Collection Lesbiennes. La Servante (4/5)

- Alors ma chérie, ai-je bien joué le coup avec ta mère !
- À pars le pizzaïolo ou quand tu en parlais tu étais très persuasive au point que je pense que tu disais la vérité, pour le reste tu as été aussi bonne que la plus grande des actrices française.
Viens dans mes bras que je t’embrasse, un seul problème, je vais devoir écarter les cuisses pour satisfaire mon mari pour notre nuit de noce.
- Laisse faire ta dame de compagnie puisque c’est le rôle que je vais tenir, j’ai plus d’une corde à mon arc.
N’oublie pas le milieu d’où je viens, dans nos quartiers les beurettes qui veulent s’émanciper savent comment faire quand elles ont perdu leur pucelage.
Il n’y a rien de plus facile à tromper un homme, surtout un puceau comme celui que tu vas épouser, savoir que ta chatte est à lui va le faire tomber dans le piège que tu vas lui tendre.
Ce n’est pas pour rien que je t’ai suggéré de lui imposer une chambre seule et qu’il te demande préalablement l’autorisation de t’avoir dans son lit.
- J’ai compris, tu vas devenir sa maîtresse pour éviter qu’il me saute.
- Horreur, sa maîtresse, moi la queue d’un mec dans ma chatte, plutôt crever.
Laisse-moi faire en attendant si je te caressais tu serais contre.
J’ai furieusement envie de te bouffer la chatte.
Non bébé, une bonne fessée pour avoir douté de mon amour et croire que le beau pizzaïolo était mon amant.

Tout est en ordre, nous sommes au pied du mur.
La cérémonie a eu lieu, Véronique est madame la baronne de Montblanc du moins à la disparition de Germaine celle qui est propriétaire du titre en ce moment.
Quant au repas et la soirée comme demoiselle d’honneur j’ai su m’occuper de son mari.
Pas de méprise, il a légèrement bu avant que le couple s’évade vers le paradis de l’amour.
Bien sûr, je suis avec mon chevalier servant de la journée espérant qu’il va me sauter.


Nous arrivons tous les quatre devant leur hôtel particulier.
Une fois descendu de la vieille DS qui était leur voiture de collection, loué pour la circonstance, j’ai planté sur le trottoir celui dont j’ignorerais jusqu’au nom.

- Philibert, nous serons souvent amenés à nous croiser dans le futur vu le rôle que ma maîtresse veut que je joue entre vous.
Permet que je te tutoie et que je t’appelle Philibert.
- Vous m’excuserez, mais mère m’a appris la bienséance et que le tutoiement était pour le petit peuple.
Tutoyez-moi, je continuerais à vous vouvoyer.
- Aucun problème, Philibert, va dans ta chambre, je vais préparer ton épouse pour sa nuit de noces.

Comme un gros toutou, il entre dans sa chambre pendant qu’avec Véronique nous entrons dans la sienne assez éloignée l’une l’autre pour ne pas entendre les turpitudes de deux gouines en folie.
Là encore je sais que la plupart des lesbiennes n’apprécient pas qu’on les appelle gouines, mais je m’en contrefiche.
Je vais dans la salle de bains préparer la baignoire que je remplis de pétales de roses achetés préalablement.
Cent roses que j’ai effeuillées une à une.

- Véronique ne bouge pas je vais en cuisine, il faut que je prépare la 1ère phase de l’après mariage.

La cuisine est ultramoderne.
Hier j’ai reçu celle qui va officier comme technicienne de surface.
Bref la bonne du couple.
J’ai choisi Agathe une vieille édentée qui ne m’enlèvera pas mon amour.
À titre d’expérience, j’ai bien réussi à m’élever dans l’échelle sociale en peu de temps grâce à mes rapports avec la fille de la maison.
Attention rapports qui sont réels, je n’avais pas calculé que Véronique et moi tomberions amoureuse, mais je veux lui éviter la bite de celui qui vient de lui passer la bague au doigt.
Un jeune puceau a presque 30 ans, friqué en plus.
Il faut avoir une sérieuse couche de connerie pour ne pas avoir goûté la chatte d’une femme, même une pute qu’il avait largement les moyens de se payer.

Mon plateau près, je rejoins ma petite maîtresse et lui demande de boire une tasse de tisane que j’ai préparée.
Véronique semble ne pas comprendre mais elle sait que je suis un plan et elle boit avant de reposer la tasse sur son plateau.

- Philibert, chaque soir ma patronne bois une tisane, elle souhaite que chaque soir à partir de ce soir, vous buviez cette tisane ensemble.
Regarde, elle a déjà bu la sienne, je t’apporte la tienne.
- Mère m’en fait boire tous les soirs, ce sera avec plaisir que je boirais cette tasse avec elle.

Sans aucun problème, il prend la tasse et l'avale d’un trait.
Dodo Philibert, à l’intérieur j’ai mis une bonne dose de somnifère que je vais lui faire boire en plus petite dose tous les soirs.
On ne sait jamais je ne veux prendre aucun risque, c’est le prix de mon amour pour ma petite maîtresse dans tous les sens du terme.
Comme je l’ai dit un peu plus haut, les bonnes ont tendance à se parler entre elles de leurs patrons respectifs.
Simone, celle qui officie chez Germaine la baronne de Montblanc.
Deux rencontres sous couvert de savoir comment bien servir mon nouveau patron et j’ai appris pour la tisane du soir.
Son pucelage, ça va de soi et surtout ce qui nous a fait beaucoup rire, sa maman vient border Philibert dans son lit tous les soirs en l’embrassant sur le front.

- Philibert, je vois que tu es nu attendant ton épouse, reste bien au lit, ne montre pas à Véronique ta femme ton sexe, n’oublie pas qu’elle est pucelle.

Je quitte la chambre allant chercher mon amie pour qu’elle voie de quoi je suis capable.

- Entant il ronfle, une vraie locomotive, nous pouvons entrer, il n’est pas près de se réveiller.
As-tu la fiole ?
- Oui, la voilà, je l’avais mis entre mes seins.
Je la tenais au chaud.
Qui a-t-il à l’intérieur.
- Ton pucelage.
Mais avant, je dois aller chercher un objet dans ma chambre, quand un couple baise, il y a du sperme sur les draps.

Je n’avais pas la possibilité d’en trouver sans te tromper et ça je ne l’aurais pas supporté, nous allons aller à la source.

Dans ma chambre travaillant méthodiquement j’apporte ce que j’ai acheté sur Internet.

- Qu’est-ce que c’est Corinne ?
- Un vagin avec sa pompe, nous allons le faire bander et récupérer son sperme bien frais.
Si ce que m’a dit Simone s’avère intégralement exact, il dort ses mains sur les draps comme il l’a appris à le faire dans son collège suisse de curés où sa famille lui a fait faire ses études.

La vache, bien qu’il dorme, nous lui pompons tous le sperme que ces couilles peuvent nous fournir.
Dommage pour Véronique de m’aimer, si sa mère a oublié de lui donner un cerveau digne d’un escargot, question sexe il est plutôt bien fourni.

- Bon la fiole, regarde ton sang qu’il a fait jaillir en te pénétrant.
- Je ne comprends pas.
- C’est lui ou toi, le sénile !
C’est une fiole de sang, j’en mets dans le lit avec son sperme et dès qu’il se réveillera, je serai là.
- Tu t’es coupé les veines pour le mettre dans cette fiole ?
- Non, le boucher qui me vend la viande que vous mangez m’en a récupéré.
Dès que ton mari se lèvera je laverais ses draps, inutile que ta belle-mère est des doutes quand elle va venir.
- Ma belle-mère va venir ?
- Jute pour voir si son petit chéri va bien, je suis sûr qu’il lui dira qu’il t’a bien fait l’amour et qu’il a constaté que ton sang tachait les draps.
Voilà, je le verse en laissant quelques taches qui t’aurais suivi quand tu as été dans ta chambre récupéré de ton dépucelage.
Viens chérie, je vais te faire vivre ta nuit de noces, le piège est tendu.

Nous rejoignions ma chambre, je prends celle que je peux plus qu’aimer après le machiavélisme qu’elle montre dans mes bras.
Nos bouches se trouvent.
Nos jambes se croisent et nos clitoris se mélangent une nouvelle fois.

Ses doigts sont en moi, quelle belle fin de nuit jusqu’au moment où nous nous donnons des orgasmes.

- As-tu mis ton réveil ?
- Oui, il va être temps d’être bonne comédienne mon cœur.
Fais celle qui dort, je vais voir ton cocu…

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