La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1309)

Vanessa au Château (devenue soumise Keira MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1308) -

- Tu comptes ne pas obéir à cet ordre ?, gronde Monsieur Le Marquis…

La femme ne répond pas et s’exécute rapidement, se trouvant assise face au Noble, conservant la tête baissée.

- Allons relève la tête, je veux déjeuner en bonne compagnie, l’encourage Le Noble.

soumise Clair obéit, se forçant à sourire malgré son mal-être évident à se trouver à cette place assise qu’elle juge ne pas mériter vis-à-vis de sa condition de soumise, alors qu’une jeune serveuse entre. Celle-ci regarde d’un mauvais œil la femme et soumise du patron assise à la table du Noble, mais se retient de tout commentaire. Le Noble passe commande en précisant que ce sera pour deux couverts… Pendant ce temps, Walter déjeune dans la cour intérieure, face à soumise Keira MDE attachée à la croix de Saint-André, une boite de préservatifs sur sa table. Après quelques minutes un homme les rejoint, il regarde la jeune femme d’un œil affamé et envoie un regard interrogateur envers le Majordome. Ce dernier sans dire un mot, lui tend un préservatif, l’homme s’en saisit et se dirige vers Vanessa.

- Hum, tu as l’air d’être une bonne salope, je vais me régaler avec toi, dit-il prenant et empoignant les seins de la jeune femme tout en les malaxant fortement, sur un ton pervers et carnassier et en commençant déjà à bander.

Cet homme s’empresse d’enfiler le préservatif et s’enfonce dans la chatte lisse à disposition, mais Vanessa l’excite tellement qu’il ne tarde pas à éjaculer seulement après quelques va-et-vient rapides… Un autre homme arrive et prend sa place, détachant la jeune femme pour l’installer dans une balançoire de sangles, pendue à un portique. Il fouille le sexe de Keira MDE de plusieurs doigts vicieux, puis entreprend d’y enfoncer sa main entière. L’homme force alors qu’elle tente de détendre ses muscles vaginaux pour faciliter son passage.

Walter bien que détaché de la scène garde un œil attentif, s’assurant que l’intégrité physique de la favorite de son patron, ne soit pas atteinte. Après quelques minutes, sa main disparait dans la chatte trempée de la jeune femme, il joue à la remuer, cherchant à faire monter le plaisir de Vanessa.

- La jouissance t’est interdite, n’est-ce pas ? Comme j’aimerais sanctionner un manquement de ta part. Marquer d’avantage ton fessier de ma propre ceinture, espèce de salope de chienne.

Mais soumise Keira MDE se retient, souhaitant plus que tout honorer l’éducation de Monsieur Le Marquis. Après de longues minutes, l’homme comprenant qu’il ne la fera pas plier, retire sa main pour prendre son cul de sa verge raidie et bien tendue vers le haut. Les clients du restaurant se succèdent ainsi, heureux de pouvoir tester une soumise MDE de cette qualité, sous le regard attentif du Majordome qui recadre de temps en temps, s’assurant que les règles du Noble concernant l’utilisation de Ses esclaves, soient respectées… Vanessa est donc utilisée ainsi, à la chaîne, comme un simple trou en guise de vide-couilles… Pendant ce temps, dans le salon privé, le patron a rejoint Le Noble pour prendre l’apéritif avec lui. Il découvre sa soumise attablée, se doute que c’est la Volonté de Monsieur le Marquis.

- Vous savez, en général, je la nourris après le service, sourit le patron.
- Je ne doute pas que vous en preniez soin, mais elle fatigue des sollicitations de vos clients, vous devriez songer à la faire seconder de temps en temps, lui conseille Le Noble.
- La seconder est impossible, je n’ai qu’elle, mais je vais envisager à lui octroyer plus de temps de repos.
- Je n’en suis pas certain, vous devriez être plus attentif aux personnes qui vous entourent.
- Comment cela ? … Oui en effet, je vais y songer… Ah par ailleurs, je voulais de nouveau vous remercier, Monsieur le Marquis pour votre mécénat m’ayant permis de remettre mon restaurant aux normes européennes.

- Votre père n’était-il pas un grand ami de mon père ! Et ceci encourage cela ! Je n’oublie jamais les amitiés !

Puis le Châtelain sourit alors que la jeune serveuse apporte l’apéritif, elle sert les deux hommes et fait alors tomber maladroitement une carafe d’eau venant arroser Monsieur Le Marquis

- Oh Monsieur Le Marquis, je suis désolée, je vous prie de bien vouloir accepter mes excuses pour cette maladresse.

Le Noble la regarde et la jeune femme est fébrile, attendant sa réponse. Il lui sourit et prend une serviette pour s’éponger grossièrement. C’est dans une belle galanterie qu’il répond :

- Vous êtes toute pardonnée, ce n’est que de l’eau, répond-t-il d’une bonne humeur qui surprend le patron et sa soumise.
- Ah ? …Euh…Je suis confus … Et … merci Monsieur Le Marquis, répond-t-elle étonnée.
- Oui, mais à moins que ce ne soit pas la réaction que vous attendiez de Ma part. Et dans ce cas, il va falloir le demander explicitement, continue Le Noble.

La jeune serveuse ne répond rien, elle baisse les yeux, déstabilisée de voir que Monsieur Le Marquis semble lire dans ses pensées.

- Quelque chose me laisse penser que cette maladresse n’en était pas une, mais un geste bien contrôlé pour me tester et espérer une toute autre réaction de ma part. Je me trompe ?

Le patron ne comprend pas où veut en venir son invité, mais la jeune femme ne contredit pas cette dernière affirmation.

- N’est-ce pas ?, insiste-t-Il plus sèchement, attendant une réponse.
- Je suis désolée, répond-t-elle d’une voix penaude.
- … De ? M’avoir arrosé ? Ou m’avoir testé ?
- Les deux, Monsieur Le Marquis.
- Enfin, nous y sommes. Donc je vous écoute, que souhaitez-vous, qu’est-ce qui vous brûle le ventre au point de tenter ce geste désespéré ?
- J’aimerais… recevoir une fessée, Monsieur Le Marquis, avoue-t-elle d’une faible voix et les joues rouge de honte.

Le Châtelain sourit d’un air victorieux, regardant son hôte surpris de découvrir que son employée aspire à la soumission.
Le Noble ne dit rien, recule sa chaise, fait signe à la serveuse de venir s’allonger sur ses jambes, ce qu’elle fait d’un pas peu assuré, puis il relève sa jupe, découvrant une culotte blanche toute simple. Monsieur le Marquis se saisit du couteau sur la table pour déchirer le sous-vêtement qu’il laisse choir au sol. Puis doucement caresse les fesses de la jeune serveuse, lève Sa main, regarde la jeune femme retenir son souffle, s’amuse de la voir sursauter lorsqu’il repose Sa main délicatement pour la caresser de nouveau et pour lui malaxer les fesses charnues. Il renouvelle longuement l’opération par de multiples caresses douces et lentes jusqu’à ce qu’elle se détende réellement et ne s’attende pas à la première fessée qui vient laisser les traces de Sa main sur la fesse droite en lui arrachant un cri pour lequel le Noble ne la reprend pas. Il prend son temps alternant caresses et fessés, faisant rougir doucement ses fesses d’une parfaite rondeur.

Le patron du restaurant observe attentivement la scène, tout comme sa femme soumise Clair qui semble envieuse de la serveuse, ce qui n’échappe pas au Noble. Après une dizaine de fessés, le Châtelain renouvelle ses caresses mais cette fois-ci, il va vérifier Lui-même l’état d’humidité de la jeune femme en allant fouiller sa chatte. Et ce qu’imaginait le Noble est une réalité qu’il constate en effet ! La chatte de la serveuse est trempée d’excitation. Alors Monsieur le Marquis passe ses doigts longuement dans le vagin, écartant les lèvres intimes, puis allant branler le clitoris, ce qui laisse échapper chez la serveuse des gémissements de plaisir. Puis il renouvelle une série de fessées qui claquent et résonnent sous le regard pervers des clients du restaurant qui ne perdent pas une miette de la scène. Enfin, il rabaisse la jupe et aide la jeune femme à se relever, la laissant debout se remettre des sensations qu’elle vient de vivre.

- J’espère avoir répondu à vos attentes, lui sourit-il d’un ton parfaitement gentleman.

- Oui, merci Monsieur Le Marquis, répond-t-elle se réveillant d’un rêve éveillé.
- Et toi soumise, quelque chose me dit que tu aurais aimé prendre sa place, sourit Le Noble s’adressant à la femme du patron.
- Je…effectivement, disons que, je pense surtout qu’elle ne méritait pas autant de douceur et d’attention, ni autant de respect de Votre part.
- Et pourquoi donc ?
- Parce qu’elle a osé renverser de l’eau volontairement sur Vous et qu’elle a osé Vous tester, Vous ! C’est inconcevable pour toute soumise, Monsieur Le Marquis, un Dominant si réputé dans le monde entier, une référence telle que Vous !
- Effectivement, mais elle n’en est pas une, tout du moins pas encore, et je respecte profondément les femmes libres, même si d’autres vivent à Mes pieds, sourit Le Noble, puis il rajoute : - Et soumettre celles qui sont à Mes pieds, n’est-ce pas les respecter aussi ! Puisque je comble leur profond besoin de soumission, c’est une forme de respect, à l’évidence de leur apporter ce qu’elles souhaitent vivre…

La jeune serveuse n’a pas bougé, elle ne sait comment réagir. Le Noble l’observe un instant cherchant à lire en elle.

- Vous permettez, demande-t-Il approchant Sa main de sa jupe.

Elle ne répond rien mais écarte instinctivement les jambes comme pour lui donner son accord. Le Châtelain passe Sa main sous sa jupe, glisse un doigt entre ses lèvres intimes, le ressort trempé avant de le présenter devant la bouche de la jeune femme. La serveuse comprend et le suce pour le nettoyer de sa propre cyprine, non sans rougir de honte de nouveau.

- Bien, à ce que je vois vous aspirez à la soumission, c’est une évidence. Mais la rêver et la vivre, c’est très différent. Ce n’est pas un jeu lorsque des envies vous prennent, c’est un Art de vivre, un don de soi. La balle est dans votre camp, jeune fille, à vous de voir ce que vous souhaitez faire de cette fenêtre que je vous ai ouverte sur notre monde.
- Je…je souhaite devenir soumise, dit-elle d’une voix faible.
- Hum…soit, mais si un Maître n’existe pas sans soumise, une soumise ne peut exister sans Maître.

La jeune serveuse regarde Le Noble, comprend qu’Il ne compte pas la prendre comme soumise, elle tourne donc la tête vers son patron, un regard interrogateur, presque implorant. Le Noble fait signe à son ami de reprendre la main.

- Tu as quelque chose à me demander ?, l’encourage son patron.
- Je…j’aimerai, enfin, accepteriez-vous de me prendre comme soumise ?

L’homme jette un œil interrogateur vers sa femme, comme attendant son aval, elle lui sourit et baisse les yeux.

- Tu le prendrais comment ? demande-t-il à sa femme.
- Je vous appartiens Maître, je n’ai aucun mot à dire sur les soumises que vous choisissez de prendre à vos pieds, répond-t-elle avec respect.
- Je le demande à ma femme.
- Elle souhaite devenir ta soumise, pas ta femme, je ne suis pas en concurrence, ce serait même un bon soutien, sourit-elle tout en l’embrassant, osant lever les yeux pour répondre à son mari.
- Hum, je veux bien te prendre à l’essai, mais à une condition, que tu acceptes la sanction que tu mérites. Je ne peux accepter que l’on teste sous mon toit un des plus Grands Maître de notre cercle, voire Le plus Grand. Ce ne sera qu’après t’avoir fait expier cette faute que je pourrai envisager de faire de toi ma seconde soumise qui secondera ma chienne de femme, soumise Clair. Et ainsi elle aura plus de temps de repos ….

La jeune femme ne répond rien, elle écoute fébrile, comprend qu’elle doit en passer par là, même si elle appréhende, ayant déjà vu son patron sanctionner sévèrement sa soumise...

- J’accepte, répond-t-elle d’une faible voix, j’ai trop besoin de soumission, Monsieur….

(A suivre …)

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