Collection Belle-Mère. Je La Pointerais (1/1)

Depuis que je lis vos histoires sur notre site HDS, je constate que les belles-mères sont légion dans vos, ou nos histoires.
20 pages sur le site entre belles-mères et belles-sœurs depuis 2003.
C’est normal, pointé votre mère vous sortez des clous de la charte HDS.
Pointez votre belle-mère et vous êtes un serial niqueur.
Je décide donc de leur consacrer une série.

La mienne aujourd’hui fait partie des belles comme certaines sont moches.
Belle mais chiante, j’ai 19 ans et elle en a 22.

- Connard.
- Salope.
- Résidu de capote.
- Si je suis un résidu de capote, tu te fais baiser par celui qui a créé ce beau jeune homme que je suis.
Pute.
- La pute c’était ta mère, d’ailleurs ce n’est pas pour rien qu’elle vous a laissé en plan.
- Tu n’insultes pas ma mère, tu vas voir, je vais finir par te niquer.
- Je vais le dire à ton père quand il reviendra.
- Nia nia, je vais le dire à ton papa !
On dirait une gamine de 10 ans à qui je viens de voler un morceau de chocolat.
Casse-toi, souvient toi, je vais te niquer.

Voilà comment les choses se passent entre Virginia et moi.
Ça va faire un an que papa l’a épousé.
C’est vrai que maman est partie avec un beau chauffeur de bus remplaçant dans la compagnie de bus de notre communauté de communes il y a cinq ans.
J’étais trop jeune pour comprendre les disputes continues qui éclataient entre eux lorsque j’étais couché.
Pourtant si j’entendais leurs disputes, j’entendais aussi les moments où ils baisaient.
Il faut dire que maman manquait de discrétion lors de leurs ébats.
Je les ai toujours entendu baiser comme des bêtes sans jamais les voir.
C’est mon ouverture à la sexualité qui a fait que j’ai compris bien des choses avant qu’elle ne se barre.
Attention, la levrette, l’éjaculation faciale, à 16 ans ce sont dans les films pornos sur Internet que j’ai compris bien des mots qu’elle hurlait lors de ses débordements.


Encule-moi, font partie de ces mots lorsque j’ai vu une femme se faire prendre par le petit trou.
Tout ce qu’il y a de sur, c’est que malgré qu’il semble que papa lui faisait subir les derniers outrages, elle en voulait plus au point de se barrer avec un autre.

Quand papa m’a présenté Virginia, d’entrée elle était trop belle et trop jeune pour pouvoir remplacer ma mère même si cette dernière n’est pas un puits de vertu.
Secrètement certainement après ces turpitudes avec son bel italien, elle nous reviendra en pleurs, mais le mariage avec papa m’enlevait tout espoir.

J’ai un souci, malgré mon jeune âge, je fais toujours ce que je dis.
J’ai dit que je la niquerais et je vais la niquer, c’est le seul moyen de la discréditer aux yeux de papa et de nouveau avoir un espoir de voir le retour de ma mère.

Il faut dire que papa a un handicap par rapport à moi, il part très souvent sur des plateformes en mer du Nord.
Il est le spécialiste d’une compagnie de robots qui vend ces appareils pour la prospection sous les mers.
Une fois déjà en hiver, parti pour quatre jours, il est resté bloqué 12 jours sur l’une de ces plateformes par la tempête qui a sévi.
Il vient de faire sa valise, venu m’embrasser, embrasser sa femme et partir dans notre grosse berline qui malgré mon âge et mon permis je n’ai pas le droit de tourner sa clef de contact.

Hélas, c’est l’été et il est peu probable qu’il parte plus des trois jours dont il nous a parlé.
Qu’importe, pourquoi ne pas poser la première pierre au plan que j’ai élaboré.
Cet après-midi comme tous les samedis elle est partie chez sa coiffeuse pour refaire le brushing hebdomadaire.

- Entrez jeune dame, je nous ai concocté un petit repas entre amis.
- Que t’arrive-t-il Christophe, d’habitude dès que j’arrive c’est un flot d’injures que je reçois.
- Tu as raison, mais je me suis dit que tant que je ne trouve pas la femme de ma vie, nous allons être obligés de coopérer et de vivre ensemble chaque fois que papa part en mer du Nord.

- Je suis contente que tu viennes à des rapports plus raisonnables entre un fils et sa belle-mère.
- Va t’habiller et rejoint moi vers notre piscine, je t’ai préparé un petit repas aux chandelles.
- Tu as fait venir un traiteur pour moi, là, tu me prouves que tu as envie d’enterrer la hache de guerre.
- Pas le traiteur, j’ai acheté les ingrédients et je t’ai concocté un repas de paix pour toi Virginia.

On dit souvent que les blondes sont un peu simplettes, la mienne ne déroge pas à la règle.
Je lui ai pourtant dit que je la niquerais et elle part vers leur chambre sans penser que ce repas au bord de l’eau peut être un piège.
Il faut dire que lorsque je me tenais près de la porte, j’avais revêtu le smoking blanc qui me met en valeur et que j’ai acheté pour la fête que mon père m’a offerte pour mon 18e anniversaire.
Pour faire bonne mesure, j’ai eu droit à ma petite C3 Citroën et la présentation de ma future belle-mère, cette salope.
Mais je n’irais pas plus loin vous savez déjà ce que je pense de cette petite pute.

- Quelle classe, Madame, belle robe du soir, je ne vous l’avais jamais vu portée.
- C’est la robe que je portais quand ton père m’a emmené au restaurant et qu’au dessert il s’est agenouillé pour me demander en mariage.
- Je ferais bien pareille, mais hélas j’arrive trop tard.
- Merci de ne pas me faire du rentre dedans, j’aime ton père mon mari.
- Une coupe de champagne, ça celle l’amitié.
- Deux doigts, ça me rend pompette.

Connasse, dans mon plan te faire tourner la tête est le but.
J’aurais plus facile pour te coucher sur ce transat, écarter le pan de ta robe et te pénétrer, voyant bien que tu es nue sous cette robe.
Même un string marquerait sur l’avant.

- As la tienne Virginia à notre entente pour le bien de mon père, j’ai pris conscience qu’il avait de nouveaux droits au bonheur.
Santé, à tes amours.

- Au tient un jour.

Nous passons à table et je sors du meuble réfrigérer la langouste achetée vivante et que j’ai trempée dans l’eau bouillante.
Pendant que je tenais le couvercle quelques secondes avant qu’elle arrête de se débattre je me voyais appuyer sur la tête de ma belle-mère préalablement trempée dans la piscine.

- C’est délicieux Christophe.
- Encore un peu de champagne.
- Une larme, tu sais même choisir ce breuvage béni des Dieux.
- C’est mon père qui m’a initié, un Dom Pérignon rosé millésime 2005, inutile de t’en donner le prix.
Les femmes adorent le champagne rosé plus doux que le brut.
- Il n’y a aucun doute celle qui t’épousera sera une femme comblée.

Une femme comblée, ça va être toi quand ma verge te labourera et que tu appelleras ta maman pour t’aider à revenir sur terre.

- Je suis content que tu aies apprécié mon confit de veau crémé aux champignons et panais fumés adoucis à l’huile de noisette garnie d’un gratin dauphinois dont je me targe d’être champion du monde.
- Tu peux dire que tu es le roi de l’univers avec ce repas.
Même moi qui ne bois pas j’ai apprécié le Clos de Vougeot 2009, ça aussi tu as su choisir.

C’est sûr, bien conne la belle-mère.
Le traiteur qui m’a préparé ce repas que je n’ai plus eu qu’à mettre dans la table réfrigérée des dimanches de beau temps et l’étuve ou la viande nous attendait et pour finir la charlotte aux poires accompagnée de nouveau de champagne, était un magnifique piège.
Sans oublier le vin sorti de la cave de celui que je vais faire cocu.

- Que fais-tu Christophe, tu fumes !
- Un petit joint vient tirer une taffe, tu verras ça va te détendre.

Presque fait, elle se lève pour contourner la table.
Je l’att par la main et la fais asseoir sur mes genoux.
Entre la biture et le mouvement que je fais, il ne me reste qu’à lui glisser dans la bouche la cigarette roulée et la voir tirer goulument.


- C’est surprenant, mais j’aime bien, redonne-la-moi.

Pendant qu’elle pompe deux ou trois bouffées ma main vérifie qu’elle est bien nue sous sa robe.
J’écarte la cigarette et c’est ma bouche qui prend la sienne.
Sa main vient chercher ma verge en se déplaçant légèrement.
Pour bander je bande.
Je la relève, la couche sur le transat et comme je lui avais promis, je la nique la faisant rapidement hurler de plaisir finissant par lui remplir la chatte.
Nous nous rajustons, elle un peu confuse.

- Serge, as-tu bien tout filmé ?
- Pas une image ne te manque mon ami.
- Virginia, je t’avais bien dit que je te niquerais.

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