Collection Lesbiennes. La Servante (2/5)
Mademoiselle Véronique, cest la jeune fille de bonne famille que je découvre dès que je prends mes fonctions de servante chez madame Olive et monsieur Serge.
Mademoiselle Véronique est une gâtée qui se croit tout permis car ses parents sont argentés.
Mère comme elle dit possède une boutique de vêtements dans le quartier des ministères et semble bien gagner sa vie car dans ses tailleurs hors de prix vu la qualité des tissus, chaque matin un taxi vient la chercher et la raccompagne le soir.
Père là aussi comme elle dit est avocat daffaires et a son chauffeur personnel qui lui aussi vient le chercher.
Mes patrons font chambre à part malgré leurs 40 ans, ils semblent ne plus avoir de rapports sexuels car aucun des deux lits que je fais le matin dès quils sont partis ne montrent des traces de sperme.
Mademoiselle Véronique est une petite pimbêche, du moins cest ce quelle veut faire croire car rapidement moi qui viens du nord de Paris, je détecte la jeune fille en fleur prête à sépanouir.
Cest son cul et sa poitrine quelle ma montré dès mon premier jour afin d'essayer de me déstabiliser.
Ce quelle ignore quand elle me demande de me coucher à ses côtés avec ma robe noire et mon petit tablier blanc cest que je nai à ce jour eu que des rapports saphiques avec ma prof de français lannée de mon bac.
Nous sommes en train de travailler sur la Princesse de Montpensier quand nous endormant je me réveille et que sans lavoir prémédité, sauf ma tête se baissant légèrement nos bouches se rejoignent.
Un baiser langoureux mais encore juvénile, sa langue tournant trop vite dans ma bouche.
Jétais comme elle, un peu chien fou quand jai commencé avec Alexia et elle a su calmer mes ardeurs pour que nos rapports deviennent harmonieux.
- Corrine que faisons-nous cest mal.
- Non, cest très bien, ta mère t'a punie de sortie donc de contact avec dautres personnes, tu prends ton plaisir là où il test apporté, ici dans ta chambre.
- Mais tu es une femme et moi aussi.
- Cela ne semble pas tavoir déplu de membrasser ?
- Au contraire, nous venons de faire ce que jai refusé à Françoise une amie qui voulait que je lembrasse comme nous venons de le faire.
Peut-on recommencer ?
- Oui, tu as bien travaillé et tu mérites un petit moment de plaisir.
Une chose tout de même tes parents ne rentrent que dans deux heures, jai déjà fait le ménage et préparé le dîner de ce soir, il me reste le couvert à mettre.
Nous avons une heure pour prendre et nous donner du plaisir.
Ta langue fait là tourner moins vite.
Reste calme je vais tapprendre quel est ta vraie nature.
Je sens que tu es vierge à ton âge cest parce que tu nas pas encore jusquà maintenant rencontré la fille te faisant découvrir que tu es lesbienne.
Nos bouches se reprennent, si dans le travail de lecture elle a encore du chemin à faire, côté sexe, je pense que lorsque je la noterais je pourrais dire « Sujet très doué, née pour aimer et être aimée des femmes ».
Véronique est toujours recouverte de son déshabillé passé ce matin, je lécarte et ma main vient en contact avec son téton qui se met à bander.
Jai été initié et jinitie.
Alexia ma appris les gestes qui plaisent aux femmes entre elles au point que certains jours dans la chambre où son mari lui avait fait des s cest une femme fontaine que javais dans mes bras.
Nous en rigolions car chaque fois avant que son mâle dominant narrive, elle devait laver les draps.
Si son mari lavait vu il en aurait pris ombrage, car avec lui ce phénomène ne se déclenchait pas.
Je savais comment démarrer le déferlement de cyprine sortie de son corps en suçant son clitoris hypersensible et développé que son mari ignorait.
Je suis pressée de découvrir celui de Véronique car entre femmes cest la principale source de nos plaisirs.
- Attends, tu es en avance sur moi, je me déshabille.
Veux-tu me voir nue ?
- Oui Corinne montre-moi ton corps comme je te fais voir le mien.
Nue toutes les deux à genoux sur son lit légèrement étroit car pour une seule personne nous nous regardons dans les yeux.
Et dire que cette jolie jeune fille était une peste il y a si peu de temps.
Et dire que je me destinais à faire des études supérieures quand la maladie de maman ma rattrapé.
Nos bouches, nos mains, ses doigts, mes doigts entrent en scène dans nos sexes réciproques alors que notre baiser est de plus en plus profond.
Pour moi, coup de foudre, il est plus quun baiser de rencontre passagère.
- Tu mouilles mon petit bébé, ta chatte dégouline sur mes doigts.
- La tienne aussi bébé, tu es divine.
Qui delle ou moi prononçons ces phrases qui delle ou de moi caressent lautre le plus doucement possible afin de déclencher le plaisir de lautre ?
Nous sommes si fusionnelles que comme nous nous le sommes dit bouche contre bouche, bébé cest lune ou lautre.
Bébé cest l'une et lautre.
- Tu vois mon cur, jouir entre filles cest facile pourtant jai respecté ton hymen, un jour tu épouseras un garçon qui te fera de beaux s et tu retrouveras ton monde et ta raison sociale.
Moi, je continuerais à faire le ménage chez les uns ou les autres pour vivre et faire vivre maman.
- Mon hymen, ça me fait une belle jambe, je veux te le donner.
- Tu dis ça maintenant mais si dans ton milieu tu es prise pour une Marie couche-toi là, tu ne le supporterais pas dans le milieu que tu fréquentes depuis ta naissance.
Laprès-midi a une fin comme les vacances en ont une.
Lafayette, Victor Hugo, premier semestre de redoublement et pas un nuage entre Véronique et moi.
Un seul problème, non pas ses études, elle sera mentionnée, ça cest sûr cette année si elle ne décroche pas.
Nos amours, non.
Elle sait ce qui me plait, mes seins, jadore quelle soccupe de mes seins.
Elle, cest son clitoris, elle adore que je le mordille, elle est à la limite dêtre fontaine.
Nos moments dintimité, non, le soir après avoir fini de travailler son bac, elle me rejoint dans ma mansarde toujours en létat depuis mon arrivée car entre mon travail, son travail et mes études que je poursuis, lamour physique se pratique dès que nous le pouvons.
Une chose que joublie, avec Alexia javais appris à la fister et Véronique men faire autant.
Cest sans aucun problème que sa main entre en moi comme la mienne en elle.
Je sais son pucelage, il na pas résisté plus de deux jours à nos jeux de plus en plus hard.
Non, le problème, cest Philibert, le fils de la baronne et du baron de Montblanc.
Les deux familles semblent vouloir un rapprochement entre elles.
Ce fils, Philibert, est ce que jappellerais un benêt.
Certainement puceau à la porte de ses 30 ans.
Tête d'intellectuel arriéré, dautres diraient résidu de capote dans une famille ayant forniqué entre cousins et cousines pour garder leurs fortunes.
- Corinne, à quel jeu joue ma mère, ne me dit pas quils veulent que jépouse ce garçon qui ne ressemble à rien ?
- Détrompe-toi Véronique, il ressemble à ces plusieurs millions deuros dont il héritera à la mort de ses parents.
Son arrière-grand-père a fondé leur dynastie reposant sur leur banque privée.
- Comment sais-tu tout ça ?
- Une bonne, ça sait être discrète, ton père et son père se sont entretenus dans le petit salon.
Ils ont été fort explicite, Philibert ta rencontré lors dun pince-fesse où tu étais et est tombé amoureux de toi.
Bien sûr, ils ignorent tes penchants lesbiens comme tes parents dailleurs, nous avons su rester discrètes.
- Tu en as assez de moi, mon cur que tu veuilles me marier à ce garçon ne ressemblant à rien.
- Pourquoi crois-tu que tes parents vivent dans des chambres séparées ?
- Car père ronfle et mère ne le supporte pas.
- Cest ce quils tont raconté, une belle histoire pour endormir ton attention.
Je nai jamais vu les traces de deux corps dans le lit de lun ou de lautre.
Encore moins des traces de sperme ou de cyprine.
- Mes parents naiment pas le sexe Corinne.
- Détrompe-toi, ils sont aussi dévergondés que toi de ce côté-là.
- Ton père baise avec son associé il est homo et ta mère avec le patron de la boutique à côté de la sienne.
- Comment sais-tu tous ça mon cur, je suis sur le cul ?
- Ça serait trop long à te lexpliquer, mais je le sais.
Revenons à ce mariage, si tu refuses, ce sont des millions qui téchappent.
Nous nous aimons et nous aspirons à vivre le plus longtemps ensemble.
Où tu avoues notre amour à tes parents et tu seras envoyée au bout du monde pour te faire passer tes penchants lesbiens.
Où tu acceptes mais à tes conditions.
Voilà ce que tu vas faire quand ta mère tappellera pour te dire que ce garçon taime.
Tu refuseras ce serait suspect de dire oui avec empressement.
Tu verras elle reviendra à la charge, elle sera très fière que sa fille soit baronne.
Chez les roturiers, malgré la révolution la particule « de » a beaucoup dimportance et Philibert la possèdent.
Madame la baronne Véronique de Montblanc, ta mère en aura plein la bouche auprès de ses amies.
Voilà donc ce que tu vas leur imposer
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