Une Famille En Or (3)
Mercredi 2 août 1989
Jai des nouvelles de Valy qui est rentrée ce week-end de la colo où elle travaillait. Dabord elle respire mieux à la maison, car son père est enfin parti. La procédure de divorce est entamée. Son frère est aussi absent, il est allé passer deux semaines chez un de ses copains. Du coup, pour tâter le terrain avec sa mère qui est dordinaire plutôt cool, Valy a commencé dès lundi à bronzer à poil dans le jardin. En rentrant, Marie-Lou na rien dit jusquà ce que ma cousine reste comme ça le soir aussi dans la maison:
- Dis donc, cest nouveau ça, de te balader toute nue dans la maison? Tout à lheure pour bronzer, OK, mais là
Et cest quoi cette épilation? On te voit tout!
- Oh, maman, cest la mode. Et cest mignon, non? Dailleurs, Anna est encore plus épilée que moi, elle na plus aucun poil!
- Parce que tu as vu Anna nue?
- Oh, ça va, entre cousines, on va pas se gêner, on a fait un peu de naturisme.
- Et Bernard, il était là?
- Evidemment, et je savais déjà comment cest fait, un mec! Et lui aussi est épilé.
- Ah bon? Admettons. Mais pense à ton frère!
- Justement, dabord mon frère est assez grand puisque cest mon jumeau, ensuite il est pas là pour la quinzaine, alors laisse-moi en profiter et je te promets denfiler quelque chose chaque fois quil est là. Quoique, je crois que ça lui plairait plutôt, à son âge
Marie-Lou a capitulé. Je donc propose à Valy daller la soutenir ce week-end.
Dimanche 6 août 1989
Jarrive en fin de matinée à Bouc-Bel-Air, et cest Marie-Lou qui mouvre la porte alors que Valy rentre de la terrasse, à poil:
- Viens Anna, avant de manger on a le temps de profiter un peu du soleil!
Sa mère lapostrophe:
- Dis donc, tu aurais pu thabiller! Décidément
Jinterviens tout de suite:
- Allez, Marie, on sest vues comme ça jour et nuit pendant toute la semaine, en juin! Donc, on va faire un peu de bronzage intégral.
Lorsquelle vient nous prévenir que le repas est près, elle nous trouve étalées, les jambes écartées, et je crois quelle est un peu gênée en voyant mon épilation totale.
Pour la rassurer un peu, je remet un string pour le repas, et Valy mimite. Après le dessert, nous laidons à débarrasser, puis nous lui proposons de faire une sieste digestive au soleil. Comme elle garde tout de même un bas de maillot, je la chambre un peu:
- Allez, on est entre nous, lâche-toi, enlève tout!
Elle proteste un peu, mais finit par céder:
- Ce que vous me faites faire
- Bravo maman!
Je rajoute:
- Dis donc, Marie, avec ta toison abondante, cest comme si tu avais un maillot! Tu devrais tépiler, au moins sur les côtés!
-Tu as raison, je me néglige un peu trop ces derniers temps, je lavoue.
-Tiens, attends, je vais te le faire tout de suite! Jai lhabitude de le faire à maman et à Sève, et cest moi qui ai fait sa coupe à Valy.
Elle accepte en optant plutôt pour un ticket de métro un peu large. Je lui fais une coupe bien dégagée, mais je me rate un peu en entamant un côté du ticket. Du coup, je fais la même chose de lautre côté. Elle tressaille un peu quand je la rase le long de la fente jusquà lanus, mais elle se laisse faire. Sa nouvelle coupe forme une flèche orientée vers le bas, et je lui fait remarquer que cest sympa. Nous la complimentons pour son nouveau look. Je vois à ses tétons pointés que cette séance la un peu troublée. Elle promet à Valy de refaire du naturisme lorsquelles sont entre elles à condition que Valy renouvelle sa promesse de porter quelque chose quand Ben sera de retour.
Jeudi 17 août 1989
Ber est en train de me prendre en levrette quand le téléphone sonne. Je décroche, et cest Valy qui me tiens au courant:
- Cest bon, ma mère prend goût à la vie sans vêtements. Il a fallu que je la pousse encore un peu le lendemain, mais dès le mardi elle sest mise directement à poil dès son retour du boulot.
- Oui, il fallait sen douter. Elle allait pas te laisser rester nue en sa présence.
- Oh, mais je suis pas restée inactive! Dès son retour, jai tenu la promesse de pas me balader à poil devant lui. Donc, je portais un string et un débardeur. Ma mère à un peu protesté, mais elle a été obligée de reconnaitre que ma tenue, cétait «quelque chose», comme promis, même si ce nest pas beaucoup. Et depuis, je mets rien de plus, et parfois seulement le string.
- Jimagine la tête de ton frère!
- Ah, cest sûr, ça la dabord estomaqué, mais ça lui plait bien vu la forme de son short. Il en fait même profiter ses deux potes hier.
- Raconte!
- Quand ils sont arrivés, jétais dans le jardin en train de bronzer.
Comme ils étaient du côté de mes pieds, je me suis redressée sur les coudes et jai tourné la tête pour leur dire bonjour.
Imagine la vue quils avaient sur la ficelle dans ma raie! Un peu plus tard, je suis entrée pour aller me chercher à boire.
Ils étaient prêts à exploser quand je leur ai tourné le dos pour me pencher en prenant une bière au frigo.
Je pense que le soir ils se sont tous branlés en pensant à moi, même Ben!
Et je nai même pas la moindre honte à ce que ce soit mon frère.
- Eh bien, bravo, continue! Oh oui, plus fort!
- Comment ça plus fort?
- Euh, rien, cest Ber qui est en train de me bourrer pendant quon parle.
- Ah, évidement, jaurais du men douter! Alors profitez bien, et à bientôt!
Ber est de retour de Corse, avec des nouvelles intéressantes. En octobre, il doit monter à Jausiers, dans les Alpes du Sud, pour remettre en marche une Auberge de Jeunesse et en prendre la direction. Courant septembre, nous devons y monter pour quil fasse le point des travaux à faire dans le centre pour la réouverture. Pour fêter ça, nous recevons Valy à la maison.
Elle est de plus en plus libérée dans les ébats.
Mercredi 13 septembre 1989
Nous sommes sur lautoroute qui descend des Alpes, assez tard dans la soirée. Jai un bonne envie de pisser depuis un bon moment, et là, je ne peux plus tenir. Ber sort à laire du Pont Mirabeau, et sarrête à quelque distance du bloc sanitaire. Laire étant déserte, il me lance :
- Chiche, tu y vas à poil !
Je ne me dégonfle pas. Jenlève ma robe légère sous laquelle je ne porte rien, et je garde juste mes sandales pour marcher. Je vais tranquillement aux toilettes, et je me soulage enfin. Juste comme je finis, jentends le bruit dune voiture qui sarrête pile devant le bloc. Jentends une voix de femme qui dit à quelquun quelle fait vite. Sans me démonter, je tire la chasse et sors du WC. Je tombe pile sur une femme qui reste bouche bée de se trouver devant ma nudité. Je prends un air décontracté, et je me rince les doigts au lavabo en lui disant :
- Avec cette chaleur, on ne sait plus quoi se mettre !
Puis en sortant du bloc, je me retrouve au niveau de leur voiture, avec son mari médusé, et à larrière un ado, sans doute leur fils, qui vu son air ahuri mettra du temps à réaliser ce qui se passe. Je leur adresse donc un petit signe en souriant, et je méloigne sans me presser pour quils profitent au maximum du balancement de mes fesses. Dès que je suis dans la voiture, Ber démarre. Il sest mis à poil pendant mon absence et il bande dur. Je le branle pendant que nous reprenons la route. Au péage de Meyrargues, nous sommes encore à poil, et la caissière est tellement étonnée quelle na pas le temps de réagir. Nous nous arrêtons sur laire suivante pour nous nous rhabiller.
Samedi 23 décembre 1989
Depuis octobre, rien de spécial. Nous sommes installés à Jausiers et en attendant de trouver un appartement, Bernard occupe une chambre de fonction derrière le bureau.
Tout est calme jusquà aujourdhui, véritable début de la saison.
Dimanche soir nous allons chez celle de Ber, et lundi midi chez la mienne. Aussi, pour samuser un peu, ce soir nous avons invité Valy à la maison. Jen profite pour étrenner mon costume de Mère Noël, trois petits coeurs rouges bordés de dentelle sur les tétons et le pubis, plus une pince rouge dans les cheveux. Malgré cette tenue, je nai pas froid car nous nous activons assez pour nous réchauffer.
Lundi 1er janvier 1990
Ce matin, les clients de lAuberge se réveillent assez tard, et je mets un peu dambiance en allant au bloc sanitaire juste entourée dune petite serviette qui couvre lessentiel.
Jeudi 12 avril 1990
Ben étant allé passer une semaine chez son père, Valy a relancé un stage intensif de naturisme familial pour sa mère. Et apparemment Marie-Lou sy est remise sans problème. Ce soir, Valy mappelle pour me raconter sa mésaventure de la veille.
Elle venait de prendre une douche pour se rafraîchir, mais comme en fait elle sétait un peu tripotée en se lavant, elle a continué sur son lit avec son vibro. Elle était tellement absorbée par sa manuvre quelle na pas entendu sa mère lappeler pour venir dîner. Il semblerait pourtant quelle ait appelé plusieurs fois, sans succès. Nayant pas de réponse elle est montée la chercher. Elle est entrée sans prévenir, croyant la trouver avec des écouteurs à fond sur la tête, mais elle la surprise jambes grandes ouvertes et le gode planté dans la chatte. Elle sont restées figées toutes les deux:
- Alors, Valy, tu
mais quest-ce
- Dis, tu pourrais frapper avant dentrer!
- Euh
oui, excuse-moi
Euh, le dîner est prêt
- OK, jarrive tout de suite. Tu mas coupé lenvie, de toute manière!
Elle la rejointe à table et elles ont parlé de lincident. Finalement, Valy a fait valoir que cétait assez naturel à son âge davoir des besoins et Marie-Lou a admis quen effet ça lui manquait à elle aussi depuis quelque temps. Mais elle na pas accepté la proposition de Valy de lui prêter son jouet. Jouet que Valy sest empressée de ré-utiliser dès quelle est retournée se coucher, en repensant à la situation précédente qui la faisait mouiller. Affaire à suivre
Jeudi 24 mai 1990
Coup de fil de Valy:
- Jai fait très fort hier! ma mère était sortie pour laprès-midi, et les deux copains de Ben étaient là. Comme dhabitude depuis le retour des beaux jours, jétais en string sur la terrasse et eux me mataient à mort les fesses par la fenêtre du salon. Tout à coup, jai fait semblant de réaliser lheure quil était, et je suis rentrée en disant que jallais être en retard à mon rendez-vous en ville, rendez-vous fictif évidemment. Je suis allée prendre une douche, et je suis redescendue mal entourée dans une serviette trop petite qui souvrait sur mon minou, sous le prétexte que ce que je voulais mettre était sur létendage. Je suis passée comme ça devant eux, médusés. Je suis revenue avec des affaires à la main et jai laissé tomber au milieu du salon un string en dentelle en faisant mine de ne pas men apercevoir. Quand je suis repassée une fois habillée, le string avait disparu. Je suis allée à la porte dentrée, que jai claquée pour leur faire croire que jétais sortie, mais je me suis planquée dans le recoin de lentrée. Je les ai entendu faire des commentaires sur mon épilation et sur mon string, quils avaient ramassé et ça a été lescalade. Un des amis a proposé de lenfiler, et Ben est monté en chercher deux autres dans mes tiroirs. Jai profité de la confusion pour jeter un coup dil discret. Ils étaient trop mignons, dans mes strings! Comme ils bandaient, leurs bites dépassaient au dessus du tissu, ça cachait tout juste leurs couilles. Soit dit en passant, mon frère en a une belle, pas autant que Ber, mais correcte! Ça cest terminé par un concours de branlettes et ils ont giclé sur le carrelage. Pendant quils étaient occupés à tout nettoyer jai pu quitter la maison sans bruit. Quand je suis revenue, ma mère était rentrée, les copains étaient partis, et les strings avaient réintégré leur place.
- Super, il faut absolument quon monte un coup à ton frère!
A suivre
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