Esclave À Temps Partiel (2)
Constatant quelle nest plus vierge, jintroduis un doigt puis deux dans son vagin. Il est dune douceur remarquable. Je fais comme avec un sexe dhomme et cela la fait gémir encore plus fort tout en accompagnant le mouvement avec sa croupe. Ses sécrétions intimes coulent bientôt le long de ma main en un mince filet blanchâtre. Soudain, il me semble entendre comme un bruit de zip venant de derrière :
- Philippe ! What are you doing ? lance Lydia.
- Tu le vois bien, Sugar, je vais prendre mademoiselle par derrière ! Si bien sûr elle ny voit pas dinconvénients
- Monsieur, au contraire, ce sera avec grand plaisir ! lui réponds-je, tandis que je continue à trifouiller lintimité de la petite.
- Bien ! Décidément vous êtes parfaite ! Et votre cul est absolument divin ! Je vais essayer de faire de mon mieux pour lhonorer.
Je sens un morceau de chair dure et chaude me caresser la raie des fesses puis, plus délicieusement, lentrejambe. Je suis maintenant toute mouillée et me met à onduler du bassin. Lhomme écarte le petit bout de tissu de mon string, cherche lentrée de mon vagin et me pénètre dun coup. Son sexe semble très épais et me brûle un peu au début. Je reviens à mon cunnilingus sur Karine, laquelle est sur le point de jouir. Jaccélère mon mouvement de langue sur son petit bouton et presse de plus en plus fort, particulièrement à chaque coup de rein que son père menvoie dans le derrière.
- Please dont cum ! Keep your hot cream for me, lance Lydia à Philippe !
Karine jouit en criant assez fort. Elle métouffe bientôt entre ses cuisses. Je mapplique à bien laper sa jouissance. Le goût nest pas désagréable, il me rappelle ma période Lesbos, cependant je préfère quand même celui du jus dhomme. Question dhabitude, sans doute ! Je vais maintenant magenouiller entre les cuisses de Lydia. Philippe sest retiré et ma reprise tout de suite en levrette. Le visage passablement souillé, je recommence mon travail de chaton.
Au bout dun certain temps, jen ai quand même un peu ma claque ! Et lautre qui me bourre le cul avec son engin : jespère quil ne va pas décharger dans mon ventre.
Heureusement, je me sens partir à mon tour et en profite pour exagérer mes gémissements. Finalement, Lydia et moi, nous jouissons presque en même temps. Cette dernière provoque même les vivats de toute lassemblée, tant ses cris sont communicatifs ! Après cela je reprends mes esprits, période que met à profit Karine pour sagenouiller devant Philippe et lui administrer une fellation débridée. Elle est bientôt rejointe par Lydia, laquelle semble avoir bien récupéré de mon traitement de choc.
Pendant ce temps, la dame me fait asseoir dans un fauteuil et me retire brutalement mon string, le roulant en boule sans ménagement. Elle a très envie de me lécher et semble apprécier mon épilation. En tout cas, javoue que je ne me fais pas prier pour écarter et relever mes cuisses. Elle approche son visage, relève son masque, puis me laboure avec passion lintimité, sa langue jouant divinement bien entre mes lèvres, à lentrée de mon trou de pipi, contre mon bouton. Jessaie de ne pas fermer les yeux pour voir où en sont les deux petites traînées avec Philippe. Elles sont arrivées à leur fin : alors quon aperçoit clairement dépaisses coulures blanches dégouliner de leurs masques jusquau menton, elles semploient à se les partager goulûment comme des furies en manque.
Je retourne alors à ma place, derrière le rideau. Je procède à une petite toilette de chat avec les petites serviettes chaudes mises à ma disposition, puis réajuste mes vêtements. Je me restaure un peu en débutant un plateau-repas jusquà ce que la place numéro 6 clignote. Comme la consigne lexige, je me brosse et me rince les dents rapidement. Et me voici bientôt en vue des fauteuils numéro 6 et 7. Ils sont occupés par un couple dâge mûr, dans la soixantaine, plutôt stylé. La femme est tirée de partout, je le remarque même avec son masque ; cest une brune robuste, une méditerranéenne. Lhomme, bien quassis, me semble très grand. Également brun, cendré, il me rappelle vaguement un acteur de séries TV mais ses yeux cachés mempêchent dêtre plus précise dans mon jugement. Ils commandent un apéritif standard : scotch et bourbon, avec les amuse-gueule qui vont avec. Lorsque je reviens avec le plateau, la femme sort un pilulier. « Cest un petit remontant pour mon mari », me dit-elle dun air complice. Elle mexplique quel va être mon rôle.
Lhomme déboutonne le haut de mon chemisier et passe une main à lintérieur, débutant un massage assez appuyé. Son autre main est occupée à chercher mon string en soulevant le bas du chemisier. Pendant ce temps, sa femme saffaire à défaire sa braguette et baisser son pantalon, celui-ci laissant bientôt apparaître un slip mini de couleur noire. « Il lui faut un peu de temps pour être en condition », me souffle-t-elle à loreille, alors que son mari a finalement découvert toute ma poitrine et défait ma jupe. Une main sest insinuée sous le tissu de mon string et frotte délicieusement mon sexe, cependant que la bosse du monsieur commence à prendre forme. Je réponds à sa caresse en ouvrant largement les cuisses et en ondulant du bassin. La femme sagenouille alors entre les jambes de son mari et entreprend de masser la bosse en question. Elle le fait avec beaucoup dapplication et de persévérance jusquà ce que le tissu soit outrageusement tendu.
La femme minvite à venir lhonorer avec elle, à genoux. Cest elle qui entame les débats, par le sommet, me laissant le contrôle du reste. Je descends et je remonte lentement avec le bout de la langue sur la surface à ma disposition. Une fois fixée tout en bas, jéprouve toutes les peines du monde à gober chacune de ses boules, alors que leur peau est pourtant des plus relâchée ! Après notre permutation, je reste un moment à masturber et observer le fonctionnement de cet épais mandrin (à vue dil, plus de 5 cm de diamètre), à décalotter son gland etc
Lorsque je débute ma fellation, je suis obligée décarter au maximum la mâchoire afin de ne pas le râper avec les dents ! Heureusement quil nest pas très long, peut-être 15 cm, ce qui ne mempêche cependant pas dêtre plusieurs fois au bord de l ! Dautant que le monsieur, après avoir défait mon chignon, me force avec insistance à le prendre jusquau fond de ma gorge.
La femme demande alors sil se sent en forme pour me pénétrer. Suite à sa réponse positive, je lenjambe et massois sur lui, mempalant littéralement sur son sexe, sa femme me guidant en me caressant les fesses et le bas du dos. La pénétration est un peu difficile car je suis plutôt étroite et nai, de plus, pas lhabitude dêtre aussi pleinement « comblée ». Je suis obligée de redoubler de contractions intimes pour lavaler entièrement, ce qui savère assez fastidieux. Au bout dune bonne minute, alors que je commence à peine à prendre mon pied, le monsieur mindique quil est sur le point de jouir. Je me retire donc tout de suite et magenouille pour recueillir sa semence, ainsi que sa femme me la demandé : « surtout, prenez bien tout, me dit-elle ». Il éjacule bientôt longuement dans ma bouche, sans beaucoup de puissance mais en grande quantité.
Un répit dune demi-heure me fait ensuite le plus grand bien. Ouf ! Mais alors que je métais endormie, le voyant 17 sonne à nouveau. Un attroupement en cercle dune dizaine de messieurs mempêche datteindre le couple avec les jeunes délurées. Je dois jouer des coudes et mexcuser pour apercevoir Lydia, seulement vêtue de sa petite culotte, en pleine séance bukkake, une queue dans chaque main et en train den sucer avidement une troisième. Le monsieur, parmi les heureux élus, filme la scène : « son premier bukkake », me confie-t-il avec fierté
Jai manifestement manqué les premiers épisodes, le visage et les cheveux de la jeune fille étant déjà bien maculés de sperme. Je vais jusquà la dame, métonnant de trouver Karine à ses côtés, en simple observatrice. Cest que, me dit-elle, le commandant de bord la invitée à visiter le cockpit. Et elle me demande aussi de laccompagner. Or, le commandant, cest Manu, mon homme ! Je redoute donc le pire
- Je vous amène Mademoiselle qui a très envie de vous voir. Vous lui avez promis une visite du cockpit, je crois ?
- Oui, tout à fait, entrez ! (Manuel quitte son poste et se lève pour nous accueillir. Nous faisons mine de ne pas nous connaître plus que ça). Comment vous appelez-vous, Mademoiselle ?
- Je mappelle Karine. Cest la première fois que je vais dans un cockpit avec tous ces écrans, ces lumières. Its wonderful !
- Que souhaitez-vous que je vous montre dabord : la radio, le poste de pilotage ? Voulez-vous que je vous explique comment on conduit un avion ?
- Oh non, pas besoin. Vous savez mon père est aussi pilote et my sister and me, nous prenons des leçons de pilotage depuis plusieurs mois. Je viens dabord ici to fuck with you, sort-elle devant le copilote, amusé.
- Hum ! Évidemment, dans ce cas, voulez-vous vous installer dans un fauteuil ?
- No thanks ! Je préfère rester debout avec vous, comme ça !
- Voulez-vous que je me retire, demandé-je à la jeune délurée ?
- No, no ! Please stay here with me ! (elle veut me faire craquer, ma parole !)
(à suivre)
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