Tel Est Pris Qui Croyait Prendre - Chapitre 3
Depuis que Julien mavait dépucelé, beaucoup de choses avaient changé. De son côté, il commençait à saffirmer malgré son handicap au genou droit et ses camarades de classe lui montraient désormais plus de respect. Il avait développé une sorte de fierté, de virilité nouvelle, il avait su se prouver quil pouvait baiser quelquun et mener la danse. ment ça aide à se sentir en confiance et à casser des barrières. Je le croisais parfois au lycée mais il évitait mon regard. Ne voulait-il plus de moi ? Est=ce quil cherchait quelquun dautre ? Est-ce quil voulait faire désormais comme la majorité des mecs cest-à-dire se trouver une fille ? En tous les cas, je lobservais dès que je le croisais car javais envie de lui. Jétais devenu totalement accro à lui et je navais quune seule envie : quil passe sur moi une nouvelle fois. Mais il ignorait mes textos. Cela me faisait beaucoup de mal intérieurement, jétais en manque. Je nattendais quune seule chose cest quil renoue le contact avec moi.
Physiquement, je sentais chez lui une belle métamorphose : son corps était devenu plus masculin quavant, sa musculature naturelle sétait légèrement développée et on la distinguait sous son t-shirt. Un corps bien dur, solide, que les hommes développent quand ils sont sains, sportifs et dominants. Son regard avait également totalement changé. Alors quil était encore récemment timoré, en manque de confiance et que Julien baissait souvent les yeux quand on lui parlait, il était désormais beaucoup plus confiant avec un regard posé dans les yeux de lautre. Il avait toujours sa timidité naturelle bien sûr et il nétait pas quelquun de volubile et de bavard mais il dégageait une image totalement différente dil y a encore quelques semaines.
De mon côté, cétait un peu leffet inverse. Se faire dominer, sodomiser et subir des coups de boutoir successifs dun homme provoque une métamorphose tant physiquement que mentalement. Inconsciemment, le son de ma voix était devenu moins grave quavant.
Niveau corporel, et sans rien faire de spécial, je notais que jévoluais également. Mes fesses avaient pris du volume et jétais plus cambré quauparavant. Je navais plus vraiment le corps dur, costaud, sec, du jeune homme typique. Javais plus de forme, plus de courbes que je maintenais grâce à la pratique du football, sport idéal pour la musculature des cuisses, des hanches et des fesses.
ment, le message que je reçus un vendredi après-midi estival me remplit de joie, alors que je navais plus eu de ses nouvelles depuis des semaines : cétait Julien qui me proposait quon se voie une deuxième fois. Lui qui avait ignoré mes messages successifs me proposait de venir me rendre visite dans la maison de mes parents. Par chance, ils étaient justement en vacances à ce moment-là. Evidemment, la réaction normale aurait été de ne plus lui répondre et de passer à autre chose, vu son silence de ces dernières semaines. Pourtant, je répondis immédiatement par laffirmatif et lui demandai sil était disponible le lendemain. Il put constater à quel point jétais en manque et avec quelle impatience je souhaitais le revoir et quil me remplisse de bonheur à nouveau. Il confirma le rendez-vous et me promit un moment bien plus pimenté que la première fois en me conseillant de « bien me préparer la rondelle » pour être prêt. Cela mexcita comme jamais et je répondis à ses recommandations.
Rien que lidée que Julien venait chez moi, dans la maison de mes parents, pour me culbuter et enfoncer le clou me transportait de joie. Jattendais ce moment avec impatience. Cette fois, pas de rendez-vous dans un bar avant de se voir, on avait convenu quil vienne directement chez moi. Je nétais même plus inquiet de penser à mes camarades de quartier qui aurait pu se demander pourquoi Julien venait chez moi. Je nattendais quune seule chose, sentir son corps sur le mien, sentir sa force, son odeur, son assurance. Et sentir que je lui appartenais quand il me pénétrait au fond de mes entrailles.
Alors que jobservais depuis la fenêtre les alentours de mon quartier résidentiel, japerçus au loin une silhouette sur un vieux vélo de ville. Cétait Julien qui approchait avec un sac à dos, en train de chercher le numéro exact de la maison. Je me demandais ce quil apportait. Il sarrêta devant la maison, descendit du vélo et monta péniblement les escaliers en boitant, comme dhabitude. Il vint sonner à la porte. Je me figeai un moment. Etait-ce vraiment une bonne idée de continuer cette relation bizarre ? Voulais-je le laisser continuer à me marcher dessus ? Est-ce que jétais vraiment prêt à laccueillir chez moi et à ce quil franchisse une étape supplémentaire de ma vie privée ? Je mis un certain temps à réagir. Il sonna une deuxième fois. La soif sexuelle était plus forte que le reste et je descendis lui ouvrir.
« Salut » me dit-il simplement en me fixant du regard. Il faut dire que le palier de la porte donnait sur le voisinage et quil était possible dêtre observé. Je lui répondis un timide « Salut, bienvenue » en essayant de répondre péniblement à son regard et je lui ouvris grand la porte pour quil puisse rentrer. Je fermai immédiatement la porte derrière lui et il posa son sac dans le couloir. Un silence pesant se mit en place et personne nosait amorcer la conversation. On entendait le tic-tac de lhorloge de la pièce dà côté alors que le couloir était dans la pénombre.
Je ne savais pas trop comment poursuivre, lamener dans ma chambre, rester au salon. Il anticipa mon hésitation en me déshabillant alors que nous étions encore dans le couloir. En un rien de temps, je me retrouvais nu, ma queue montrant déjà mon énorme excitation, presque douloureuse tellement elle était raide. Il tira dessus en rigolant puis il appuya sur ma tête et je magenouillai immédiatement pour me coller ensuite contre son entrejambe déjà dur. Je ne me fis pas prier pour ouvrir la tirette de son pantalon et aller chercher son énorme phallus, que jattendais avec impatience. « Il tavait manqué » dit-il fièrement alors que jentamai de longs mouvement de va-et-vient et que jessayais tant bien que mal de rentrer tout son sexe dans ma bouche malgré la taille de lengin. Il prit rapidement la main et il commença à son tour à émettre de puissants coups de rein. Je me retrouvai agglutiné contre le mur et il me pénétra la bouche avec une violence inattendue. Il me laissa à peine un répit pour respirer et je sentais dans son regard lenvie de me baiser. Il navait plus dhésitation, il savait ce quil voulait et moi aussi. Nous étions totalement complémentaires.
Alors que nous fîmes une pause, il me proposa daller dans ma chambre.
Encore énervé, Il relâcha la pression sur mon corps et me laissa passer en premier pour monter. Alors que je mapprêtais à me relever complétement, jentendis quil cherchait quelque-chose dans son sac. Avant que jeus le temps de comprendre ce quil se passait, je sentis quil passait autour de mon coup un collier. Je remarquai ensuite que le collier était attaché à une laisse quil tenait fermement en main. En un rien de temps, je me retrouvais attaché et totalement à sa merci. Je fis une grimace détonnement en me retournant vers lui. Mais jacceptai rapidement cette situation tellement elle menivrait de plaisir. Il avait désormais le contrôle sur moi et il pouvait me promener dans toute la maison de mes parents et mon propre chez-moi. Alors que je voulais me relever pour monter les escaliers, il mordonna de rester à quatre pattes en tirant sur la laisse. Je ne pouvais que suivre le mouvement et je montai péniblement les marches. Le fait dêtre devant lui évitait par la même occasion que je le vois boitillant à monter les marches.
Nous entrâmes dans ma chambre et il constata que cétait encore une chambre dados malgré mes 18 ans. Elle était composée de posters de films et de joueurs de foot, avec un bureau pour les études ainsi quun lit simple. Il y avait également une console de jeux et un clic-clac que javais pris soin de déplier au cas où
Il tira énergiquement sur la laisse pour mallonger dessus et se mit sur moi. « Tas vécu toute ton enfance dans cette chambre apparemment » remarqua-t-il
« ça doit te faire bizarre de sentir que tu vas te faire défoncer par un mec dans ton cocon ». Je ne répondis rien dautre quun sourire soumis et le laissai continuer à métreindre et à me partager sa salive. Je ne sais pas pourquoi mais jaimais son odeur, jaimais sa langue, son goût et je narrivai pas à men défaire. Il admira rapidement les courbes au niveau de mes fesses et je constatai que cela semblait beaucoup lexciter. « Ça me semble encore plus accueillant que la dernière fois » senorgueillit-il.
« Comme tu las constaté, jai ramené quelques petits accessoires » continua-t-il sobrement alors quil sortit coup sur coup des menottes, un bâillon à boule, des boules anales et un godemichet. Je commençai à minquiéter de voir tout cet attirail mais au fond de moi cela mexcitait toujours plus. « Ne tinquiète pas tout va bien se passer » me rassura-t-il avec un sourire, comme pour me réconforter. Je létais et il pouvait le constater en observant mon sexe qui nen finissait pas dêtre au garde-à-vous, dur comme de la pierre. « Bon je vois que tu nattends que ça » poursuivit-il. Jétais allongé sur le dos sur le clic-clac, complétement nu et il mordonna de me retourner sur le ventre, jexécutai sa requête. Il enleva le collier autour de mon cou. Jeus du mal à comprendre pourquoi au début mais cétait simplement pour voir si jallais réagir, me rebeller. Il constata rapidement que je ne bronchais pas. « Je crois quon ne peut plus rien faire pour toi tu es définitivement devenu une vraie lope » rigola-t-il avec une voix moqueuse en remettant en place le collier autour de mon cou. Je ne bronchais pas et je le laissais faire car jétais totalement soumis à lui et disposé à répondre à ses demandes et ses fantasmes les plus fous.
Il prit les menottes et les accrocha fermement à mes mains quil avait placées dans mon dos. Il avait totalement lemprise sur moi et pouvait faire ce quil voulait. Jétais son soumis, son chien et je devais lui obéir. Jétais à genou sur le clic-clac la tête et le corps penché vers lavant, les mains attachées dans le dos. Mes fesses étaient à sa disposition et il me tenait le cou avec la laisse. Il tira un grand cou vers lui pour que mon visage sapproche de lui et pour me galocher à nouveau. « Fais-de moi ce que tu veux » le suppliai-je dune voix fébrile et fluette alors que jétais excité comme jamais. Il me fit son fameux sourire conquérant et viril, tira encore plus sur la laisse et me répondit à loreille « avec plaisir ». Comme pour exiger le silence, il enfila dans ma bouche le bâillon à boule, objet qui mexcitait terriblement. Jaimais sentir la domination de Julien me plaçant cet objet et jaimais la texture de la boule en silicone qui remplissait ma bouche. Il serra fermement pour que la boule soit bien insérée et que je ne puisse rien faire dautre que de gémir péniblement.
Il commença par sortir les boules anales quil humidifia dun gel lubrifiant. Il en mit également dans mon antre qui frétillait dimpatience. Il rentra une, deux, puis trois boules et chaque entrée me fit gémir de plaisir. Alors quil enfilait la dernière boule, la plus grande, je sentis de fortes sensations proches de lorgasme. Il appuya bien pour me montrer que cétait bien au fond et quil mavait totalement enfilé. Il fit des mouvements de va-et-vient pour sortir et re-rentrer les boules. Puis, alors que toutes les boules étaient à lintérieur, il les sortit brusquement dun coup ce qui me fit jouir de plaisir. « Moi aussi jai envie de jouir maintenant » me prévint-il. Alors quil dilatait mon trou avec un godemichet, je savais que le bouquet final serait la venue de Sa Majesté dans mon trou. Son sexe était tellement impressionnant que même le godemichet faisait pâle figure à côté. Il observa brièvement mon anus pour voir sil avait pris du volume. « Tes prêt à passer à la casserole », sourit-il.
Entretemps, il avait simplement enlevé son pull et son pantalon mais il nétait pas encore nu. Il décida enfin de de désaper complétement. Je pus constater que son corps était bien ferme et quil était devenu plus viril, plus sportif. Je voulus immédiatement embrasser son torse, ses abdos. Il me laissa faire un court instant, fier de lui, puis me remit en position. Il posa son sexe lubrifié près de mon anus et commença des tentatives daccès. A notre grand étonnement, la pénétration fut beaucoup plus facile et rapide que la dernière fois. « Tu mas bien préparé » le complimentai-je alors que son sexe était déjà fermement fixé dans mon antre. « Ton trou commence à être habitué à recevoir, prépare-toi à la suite » répondit-il en commençant tout doucement des mouvements de va-et-vient alors quil tirait en même temps sur la laisse pour me redresser et membrasser. Il me baisa sans ménagement et je pris cher alors que je regardai en face de moi les peluches de mon enfance, encore disposés dans un coin de la chambre. Quand il sarrêta alors quil était au fond de moi, je sentais son sexe remplir totalement lespace de mon anus et cela me procurait une sensation indescriptible, comme un sentiment de plénitude, comme si cela comblait un espace vide
cétait le cas dans les deux sens du terme !
Alors que nous fîmes une pause, je lui suggérai de continuer nos ébats dans le jardin. En effet, il n y avait pas de vis-à-vis, du moins les thuyas et arbustes cachaient totalement toute vue vers les voisins. Il trouva lidée très bonne. Il menleva la laisse, le bâillon et les menottes et nous descendîmes tous les deux pour aller dans le jardin depuis la terrasse, alors que nous étions complétement nus. Cétait très excitant de sortir nu avec le risque que quelquun puisse quand même nous apercevoir à travers les buissons. Il utilisa ses deux bras pour me faire tomber dans lherbe et me rouler une nouvelle pelle délicieuse. Puis il plaça son sexe au niveau de ma bouche et me pénétra de plus belle. Je sentis les fourmis qui remontaient sur mon corps allongé dans lherbe. Elles me piquaient mais je ne bougeais pas, totalement satisfait par ce sexe au goût subtil. Il me releva et me poussa vers les stères de bois qui étaient disposés dans le coin du jardin. Je mappuyai dessus alors quil enchaina rapidement une nouvelle sodomie brutale et intense. Je navais plus le bâillon à boule dans la bouche alors il fallait absolument que je garde le silence pour ne pas que les voisins entendent. De toute façon on distinguait de plus en plus le bruit des testicules de Julien qui claquaient contre mes fesses et je nosais pas lui dire de faire moins de bruit
ça mexcitait finalement beaucoup de savoir quon pouvait nous entendre et se demander ce quil se passait
Dans le jardin était disposé une poubelle vide, le genre de poubelle que lon trouve à chaque maison dun quartier résidentiel. Mes parents mavaient en effet chargé de la nettoyer et je la faisais sécher au soleil dans le jardin. Julien constata sa présence, la redressa et me colla contre pour menculer de plus belle. Alors quil sexcitait de plus en plus à me baiser la rondelle, je sentis quil allait jouir et il ne pouvait pas retenir son entrain et son orgasme sonore. Je pris peur quon nous entende mais je neus pas le temps de me poser la question. Au même moment, il ouvra la trappe du vide-ordures, me poussa et je basculai pour me retrouver la tête la première au fond de la poubelle, les jambes en lair. Il méjacula dessus et il poussa un discret râle de plaisir tout comme moi. Je me surprenais moi-même car jadorais totalement cette situation, je ne pouvais rêver mieux pour me sentir totalement humilié et dominer par Julien. « Taimes ça ? » demanda-t-il avec une voix moqueuse, comme étonné que je prenne autant de plaisir à tout ce quil me faisait endurer. Alors que son foutre dégoulinait jusquà mon visage, il se déplaça sur la petit bute juste à côté et compléta la semence en murinant dessus. Jétais totalement imprégné de lui, la tête à lenvers. Je sentais son urine, son sperme et javais encore en bouche le goût de sa salive et de sa bite.
Ça doit être ça être dépendant de quelquun. Tout aimer de lui, sans restriction et se sentir au firmament quand il est là. Il ferma la trappe et lança un coup de pied violent qui fit basculer lobjet à lhorizontale. Je fus tellement halluciné par ce bref instant que je ne bougeais plus comme pétrifié (de plaisir). Il mavait véritablement humilié et javais aimé ça sans aucun signe de rébellion. Mon sexe versait déjà une quantité de sperme car il mavait déclenché un orgasme prostatique. Et je rajoutai du liquide en plus en me branlant et en éjaculant à mon tour ce qui vint augmenter le volume de foutre dans cet endroit clos. Lodeur de toutes ces substances émanait à lintérieur et je me sentais humilié, vidé, lessivé, baisé mais finalement je me sentais vraiment bien et à ma place, et je vivais un moment dextase.
Alors que je repris mes esprits quelques minutes plus tard, je sortis de la poubelle encore totalement dégoulinant durine et de sperme mélangés et je constatai que Julien nétait plus là. Je rentrai chez moi, tout penaud et je ne vis plus aucune trace de Julien qui avait repris ses habits, son sac et était apparemment parti. Je messuyai mais je ne pris pas de douche tout de suite pour garder son odeur sur moi encore quelques heures. Et, évidemment, il fallut nettoyer à nouveau la poubelle qui nétait plus aussi propre que quelques heures plus tôt
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