La Vie De Sammy

C’était un mercredi comme les autre : Piscine. J’étais très sportif à l’époque, musculature longue et fine mais pas très grand et ma tignasse blonde ainsi que mes yeux bleus ne passaient pas inaperçus. Après quelques longueurs, j’observais une pause sur un gradin quand je vis un homme qui me fixait. Largement le double d’âge de moi, il était très brun, impeccablement rasé, son torse musclé et velu à souhait était une invitation aux câlins. Il me regardait avec insistance avec un sourire carnassier qui fit monter un moi une sensation inconnue.

Je me sentais gêné d’être fixé de la sorte et décidai me retourner nager. Il se leva en même temps que moi et se dirigea vers le bassin. Je repris mes longueurs et il ne fallu pas longtemps avant qu’il ne nage à côté de moi et arrivé au bout de la ligne, alors que je me tenais aux margelles, je sentis une présence derrière moi. Il s’était rapproché et sa poitrine effleura mon dos avant qu’il ne se mette à coté de moi et il engagea la conversation. Des banalités du genre – tu viens souvent ici ? , Tu fais quoi ? etc… Tout en discutant, il s’était rapproché de moi et nous étions au contact l’un de l’autre et il décida de changer de place. Il glissa dans l’eau face à moi pour me contourner en se frottant ouvertement contre moi et nous avons continué notre petit bavardage avant de repartir nager. 2 longueurs plus loin, même scénario sauf que là, il se colla complètement à moi et je sentis une chose dure venir se coller à mes fesses pendant que ses bras m’attrapaient et me plaquaient contre lui en attrapant mes tétons et en les pinçant. J’étais tétanisé et je sentis bientôt sa main descendre sur mon ventre et s’introduire dans mon maillot pour empoigner mon sexe qui s’était brusquement durci au point d’en devenir douloureux. Il prit ma main et la dirigea vers la bosse qui déformait son mini slip noir que j’attrapais et palpais délicatement. Il relâcha sa pression et me proposa de sortir de l’eau.

Ca allait, les serviettes n’étaient pas loin et personne ne remarqua notre trouble. Il me guida vers les douches et me fis rentrer dans une cabine. Il m’enlaça, me serra contre lui et se mit à caresser mes fesses, d’abord sur le maillot et, très rapidement le petit morceau de tissus se retrouva au niveau de mes genoux. Serré contre cet athlète, je me sentais tout petit et lorsqu’il baissa la tête pour attr ma bouche, je m’abandonnai totalement. Sa langue fouillait ma bouche, ressortait, il me mordait doucement les lèvres, commença à descendre vers mon cou et mes épaules, me fis reculer pour pouvoir accéder à mes seins durs comme du bois et commença à les téter. J’avais complètement perdu le contrôle et lorsqu’il avala ma queue d’un seul coup, je me cramponnai à sa tête et mes soupirs commençant à devenir sonores, il se releva, me pris par la main et nous nous dirigeâmes vers les vestiaires. A peine nos vêtements récupérés, nous étions a poils dans la cabine et je me suspendis à son coup en attrapant sa bouche et en me frottant sexe contre sexe dans une étreinte torride. Il appuya sur mes épaules pour que je me mette à genoux et je me retrouvai face à une queue longue et fine dotée d’un sublime gland qui commençait à suinter. Inexpérimenté, je l’approchai de mes lèvres et l’embrassai tendrement. Doucement, j’ouvrai la bouche et commençai à le sucer en caressant ses jambes. Mais voilà, nous avions oublié que nous n’étions pas seuls et des voix dans le couloir nous « réveillèrent ». Il me proposa de venir finir l’après midi chez lui, chose que j’acceptais avec empressement.

Une demi heure après, il poussa la porte d’un coquet petit immeuble et m’invita à entrer. Me laissant passer devant lui dans l’escalier, il commença à me caresser les fesses d’abord, puis, remonta mon tee shirt, glissa sa main vers ma braguette qui s’ouvrit comme par miracle et sortit ma queue. Arrivé devant sa porte, j’étais déjà à moitié nu et dans un état second. Nous sommes rentrés et directement, il me conduisit jusqu’à sa chambre et me poussa sur le lit. Il me dévêtit complètement et commença à me caresser partout pendant que je gémissais de plaisir. Je me redressai et me jetai sur lui pour lui arracher ses vetements. Je le voulais totalement et attrapais son gland entre mes lèvres et essayais de l’avaler complètement. Je sentais sa bite vibrer dans ma bouche et à chaque aller retour, j’entendais sa respiration s’accélérer pendant que ses mains exploraient mes bourses et tentaient de descendre plus bas dans mon entre jambes. Il s’allongea sur le lit et me fis découvrir les délices du 69. J’étais à quatre pattes au dessus de lui et, pendant que je le pompais, sa langue courait sur ma queue et descendait jusque mes bourses en avalant au passage mes couilles une par une puis, d’un seul coup, il agrippa mes fesses, les écarta et je sentis pour la première fois une langue venir titiller mon cul encore vierge. C’était un véritable électro choc et je fermais les yeux en me cramponnant a sa bite et m’abandonnais entièrement à cette sensation divine. Je léchais son membre, ses couilles en enfonçant ma tête entre ses jambes. Il se dégagea de cette position et, me laissant à quatre pattes sur le lit, vint se poser devant moi. Je me précipitais sur sa bite et me mis à la resucer avec frénésie cette fois pendant que ses mains me caressaient le dos, puis le cul. Je sentis un liquide froid couler dans ma raie et aussitôt, un doigt commença à vouloir s’introduire dans mon petit trou. C’était un peu douloureux mais tellement bon !! Je le laissais faire et continuais à le pomper jusqu’à ce qu’il s’allonge à coté de moi. Il me fit mettre à califourchon sur lui et m’embrassa avec une fougue nouvelle en frottant sa queue sur mon cul. Quel pied de sentir son membre qui se glissait entre mes fesses et effleurait mon petit trou. A nouveau, il fit couler un liquide froid sur mon cul et sur sa queue, me redressa et, me fixant du regard, fit venir son gland à la porte du plaisir. Tout doucement, me tenant fermement par la taille et sans me lâcher des yeux, il commença à se frayer un chemin en moi en écartant mes fesses de ses mais puissantes. Petit à petit, je le sentais entrer en moi sans brutalité, tout en douceur et, fermant les yeux, je poussais à mon tour jusqu’à ce qu’il soit totalement en moi. Je bougeais doucement mon bassin d’avant en arrière pour mieux le sentir, j’étais empalé jusqu’à la garde et il commença à me baiser doucement. Je l’accompagnais en montant et descendant en suivant sa cadence qui commença à s’accélérer. J’étais planté sur lui, les mains sur sa poitrine, fouillant dans ses poils et triturant ses seins en lui arrachant des râles de satisfaction. Il me retourna sur le lit, attrapa mes jambes, les releva et me repris d’une seule poussée et entreprit de me pilonner le cul avec vigueur. J’étais au bord de l’évanouissement, je prenais un pied terrible, il allait me faire jouir du cul…Un vrai orgasme. Je sentis son souffle devenir plus rapide, ses coups de boutoir plus puissants, je sentais sa queue gonfler puis ce fut l’explosion. Notre jouissance était totale, absolue et il s’écroula sur moi, m’embrassant comme un fou dans le cou, léchant mes oreilles et bouffant ma langue. Il me murmura que j’étais à lui et qu’il allait faire mon éducation.

Mais ça, c’est une autre histoire !!