Il Suffit D'Un Mensonge - Partie 2
Cette histoire est une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes, des lieux et des phénomènes existants ne peut être que fortuite
Partie 2
Cinq ans plus tard, Alexandre fut brillamment diplômé ingénieur et Sandrine obtint un master de gestion. Il fut recruté avant même les résultats de son examen de fin de dernière année par Bull qui vint le chercher directement dans lécole dingénieur avec une proposition de carrière et un salaire très intéressant, surtout pour un jeune homme de vingt et un ans. Mais il voulait être diplômé dHarvard et obtint de son entreprise de travailler à mi-temps tout en le laissant continuer ses études dans la plus prestigieuse faculté du monde. Il réussit à trouver un emploi de bibliothécaire à temps partiel pour Sandrine au sein de la célèbre université, ce qui, tout compte fait, leur permettait de payer le loyer et de vivre très correctement. Trois années passèrent au cours desquelles leur amour murit et leur souhait de se lancer dans lentreprenariat prit forme petit à petit. Alexandre travailla sur la mise au point de composants électroniques et permit à son employeur de breveter plusieurs microstructures utiles dans le milieu de laviation militaire. Il avait en tête une grande idée pour laquelle il lui fallait un investissement financier important, mais qui pourrait lui rapporter la fortune. Aussi mit-il un an à monter son projet et à le faire approuver par sa propre banque. A vingt-cinq ans, il était prêt à se lancer dans le grand bain. Ils décidèrent quil était temps pour eux de se marier. Cest fraîchement diplômé dHarvard et jeune marié quAlexandre vint, en compagnie de sa jeune épouse, sinstaller sur Bordeaux. Ils investirent une partie de leurs économies pour faire lapport dun atelier sur Cestas, à proximité immédiate de laéroport et de sa zone industrielle. Alexandre avait une grande idée en tête et se mit au travail. Sandrine lassistait et se chargeait des contrats avec les banques et les fournisseurs.
La présence de ses amis fut profitable à un Alexandre prolifique. En quelques mois, il mit au point le premier prototype de son invention. Il se rendit au siège de la plupart des banques sur Paris et leur présenta son brevet. Elles trouvèrent lidée si intéressante que les propositions de contrat fusèrent. Il recruta quelques salariés, tous issus du milieu de lélectronique appliquée et, trois mois plus tard, les premiers déploiements sopérèrent. Alexandre avait inventé et développé la première carte bancaire à puce électronique. Les banques se larrachaient littéralement. Il se remit au travail et en peu de temps, il breveta les premières cartes à mémoire pour les chaînes dhôtel. Le milieu de laviation et de lautomobile lui prêta de très grosses commandes quil sempressa daccepter. Il augmenta la surface de ses entrepôts et recruta de plus belle si bien quà la fin de la première année, il était à la tête dune entreprise de plus de quatre cents salariés. De son côté Sandrine avait embauché une armée de commerciaux qui allait de par la France, puis assez rapidement de lEurope et enfin du monde, vendre la carte en plastique équipée de la puce miraculeuse.
Les lignes téléphoniques furent très tôt coupées et les moyens de communication et de transport réduits à néant. Pour Alexandre, cela ne changea pas grand-chose et la cérémonie eut lieu. La différence fut quil ne put repartir pour Bordeaux le soir même, tous les trains et vols ayant été annulés.
« Ne me laisse plus jamais seule. Jai cru mourir. »
« Mais Jocelyn nest pas venu te voir ? Je lui avais demandé de veiller sur toi. »
« Non, il nest pas venu de la nuit. Je lai vu seulement ce matin. Mais tout était terminé. Mon dieu, jai cru que la maison allait sécrouler. »
« Mon pauvre amour. Tu as du te sentir abandonnée. »
« Christian est passé hier soir, mais il nest resté que quelques instants car il voulait rentrer chez lui voir si Gladys allait bien. »
« Viens, allons-nous coucher, je vais te réconforter. Je suis là maintenant. »
« Mais tu as mangé dans le train ? »
« Non, ils nont pas été ravitaillé. Mais jai pu trouver de leau. Je nai pas faim. Couchons-nous ».
Sitôt dans le lit, elle se serra contre lui.
« Quest-ce que jai eu peur. Tu ne peux pas savoir. La peur de ma vie. »
Il lembrassa et la coucha sur le dos. Elle se déroba.
« Non, pas ce soir mon amour. Je veux seulement la chaleur de ton corps. Jai besoin dêtre rassurée. Jai cru que jallais mourir, vraiment. »
Il la pris dans ses bras et elle sapaisa aussitôt. Elle lui prit le visage dans ses mains et le regarda dans les yeux.
« Je veux un bébé. Je veux que nous fassions notre bébé. Tu veux bien ? »
« Oui, je le veux. »
« On sy met dès demain, tu es daccord ? »
« Oui, je suis daccord. Dors, je suis là. »
Le lendemain matin, il trouva lentreprise en ébullition. Un arbre sétait abattu sur le toit de lentrepôt principal et avait fait pas mal de dégâts.
« Viens mon amour, allons faire ce bébé. »
« Attend, laisse-moi cinq minutes. »
Elle se précipita dans la salle de bain et il lentendit allumer la douche. Il quitta un à un ses vêtements et ouvrit la porte sans faire de bruit. Elle était déjà sous leau chaude qui coulait en abondance. Il entra dans la douche et elle le vit venir à elle. Elle ouvrit les bras et il sy lova tendrement. Il lembrassa longuement en la serrant contre lui. Elle sentit son désir se réveiller et le serra fortement. Il se baissa et la porta dans ses bras. Il sortit de la salle de bain et la posa délicatement sur le lit alors que leau coulait toujours dans la pièce dà côté. Il lui releva les cheveux et lui caressa le visage.
« Depuis le premier jour où je tai vue, jai su que nous deux, ce serait pour la vie. Je veux que notre ait tes yeux et ta douceur. »
« Moi je veux quil ait ta force et ta beauté. »
« Je taime mon amour. »
« Je taime. Viens, fais-moi un . »
Il lui prit les seins à pleine main et en mordilla les bouts. Elle appuya sur sa tête et ferma les yeux de contentement. Il continua de caresser sa poitrine et descendit avec sa bouche en décrivant des formes sinueuses. Il resta sur le nombril quelques instants, enfouissant sa langue aussi profondément quil le put. Il la retourna et sattaqua à son dos. Il partit de la nuque et descendit vers ses fesses en prenant tout son temps. Il les écarta avec ses mains et sa langue sinsinua dans son sillon. Il lentra dans son trou et, pour la première fois, lui fit une merveilleuse feuille de rose qui la fit frissonner. Il la retourna de nouveau et lui écarta les jambes. Il plongea la bouche la première et lenvahit avec sa langue la faisant exhaler un premier et profond soupir.
« Ah, oui, jaime ça. Tu es un amant merveilleux. »
Sa langue se retira et elle vint lui affoler le bouton qui se gonfla de désir. Il posa son index qui se mit à suivre le parcours de la langue sur le bouton. Elle commença à haleter.
« Oui, comme ça, cest bon. »
Il introduisit son majeur en elle et décrivit des cercles tout en lui grignotant le clitoris. Elle saffola et gémit fortement.
« Ah, tu me fais mourir. »
Elle commença à monter dans les aigus, signe que lorgasme nétait plus très loin.
« Ah, oui, cest bon, continue, je viens. »
Son corps se raidi et se tordit tout à coup alors quelle jouissait bruyamment. Elle retomba sur le lit les cheveux en désordre et les yeux encore révulsés. Elle se reprit rapidement et se mit à genou. Elle posa ses mains sur son torse et le parcouru de baisers. Elle frotta ses seins contre sa verge tendue. Elle sabaissa et le prit dans sa bouche aussi profondément quelle le put. Il respira plus fortement. Elle le suça comme un sucre dorge en insistant sur le gland. Elle lui prit les bourses à pleine main et les serra doucement. A chaque pression, elle le prenait le plus loin possible. En remontant, elle appuyait fortement sa langue sur le contour de sa queue. Il ne tarda pas à montrer des signes dabandon.
« Je ten prie, arrête, je ne vais pas pouvoir tenir encore longtemps. »
Elle retira sa bouche et le serra fortement à la base. Elle attendit que les soubresauts cessent et sallongea sur le dos en écartant les jambes au maximum. Il vint sur elle présenta sa verge bandée à lentrée de son vagin.
« Viens, viens en moi mon amour. Je veux sentir chaque centimètre de toi en moi. Je vais te presser pour que tu me sentes partout autour de toi.
Il sallongea sur elle et la pénétra lentement, rythmant sa pénétration à son souffle contre son oreille. Il sarrêta une fois totalement entré. Elle lenserra de ses jambes et de ses bras.
« Vas-y mon amour, fais-moi un bébé. »
Il commença à aller et venir doucement mais profondément, avec des mouvements amples et puissants. Elle gémit et monta très vite dans les aigus.
« Oh oui, comme je te sens bien. Cest bon mon amour. Continue. »
Il accéléra son rythme et elle le serra plus fort contre elle.
« Oui, cest bon. Ah, je vais venir, je vais venir. »
Il sentit quil allait jouir lui aussi et donna tout ce quil avait dans un rythme effréné.
« Oui, viens avec moi, oui, je jouis, je jouis mon amour je jouis. »
Il se ficha au fond delle et lâcha sa semence en longues saccades chaudes. Elle sentit chacun de ses jets jusquau dernier. Il se retira et se mit sur le côté. Elle prit un oreiller et le plaça sous ses fesses et releva ses genoux. Il la regarda amoureusement faire tout en récupérant son souffle.
« Cétait divin mon amour. Si tu es enceinte, ce sera vraiment le bébé de lamour. »
Neuf mois plus tard, Sandrine accouchait de leur première fille, Manon. Elle récupéra assez vite de sa grossesse et reprit le chemin du travail avec lambition de refaire un bébé dès quelle le pourrait. Cest ainsi quOcéane et Emma virent le jour avec respectivement, treize et quatorze mois décart.
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