L'Été Au Camping

L'été au camping
Je travaille comme responsable d'entretien dans un camping depuis plusieurs années de mars à novembre. Je m'occupe principalement du nettoyage des douches et vestiaires, de la piscine, du rangement des transats et parasols de cinq heures du matin jusqu'à neuf heures. Ensuite je suis présent pour répondre aux besoins des touristes, pour réparer les petits problèmes dans les bungalows. Il y a trente-quatre emplacements, un coin sanitaire, un espace jeu pour les s et un petit restaurant. La clientèle se compose de personne seule, en couple et parfois en famille.
Comme dans beaucoup de camping, il y a de nouvelles personnes à chaque saison et des habituées qui reviennent pour le calme des lieux, la qualité des services et peut-être aussi par nostalgie. Comme cette femme, Lucette qui venait avec ses parents. Maintenant âgée de 46 ans, elle revient au même emplacement. Elle est seule, sans . Elle passe une bonne partie de la journée à lire. Tous les matins à 6 heures, je la voit prendre son café devant son bungalow.
- " Comment vas-tu ? " me dit-elle lorsque je passe devant elle avec du matériel. " Toujours aussi matinal ".
- " Bonjour ça va merci, je peux dire la même chose pour toi ? " Je ne manque pas de la regarder. Elle est ravissante. Une belle femme brune au visage un peu rond. Son corps, couvert par un teeshirt trop court et trop petit, montre quelques plis sur son ventre. Son short, tout aussi court, est comme une seconde peau qui serre ses cuisses et dessine les lèvres épaisses de son sexe.
Après quelques échanges je repars poursuivre mon travail. Le camping est encore endormi. Je m'avance vers le coin sanitaire.
- " Elle est belle cette femme " me dit Henri, en regardant dans la direction de Lucette, quand je passe devant lui et sa nouvelle femme.
Henri est un homme de 52 ans, qui vient depuis 17 ans. Il s'est remarié avec Claire âgée de 31 ans. Même s'ils semblent être heureux, je vois parfois dans le regard de Claire un peu de tristesse.

Elle est jeune, blonde aux cheveux courts, un corps menu. J'ai vu plusieurs fois Henri en compagnie d'autres femmes et rentrait parfois tard dans la nuit. Comme le soir où je le vois en compagnie de deux femmes dans l'espace jeu. Il fait très chaud ce soir, je rentre à mon bungalow après les derniers préparatifs pour le lendemain. Je suis passé devant son bungalow, Claire était assise devant la télé. Je m'avance à proximité de l'espace jeu et je vois Henri en compagnie de deux femmes. A la lueur du réverbère je le vois couché sur la table de ping-pong en béton, une femme assise sur son visage, l'autre en train de le sucer. J'entends des cris, des gémissements. Je m'avance encore au plus près d'eux et je m'assois. La femme sur son visage se déchaîne, se frotte, l'écrase. Henri pince et tire sur les gros seins de cette femme qui râle. Les mouvements de son bassin son saccadés, violents. Les grosses fesses couvrent entièrement le visage de son partenaire. L'autre femme s'active sur la bite longue et épaisse en la suçant. Elle ne peut enfoncer que la moitié dans sa bouche. D'un physique tout aussi rond que l'autre, elle se débarrasse de ses vêtements avant de monter sur la table. D'où je suis je peux voir la bite d'Henri glisser dans la chatte baveuse de cette femme. Elles se tiennent par les épaules l'une de l'autre et s'unissent avec un baiser à pleine bouche. Les seins ballottent, les fesses rebondissent. C'est excitant. Je me caresse, je me branle avec eux. Après plusieurs minutes de baise intense, ils changent de position. Henri se retrouve debout derrière une de ses partenaires avec les seins écrasés contre la table. L'autre est allongée sur la table et se fait lécher. Henri s'enfonce en force entre les cuisses ou peut-être entre les fesses de cette femme. Je vois ses boules frapper, cogner contre les cuisses. Ma main glisse sur ma bite au gland couvert de salive, je presse mes couilles avec l'autre. Je me branle plus vite et plus fort lorsque j'entends les femmes jouir.
J'explose pendant que je vois Henri se branler sur le visage de ses partenaires du soir. Je me rhabille.
- " Oui c'est vrai, charmante " répondis-je en poursuivant mon chemin.
Je commence le nettoyage des douches avec le jet. Je range le matériel et j'entends des pas dans la partie des douches sans parois, uniquement des pommeaux alignés contre le mur. J'entends une voix de femme chanter, siffler puis le bruit de l'eau qui coule. Sachant que le mur ne monte pas jusqu'au plafond, je monte doucement sur un escabeau. Je passe la tête par-dessus le mur et vois une femme aux cheveux blonds jusqu'à la taille. Sa peau brune, bronzée, trop bronzée même laisse voir un tatouage sur la chute de reins. Ses petites fesses plates tombent un peu sur le haut de ses cuisses maigres. Elle att le flacon de savon posé sur le sol et commence à se savonner. Elle se tourne vers moi. Je vois alors sa poitrine à l'opposé de ses fesses. Ils sont gros, trop gros pour être naturels. Son visage est un peu ridé. Elle se savonne depuis maintenant plusieurs minutes. Je vois main glisser sur son ventre et ses cuisses. Elle s'appuie dos au mur et je la vois qui commence à se caresser entre les cuisses. L'autre main a attrapé un sein qu'elle masse. L'eau coule sur sa poitrine, retirant la mousse, puis vers son sexe entièrement rasé. Sa respiration est de plus en plus rapide. Je vois qu'elle glisse deux doigts dans son intimité, la paume de sa main écrasant le pubis, le clitoris. Ce spectacle est excitant. J'entends ma respiration s'accorder avec celle de la femme. Je me caresse la bite par-dessus mon pantalon en pressant le gland entre mes doigts. Elle se met ensuite accroupi en écartant les genoux. D'un geste sûre et rapide elle att le flacon du savon et l'enfonce dans son sexe. Je le vois entrer et sortir avec rapidité et facilité. Quelques pressions et étirements sur ses tétons la font jouir presque en silence avec des petits gémissements. Lentement et sans bruit, je redescends de l'escabeau.

Le camping s'anime peu à peu. C'est l'heure de la vaisselle, de la douche, pour certains, de la lessive pour d'autres. J'aime ces moments où je peux apercevoir des femmes sortant de la douche, d'autres faire la vaisselle Certains touristes se dirigent vers la piscine en maillot de bain parfois si petit qu'il cache le minimum. Je mate alors ces fesses bombées, charnues, plates ou grosses, toutes les fesses me plaisent, qu'elles soient bronzées ou non.
Pendant ma pause du début d'après-midi je suis toujours en train de mater. Je sais que certaines femmes s'en rendent compte et en rajoutent un peu, et c'est encore plus excitant. Je suis voyeur, elles sont exhibitionnistes. La direction accepte le mode "Seins nus " dans l'enceinte du camping.
Sur le chemin pour rentrer à mon bungalow, je vois Claire marcher seule en direction du bois qui borde le camping, jetant parfois un regard derrière elle. Je la suit et la trouve adossée à un arbre, entièrement nue, un homme à genoux entre ses cuisses. La tête coincée entre ses cuisses, la bouche collée à son sexe et le nez enfoncé dans le triangle de poil. L'homme passe une jambe de son amante par-dessus son épaule pour faciliter l'accès à l'intimité de Claire. Elle l'agrippe par les cheveux et se frotte violement contre cette bouche, cette langue qui la pénètre. Claire lâche de petits cris, de longs gémissements. Ses tétons dressés sont pincés, tirés. L'homme, d'une trentaine d'année se relève et baisse son short sur les genoux. Je commence à bander. Regardant à mon tour autour de moi pour vérifier si je suis seul, je sors ma bite. Claire pousse un cri lorsqu'il la pénètre d'un coup sec, cri vite étouffé par un baiser. Je vois les mouvements de l'homme de plus en plus rapide, son bassin claque avec force contre Claire qui passe ses bras autour de son cou. Je glisse ma main sur mon sexe maintenant dressé en cadence avec l'homme.
Une branche craque. Une femme apparait sur ma gauche. Elle se cache des deux partenaires.
Elle se déshabille et se caresse en les regardant baiser. Elle se laisse glisser dos contre l'arbre, écarte les genoux et se caresse, se branle vite. L'autre main caresse sa grosse poitrine aux larges auréoles. Mon regard passe de l'une aux autres. L'homme a passé ses bras sous les cuisses de Claire et la laisse retomber sur sa bite couverte de jus. Je tourne la tête vers la nouvelle venue et je croise son regard. Elle me sourit et se place face à moi pour que je puisse la mater. Je fais pareils de mon côté et exhibe ma bite dure, couverte de salive, je caresse mes couilles de l'autre main. J'entends Claire qui gémit de plus en plus fort, l'homme râle. J'éjacule lorsque je vois la femme à genoux écraser sa main entre ses cuisses puis les rouvrir comme les ailes d'un papillon, avoir des mouvements du bassin saccadés et expulser un liquide à plusieurs centimètres devant elle. Claire et l'homme se séparent, je retourne au camping en silence.
Un groupe de cinq femmes, âgées entre vingt-cinq et quarante ans, est arrivé il y a trois jours au camping. Deux d'entre elles sont en couple. Elles s'embrassent sans gêne autour de la piscine, se tiennent la main, ou bras dessous dessus, ouvertement dans les allées du camping. A ma pause du matin, je reste pour les regarder au bord de la piscine. Leur cul est bombé, les fesses larges ou alors petits avec la raie des fesses profonde cachant ainsi le maillot de bain. Toutes ont décidé d'être seins nus. Allongées sur le dos sur le transat, je ne peux m'empêcher de les admirer. Ces dômes de chair exposés au soleil et au regard sont un appel à la caresse, à des baisers. Leurs auréoles brunes surmontées de tétons longs, larges sont un délice. L'une d'entre elles se lèvent, prends un flacon dans son sac et s'assoit sur les jambes de sa collègue. C'est une jeune femme au crâne rasé et sa peau couleur ébène contraste avec les autres. Elle fait couler de la crème sur le buste de son amie. Elle étale la crème du bout des doigts sur le ventre rond puis remonte sur les gros seins qui pendent sur les côtés. Sa caresse est lente. Ses doigts s'enfoncent dans la chair molle du ventre. Les mains de la masseuse empoignent les seins en s'arrêtant sur les tétons qu'elle titille avec ses doigts. Elle cambre les reins, frotte son bas ventre sur celui de son amie qui n'hésite pas à lui empoigner les fesses. Les deux autres ne bougent pas, seule la troisième est allongée sur côté, la tête posée sur le coude plié et mate la scène. L'autre main navigue entre ses petits seins et son entre cuisse. La masseuse du groupe se penche et frotte sa poitrine contre celle de sa partenaire. De mon côté, j'ai la main dans mon short et je caresse mon gland décalotté et humide.
- " Tu vas bien ? " me demande Lucette en s'approchant de moi un large sourire aux lèvres.
Elle s'assoit à côté de moi. Elle porte un pagne aux couleurs vives. Nous discutons un peu. Je garde les yeux rivés sur les cinq femmes. La masseuse en arrive à la dernière de ses amies. Elle commence à passer la crème sur le buste, en s'attardant sur la poitrine de la taille d'un melon. Les tétons dressés sont un appel à la caresse que ne manque pas de prodiguer la masseuse. Puis les mains descendent sur le ventre. La femme allongée cambre les reins. Les poitrines se rapprochent, les seins se frottent, les tétons se titillent. Ma main glisse sur mon short et je presse ma bite. Je regarde Lucette du coin de l'oeil. Elle aussi a le regard pointé vers les cinq femmes. Elle garde les cuisses et se frotte à travers le pagne, l'autre main caresse un téton dressé. La main qui caressait le sein se pose sur ma cuisse, puis monte. Elle écarte un peu le short et caresse mes boules gonflées. Ma bite dressée tend le tissu du short.
Sur le transat, le massage se poursuit. La femme brune a les jambes écartées sur les accoudoirs, et le peau d'ébène à genoux au milieu. Quelques regards autour d'elles pour voir si personnes n'approchent et les mains s'agitent entre les cuisses ou sur les tétons. Comme celle de Lucette sur ma bite maintenant à l'air. Ses doigts encerclent ce morceau de chair aux veines saillantes. J'avance une main entre ses cuisses pour toucher sa fente humide. Le clito est dur, je le pince. En retour elle resserre ses doigts sur ma bite qu'elle branle de plus en plus vite et fort. Les deux femmes sur le transat, se frottent la poitrine, je vois des mains attr des fesses ou se glisser entre les cuisses. Elles s'embrassent à pleine bouche. J'entends Lucette gémir, mes doigts s'enfoncent en elle en cadence avec sa main que ma bite. Elle resserre les cuisses lorsque je pince son bouton et le fait tourner. Elle mord sa main pour un cri lorsqu'elle jouit. Je ne tarde pas à exploser lorsqu'elle pose son pouce et index en cercle sous le gland et qu'elle tourne en serrant. Mon jus coule sur sa main et sur mon short. Les cinq femmes sont allongées chacune sur son transat, le corps brillant de crème solaire. Lucette se lève et s'éloigne après m'avoir invité à passer quand je veux dans son bungalow.
Le ciel est nuageux aujourd'hui. Il a plu toute le nuit. Je passe à la réception du camping. Julie me dit d'un ton sec que le bungalow 17 a une fenêtre ouverte et coincée, qu'il y a une fuite au 32. Julie, femme d'une quarantaine d'année, souriante avec qui elle veut, surtout avec les hommes de soixante ans passés. Quand un homme lui plaît, elle ne manque pas de répondre à ses attentes, d'être toujours présente pour eux, et de venir se trémousser au bord de la piscine ou près de leur bungalow.
Il y a trois semaines maintenant, un homme arrive au camping. Il a le bungalow 7, proche de l'accueil. Julie porte une jupe très courte et un tee-shirt à bretelles. Sa forte poitrine est comprimée et déborde sur les côtés. Quand elle voit d'autres femmes porter cette tenue, elle dit que c'est vulgaire, obscène....et pourtant ! Elle discute avec le touriste du bungalow 7 assis sur un fauteuil. Julie est debout à côté de lui, les mains en appui sur la table. Dans cette position, les bras tendus serrent sa poitrine gonflée, les tétons étirent le tee-shirt. Après quelques minutes de discussion durant lesquelles Julie rie sans arrêt, l'homme jette un coup d'oeil autour de lui. Il me voit dans le bungalow d'en face. Un petit sourire et il passe son bras autour de la taille de Julie. Il lui caresse les fesses en passant sous la jupe tout en continuant à discuter avec elle. Son bras fait des mouvements en cercle puis s'immobilise. Julie ouvre la bouche comme si elle veut gober un oeuf, puis écarte les jambes. Le bras de l'homme commence à bouger, Julie est maintenant en appuis les coudes sur la table, le cul en mouvements saccadés. De son côté l'homme caresse sa grosse bite. Julie tend le bras pour la caresser, la branler en rythme avec la main de l'homme. Le tee-shirt relevé les seins nus apparaissent, les tétons frottent contre la table. Elle se mord le bras lorsqu'elle resserre rapidement les jambes. Elle donne de rapides coups de reins sur la main sous sa jupe. Une crème épaisse gicle de la bite de l'homme et coule sur la main de Julie qu'elle porte à sa bouche. Elle remet un peu d'ordre dans sa tenue et retourne à la réception.
- " Mais c'est une cochonne ! " me dit Lucette alors que nous discutons assis dans l'espace jeu. Nous avons dîner ensemble pour répondre à son invitation. Il fait frais ce soir. " Est-ce qu'il y a eu d'autres moments où tu l'as mâté ? " me demande-t-elle.
- " Oui plusieurs fois " répondis-je simplement.
Deux silhouettes marchent dans notre direction. Lucette est assise à califourchon sur le banc, un bras autour de ma taille, l'autre en haut de ma cuisse. Le couple s'arrête à côté de nous.
- " Bonsoir " dis la jeune femme en compagnie d'un homme. " Il fait encore chaud ce soir, on est bien".
Nous engageons le discussion quelques minutes.
- " Nous allons vous laisser " répond l'homme entraînant sa partenaire vers la piscine.
Nous les regardons s'éloigner. Ils ne perdent pas de temps et s'embrassent, se caressent. Ils se mettent nus. Tout comme Lucette qui ne perds pas de temps pour glisser sa main dans mon short. Elle encercle ma bite et la branle doucement d'abord. Elle fait tourner ses doigts sur et autour du gland décalotté. Ma main glisse entre ses cuisses, ne rencontrant aucun sous-vêtement sous son pagne qu'elle dénoue. J'entends des cris venants du couple qui baise allongé au bord de la piscine. Lucette me suce, me caresse les couilles. La femme au bord de la piscine crie, jouit puis plus un bruit. Je baisse la tête pour vois Lucette à genoux entre mes cuisses, ma bite dans la bouche. Elle glisse mon sexe entre ses seins, tape ses tétons avec le gland humide puis l'enfonce à nouveau au fond de sa gorge. Je distingue un mouvement dans la nuit, un ombre à quelques mètres de nous. A la faible lueur d'un réverbère, je vois une femme qui nous observe. Elle est accroupie et je vois sa main s'agiter entre ses cuisses. Je suis à mon tour regardé, épié. Cela m'excite encore plus. J'att la tête de Lucette pour l'embrasser.
- " On nous mâte " dis-je à son oreille.
Elle sourit et reprend la fellation. Elle accélère les mouvements de ses lèvres sur ma bite. Elle caresse, presse mes boules. Je tends un bras pour la fesser. Le son claque, comme celui d'un fouet, sur son cul. La mateuse se branle plus vite et plus fort. La bouche de Lucette est chaude, la salive coule sur mes couilles. J'appuie sa tête une dernière fois pour m'enfoncer au fond de sa gorge, sentir sa langue contre ma tige. Lucette recrache ma bite pour que j'éjacule sur son visage, ses seins. Je souhaite une bonne nuit à Lucette.
Il fait lourd ce matin, le ciel est nuageux, l'orage n'est pas loin. Aux premières gouttes les touristes courent se mettre à l'abri. D'autres restent à leur place tant qu'il n'y a pas une grosse pluie battante. Je range les parasols. En passant devant la réception, je vois Julie assise derrière son bureau, calée au fond du fauteuil. Elle ne répond pas à mon bonjour, trop absorbée pour discuter avec un client. Dans ce genre de situation, je sais qu'elle ne veut pas en rester aux simples bavardages. Elle joue avec le col de son chemisier, décroise les jambes en prenant le temps de garder les cuisses écartées quelques secondes avant de les croiser à nouveau. Elle se penche aussi en avant pour que son voisin puisse plonger le regard dans son décolleté. Lorsque le client s'en va elle glisse discrètement une main entre ses cuisses et dans sa culotte quand elle en porte une et se caresse. Elle regarde par la fenêtre pour voir si personne n'arrive puis passe une jambe sur le bureau. Elle pince un téton à travers le chemisier, frotte avec force et rapidité sur son pubis, entre ses cuisses. Je mâte cette femme qui att ce qu'elle trouve à portée de main pour se l'enfoncer entre les fesses. La scène est obscène, vulgaire mais excitante. Elle lâche de petits cris étouffés par sa main. Elle frappe son clito avec une règle, ce qui la fait jouir.
Le camping est un lieu idéal pour faire des rencontres, pour discuter avec des hommes et des femmes qui oublient parfois qu'ils sont observés. Ces corps sous le soleil, allongés sont un appel à la caresse. Certaines femmes ne se cachent pas pour se donner du plaisir, mais d'autres au contraire essaient de le faire discrètement. Je ne compte pas le nombre de fois où j'ai vu des mains se glisser entre des cuisses serrées sur un transat, ou des doigts venir titiller un anus à peine cacher par un maillot. Sans compter les seins laissés aux regards de tous qu'un mari ou amant vient masser, caresser ou passer de la crème solaire. Je vois ses mains d'homme ou de femme prendre les seins à pleine main, les soupeser, les caresser en s'attardant parfois sur les tétons. Quelques fois une femme passe de la crème sur son homme, et c'est tout aussi excitant. Elle prend le temps de couvrir le torse de son homme, joue parfois avec les tétons comme il lui a fait avant. Les mains glissent sur le ventre, les cuisses. Un petit regard autour et la main huilée se pose sur le slip de bain. Quelques mouvements, quelques pressions et une érection apparaît. D'un geste habile la main tire sur l'élastique du slip et laisse sortir le gland gonflé et décalotté. Les doigts couverts d'huile caressent cette partie très sensible du sexe masculin. Après quelques minutes de ce traitement, l'homme ne peut se retenir et laisse échapper son jus, ou la caresse s'arrête, le sexe est à nouveau couvert par le slip de bain.
La saison est terminée. Je passe à la réception pour rendre les clés du bungalow. Julie est assise derrière son bureau. Contrairement à son habitude elle me sourit, peut-être parce qu'on ne va plus se voir. Je laisse les clés et une enveloppe pour elle puis je pars. Je ne sais pas qu'elle sera sa réaction quand elle verra les photos dans l'enveloppe. Des photos d'elle pendant ses moments de plaisirs en solitaire ou accompagnée durant la saison.

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