Jeunesse Infernale Chapitre 2
Jeunesse infernale : Chapitre 2
Quel est lévènement qui peut être le début dun adultère ? A partir de quoi ou de quand je pourrais dire je trompe mon mari, jai un amant ?
Quest ce que jai fait avec François, ou plutôt avec Monsieur ? Je lui ai parlé de mes désirs inassouvis, de mes fantasmes et lui, comme si il me parlait lors dun entretien dembauche, ma parlé de ses expériences passées, de son savoir faire et de son désir de me faire découvrir et partager ses connaissances. Il a lage de mon père, il est comme lui plutôt séduisant avec ces petites rides aux coins des yeux qui ajoutent encore à son charme. Il sait me parler et trouve toujours les mots et le ton pour que je fasse ce quil me demande. Sa voix est douce, grave, très masculine et je redoute le moment où sa voix claquera comme un fouet pour me recadrer car jaurais commis une faute et quil voudra me punir. Est ce déjà tromper ? Et ce baiser furtif échangé dans ce café, je laurais préféré plus long, plus torride, plus tout mais ce nétait quun prétexte pour autre chose. Est ce tromper ?
Et me caresser en lécoutant me parler, puis lui faire écouter les sons de mes doigts au plus profond de mon intimité. Cest ce soir que jai compris limportance de jouer avec tous les sens, accentuant mes caresses pour chercher les plus sonores qui sont aussi les plus délicieuses, et me laisser aller ! Gémir sans me retenir, soupirer, murmurer, crier comme jen ai envie, me faire plaisir et lui faire plaisir.
Est ce tromper ? Pour moi oui, jai déjà un amant, cest Monsieur.
Cest long dix huit jours, très long ! Horriblement long ! Il me laisse dans lignorance la plus complète, ne me disant ni combien de temps durera cette seconde rencontre, ni où elle se passera. Tellement long que je passe ces journées et ces nuits à imaginer ce moment, jai limpression de devenir folle, dêtre une gamine devant une boutique de bonbons et
Il me vient une idée folle, je vais fouiller dans mon dressing à la recherche de ces culottes que je ne mets plus depuis des années, je les trouve et les essaie.
Les jours passent lentement, jattends un appel ou un message de Monsieur mais rien, même pas un mail, je suis désespérée mais bon, il mavait prévenu quil serait indisponible pendant trois jours. Cest insupportable !!!
Alors je joue avec le plug, maintenant jarrive à le faire entrer sans problème, jaime cette sensation de mouvrir et puis de me refermer quand il est en moi. Ca en devient un jeu et maintenant pour le lubrifier il va direct dans mon minou avant dentrer dans mes fesses. Je peut le garder longtemps, même marcher avec. Je le dirais à Monsieur dés que je laurais.
Javais essayé mes nouvelles culottes de coton ; elles sont fines et épousent de manière obscène la forme de mes lèvres .Sans gousset, la montre tache ou petite goutte se voyait de lextérieur. Culotte bien vicieuse !
Jattendais cependant mes instructions avant de les porter.
Après 4 jours je reçus enfin un message.
« De retour de mon voyage , comment vas tu ? »
« Bonjour Monsieur , je vais bien merci , et vous ? »
« Ce fut un voyage productif je dirais. Parle moi de tes progrès ; as tu utilisé le plug ? »
« Souvent Monsieur , je peux le rentrer facilement maintenant et je le garde , je my fais »
« Je te félicite et tinvite à continuer ; as tu essayé de te caresser en faisant aller et venir le plug dans tes fesses ? »
« Non Monsieur ; jattendais vos instructions »
« Tu le feras lorsque les circonstances te le permettront »
Il faisait bien évidemment référence à la présence de mon mari.
Je commençais mon travail plus tard que mon mari et le lendemain, avant de me doucher, je décidais de céder à son invitation ; les yeux clos , je commençais à me caresser en pensant à ses mains qui me « fouillaient » et , bien lubrifié dans ma chatte je faisais pénétrer le plug ; je retins , la partie la plus large à lentrée de mon anus pour le détendre .
Je me caressais de plus en plus vite en faisant aller et venir le plug lorsque je ressentis un orgasme différent, plus violent me parcourir. La sodomie avait peut-être du bon après tout !
Les jours passèrent émaillés de messages et de mails ; nous devions nous voir un jeudi trois jours après le départ de mon mari pour lAsie.
Le dimanche il mindiqua que je devais commencer à me préparer. Mon mari partait lundi.
« Tu te laveras la chatte dimanche soir » fut un message que je recevais dans la journée de vendredi (nous néchangions pas pendant les week-ends pour préserver ma vie de couple).
Le lundi matin, maintenant seule, je lui indiquais que jétais prête à recevoir ses instructions.
« A partir de maintenant tu porteras une culotte de coton jour et nuit jusquà jeudi »
« La même ? »
« La même oui ; tu ne te laveras plus la chatte et tu te caresseras au moins un fois par jour ; enfin tu tessuieras légèrement ».
Partagée entre lexcitation de rencontrer un homme qui faisait plus quaccepter mon odeur et la honte que me procurait les ordres quil mavait donnés, je fis une tentative pour « adoucir » ses instructions.
«Je dois aller à ma séance de sport mardi matin ou je vais sans doute beaucoup transpirer »
Je nosais pas en dire plus, il comprendra.
« Ca ne change rien à mes instructions ! »
Jétais fixé !
Mardi matin , dans mon club je décidais de jouer le jeu et entre vélo et course sur le tapis roulant je sentais comme toujours la transpiration envahir mon sexe et une fois dans le vestiaire , je retirai mes sous-vêtements humides que je dissimulais avant de menfermer dans une cabine de douche pour me laver avec un gant .
Sentir ma culotte humide lorsque je me rhabillais me procura une étrange impression, nouvelle en tous cas moi qui avait fait tant defforts jusquà présent pour masquer mon odeur.
Lorsque jallais uriner, je prenais soin de tamponner sans excès mon sexe qui dégageait déjà un parfum auquel je ne pouvais échapper.
Lorsque je sonnai à sa porte le jeudi soir jétais à la fois morte de honte à lidée de me présenter ainsi et satisfaite davoir résister à toutes tentatives de désobéissance ; javais mon kilt et mon chemisier ; je me sentais bien dans ma peau de soumise en devenir.
Lorsquil ouvrit il mobserva en silence, sourit de ma tenue mais ne fit aucune remarque.
Il mentraina dans une pièce , me déshabilla sans un mot non sans avoir pris soin de ne pas retirer ma culotte . Prise par la main, je me trouvai debout devant lui , presque nue .
Il caressa avec douceur mon sexe dessiné par mon sous-vêtement humide et introduisit ses doigts dans mon sillon fessier pour sarrêter sur mon anus quil caressa et pénétra dun doigt .
« Tes fesses sont bien humides »
« Enlève ta culotte ». Les yeux baissés je retirais mon sous-vêtement souillé ; « Agenouille toi et lèche la ! »
Je navais aucun dégout mais un sentiment profond dhumiliation ; moi nue agenouillée devant cet homme habillé qui observait mes lèvres et ma langue « nettoyer » cette culotte que je portais depuis plusieurs jours.
Une fois que ma tâche fut terminée à son goût , il me demanda de me relever ; là jambes écartées , il posa les premières pinces sur mes lèvres et il me fallu les écarter pour présenter mon sexe ouvert ; il prit son téléphone , alluma la torche et prit des photos de ma chatte .
Il poussa le vice jusquà me demander de regarder ces photos ; « peux tu me décrire ce que tu vois ? »
Je bredouillais quelques mots, sur la couleur de ma vulve et la taille de mon clito. «Sois plus précise » ; jhésitais un long moment :« jai eu des pertes Monsieur », « et
» , « il y a beaucoup de traces blanches ».
« Il faut apprendre à dire les choses. Maintenant tu aimerais que je te lèche nest ce pas ? »
«Oui Monsieur »
« Tes tu déjà présentée ainsi devant un homme ? »
« Non Monsieur »
« A quoi es tu prête ? »
« Je sais que je mérite dêtre punie Monsieur, jy suis prête »
« Tu sais que je vais maltraiter ta chatte ? »
Javais le sentiment confus que plaisir et douleur se mêlait chez moi je craignais cependant de ne pas être à la hauteur de ses attentes comme de refuser certaines punitions.
La confiance quil avait instaurée entre nous pris le dessus et je répondis par un faible « Oui Monsieur »
Il retira avec délicatesse les pinces et me caressa doucement les lèvres jusquà ce que la douleur ait disparue.
« Tu vas me faire découvrir lodeur de ta chatte ; viens taccroupir devant mon visage »
Les souvenirs de mes déconvenues remontaient, ceux de ces hommes détournant leurs visages de mon sexe
.
Je montais sur le canapé sur lequel il était assis, plaçais mes jambes de chaque côté des ses cuisses et, morte de honte je maccroupis dans cette position humiliante! Josais à peine mavouer que jaimais être traitée ainsi !
« Ta chatte sent très fort ! » Après cette remarque presque blessante il ajouta « mais jaime ton odeur de rousse négligée »
Jeus soudainement à ce moment un tel sentiment de fierté que je ne pus mempêcher dapprocher mon sexe de sa bouche et , en lents mouvements me frotter sur ses lèvres ; je sentis alors sa bouche souvrir comme pour engloutir ma chatte et par petites touches il commença à me lécher patiemment . Il passait sa langue dans les plis et elle commença un doux ballet sur mon clito ; trente ans , javais trente ans et enfin , un homme prenait du plaisir à plonger sa bouche sans retenue dans mon sexe !
« Tu nas pas encore droit au plaisir » dit il. Il me ramena contre lui et membrassa longuement ; le gout et lodeur de mon sexe se mêlait à notre baiser , ma chatte coulait abondamment , jétais prête à tout pour faire durer ce moment.
« Maintenant , viens à quatre pattes tallonger sur mes cuisses »
Je sentis sa main caresser mes fesses , ses doigts remonter de mon vagin à mon anus , se retirer et soudain sabattre sur mes fesses ; douleur vive et envahissante qui se répandait sur mon cul quil fessait posément , longuement. Après plusieurs minutes , les larmes aux yeux je sentais une chaleur se répandre sur mon cul après quil eut arrêté ; il caressait mes globes sensibles. Je ne bougeais pas , jattendais muette la suite .
Nouvelle fessée, sensation inexplicable de douleur qui mirradiait et dexcitation qui me nouait le ventre. Jétais vidée lorsquil cessa, vidée mais le bassin ondulant, offerte , prête à tout subir .
Je quittais le « confort » de ses cuisses pour me retrouver à quatre pattes ; mes petits seins se ballotaient. Il les ficela lun après lautre fermement et je les sentais gonfler sous leffet ; position debout. Il faisait rouler mes tétons dans ses doigts jusquà ce quils deviennent durs et sensibles cest alors quil posa une paire de pinces sur chacun ; sa main gauche les étirait tandis que de sa main droite il caressait ma chatte. Aux mouvements de ses doigts je sentais combien il connaissait le corps dune femme ; je me laissais aller à ce mélange inconnu ou plaisir et souffrance ne cohabitaient que pour amplifier mon plaisir.
Jétais debout face à lui et je menhardis à déboutonner sa chemise ; il ne repoussa pas mon geste ; il laccompagna même en se levant ; sans un mot, sans un ordre, je le déshabillais lentement. Lorsque je retirai son caleçon, son sexe était dressé, le gland déjà humide. Je nosais pas aller plus loin sans quil me lordonne.
Il détacha les liens qui me ficelaient les seins et me libéra des pinces ; très vive douleur qui disparut sous leffet de sa bouche qui se promena sur mes tétons sensibles tandis que sa caresse de mon sexe devenait plus insistante, plus précise ; je jouis violement debout et je ne pus mempêcher de mécrouler à genoux. Jenserrai ses jambes comme pour le remercier, il caressait mes cheveux. Javais mon visage dans son pubis et je pouvais sentir sa bite dans mon cou.
« Tu es une très bonne débutante et ton odeur est enivrante.»
« Faites ce que vous voulez de moi ! » mentendis-je dire.
« Pour ta première séance , je ne tinfligerai cependant pas de punitions aussi sévères que tu pourrais en avoir lorsque tu seras aguerrie. »
Jy étais prête , je le croyais mais javais confiance en son jugement ; il prit une brosse et un martinet et mentraina vers la chambre.
Couchée sur le dos cuisses écartées comme il me lavait demandé jattendais.
Je sentis dabord cette brosse passer sur mon ventre puis descendre vers mes cuisses ; il en frappait lintérieur à coups réguliers et la déplaça vers mes lèvres.
Passant de lune à lautre , il la frottait sur celles-ci déjà rendues sensibles par les pinces que javais portées ; le frottement sintensifiait , mes lèvres étaient brulantes de cette morsure , il continuait . Douleur que jacceptais, je devais faire mes preuves .
Lorsquil arrêta il prit le martinet : « Ta chatte qui est maintenant bien gonflée et sensible va être fouettée »
Il menjamba et vint placer ses fesses sur mon visage : »Tu vas me lécher pendant que je te fouette »
Son anus était sans poil et cétait le premier acte quil mautorisait sur son corps ; je mappliquais. Ma langue se promenait délicieusement sur son cul , le pénétrait , recommençait , son bassin bougeait , il appréciait ! Cest alors que je sentis les lanières « caresser » mon sexe.
« Tu auras quinze coups pour ta première séance ; le double la prochaine fois »
Le martinet sabattit , il avait retenu son coup ; a chacun il en intensifiait la force. A douze coups je crus renoncer mais il fallait que je tienne !
Lorsque le dernier coup tomba jétais en pleurs mais la brulure devint une immense chaleur qui menvahit, un apaisement vite remplacé par une forte excitation.
Cest le moment quil choisit pour me lécher !
Certes je navais pas lexpérience de cette caresse quil débuta en passant sa bouche, par petites touches sur ce sexe meurtri, sensible et brûlant ; il y ajouta sa langue qui passait de haut en bas depuis mon anus jusquà mon clito , sagitait , parfois senroulant autour de ce pénis féminin que je sentais grossir , durcir .
Certes je navais pas lexpérience de cette caresse mais jétais suffisamment éveillée aux choses de lamour pour me rendre compte à quel point il savait ou memmener, à quel point il aimait sattarder entre mes cuisses odorantes, plonger dans ma chatte négligée avec ce goût de me donner un plaisir puissant et méconnu.
Lorsquà londulation de mon bassin ,que jen venais à jeter en avant , il sentit que jétais prête , sa langue sagita alternant douceur et fermeté sur mon clito et ses doigts se dirigèrent vers mon cul dans lequel il senfoncèrent ; je râlais , pour enfin jouir dans des spasmes divins.
Mes jambes se déplièrent, je restais un peu hébétée sans bouger. Je ne pourrais plus revenir en arrière !
Ma chatte était encore sensible lorsquil y posa une nouvelle paire de pinces ; il les tirait fermement mais sans violence et je sentis son membre glisser dans mon vagin ; les lèvres étirées , la chatte pénétrée , je sentais mon sexe couler autour de sa bite qui me pilonnait ; il se retira pour cette fois se frotter contre mon clito , revenait dans mon sexe ; il alternait sans cesse , longuement , puissamment ; je sentais le plaisir monter au rythme de sa pénétration comme de cette douleur que les pinces minfligeaient lorsquil présenta son sexe dans mes fesses ; sa queue enduite de ma mouille poussait , forçait lentrée de mon cul vigoureusement.
Encore vierge sinon de ses doigts et de mon plug , il vint lécher longuement mes fesses , jadorais sentir sa langue pénétrer dans mon anus et après lavoir bien mouillé il revint et enfonça doucement dabord son sexe . Au fur et à mesure que mon cul souvrait je sentais sa bite senfoncer jusquà ce quil soit au fond de moi. Sensation nouvelle ! Jaimais me sentir prise ainsi , enfin !
Il se retenait de trop de violence , se retira , revint dans ma chatte quil pouvait défoncer sans crainte , javalais ce sexe , et à partir de là il passa de ma chatte à mon cul ; cétait si bon , il fallait que ça dure encore et encore !
« Ton cul est si ouvert que je ne sais plus si je suis dans ta chatte ou tes fesses » furent ces mots.
Ces mots qui me rendirent folle ; à mon tour je me déchainais, jaccompagnais ses mouvements de façon désordonnée, presque hystérique ; ma jouissance sembla sans fin , intense dans un dérèglement de tous les sens .
Je mécroulais avec lui !
A suivre
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