Obscurité

Tu étais dans le noir, les yeux bandés par un doux bandeau de coton.
Tu sentais ces entraves nouvelles, des lanières de cuir attachant chacun de tes poignets et de tes chevilles sur une surface froide et lisse. Une table en bois probablement. Tu étais quasiment entièrement nue, allongée sur le dos, dans l'incapacité de bouger les bras ou les jambes. Tu avais les cuisses écartées laissant ton intimité à la merci de tous, seul rempart étant ta culotte trop petite pour cacher tes poils et tes grandes lèvres. Un léger brin de frais venait faire frissoner ta peau nue et pointer tes tétons.

Tu entendis des pas venant vers toi, une main effleurer ton front, caressant ta joue et arrangeant tes cheveux. L'emprise sur ta crinière se fit plus forte et tu senti quelque chose se presser contre ta bouche. Le liquide salé se trouvant au bout trahissait le gland qui voulait te pénétrer.
Tu refusais l'entrée à ce membre insistant contre tes lèvres et tentais de résister mais tu ne pouvais bouger ni bras ni jambes. Tu essayais de te débattre en bougeant la tête. Alors la main lacha tes cheveux et le gland se retira.
Deux mains vinrent prendre fermement tes seins pointés d'excitation et des doigts se refermèrent sur tes tétons pour les pincer brusquement. Une douce douleur irradia dans ta poitrine nue et un gémissement t'échappa. Les mains lachèrent alors tes seins, tes cheveux furent repris fermement et le gland revînt forcer ta bouche. Encore paralysée par les événements tu laissa la queue te pénétrer jusqu'à venir buter contre ton palet. Tes gémissements étaient étouffés  par la bite qui commença a faire des vas et viens. Les mouvements se firent plus rapides et le membre te baisait littéralement la bouche. Un peu de salive que tu peinais à avaler coula sur tes lèvres et après un moment la queue se retira de ta bouche te laissant essouflée à la limite de la suffocation. L'emprise sur tes cheveux se fit moindre et la main se mit à te caresser doucement ta crinière.



Puis la main descendit sur ton visage, et, tendrement caressa tes joues, tes pommettes, passa sur ton bandeau, et fini sur tes lèvres. Les doigts pressèrent pour rentrer dans ta bouche et caressèrent ta douce langue. En ressortant elle laissa l'humidité de la salive sur son passage vers ton cou.
La main vînt se placer sur ta gorge et des lèvres douces se posèrent sur les tiennes. Une deuxième main vînt glisser sur ta poitrine et malaxer tes seins encore sensibles, passant de l'un à l'autre en faisant naître des frisson partout sur ta peau. Tu ne pouvais ni répondre ni t'opposer aux caresses, attachée sur le dos comme tu l'étais.

Ton corps soumis et sans défense était pris de frissons par les caresses qui se firent de plus en plus langoureuses et longues.
Puis les mains descendirent de ton cou et des seins pour parcourir tes courbes jusqu'aux abords de ta chatte. Là, les mains marquèrent une pause. Puis soudainement, une des deux se plaqua contre ta culotte, empoignant ton mont venus, pressant ton clito et la vulve. Ta culotte était trempée de la mouille qui coulait de ta petite chatte toute excitée. La main te malaxa la chatte puis arracha le seul rempart entre ton intimité sans défense et les membres qui voulaient te posséder et r de toi.

Une fois ta chatte à l'air, tu entendis le bruit d'un appareil photo. Une photo de toi, attachée en étoile sur la table, les yeux bandés, la vulve à la merci de tous. Une photo de toi nue, vulnérable et soumise.

C'est alors que tu sentis un doigt descendre de tes poils à ton clito, puis de ton clito à ton vagin trempé. Le doigt s'inséra facilement puis un deuxième vînt  l'accompagner pour faire un mouvement de crochet. Le doigtage se fit plus fort, presque violent. Ton corps était attaché mais ton bassin était secoué par le doigtage passionné. Une fois ton vagin dilaté et mouillé tu senti un corps s'allonger sur toi en missionaire.
La pénétration se fit facilement et tu senti le membre qui allait et venait en toi en accélérant crescendo jusqu'a ce que ton corps soit en transe.


Après quelques minutes de baise passionnée et puissante tu sentis le membre se contracter en toi jusqu'à l'orgasme final. Ta respiration était forte ainsi que celle du corps au dessus de toi qui se retira.

Tu avais la chatte en feu et tu entendis de l'eau couler, puis le choc de l'eau froide  sur ta peau te fis gémir de plaisir. Une main fraîche et humide massa ta vulve et commenca à appuyer sur le clito.
Puis les caresses se concentrèrent sur le clitoris avec un doigt humide qui le titillait plus ou moins fort. Tu sentis la frustration arriver lorsque le doigt lâcha ta chatte pour la laisser seule et à l'air. Alors un souffle chaud se fît sentir près de ta vulve trempée. Le premier coup de langue te surpris. Puis s'ensuivit plusieurs autres qui venaient prendre d'assaut ton clitoris de partout, irréguliers et imprévisibles tu peinais a contenir ton plaisir. Deux mains se plaquèrent alors sur tes cuisses attachées puis le cunni se fît plus intense et appuyé. La variation de pression et de rythme ponctuée d'aspirations te fît monter rapidement. Alors tu sentis un doigt se presser contre ton intimité puis masser a cet endroit jusqu'à le détendre. Tout en continuant plus lentement le cunni un bruit de couvercle se fît entendre. Un liquide froid et compact entra en contact avec la zone dilatée pour ensuite être étalé dessus par les doigts qui continuaient a masser. Puis un doigt te pénétra facilement avec le lubrifiant pour faire des allers retours tout en appuyant sur les bords. Une fois préparée tu sentis un objet plus massif te pénétrant en même temps que la langue s'activait sur ton clito.
Tu étais stimulée de partout, attachée sur la table, impuissante à ta sodomie avec un gode et au cunni qui te faisais monter de plus en plus.
Puis, la respiration haletante, une chaleur intense irradia dans ton bassin te faisant te contracter et gémir de plaisir. Tout tes muscles se tendaient sous la puissance de l'orgasme faisant exploser tes sens.
Ta  petite chatte se contractait faisant couler toute la mouille sur ta vulve et ton cul se resserait autour du gode encore en toi. Le gode se retira lentement et tu te sentais encore engourdie par l'orgasme.
Essouflée, nue, attachée tu sentis un baiser et une etreinte ainsi qu'un murmure : " je t'aime..."

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