Weekend À La Montagne - Épisode 8 - Suspendu...
Weekend à la montagne - Épisode 8 - Suspendu...
Il était 16h lorsque nous avons quitté le jacuzzi, soit une bonne heure à avoir trempé dans leau bouillonnante.
Après la matinée prolongée que nous avions passée, cétait bien le minimum.
Léa mis un quart dheure à émerger dun état dhébétement qui témoignait de lintensité de notre séquence en plein air. Pauline lavait accompagnée dans le spa, lavait détachée pour lui frotter vigoureusement les bras et les jambes avant de la faire glisser dans leau chaude. Léa avait poussé une longue plainte silencieuse face à la douleur de la reprise de la circulation , puis était replongé dans son état seconde.
Pendant ce temps-là, Pauline mavait accompagné de la même manière, tout en me laissant les mains attachées devant moi et en minstallant une cage de chasteté.
Lentrée dans leau avait été extrêmement douloureuse et mavais projeté à nouveau au fond de mes retranchements ou javais attendu en silence, prostré dans mon coin du jacuzzi.
Jétais revenu à moi près d1/2 heure plus tard, en réalisant soudain que Léa était en train de gémir. Allongée contre Pauline en face de moi, elle avait posé un pied sur mon épaule et lautre à lextrémité opposée de notre baignoire. Son ancienne tortionnaire sactivait dune main sur sa poitrine, pendant que lautre lui caressait lintimité complètement dévoilée sous les bulles deau chaude.
Pour être honnête, cest plus létroitesse de ma queue dans la cage que le son qui ma fait revenir à moi. Comme quoi, quand lesprit a pris quelques vacances la bite se câble sur le subconscient pour ne pas louper une occasion de bander
ou de ne pas pouvoir le faire pour le coup.
Javais donc passé la ½ heure suivante à retrouver progressivement mes forces, malgré linconfort de ma situation excitante.
Bon après je vais être honnête : oui, cétait gênant dêtre comprimé dans cette cage de plastique alors quelles ont profité de cette session jacuzzi pour se retrouver et se pardonner mutuellement de leurs trahisons respectives.
Malheureusement, ça ne pouvait pas durer tout le weekend.
Enfin bon, pas vraiment malheureusement soyons honnête. Au point où jen suis, prétendre ne pas être masochiste serait assez difficilement défendable.
Même, si le mot me fait tiquer
masochiste. Dire que japprécie être attaché, être impuissant dans un contexte sexuel, que lair sadique sur le visage dune dominante mexcite au plus haut point, ça oui. Mais masochiste, un mot si tranché et lourd de sens, je pense que cest la première fois que jai assumé le terme.
Bref, javais pas fini de douillé.
Après avoir joué entre elles pendant un moment, mon tour était venu.
Elles sinstallèrent chacune dun côté de moi, une main sur une de mes cuisses, leurs seins pressés contre moi.
- « ça va mieux toi ? »
Question de Pauline, qui me caressait la cuisse du bout du doigt.
- « Oui oui, je récupère comme je peux
»
Bonne réponse champion, temporise !
- « Encore en train de récupéré ?? Dis donc, tu veux pas quon te laisse la pour le reste du weekend non plus ? »
Léa, toujours aussi délicate et attentionnée dans son rôle de dominante.
- « Bin faut quand même avoué que cétait intense ! Tu semblais penser la même chose il y a pas si longtemps dailleurs ! »
Jai tout de suite réalisé que javais fait une erreur. Au moment même où les mots sortaient, je réalisais que chacun deux risquaient de me coûter. Mais trop tard.
Dun regard entendu, les deux filles se saisir fermement de mon testicule la plus proche. Je me figeais sur place.
- « Dis donc » me dit Pauline dune voix dure comme la roche, tout en serrant graduellement son poing, « tu sembles oublié un peu le thème du weekend. Oui, jai été soumise ce matin.
Limpide. Eussiez-vous la générosité dans votre incommensurable mansuétude de me libérer les couilles, Ô divine princesse de mon cur, au nom de notre descendance éventuelle future ? sans vouloir vous importuner cela va sans dire.
- « Oui maîtresses, pardonnez-moi maitresse Léa »
Quel homme fier, jen ressors la tête haute.
Enfin, je me prends rapidement un taquet à larrière de la fameuse tête en réalité baissée.
- « Cest « je vous demande pardon » pas « pardonnez-moi », tu me donne pas dordre. Sors de leau ! »
Cest donc tout penaud que je suis sorti du jacuzzi, les mains toujours attachées, la bite toujours encagés, le capital « gentillesse et générosité » de mes maitresses épuisé.
Les deux filles enfilèrent chacun un peignoir, avant de prendre le bout de corde humide qui pendouillait devant moi.
Elles me guidèrent par ma longe jusquau salon, immense pièce avec poutre apparente à plusieurs mètres du sol, entourée de baie vitrée qui donnait une vue dégagée sur les étendues sauvages
putain quelle devait être riche cette Léa, cette baraque était vraiment folle !
Je dégoulinais à même le sol, lair un peu penaud.
- « mais cest quil mouille le sol en plus ! »
Bin jy pouvais pas grand-chose !
- « Il nettoiera après, pour linstant il faut le faire sécher »
Léa monta sur la mezzanine pour attacher une poulie autour de la poutre centrale, y fit passer une corde et la jeta au sol.
Pauline en profitait pour échanger la corde qui me restreignait les poignets avec des menottes molletonnées.
Léa commença à me hisser en lair quand Pauline larrêta.
- « Attends attends attends, jai une idée ! »
Et elle partit en courant dans la chambre, le peignoir voletant derrière elle. Je regardais Léa pour essayer de deviner à quelle sauce jallais être mangé mais elle me signifia dun haussement dépaule quelle aussi nétait pas dans la confidence.
Pauline revint 5 min plus tard, les bras chargés.
Elle commença par minstaller un bâillon composé dun appendice qui menvahissais complètement la bouche. Pas bon signe ça, cétait le genre de jouet quon utilisait habituellement pour couvrir les gémissements de situations particulièrement contraignantes.
Elle mattacha ensuite chaque cheville à une corde distincte, et fit de même en menserrant les testicules. Elle se posta devant moi, lair très fière, un cadenas et un sex-toy que je navais jamais vu à la main.
- « Cest ma surprise pour ce weekend, une nouveauté rien que pour toi ».
Il sagissait dun objet en forme de plug métallique nervuré, mais composés de plusieurs lames repliées les unes à côté des autres. Sur la base, une petite molette finie par une boucle.
- « Je lappelle ma « fleur », je te loffre ».
Et sous mes yeux qui sagrandissait, elle fit tourner la molette. A chaque incrémentation, les lames incurvées qui composaient lobjet souvrait, un peu comme une fleur. Après avoir fait ça démonstration ou les lames finissaient grande ouverte à un angle à 45° par rapport à la base, elle le referma, me sourit et se glissa derrière moi.
Je couinais ouvertement sous mon bâillon pour lui demander pitié pendant quelle me lubrifiait lanus et le préparait avec ses doigts. Elle était collée dans mon dos, sa langue se promenant sur mon oreille encore humide. Elle introduit facilement le plug et commença à tourner la molette. Je couinais plus fort, de peur car je ne sentais pas encore grand-chose.
- « ta gueule, il ny a rien que tu puisses dire ou faire qui changera la situation. Pas de safe word. Tu peux te morfondre, gémir, essayer de crier, me jeter des regards suppliants, pleurer, ça ny changera rien, tu nauras de pitié de la part daucune dentre nous. Tu pendras du plafond pendant 5 minutes ou 5 heures, aucun moyen de savoir
»
Et elle tournait, inexorablement. Jétais tiraillé de lintérieur, je criais sous dans mon bâillon, ma bave coulant sur mon torse.
Puis jentendis le clic du cadenas. Ce plug ne bougerait plus tant quelle nen aurait pas décidé autrement.
- « Vas-y, lève le dau ! »
Et je commençais à mélever dans la pièce, suspendu par les bras.
Lorsque mes pieds pendaient à environ 1m50 du sol, que jétais à mi-chemin entre plafond et plancher, je mimmobilisais. Léa avec verrouillé la corde.
Je pensais que la situation allait sarrêter là. Mais non bien sûr. Leur sadisme navait pas de limite.
Pauline pris un bout de corde qui pendait dune de mes chevilles, et lattacha à un coin de la pièce. Elle fit de même avec lautre, mécartelant au maximum.
- « Maintenant, la partie un peu plus difficile »
Maintenant cétait difficile ???
Pauline pris un bout qui pendait au sol et le tira vers un 3ème coin de la pièce. Je sentis le plug énorme dans mon cul me tirailler et tout mon corps être tiré vers larrière. Puis, mes testicules furent tirés vers le dernier coin de la pièce.
Jétais écartelé en 3 dimensions au centre de la pièce.
Léa était redescendue et elles mobservaient tous les deux den bas, un air sadique sur le visage. Je les suppliais du regard. Cela ne changea évidemment rien.
- « Bon on va faire la sieste » dit Léa « sèche bien ! »
Et elles quittèrent la pièce, me laissant seul avec le bruit des gouttes deau qui tombaient doucement sur le parquet.
Ploc
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