58- Said Le Jardinier Du Lycée

58- SAID le jardinier du Lycée :
Je m’appelle Said, je viens d’un village de la montagne. Tous mes frères se sont mariés et on travaillait ensemble sur notre terre ancestrale. Moi par contre, vu mon caractère volage et mon incapacité à faire des économies, je n’ai pas pu me marier. Par contre, j’avais pas mal de succès sexuels auprès des filles, des veuves et même de certaines femmes mariées de la région. Je profitais de l’absence, en ville, de leurs maris, pour les attirer dans le cagibi qu’on m’avait octroyé, comme célibataire à isoler, la bas au fond de notre terre ancestrale, et à l’orée de la foret voisine, très discret. Quant le père est mort, j’avais 30 ans et mes frères se sont partagé notre terre. Et comme j’étais le seul célibataire, on m’a juste donné comme héritage, la cabane que j’occupais et un lopin de quatre mètres carrées devant. Au début je travaillais surtout avec mes frères chacun à son tour et ils me nourrissaient juste, juste et ça me suffisait. De plus, ma cabane, bien isolée me permettait de continuer à y recevoir des femmes et même des jeunes hommes car j’aimais aussi les douces terma à sodomiser. J’acceptais tout ce qui venait chez moi et j’avais une bonne réputation. Mais ça n’a pas duré longtemps. D’abord j’avais très peu de sous et ce n’était pas suffisant pour mes besoins et ma santé et puis j’ai eu quelques problèmes avec des maris jaloux. La situation empirait de jour en jour alors j’ai fermé ma cabane et je suis parti en ville chercher du travail.
Comme j’avais une très bonne constitution physique et une allure assez engageante, j’ai réussi à trouver quelques petits boulots et puis j’ai fini par être engagé comme jardinier dans un lycée internat de garçons. Une partie était pour le lycée et ses dépendances et l’autre moitié pour le jardin qui était entouré d’un grand mur. Une petite porte, avec serrure mais sans clé, séparait la partie lycée du jardin et elle était seulement callée par un parpaing pour la garder fermée.

Quant j’ai commencé mon travail, c’était encore les vacances et la rentrée scolaire n’a eu lieu que dix jours plus tard. Dès la première semaine, je me suis rendu compte qu’un autre lycée était adjacent au notre, sel le mur séparait les deux jardins. J’avais plusieurs arbres fruitiers et pas mal de petits vergers de légumes et fleurs sous ma responsabilité mais c’était un travail assez facile pour moi. Dès la rentrée, les petits problèmes ont commencé. Le premier samedi soir, deux jeunes internes de terminale, sont venus me voir pour leur permettre de passer par le jardin et d’escalader le mur pour aller passer la soirée en ville et revenir à l’aube.
Bien sur j’ai refusé, alors l’un d’eux m’a proposé de me payer en m’offrant son cul pour une sodomie rapide et il m’a assuré qu’il en avait l’habitude et qu’il était âgé de 19 ans. J’ai essayé d’être fâché et il a abaissé ses vêtement en vitesse et s’est retourné en me montrant son derrière. C’était vrai, à vue d’œil, il avait un gros cul tout dodu et blanc, comme je les aimais la bas au bled et mon zob s’est immédiatement gonflé. Mais j’ai refusé en les engueulant et les repoussant de l’autre coté de la porte. Mais l’autre gars, pointant son doigt vers la grosse bosse au niveau de ma braguette, m’a affirmé avec un gros rire que mon zob était consentant et que ça se voyait. Puis ils m’ont expliqué que leur passage par le jardin était courant chaque année et qu’il n’y avait aucun danger, ni pour eux, ni pour moi. Alors, touchant mon zob à travers le vêtement, je n’ai pas pu hésiter et je l’ai dégagé de la braguette. Dès qu’il l’a vu, le jeune au gros cul poussa un gros « ahhh » de satisfaction et, se courbant au mieux, il écarta ses fesses avec les mains et m’offrit son anus légèrement entre ouvert et déjà palpitant.
Avec ma salive, je me suis lubrifié un peu le zob et les fesses et l’anus du jeune et j’ai enfoncé mon zob. Et comme il s’est glissé sans difficulté jusqu’aux couilles, j’ai compris que cette terma avait l’habitude des sodomies.
Pendant dix minutes, j’ai limé le cul du jeune, et comme déjà à sa vue j’étais excité, je suis arrivé rapidement au plaisir. Et j’ai éjaculé par trois fois dans ses entrailles et enfonçant chaque fois, un peu plus mon zob dans la terma. Le jeune homme a crié son plaisir dès que j’ai enfoncé mon zob avec vigueur et lors de mes trois éjaculations. Puis, j’ai retiré mon pénis tout blanc et brillant de mon sperme. Le jeune, sans se couvrir la terma s’est retourné et a empoigné mon zob pour l’enfoncer dans sa bouche et il m’a sucé tout en me nettoyant. Quant il a terminé, j’ai remis mon zob dans sa cage et le jeune s’est accroupi pour se vider e mon sperme, puis, il m’a embrassé en me promettant qu’il reviendra me voir souvent car mon zob a enchanté sa terma. Son compagnon qui doit certainement le sodomiser parfois, m’a remercié aussi et m’a promis d’autres terma du même âge et du même gabarit.
Puis, je les ai suivis vers un coin assez discret du jardin et là, ils ont facilement poussé trois parpaings du mur vers l’extérieur. Cela leur a permis d’accéder à la rue déserte. Dehors, ils ont repoussé les parpaings à leurs places et ils sont partis pour leur soirée. J’ai vérifié toute cette partie du mur et je n’ai trouvé que ces trois parpaings qu’ils ont du décoller, préparer et utiliser depuis des années pour faire le mur. Je me suis dis que ce que je venais d’accepter et de faire était dangereux pour moi et mon travail, mais comme j’étais sevré de femmes et de culs depuis mon arrivée en ville, j’ai obéis aux besoins de mon zob et j’étais prêt à continuer. Puis je suis allé me préparer à diner et me coucher dans ma cabane. Au fond de mon lit, j’ai revu le cul du jeune homme et mes mains se sont rappelé le volume et la douceur de sa terma et, comme prévu, mon zob s’est redressé pour se gonfler de désir. Alors, je me suis branlé avec l’image de cette terma chaude et profonde et j’ai éjaculé. En me nettoyant à coté je me suis promis de revisiter cette terma et de l’inviter toute une nuit ou plus dans ma cabane.

Le lendemain soir, dimanche, j’ai fait le gué devant la porte. Et vers 21h, deux jeunes se sont présentés. L’un était celui d’hier, pas celui qui m’a donné son cul, l’autre. Et le second était nouveau pour moi mais il avait la même prestance que celui de la veille. Dès qu’il ont dépassé la porte et qu’ils m’ont vu, le second jeune homme, sans un mot et rapidement, il a glissé son pantalon sur ses jambes et m’a offert son cul en se courbant. C’était presque une copie de la terma de la veille et mon zob ne s’y est pas trompé. Il s’est gonflé et je l’ai retiré de sa braguette. Comme la veille, je me lubrifié ainsi que le cul du jeune avec beaucoup de salive et, avec un grand coup, j’ai enfoncé mon zob jusqu’aux couilles. Il semble que ce jeune homme était aussi un habitué de sodomies. Il poussa un grand souffle de plaisir et se tortillait le derrière pour mieux gouter les mouvements de mon zob dans sa terma. Après une vingtaine de vas et viens vigoureux, les mains bien accrochés aux hanches du jeune, je suis arrivé au top. Et par trois ou quatre jets, je lui ai rempli les entrailles de mon sperme chaud et visqueux. Puis j’ai retiré mon zob et, comme son copain d’hier, le jeune m’a happé le zob dans sa bouche pour me sucer et nettoyer, tout en se mettant accroupi pour vide son cul. Après m’avoir bien nettoyé, il s’est relevé et remis ses vêtements. Moi, je suis resté debout devant les deux jeunes et avec le zob encore en grande partie gonflé, prêt pour une autre partie. Mais, les jeunes devaient partir, et comme la veille je les ai suivi dans leur escapade jusqu’à ce qu’ils aient fermé le trou.
Dans ma cabane, j’ai réfléchi au fait que c’était le même jeune qui avait accompagné les deux gars à sodomiser. Donc c’était une sorte de maquereau pour leurs terma. Il doit certainement les accompagner en ville, pour les faire sodomiser par des hommes qui doivent payer et il empoche son du. A chaque week end, il doit sortir un ou deux lycéens amateurs de zobs et se faire payer sa prestation.
Car si c’était leurs culs qui les intéressaient, il pouvait les sodomiser dans leurs chambres ou ici, dans le jardin ou même dans ma cabane. Dans mon lit, j’ai continué à cogiter et je n’arrivais pas à dormir. Tard la nuit, peut-être vers minuit, j’ai entendu du bruit et j’ai compris que les deux lycéens revenaient de leur escapade. Alors, je suis allé les attendre près de la porte donnant accès à la partie lycée. Ils rigolaient doucement et quant ils m’ont vu, ils m’ont dis qu’ils ont passé une bonne soirée. A la vue du jeune gars que j’avais sodomisé, mon zob s’est réveillé et me chatouillait. Alors, au passage, j’ai glissé ma main sur la terma du jeune homme et à ma vue et à la bosse qui se gonflait dans ma braguette, il a compris. Son compagnon lui a souhaité le bonsoir et il nous a laissé ensemble. Je l’a immédiatement amené à ma cabane et presto illico on s’est déshabillé et je l’a i poussé sur mon lit. Je l’avais niqué déjà par derrière et je voulais autre chose. Je l’ai mis sur le dos et les jambes levées et cuisses écartées, j’avais accès direct à son anus par-dessous. Pointant mon zob déjà gonflé à fond sur anus, je l’a enfoncé jusqu’à ce que mon ventre claque sur le sien. Et, face à face, je l’ai sodomisé comme une femme. Je l’embrassais sur les lèvres et sur les seins que je caressais et pinçais ses bouts gonflés par le désir. Il gémissait de plaisir comme une jeune femme et cela augmentait mon désir. J’avais l’impression que mon zob se gonflait encore plus et rapidement le plaisir arriva. Par trois fois, j’ai éjaculé dans ses entrailles tout en me couchant sur sa poitrine et mordant ses seins. Bien sur, moi aussi, comme lui, non seulement je soufflais fort et gémissais mon plaisir mais je hurlais presque de jouissances.
Ensuite, on est resté l’un dans l’autre, couché ensemble. Puis, je me suis dégagé, et mon zob est sorti de son cul, avec du sperme qui pulsait et coulait vers le lit. Alors, j’ai retourné le seul sur le ventre et je sui monté sur son derrière. Je frottais mon zob sur ses fesses et le sillon plein de sperme, alors mon zob s’est glissé encore une fois à l’intérieur de sa terma. Comme mon zob restait gonflé, j’ai recommencé une série de vas et viens, puis je lui ai fait redressé au maximum le derrière pour avoir sa terma bien offerte. Et, presque debout, j’enfonçais par intermittence mon zob dans son cul. Je me redressais en sortant mon zob puis, et avec violence, je l’enfonçais de nouveau jusqu’aux couilles. Le jeune homme hurlait de jouissances. Je voyais qu’il essayait d’écarter au maximum ses cuisses et gonflait vers moi son derrière pour s’offrir à fond à mon zob, aux coups de mon zob. Moi aussi, poussé par le plaisir et ces désirs bien visibles du jeune homme pour mon zob, j’accélérais mes coups et poussait le plus au fond possible. Je hurlais autant que lui nos jouissances communes et enfin, j’ai réussi à obtenir de mes couilles la récompense. Et par quatre fois, cette fois ci, mon zob a lancé ses jets puissants de sperme dans les entrailles du jeune homme. Ensuite, épuisés, on s’est applati sur le lit, le jeune sur le ventre et moi sur son derrière et avec le zob toujours dans son cul. Quant on arepris connaissance, j’ai jeté un coup au réveil, il était deux heures du matin. Je me suis retité de son cul et me suis allongé à coté sur l’étroit lit. Il s’est relevé, toujours nu, le cul plein de sperme et m’a embrassé sur la bouche en me disant merci. Il m’a expliqué que jamais il n’avait eu autant de plaisir et de jouissances malgré sa longue expérience. Puis, il m’a empoigné le zob et l’a embrassé, sucé, nettoyé et même branlé un peu. Mon zob, habitué aux longues expériences recommençait à se durcir. Et le jeune homme, en souriant, m’a voué que ce zob était, pour lui, un phénomène et qu’il voudrait revenir, même en semaine, la nuit dans ma cabane. J’ai refusé avec vigueur et je l’ai poussé à se relever, se nettoyer le cul et se rhabiller. Puis, remettant juste mon pantalon, je l’ai poussé vers la porte du lycée que j’ai refermé derrière lui.
Et c’est ainsi que chaque samedi soir et dimanche soir, Samir, c’était le nom du proxénète des jeunes, faisait sortit du lycée, des jeunes amateurs de zobs pour aller les faire sodomiser en ville et gagner ainsi de l’argent. Au total, il y en avait six et quant il a fait passer le sixième, il revient au premier pour l’amener en ville. Et moi, je suis passé sur les six. Et pratiquement, tous étaient bien dotés de larges et rondes terma et étaient déjà habitués aux sodomies, l’ouverture facile de leurs anus pour le zob était une preuve éloquente. Parfois, les six, j’ai réussi à amener quatre dans ma cabine pour jouir à fond de leur terma et plusieurs fois. Et le premier que j’aisé niqué et dont la terma nous avait ébloui, moi et surtout mon zob, celui là je l’ai attiré plusieurs fois, même en semaine la nuit dans ma cabane et nous avons joui ensemble parfois presque jusqu’à l’aube. Il s’appelait Aziz et que je préférais lui murmurer Aziza (féminin de Aziz) quant je montais sur lui et que mon zob limait sa terma. Et quant je jouissais en éjaculant, je l’appelais carrément « ya Aziza qa7abti ! 7ali qarek al zébi ! » (Aziza ma pute ! ouvres ton cul à mon zob !). Et Aziz trouvait cela tellement à son gout qu’il amplifiât ses oscillations et roulis de la terma pour mieux jouir de mon zob dans ses entrailles. Puis il y a eu les vacances d’hivers et le lycée s’est vidé.
J’allais me retrouver seul pendant ces vacances de quinze jours et ce n’est pas la solitude qui me gênait mais le manque de terma à niquer. Chercher une terma en ville serait très difficile car je ne connaissais pas ce milieu, mais chercher une femme à baiser était possible. Utilisant le trou à trois parpaings, je suis allé en ville et rapidement j’ai dragué une jeune femme que j’ai entrainée dans ma cabane. Et je l’ai gardée quatre jours pendant lesquelles nous avons fait l’amour par devant et par derrière, dans sa chatte et dans son cul. J’ai rassasié mon zob et épuisé mes couilles de leur sperme, puis je l’ai congédiée avec quelque sous. Après deux jours de repos, j’ai répété l’expérience par deux fois, avec, chaque fois, une femme que j’ai baisée et sodomisée durant aussi quatre jours, ce qui m’a amené à la fin des vacances. J’allais retrouver les terma de mes jeunes amis et je pourrais amener aussi une femme chaque fois que je le désirais. Il est vrai que maintenant j’ai un faible plus prononcé pour le terma des garçons que les chattes et culs des femmes et j’ai l’intention d’en profiter au maximum en suivant seulement les désirs de mon zob.

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