Jeunesse Infernale Chapitre 3
Jeunesse infernale
Chapitre 3
Homme marié, 55 ans, parisien, javais rencontré Elise quelques semaines auparavant .
Dans les chapitres précédents, elle et moi avions relaté nos premiers moments de cette relation Maitre/Soumise que nous avions vécus.
Il est vrai que souvent je me suis fictivement mis à sa place ; pour cette suite nous serons les auteurs de notre propre histoire, de nos ressentis respectifs.
François
Les « jeux » de domination je les pratique depuis longtemps, ils me sont indispensables. Dans limpossibilité de les vivre avec ma femme, nous avions conclu un accord tacite aux termes duquel, nous avions droit lun comme lautre davoir des moments de liberté pour « vivre nos fantasmes » comme on dit. Joubliais, ma femme est elle aussi dominatrice ; nous ne pouvions pas de ce point de vue partager ces moments là, encore que la suite me démentira éventuellement.
Javais décelé en Elise une soumise prometteuse ; novice, elle avait cependant un long historique de réflexion sur ce sujet et sétait montré déterminée. Elle avait aussi cette caractéristique rare, elle était rousse !
Jaurais aimé lemmener plus loin ; je nétais pas encore sur quelle y était prête mais je la sentais suffisamment motivée pour tenter ma chance.
A la campagne ou javais une maison, jabritais parfois Valérie, une esclave mure (50 ans), très « esclave » dans le sens ou rien ne la rebutait, ni humiliations, ni sévices même les plus sévères. Elle allait même jusquà les susciter par une désobéissance de circonstance.
Valérie était psychanalyste à Paris. Je lavais consultée et pendant 2 ans elle mavait aidé à surmonter des moments difficiles. Au fur et à mesure de mes séances je lui avait dévoilé ma vie , mes fantasmes (je les réalisais déjà), mon fétichisme du sexe féminin , de ses fluides et de ses odeurs ; en bonne praticienne elle mécouta , me fit rebondir et dérouler ainsi ces « perversions » , mot quelle corrigea.
A lissue de ma dernière séance, alors que je rédigeais un chèque en règlement de ses honoraires elle demanda à me parler précisant que notre conversation serait personnelle ; ses propos , pour reprendre ses mots relèveraient de la même confidentialité que nos échanges « professionnels » dit-elle .
Intrigué, je lui assurai quil en serait ainsi .
Jétais assis face à elle , elle fit pivoter son siège , je ne voyais plus que sa chevelure et le haut dossier .
« Monsieur R. vous avez été mon patient pendant 2 ans et vos fantasmes ne me sont pas inconnus, médicalement parlant ; vous nêtes en effet pas le premier à me les dévoiler »
« Je nen doute pas ! » La dissimulation de son visage et de son buste cachés par le dossier ajoutait un léger mystère à notre conversation ; jy étais sensible.
« Vous avez cependant une façon den parler , de les décrire , ces fantasmes ou plutôt ces actes devrais-je dire dans votre cas , qui mont troublé. Je suis une femme qui partage vos goûts sans les avoir jamais réalisés ! »
« Aimeriez vous sauter le pas ? » lui dis-je
«Je crois que oui »
« Vers quel rôle vos désirs vous poussent-ils »
«Je ne lai jamais fait comme je vous le disais mais si je devais mettre un mot sur mes fantasmes, je dirais « esclave. »
« Vous mesurez ce quil signifie ? »
« Disons que jai beaucoup lu , beaucoup vu , que je me suis régulièrement auto-infligée de nombreuses punitions. Il me manque deux choses , que ces sévices me soient infligés par un ou une autre et surtout jaimerais vivre des situations de vraies humiliations »
Elle ajouta « Vous comprendrez combien cette conversation mest difficile, vous savez comment me contacter. Je vous remercie de me laisser maintenant. Au revoir Monsieur »
Aussi abasourdi que satisfait par cet épisode je me levais la saluais sachant que sous peu je lappellerai.
Ainsi , au gré de mes envies mais aussi des siennes nous avions « construit » une relation maître/esclave ; Valérie savéra une esclave digne de ce nom.
Lorsquelle venait à la campagne pour quelques jours, elle soccupait de cette maison, ménage, cuisine, jardinage, tâches quelle exécutait sous la supervision de Paula.
Javais rencontré Paula lors dun voyage en Bulgarie ; prostituée, elle avait voulu échapper à son sort et surtout à ses souteneurs. Ces derniers lavaient corrigée, le mot est faible car elle portait encore les cicatrices de leur déchainement. Je lavais récupérée, encore marquée et traumatisée ; elle était touchante, avec un charme particulier sans être belle. Elle était repartie avec moi et je lavais installée dans cette demeure. Nourrie, logée, blanchie je lui donnais aussi de quoi exaucer quelques menus plaisirs. Paula était rigoureuse, parfois sévère et de fait gérait cette propriété comme je le souhaitais ; Valérie était à ses ordres. Cette organisation me convenait.
Vous laurez compris, je voulais entrainer Elise dans une autre aventure ; si elle avait refusé, je nen aurais pas pris ombrage. Elle me plaisait beaucoup telle quelle était .
Par petites touches , je lui dévoilais cette « organisation » que javais à la campagne ; plus interrogative que choquée elle se demandait ou cela allait la mener.
Elise
Moi Elise , mal mariée et mal baisée, cette rencontre avec François mavait fait toucher du doigt (quel euphémisme !) de nouveaux plaisirs que javais enfouis depuis longtemps , en fait pas vraiment enfouis mais des plaisirs que je refusais , qui me faisaient honte .
La séance avec cet homme, vicieux, sévère tout en étant bienveillant mavait révélé une chose et en avait exaucé une autre ; lhumiliation et la honte , les sévices et la douleur agissaient sur moi comme un aphrodisiaque et décuplaient mon plaisir . Quant à ce désir exaucé il sagissait bien sur de ce gout quavait François pour me lécher , ce quaucun homme navait fait avant .
Jassumais avec lui mon odeur de rousse et mon désir dêtre maltraitée le temps de nos rencontres.
Hors de ces moments, nous échangions régulièrement sans que jamais il ne mimpose actes ou postures hors de mes périodes de « préparation » ; nous avions chacun notre vie. Jappréciais quil me considère ainsi, comme une femme quil respectait.
Intriguée par notre dernière conversation, je tentais dimaginer ce que pourrait être ce court séjour à la campagne entre lui et ces deux femmes dont je cernais mal les rôles.
Cette Valérie , femme mûre et indisciplinée était décrite comme esclave, une situation qui métait encore peu familière ; cette indiscipline , étrange caractéristique pour une esclave, me laissait penser quelle devait être masochiste , en recherche de punitions. Lidée de pouvoir , moi aussi, me laisser aller à la maltraiter ne me déplaisait pas encore que je ne sache pas encore par ou commencer ; en y pensant je sentais cependant poindre en moi quelques envies « sadiques » .
Le rôle de la femme qui régissait la maison était obscur ; Que faisait-elle lors de ces « séances » ?
Je décidais den parler avec François ; la tentation était là , un peu de peur aussi !
Faire lamour avec une femme faisait bien sur partie de mes fantasmes ; la proposition de François était implicite sur ce point ! Hmmm , que de bouches pour me faire lécher ! Que de chattes à lécher !
François
Deux jours après notre dernière conversation je rappelais Elise ; il était temps de recueillir ce que suscitait ma proposition à peine voilée.
« Bonjour, comme se porte ma soumise rousse ? »
« Bonjour Monsieur , je vais bien ; jaimerais mieux comprendre la proposition que vous avez évoquée. Est ce possible ? »
La question portait en elle un début de désir !
« Je comprends que tu me poses cette question. Valérie, lesclave, nest là que pour exaucer nos désirs, les miens comme les tiens ; je dirais quelle est sans limites. Tu as le droit de me proposer les punitions et humiliations que tu aimerais lui faire subir, je te donne lautorisation ou pas encore quil soit rare que jexerce mon veto.
Ne sois pas surprise par ses éventuelles provocations, elle nont quun but, subir ! »
« Je crois que je lavais un peu deviné » me dit-elle
« Mais quen est-il de Paula ? »
« Paula nest soumise quà moi et ne participerait pas ment à nos jeux si ce nest pour exécuter la mise en uvre de mes décisions, linstallation du matériel.
Elle est la seule que Valérie craigne vraiment. »
« Paula et Valérie aiment les femmes ? »
« Pour Paula cest sa préférence, Valérie na pas à donner son avis »
« Pourraient elle me punir ? »
« Seulement sur mon ordre ou si tu en exprimais le désir. »
« Je vous remercie Monsieur pour ces précisions »
« Je ten prie ; quen penses tu ? »
« Je viendrai Monsieur »
Elise
Je sautais un nouveau pas ! Javais une idée, sans doute incomplète, de ce que jallais endurer mais je lui faisais confiance.
Ce désir de faire souffrir une autre me taraudait et je lavoue mexcitait. Il fallait que je méduque , que je découvre de nouvelles idées , des scenarios auxquels elle , lesclave se prêterait .
En route pour les sites de vidéos de lesbiennes !
Nous étions lundi et jétais seule pendant les douze prochains jours ; javais fait part à François de ces moments de liberté.
Le soir je reçus un message ; je partirai vendredi en fin daprès-midi, un billet de train me serait envoyé par mail.
Un peu déçue de voyager seule , je compris que François voulait sinstaller avant sans doute pour préparer les lieux.
Sensuivit un nouveau message me donnant mes « instructions »
« Tu tépileras uniquement les lèvres, tu te laveras la chatte ce soir, tu te caresseras au moins une fois par jour, essuyage léger après avoir uriné, tu ne changeras pas de culotte. Ces instructions sappliquent à partir de maintenant. »
Je me risquais à demander si ses « employées » avaient reçu les mêmes instructions.
Je reçus une réponse affirmative.
Le reste de la semaine , je memployais à respecter avec obéissance ma liste dinstructions.
Dès le jeudi , lorsque jallais uriner je sentais monter mon parfum de rousse négligée qui ne me dérangeait pas ; je savais que mon Maître apprécierait. Garder ma culotte dont je découvrais létat chaque fois que je me déculottais me mettait mal à laise et me rendait honteuse. Il nétait cependant pas question que je me dérobe.
Message vendredi matin.
« Tu feras un lavement avant de prendre le train et tu voyageras avec ton plug enfoncé dans tes fesses »
Je rentrai suffisamment tôt du travail pour mexécuter ; je navais jamais fait de lavement . Je remplissais la poche dun litre deau tiède , enfonçais la canule dans mon anus et je sentis le liquide menvahir ; limpression était agréable . Je restais quelques minutes accroupie jusquà ce , ny tenant plus, je dus me précipiter pour aller me vider . Je recommençais par précaution.
Jenduisis le plug de lubrifiant et lenfonçais avec bonheur dans mon anus.
Etrange impression de marcher et de voyager, entourée dautres avec cet appendice fiché au fonds de mes fesses.
François mattendait à la gare. Une demi-heure plus tard , je découvrais cette belle maison au milieu des bois.
Valérie se précipita pour prendre ma valise , je la suivais jusquà ma chambre.
Taille moyenne , légèrement ronde, Valérie était une femme brune, mûre avec une chevelure abondante et une peau aussi mâte que la mienne était claire.
Lorsque je me penchai pour ouvrir ma valise quelle avait posée sur le lit , je sentis sa main remonter le long de ma cuisse pour atteindre ma culotte ; jeus un geste brusque pour me soustraire à son geste déplacé.
« Ou te crois tu ? »
« Une rousse sauvage , cest ce que vous êtes Madame ? »
Je me souvenais bien de cette nature provocatrice décrite par François . Je la giflais bruyamment. Surprise sur le coup elle garda quand même un regard de défi.
Hmmm, belle punition à venir !
Elle se retira avec un sourire.
Lorsque je descendis au salon , François se tenait assis devant la cheminée et de dos une grande femme brune au teint pâle écoutait ses instructions. Elle se tourna.
Paula , sans être belle , avait un visage intéressant , assez masculin quaccentuait ses cheveux courts et noirs. Elle me salua sans excès mais avec un certain respect.
Habillée dun T-shirt et dune jupe courte elle était très mince presque trop mais dégageait une certaine élégance.
« Installe toi Elise et buvons un verre . Valérie sers nous »
Affublée dun tablier de cuisinière qui couvrait son buste nu et dune culotte trop grande qui baillait, Valérie apporta un plateau avec 3 verres et une écuelle.
Après nous avoir versé du vin , elle posa à terre son écuelle quelle remplit deau.
François et Paula assis dos à la cheminée me faisait face alors que je me tenais sur une chaise.
Valérie à quatre pattes , ses fesses tournées vers nous était penchée au-dessus de son écuelle.
Je noubliais pas mon rôle de soumise et me tenais cuisses bien écartées.
« Valérie tas installée correctement dans ta chambre ? »
« Oui et non Monsieur ». Javais décidé de rentrer dans le jeu de cette réunion .
« Pourquoi non ? » demanda François
Jexpliquais le geste de lesclave et ma réaction.
Je remarquai le regard de Paula qui se durcit et se dirigea vers Valérie qui demanda sans beaucoup de conviction à être pardonnée.
« Inadmissible » fut le seul mot de François.
« Je prépare sa chatte Monsieur ». Hochement de tête de François.
Paula se dirigea vers un coffre plat situé en bout de canapé , louvrit et sortit un récipient de belle taille et une pompe à poire munie dun long tuyau.
« Elise, retire la culotte de lesclave »
Je magenouillais pour lui enlever une culotte qui était maculée et découvrir sa chatte très poilue. Ses lèvres étaient très charnues , son clitoris épais pointait de façon obscène hors de son sexe et en la déculottant je pus constater quelle ne sétait pas lavée elle aussi depuis plusieurs jours ; elle sentait très fort.
«Valérie, viens tallonger sur la table »
Lorsquelle fut en position Paula posa le récipient qui épousait les courbes de son entre-jambes ; à lintérieur se trouvait un tube assez large , plus court que Paula plaça sur le clitoris.
Une fois lembout du tuyau fixé , elle le déroula pour lapporter à François.
Au fur et à mesure quil actionnait la pompe , je pouvais voir le sexe de lesclave déformé , aspiré, épouser les parois du récipient tandis que son clito lui aussi gonflait et sétirait à lintérieur du tube.
Il poursuivit jusquà ce que la chatte ait envahi tout le volume.
Laspect difforme , la couleur rouge foncé du sexe de Valérie était à la fois excitant et effrayant.
«Tu resteras comme ça le temps que nous ayons fini de prendre un verre »
«Cest sa punition » demandais-je.
« Cest la préparation à la punition » répondit Paula
Je navais jamais pratiqué ce « jeu » mais je devinais quaprès un tel traitement la chatte de lesclave allait être à vif !
« Paula , commence linspection dElise »
« Lève toi et déshabille toi Elise ! » Lordre de Paula claqua.
Une fois en culotte , Paula attendit ses ordres. « Apporte moi sa culotte »
Cramoisie , je sentais Paula faire glisser ce petit morceau de coton , elle lapporta à François qui la détailla « Tu tes bien préparée ! Paula fais nettoyer cette culotte »
Voilà un premier compliment !
Valérie était maintenant assise sur la table avait un léger rictus de souffrance lorsque Paula lui donna ma culotte . « Hmmm elle sent bien fort la rousse »
Paula la gifla à plusieurs reprises « Les esclaves ne parlent que si on leur demande »
Un temps domptée , Valérie porta ma culotte à sa bouche et commença à la nettoyer patiemment et consciencieusement en lhumectant , la mâchant ; ma honte avait fait place à de lexcitation.
Je savais cependant que lheure de mon dressage était venue.
Debout devant Paula qui était revenue sasseoir , jattendais.
Elle posa deux pinces sur chacune de mes lèvres et les étira . « Depuis combien de jours ? » me demanda-t-elle.
« Quatre Madame »
« Rare dêtre aussi sale après quatre jours »
« Je suis désolée Madame »
« Ne le sois pas , Paula aime déstabiliser » dit François
« Tourne toi »
Je savais quelle voulais inspecter mon cul aussi , une fois de dos je me penchais cuisses écartées.
Elle passa ses doigts dans mon sillon humide , retira le plug et enfonça un , deux puis trois doigts dans mon anus et me fouilla le cul sans ménagement.
Lorsque elle se retira elle dit simplement «Bon lavement ! »
Javais limpression dêtre un animal quon inspectait et , malgré moi , jaimais ça !
« Tu penses que je vais aimer son odeur Paula ? »
« Peut être Monsieur mais il faut aimer cette odeur de rousse négligée »
Quelle salope ! Elle cherchait à mhumilier , elle y arrivait bien , si bien que jen venais à douter voire à craindre le jugement de François !
Lorsquil me demanda de venir lui faire sentir ma chatte une hésitation me traversa ; je me ressaisis vite , rousse et fière.
Je me plaçais de part et dautre de ses cuisses et maccroupis au-dessus de son visage.
Il ne dit rien pendant un long moment ; jétais là dans cette position honteuse devant son visage, je sentais le regard de Paula, javais envie de pleurer.
Enfin il prononça ces mots si doux « Jaime lodeur de ta chatte »
« Paula, si elle en a terminé avec la culotte , donne lui le plug à nettoyer ! »
Javais quitté ma position et me tenais debout devant lui mains sur la tête.
Il retira les pinces, me massa longuement les lèvres jusquà ce que la douleur ait disparu ; je retrouvais le Maitre bienveillant.
Paula revint avec ma culotte quelle déposa devant la cheminée pour quelle sèche tandis que jentendais les bruits de succion de Valérie qui enfournait et léchait le plug.
« Nous allons bientôt pouvoir punir lesclave ; avant ça il te reste à découvrir la chatte de Paula »
Paula qui avait gardé une attitude sévère et réservée jusquà présent , senfonça dans son fauteuil et écarta les cuisses après avoir relevé sa jupe.
Elle enleva sa culotte elle même ; je magenouillais devant elle et approchait mon visage . Je comprenais mieux ce quelle avait vécu ! Ses lèvres étaient encore marquées des cicatrices, signes de son passé de prostituée passée à tabac et repentie.
Je ne pouvais avoir que respect et compassion.
Elle poussa mon visage contre son sexe ; cétait la première fois que je me trouvais devant un sexe de femme ! Lorsque je pris la liberté dapprocher mes mains et douvrir sa chatte très poilue elle aussi , jeus la satisfaction de la découvrir très humide .
Elle releva les jambes découvrant ainsi toute son intimité. Une petite flaque de pertes encombrait lentrée de son vagin tandis son capuchon et les plis de sa chatte étaient tapissés de traces blanchâtres. Je reconnaissais là le gout de notre Maître ; cétait aussi le mien.
« Quas tu à dire Elise ? »
« Sa chatte est très belle Monsieur et jaime son odeur »
«Reste là un moment pendant que je vais libérer lesclave »
Je menivrais du parfum puissant de Paula mais nosa rien faire de plus lorsquelle commença à se caresser légèrement par petites touches.
Jentendis le bruit lorsque François retira lattirail de Valérie.
Venait le temps de sa punition.
« Comme cest toi quelle a offensée, je te donne lautorisation de choisir sa première punition »
Elle en aura donc dautres !
Je me relevai et découvrit la chatte monstrueuse de Valérie !
Elle était écarlate , si enflée quelle devait rester les cuisses écartées pour se déplacer.
Jétais fascinée !
« Paula comme toi avez droit à un « safe word » que vous connaissez. Valérie ny a pas droit. Sauf à vouloir entendre ses plaintes , Paula tu vas lui mettre un bâillon ; quen penses tu ? »
Je ne me sentais pas de taille à entendre sa voix ! Je ne savais pas non plus ce que François avait décidé de lui faire subir.
« Je préfère aussi le bâillon Monsieur »
Paula posa un casque à lanières de cuir sur la tête de Valérie et fixa un grosse boule de caoutchouc noir sur sa bouche quelle serra sur le casque.
Très vite sa salive coula sur sa bouche et dans son cou mais elle némettait aucun son pas plus quelle noffrait la moindre résistance.
Cétait à moi ! Je me dirigeais vers le coffre pris quatre pinces japonaises et des poids qui indiquaient deux cents grammes.
Je les posais sur chacune de ses lèvres et y accrochais les poids. Ses lèvres étaient si enflées quelles sétirèrent à peine sous leffet.
Je lui ordonnais de marcher devant nous de long en large ; elle le faisait sans beaucoup de difficultés mais le spectacle était très excitant.
« Tu es bien raisonnable Elise , elle est beaucoup plus endurante ! »dit François.
Je me souvenais davoir « tracté » des poids plus légers qui mavait déjà beaucoup meurtris.
« A toi Paula »
Celle-ci pris une troisième paire de pinces elle la posa , retira mes charges pour les remplacer par de beaucoup plus lourdes ; enfin ses lèvres commencèrent à sétirer ; jobservais un premier rictus sur son visage tandis quun râle séchappait de sa gorge.
Paula pris alors une badine avec laquelle elle faisait balancer de plus en plus vite les poids.
« Interdiction de bouger tu le sais Valérie » . Elle hocha faiblement la tête tandis que le jeu de la badine se faisait de plus en plus rapide.
Le jeu dura au moins cinq minutes , Valérie râlait de plus en plus bruyamment lorsque François ordonna darrêter.
Paula lui retira les pinces sans ménagement en commençant par la lèvre droite de sorte que tout le poids soit supporté par lautre lèvre le temps quelle retire son instrument de .
Valérie neut pas droit à un massage, cela va de soi.
François enfila des gants , ordonna à Valérie de sallonger de nouveau sur la table , jambes pliées et écartées.
« Paula , viens lui ouvrir la chatte »
Elle sexécuta tandis que François plongea sa main gantée dans un grand bol dou il ressortit des feuilles de chardon.
«Ouvre la bien »
Il déposa les feuilles une à une et lorsquil en eu tapissé lintérieur de son sexe , Paula le referma en tenant les lèvres serrées ; elle nhésitait pas à imprimer des pressions . Valérie nen était plus aux grognements et jétais heureuse de ne pas lentendre crier.
Cependant je sentais ma chatte dégouliner !
Paula sassit alors à califourchon sur Valérie et lui maintins les cuisses ouvertes .
Allait commencer une séance de fouettage !
François abattait posément son martinet sur le sexe de Valérie , javais le devoir de compter jusquà cinquante.
A partir de quarante , les bruits de Valérie se faisaient plus sourds , elle était vaincue, anéantie.
Déjà martyrisée par sa séance de pompage ,sa chatte était lacérée des marques du fouet et à vif.
Bâillon et chardons retirés Valérie était allongée , pantelante , les yeux baignés de larmes ; javais presque pitié pour elle !
Lorsque François plongea ses doigts dans son sexe il les ressortit gluants, des filets de mouille pendaient.
«Tu comprends Elise ce quest une esclave masochiste »
Je hochais la tête, un peu surprise cependant.
Paula qui sétait rassise avait discrètement plongé sa main entre ses cuisses ce qui ne provoqua aucune réaction de la part de François lorsquil sassit lui aussi. Cette femme tenait une place à part dans cette organisation surprenante de sa vie.
« Tu vas me déshabiller » . Fière et étonnée par sa demande , je déboutonnais sa chemise , la retirais pour ensuite magenouiller . Je défis ceinture et pantalon que je retirai pour le poser comme sa chemise de façon ordonnée.
Restait son caleçon que je faisais glisser le visage suffisamment proche de son sexe , déjà gonflé.
« Jaime que tes fesses soient bien chaudes avant tout »
Je savais ce que ses mots signifiaient et sans quil men donna lordre je vins mallonger sur ses cuisses, javais le visage tourné vers Paula qui me tendit ses doigts à lécher ; je le fis goulument.
«Valérie , rapproche toi, Paula surveille la . Je ne veux pas quelle ne profite pour se caresser»
Lesclave pris place à quatre pattes devant nous sans un mot.
La main de François sabattit avec constance sur mes fesses , de plus en plus fort ; Paula observait mes réactions et je mefforçais pendant cette longue fessée de ne rien laisser paraître si ce nest mes yeux humides de larmes ; javais mal , très mal mais au fur et à mesure la chaleur qui envahissait mon postérieur avait du bon . Jétais si bien entre ses mains fut ce douloureux !
Lorsquil sarrêta , il se tourna vers Paula.
«As tu envie dautres choses que tes doigts pour jouir »
« Maintenant oui Monsieur »
« Quand tes tu lavée »
« Dimanche matin Monsieur »
« Tu tes lavée les fesses »
« Non plus Monsieur Mais je me suis toujours essuyé »
« Quaimerais tu ? »
« Avant de me faire lécher la chatte, je préfère avoir les fesses propres »
« Valérie va sen occuper et toi Elise observe bien »
Paula se contenta de soulever le bassin, et lesclave vint ,elle, soulever ses jambes avant de plonger dans son sillon quelle lécha bruyamment. Je la vis
ensuite plonger sa langue autour de lanus de Paula avant de lenfoncer. « Enfonce bien ta langue grosse truie ! » Les mots de Paula si réservée lui donnait soudain un autre relief, jétais subjuguée !
Lesclave se déchaînait , je la sentait avide , rien ne la rebutait ni ne larrêtait dans la douleur et lhumiliation.
« Alors Valérie ? »
« Les fesses de Madame Paula sont propres ; merci Monsieur de mavoir autorisée à la nettoyer ».
«Autre chose Valérie ? »
«Non Monsieur. »
« Paula, comment sest elle comportée depuis dimanche ? »
« En bonne esclave, jai du la punir une ou deux fois mais rien de grave »
« Préparation, activité sexuelle ? »
« Elle a porté la même culotte de coton en journée , culotte de latex pour la nuit avec ceinture de chasteté . Je lai toujours surveillée en journée elle na donc pas pu se caresser sauf lorsque je ly ai autorisée mais avec interdiction de jouir »
« Merci Paula. Jusquà nouvel ordre Valérie nous regardera et participera mais aura toujours linterdiction de jouir »
Cest à ces mots que Valérie ne pu sempêcher de réagir.
« Jaimerais tant quon fouille ma chatte et mon cul Monsieur»
« Tu aimes provoquer nest ce pas ! Tu aurais mieux fait de ne rien dire et tu sais ce que coute de sexprimer sans y avoir été autorisée »
« Oui Monsieur »
« Nous en reparlerons enfin, nous exécuterons plus tard »
Jassistais à ce dialogue, muette, et toute cette mise en scène entre personnes consentantes me fascinait mais à ce moment précis javais surtout une furieuse envie de jouir.
« Jespère que tu vas bien me faire jouir » me dit Paula. Celle là avait le don pour toujours me mettre la pression !
« Je nai jamais léché une femme Madame »
« Cest donc le moment »
Je mapprochai à genoux devant Paula offerte et je commençais par passer ma langue dans tous ces plis longuement, puis à pénétrer avec ma langue dans son vagin ; je respirais à pleins poumons son parfum de femelle excitée et négligée.
Je sentis alors les doigts de François préparer mon cul , il en enfonça lui aussi trois et commença à me branler ; cétait divin mais cest son sexe que jattendais . Sa bouche se posa sur mon anus pour me lubrifier longuement lorsque enfin je sentis son pénis à lentrée de mes fesses . Il pénétra doucement mais jétais prête , je lengloutis . Il ne fallait pas quabsorbée par mon plaisir jen oublie la chatte de Paula.
Je commençais alors un ballet sur son clitoris avec ma langue ; jadorais le sentir durcir sous mes caresses. Lorsque je le sentis ferme comme une petite bite je ralentis mes mouvements pour la voir pousser son bassin , sécraser sur ma bouche, se frotter violement .
Jaugmentais le rythme jusquà ce quelle lâche un cri bref suivi de soupirs.
Lexcitation de ce moment jouait sur moi comme sur François qui sétait enfoncé au fond de mon cul et me labourait. Je sentais cette impression nouvelle de mes fesses qui mouillaient et lorsquil posa un doigt sur mon clito , je partis dans un orgasme bruyant et désordonné , ce fut long , puissant . Je savais que François lui navait pas encore joui.
Il avait dautres plans immédiats en tête !
Il était temps de diner. La table était dressée pour deux personnes, François et Paula dinaient assis lun à côté de lautre , un peu éloignée de la table en face deux , je devais tenir mon assiette dune main , me nourrir de lautre ; ils pouvaient ainsi me détailler , moi nue , cuisses écartées.
Valérie se tenait à leurs pieds toujours en position offerte .
La conversation roulait surtout sur moi entre François et Paula et jeus une ou deux fois la possibilité de mexprimer ce que je faisais avec précaution ; un mot mal choisi , un question inappropriée pouvait mattirer le pire et je nétais pas provocatrice.
Lorsque Valérie débarrassa , je constatai que sa chatte avait repris sa taille normale ; elle sactivait en cuisine en bonne servante quelle était.
« Allons dans le petit salon » nous dit François.
Je vis Paula sourire .
« Nous allons pouvoir débuter la nouvelle punition »
Attenante au grand salon , ce « petit salon » était en fait un pièce dans laquelle était réunie une quantité dinstruments , croix, carcan , un lit de gynécologue et une poutre de bois triangulaire le sommet pointé vers le plafond et tenue à ses extrémités par des cordes accrochées dans deux poulies . En mapprochant je découvris que cette poutre était découpée dune multitude de petites pointes. Incapable den deviner lusage je nallais pas tarder à comprendre .
« Paula, accompagne Valérie en cuisine pour quelle nous rapporte des cafés »
Lorsque lesclave revint porteuse de 3 cafés , François dit simplement à Paula « Prépare la »
Après y avoir accroché une chaine qui pendait, elle fixa le carcan autour du cou et des poignets de Valérie ; lobjet était lourd et elle peinait à rester les bras en lair.
Puis Paula fit glisser les cordes qui tenait la poutre quelle fit enjamber à Valérie. ; elle la remonta jusquà ce quelle effleure la chatte de lesclave qui se mit par reflexe sur la pointe des pieds. Paula en profita pour remonter un peu plus la poutre pour que nouveau elle touche à peine son entre-jambe et elle fixa les cordes.
Valérie abattit ses bras chargé du carcan ; la chaine se tendit pour se balancer quelques centimètres au dessus de la poutre . Elle ne pouvait ainsi pas sappuyer sur ses bras.
Son installation terminée Paula demanda à se retirer .
« Va te reposer Paula , je te remercie pour ce travail . Combien de temps penses tu que Valérie devrait se muscler les mollets » demanda François.
« Vingt minutes pour une première séance Monsieur »
« Non Monsieur , moins sil vous plait » sécria Valérie
« Alors ce sera trente minutes » dit Pierre
Jétais sidérée par tant de perversité mais je dois avouer que ça me plaisait beaucoup . Cependant un sursaut « dhumanité » et décidais de plaider en faveur de Valérie.
Surpris, il se tourna vers Paula « Je pense quil serait bien que tu restes un peu pour maider à moccuper dElise »
Quelle idiote jétais ! Jallais le payer cher. Je ne dis plus rien , jétais debout , jattendais.
« Nous avons le temps , Elise va préparer 2 autres cafés »
Lorsque je revins, Valérie avait de plus en plus de mal à tenir sur la pointes des pieds la poutre senfonçait dans sa chatte .
Lorsquelle commença à gémir François lui dit quil ne voulait pas lentendre.
Au deuxième gémissement, il se leva pris une badine et labattit sur les fesses de lesclave.
Elle ne pouvait cependant plus se retenir et implacablement François lâchait les coups de badine .
Après vingt minutes , il ordonna de la libérer , elle sabattit sur le sol .
« Tu nas eu que 20 minutes »
Valérie se releva ; devant François qui la regardait interrogateur elle sagenouilla « Merci Monsieur de mavoir libérée. Je méritais cette punition »
« Bien sur tu la méritais et Elise qui ta défendu va te faire un peu de bien. Vas te mettre en position pieds dans les étriers. Paula , ligotes les seins de notre soumise »
Une fois que je fus à quatre pattes , Paula , munie de deux longs liens entoura chacun de mes seins fit un premier nud et poursuivit leur ligotage serré jusquà mes tétons. En me relevant , le ballotement de mes seins était douloureux ; après les avoir remuer lun après lautre , Paula me pinça les tétons pour les faire durcir et y posa deux pinces .
Je savais maintenant ce qui mattendait !
Une corde fine fut attachée sur chacune des pinces avant que Paula les suspendent dans un crochet fixé au-dessus de ma tête.
« Quels poids dois-je poser Monsieur ? »
« 400 grammes » répondit François »
Lorsque Paula sexécuta , mes tétons sétirèrent brusquement , douleur fulgurante !
« Tu vas maintenant nettoyer Valérie, commence par son cul »
Lesclave se trouvait à pas plus de deux mètres de moi , je penchais doucement le buste pour pouvoir avancer ; chaque pas déclenchait un étirement violent et douloureux mais je devais réussir cette épreuve.
Arrivée à sa hauteur , je dus magenouiller pour enfin obéir à mon ordre.
Malgré une forte odeur de transpiration , le cul de Valérie était propre ; je la léchais longuement .
« Tu peux te relever et revenir en arrière » ordre de François
Je repris donc ma position de départ
« Maintenant occupe toi de sa chatte mais évite son clito , elle ne doit pas jouir »
Je repris mon chemin de croix , mes seins et mes tétons étaient de plus en plus douloureux , je transpirais sous leffort mais je réussis.
Lorsque jouvris sa chatte , son odeur menvahit mais je nétait pas répugnée au contraire ; je me découvrais à aimer lodeur des femmes.
Je mappliquais à faire ce qui mavait été demandée en prenant soin déviter son clito malgré les mouvements quelle faisait pour que je puisse lui donner du plaisir.
Je la léchais longuement , le temps que je reçoive enfin lordre de cesser. Paula me libéra les seins que François vint masser longuement.
« Tu tes bien comportée, je suis fier de toi . Il est temps de se reposer.»
La chambre était vaste, occupée par un lit beaucoup plus grand que la normale ; un matelas était posé par terre sur le côté ; une autre chambre plus petite et sans porte était attenante, celle de Paula.
La salle de bains était elle aussi vaste avec une douche à litalienne très profonde, cette pièce communiquait avec deux toilettes lun sans porte et avec une cuvette sans lunettes, lautre normal.
Paula avant de se coucher fit enfiler une culotte de latex à lesclave et lui fixa une ceinture de chasteté. Elle enfila ensuite ma culotte nettoyée par Valérie et me tendit la sienne que je devais porter pour la nuit.
Je ne mattendais pas à ça ! Un peu dégoutée, je savais cependant que je navais pas le choix ; cétait le même modèle que la mienne, portée cinq jours . Elle était sale à souhait le fonds couvert dépaisses sécrétions que je sentis se coller sur mes lèvres après lavoir enfilée.
Je mallongeais , François à mes côtés tandis que Valérie pris place sur son matelas.
Ne restait quune liseuse qui éclairait faiblement la chambre ; « Que penses tu de cette soirée Elise ? »
« Jai beaucoup aimé Monsieur »
« Quaimerais tu ? »
« Maintenant Monsieur ? »
« Maintenant »
« Je peux vraiment vous le dire ? »
« Tu peux , quoique tu dises tu ne seras pas punie »
« Jaimerais vous sucer et me faire lécher »
« Très bien, je pense que Valérie va aimer nous regarder et nous entendre ; Valérie monte sur le lit ! »
Lesclave vint se mettre à quatre pattes sur le lit .
« Enlève lui sa culotte Valérie »
Je plongeais sous le draps, me dirigeais vers son sexe qui avait longuement pénétrer mes entrailles et malgré mon envie dengloutir son sexe immédiatement, je le léchais doucement , le long de sa bite , puis ses couilles .
Cétait si bon de sentir ce sexe gonflé dans ma bouche !
« Commences à la lécher Valérie ! »
Je sentis son souffle entre mes cuisses puis sa voix murmurer : « Sa chatte pue trop »
François eut un petit rire « Tu aimes tant souffrir Valérie ! Nous en parlerons demain en attendant fait ce que je tai demandé »
Javais instinctivement serré les cuisses sous son insulte dont je me doutais quelle nétait quune provocation de plus.
Lorsquelle posa sa bouche sur ma chatte , je découvris son expertise . Que de bonheur entre cette langue experte qui me léchait et ce sexe tendu qui pénétrait dans ma bouche.
François fit durer le plaisir pendant longtemps ; je jouis la première sous les caresses de Valérie qui continua de me lécher avidement.
« Apportes moi ta culotte ! »
A portée de main , je la lui tendis ; il se retira alors de ma bouche et déversa son sperme dans ma culotte.
Jétais un peu déçue mais ne dis rien ; javais compris . Je réenfilais ma culotte tapissé de ce liquide chaud .
Nous nous endormîmes.
A suivre.
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