Trahison Et Punition Partie 1

Bruno rencontra Isabelle à une soirée d'anniversaire chez des amis. Comme ils étaient tous les deux célibataires, leur relation commune avait pris l'initiative de les présenter l'un à l'autre.
Bruno fut de suite séduit par la jeune femme. Elle était de taille moyenne, et sa silhouette était superbe, mince avec des formes idéales à ses yeux. Son visage en forme de coeur était éclairé par de grands yeux noisette et une bouche aux lèvres pleines. Des cheveux blonds roux mi longs l'encadraient.
Elle portait un pantalon en toile noire et un bustier imprimé façon panthère qui mettait en valeur une poitrine généreuse.
Après le repas, qu'ils passerent côte à côte, judicieusement placés par le maître de maison, ils s'intallèrent sur un canapé pour discuter.
Le fait que leur ami commun ait vuulu servir d'entremetteur fut abordé par Bruno, ce qui les fit rire tous deux. Ils parlerent d'eux. Bruno apprit qu'elle avait 26 ans et était infirmiere à l'hopital universitaire depuis deux ans. Ils discuterent à batons rompus, comme si les autres avaient disparu. Elle lui plaisait et il lui semblait bien qu'il ne lui était pas indifferent.
A la fin de la soirée, ils échangerent leurs numéros de telephone. Isabelle lui dit "Je te préviens, je suis tres SMS, je risque de te harceler". Bruno sourit et lui répondit "même pas peur!"
Il la raccompagna jusqu'à sa voiture, une Mini rouge et se firent la bise pour se dire au revoir.
Le lendemain, ils echangerent beaucoup. Isabelle etait de service deux nuits de suite, et comme elle l'avait prévenu, n'eut de cesse de lui envoyer des messages durant la soiree.
Dans un de ses messages, Bruno demanda avec humour
"c'est vrai que les infirmieres ne portent rien sous leurs blouses?"
La réponse arriva aussitôt:
-"pas toutes, moi j'ai des dessous sexy hihi"
"je demande à voir! lol"
-"coquin!"
"normal avec une belle femme"
-"et tu n'as encore rien vu!"
"tu me plais Isabelle"
-"toi aussi Bruno"
"j'ai envie de te voir"
-"moi aussi"
"Attention, je pourrais te sauter dessus"
-"même pas peur!"
Ils continuerent des échanges plus chauds.

Il apprit ainsi qu'elle aimait les longs preliminaires et qu'elle appréciait d'etre prise en levrette. Il lui dit qu'il aimerait lui faire l'amour de cette façon. Elle lui dit qu'elle en avait envie depuis l'avoir quitté à leur premiere rencontre. Tout cela commençait sous les meilleures augures.
Le lendemain à 18h, alors qu'il sortait du bureau, il rencontra Isabelle tout à fait par hasard. Elle était encore plus belle que dans son souvenir. Ses yeux subtilement rhaussés par un trait d'eyeliner lui donnaient un regard saisissant. Ses levres pulpeuses colorées de carmin firent aussitôt travailler son imagination fertile. Mais ce sont surtout ses vêtements qui la mettaient en valeur. Une jupe noire moulait étroitement ses fesses rebondies, ses jambes galbées posées sur des escarpins à talons étaient gainées de nylon. Bruno se demanda si elle portait des collants ou des bas. Un chemisier en soie mauve dont le décolleté laissait deviner la générosité de ses seins et une petite veste noire complétaient sa tenue.
Ils se firent la bise et Bruno huma le doux parfum capiteux qu'elle portait. Il sentait son sexe durcir dans son pantalon. Il ressentait une attirance pour cette fille qu'il n'arrivait pas à expliquer. Physique bien sur, mais bien plus. Il savait qu'il tombait amoureux.
Ils se sourirent.
Bruno lui proposa d'aller boire un café, mais Isabelle lui répondit qu'elle n'avait malheureusement pas le temps, devant se rendre chez une amie avant d'entamer sa derniere nuit de service.
Cependant elle lui dit:
"Je peux t'appeler plus tard dans la soirée. On pourrait se voir demain soir apres le travail., si tu en as envie"
-Bien sûr que j'en ai envie.
"Moi aussi j'ai envie de te revoir Bruno..."
Quand ils se quitterent, ils se firent à nouveau la bise, mais cette fois, leurs levres s'effleurerent. Ils se regarderent, comme tous deux surpris. Bruno ne put céder à la tentation de la prendre dans ses bras. Elle ferma les yeux et il posa ses levres sur les siennes. La bouche d'Isabelle s'entrouvrit et leur langues se toucherent, se caresserent, se taquinerent tendrement. Quand ils reprirent leur souffle et relacherent leur etreinte, Bruno lui dit "J'ai envie de toi..."
Isabelle lui sourit et lui dit "Moi aussi j'ai envie de faire l'amour avec toi" Et elle l'embrassa passionnément avant de lui dire:
"Je dois filer, je t'appelle tout à l'heure"
Il la regarda partir en admirant ses formes sous sa jupe.
il se sentait plein de joie.
Il rentra chez lui et dîna d'une pizza qu'il réchauffa au micro-ondes.
Il se mit devant la télé, mais rien ne l'intéressait, il n'arrêtait pas de penser à Isabelle. Il rêvait de l'amour qu'il avait envie de faire avec elle. Il fantasmait... Il s'imaginait la prendre en levrette sur le lit voisin, allant et venant en elle, la faisant gemir et crier sous ses assauts. Il repensait à ses fesses qui ondulaient sous sa jupe et il bandait.
Il avait envie de se masturber mais y renonça, préférant réserver son désir. Demain, ils se verraient et la soirée pourrait bien être des plus chaudes avec la ravissante Isabelle.
Il était désoeuvré et n'arrivait pas à s'interesser à se qui se passait sur l'écran.
Il n'était que 20h et le centre commercial était encore ouvert. Il prit sa voiture et alla y faire un tour.
Il regardait sans les voir les boutiques. Une vitrine de lingerie ramena ses pensées à Isabelle, qu'il imagina aussitôt portant des dentelles aguichantes.
Il passait devant un restaurant de sushis quand il lui sembla la voir assise à l'intérieur.
Il se dit qu'il pensait trop à elle et se faisait des idées. Mais il regarda à nouveau et c'était bien elle.
Elle était assise face à un homme d'une soixantaine d'années, vêtu d'un costume gris. Il était plutôt enveloppé et sa chevelure, devenue rare, grisonnait fortement.
Ils étaient en train de diner et discutaient comme de vieilles connaissances.
Bruno se sentit trahi. Elle n'était pas avec une amie, mais avec un autre homme, qui plus est pas des plus attirants. Mais peut etre se faisait il des idees. Il n'empêche qu'il se sentait déçu. Il tourna comme une âme en peine dans la galerie marchande, repassant de temps à autre devant le restaurant. La fille de ses rêves discutait toujours avec son compagnon, puis ils se leverent tous deux apres que le serveur ait amené l'addition à l'homme.
Bruno se mit en retrait derriere un panneau d'affichage et les regarda partir.
Il eut un coup au coeur quand il vit l'homme prendre Isabelle par la taille.
Il était écoeuré par ce qu'il voyait, des tas de questions traversaient son esprit. Il voulait comprendre.
Il les suivit discretement.
Ils sortirent du centre et se rendirent au parking souterrain. La Mini d'Isabelle était stationnée pres d'une grosse Audi dont l'homme déverouilla les portieres. Il prit Isabelle dans ses bras et l'embrassa. Pas le baiser d'un amoureux, mais le baiser de celui qui sait qu'il va posséder une femme. Ses mains malaxaient les fesses d'Isabelle, remontaient sa jupe pour réveler des bas noirs et un string blanc en dentelles . Elle l'enlaçait et répondait à son fougueux baiser.
Le lieu était obscur et il y avait peu de vehicules, ils avaient peu de chance d'être dérangés.
L'homme l'invita à s'installer à l'arrière.
Bruno s'approcha discretement. Isabelle et son compagnon ne semblaient pas se soucier qu'on les surprenne, ils avaient même laissé la vitre ouverte. Il se dissimula derrière un épais pilier en béton juste à côté de la voiture, ce qui lui donnait un poste d'observation ideal sur ce qui se déroulait sur la banquette arriere.
Isabelle avait ouvert son chemisier, révélant un soutien gorge en dentelles blanches moulant sa poitrine que l'homme embrassait avec ardeur. Isabelle gémissait doucement, les yeux clos. Elle dégageait un mélange de sensualité et de débauche.
"Oui suce mes tetons, j'aime ça" l'entendit dire Bruno d'une voix de petite fille avant de soupirer et gémir d'une manière si sensuelle que cela lui brisa encore plus le coeur. Comment avait il pu imaginer la posséder alors qu'en réalité, elle n'en avait cure de lui?
L'homme dégraffa son soutien gorge et libéra ses seins, pleins et lourds aux larges aréoles.
Malgré la situation, Bruno sentait son érection venir devant cette femelle en chaleur. Il avait fantasmé depuis des jours sur les seins d'Isabelle, et quand il les voyait enfin, c'était un autre qui les touchait, les embrassait, qui plus est un type vieux et gras.
Il la vit ouvrir la braguette du gros bonhomme et en sortir un sexe en érection d'une taille des plus modestes. Elle commença à le branler et lui dit, toujours d'une voix douce et ine qui devait etre celle qu'elle prenait quand elle était excitée sexuellement :
"Tu veux que je te suce?"
L'homme lui répondit:
-C'est ce qu'on avait convenu.
Isabelle lecha le gland de son amant avant de le prendre entre ses levres pulpeuses.
La main de l'homme caressait les cheveux d' Isabelle, dont la bouche suçait avec gourmandise et expertise son sexe raidi. Sa main droite le caressait au rythme de ses levres allant et venant sur le membre dressé. L'homme gémissait. Son visage gras était couvert de transpiration.
"Continue comme ça, après je vais te baiser ma belle" lui dit il
Isabelle suça l'homme pendant quelques minutes avant de s'arreter. Bruno la vit s'asseoir à coté de son amant et se contorsionner. Elle enlevait son string. Il l'avait vue tailler une pipe à un homme, il allait maintenant la voir baiser avec lui.
Bruno était comme hypnotisé par Isabelle, le chemisier ouvert sur sa poitrine dénudée et la jupe relevée jusqu'à la taille regardait son partenaire enfiler un preservatif. Il la voyait telle qu'il l'avait imaginée, un corps voluptueux pret à s'adonner au plaisir et à en donner. Il aperçut son sexe, orné d'une toison rousse bien taillée.
Il pensa bien à se manifester et et l'insulter pour sa duplicité. Et pourquoi pas même envoyer ce gros sagouin à l'hopital. Mais cela en valait il la peine?
Autant regarder le spectacle de cette trainée s'offrant à un amant qui aurait pu être son père.
L'homme, son sexe érigé hors de sa braguette, s'allongea sur la banquette.
Isabelle se mit à califourchon sur lui. Elle avait gardé ses bas . Ses gros seins étaient à la hauteur de son visage. Il les embrassait, en suçait les tétons durcis.
Il l'entendit dire à l'homme "J'ai envie que tu me baises, j'ai envie de ta bite dans ma chatte, tu me fais mouiller à donf!" et elle l'embrassa goulument en l'enlaçant . Il vit qu'il guidait son sexe vers l'entrejambe d'Isabelle.
Elle émit un gémissement aigu quand elle s'empala sur sa queue. Elle commença à onduler sur lui en gémissant et en lui parlant.
"Oh oui!!! J'aime ça!!! C'est trop bon! Tu me rends folle! oh je te kiffe!!! "
Bruno ne pouvait quitter des yeux le cul d'Isabelle qui montait et descendait, ses fesses rondes, son sillon écarté, laissant voir sa chatte aux poils roux collés par sa cyprine qui enserrait la vieille bite et le petit oeillet de son anus. Elle mouillait vraiment pour ce gros porc! L'homme caressait ce cul avec avidité, il passa un doigt sur la petite entrée qu'il caressa avec avant de l'y introduire.
Isabelle se cambra et poussa un petit cri
"Non pas par là s'il te plait..."
L'homme n'insista pas.
Bruno fut surpris, il aurait pensé qu'au vu de ce qui se passait jusqu'ici, Isabelle était du genre à apprécier ce genre d'hommage, voire une véritable pénétration anale.
Et elle reprenait de plus belle
"Oui!!! J'aime ta bite! Tu me défonces bébé! Bourre moi la chatte!!!Oooh putain c'est bon!!!Je vais jouir!!!"
Le tout accompagné de petits cris aigus et de gémissements.
L'homme se contentait de grogner et de gémir. Bruno savait qu'à sa place, il aurait embrassé Isabelle, lui aurait dit des mots d'amour, et tout ceci se serait passé dans un lit où ils se serait aimés en variant les caresses et les positions. Pas un acte bestial à la va vite. Mais peut etre était ce ce qui lui plaisait, des coups vite faits à l'arriere d'une voiture
Isabelle se donnait entierement à sa chevauchée sexuelle, elle s'agitait avec frénésie sur la bite raidie qui lui pilonnait le vagin au rythme des vas et viens de son cul. Elle cria
"Vas-y! Jouis! Prends ton pied avec moi! ! Vide toi dans ma chatte!!"
L'homme émit un râle et Bruno comprit qu'il éjaculait. Isabelle se cambra soudain et cria, ses cris allerent crescendo avec son orgasme. Sa tête était renversée en arriere, ses cheveux caressant ses epaules , elle se raidissait sur la bite de son amant, ses seins ballotant au rythme de ses spasmes de plaisir. Ses yeux étaient clos et elle gémissait encore quand l'homme posa ses levres sur les siennes. Ils échangerent un long baiser.
Il lui demanda
-Il me semble que je t'ai donné un sacré plaisir!
En lui souriant, Isabelle lui répondit
"Oui, c'était génial"
Et aussitôt elle commença à se rhabiller. L'homme, visiblement épuisé, portait encore le preservatif rempli sur sa queue maintenant flasque dépassant de sa braguette.
Elle sortit de la voiture en jupe et soutien gorge pour remettre son chemisier et sa veste.
Elle ne se doutait pas que Bruno, plein de déception et de colère l'observait à trois mètres de là.
Et là, sans même un regard vers son amant soulagé, elle monta dans sa Mini, se remit du rouge à lèvres et se recoiffa dans son rétroviseur. Elle démarra et sortit rapidement du parking.
L"homme quitta la banquette arrière de sa voiture, remonta sa braguette et jeta le preservatif usagé sur le sol en béton. Il s'installa au volant et partit lui aussi.
Bruno abandonna alors son poste d'observation.
Il regagna sa voiture et rentra à son domicile.
Il était 22h30 quand son téléphone sonna.
C'était le numéro d'Isabelle.
Il ne répondit pas.
Sa messagerie lui signala un message vocal
"Bruno c'est Isabelle, je t'appelle comme convenu,. Bon tu n'es pas dispo. J'ai tres tres envie de te voir, je te rappelle demain. Je te fais plein plein de bisous mon coeur"
Mon coeur...l'hypocrite!!!

A suivre