûr Dieter
- Qui est Marc ? Les de Wintzt sont 3 frères
Matthieu, Vous et Marc, le plus jeune
- Je sais Dieter
. Merci
!!
Nous avions utilisé mon vrai prénom, fort de lénorme différence physique entre nous, faisant quil était très difficile dimaginer que nous soyons frères, couple oui, on ne pouvait pas le cacher, mais frères
Mais Dieter lavait senti
Il navait pas Un de Wintzt devant lui, mais Deux
Et il connaissait suffisamment notre famille pour savoir que le dernier de la Fratrie sappelait Marc, plus jeune et ne ressemblait pas à ses frères.
- Ravi de vous saluer Monsieur Marc
- Euh
Euh
. Merci Dieter
- Votre présence ici, et comment dire, votre solidarité avec votre frère, nous sera toujours précieuse.
- Je ne sais pas quoi vous répondre Dieter
- Rien Vos Altesses
. Soyez juste vous-mêmes. Sachez seulement que vous serez toujours les bienvenus sur vos terres et ce nest pas moi seul qui parle, toute la population de Görlitz se joint à moi par la voix de son maire.
Interloqués, nous avons rejoint notre suite, assis silencieux sur le canapé, ne sachant pas trop comment réagir aux paroles de Dieter. Puis Paul sest approché de moi, hyper câlin, me couvrant de baisers et même si je sentais sa barre hyper dure contre mon ventre, il en est resté là, et nous sommes descendus dîner dun repas aussi somptueux, mais différent que la veille.
Une fois couchés, relativement tôt, pour la première fois depuis chacune des nuits passées ensemble, Paul ne ma pas possédé, juste son corps poilu épousant mon dos et son membre entre mes cuisses.
- On va faire quoi maintenant ?
- Ne tinquiète pas mon Paul adoré, jirai parler à Papa
- Tu connais son caractère de mule
Comment tu vas le faire céder ?
- Je pense y parvenir, jai un moyen pour ça
- Lequel ?
- Chuttt
Et avec un baiser sur ses lèvres, Paul sest enfin assoupi, sereinement. Je ne me sentais pas encore prêt pour lui avouer que notre père mavait violé, défoncé de son énorme membre après que Matthieu lui ait révélé que Paul était mon amant et que lui aussi mavait baisé.
Mais quel énorme moyen de faire pression sur lui, pour parvenir à la solution que javais envisagée avant même daller à Görlitz.
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