La Dame Du Parc
Depuis mon adolescence, j'ai développé une forte attirance pour les pieds féminins. D'abord simple fantasme, je me suis découvert par la suite une envie de me soumettre. Il faut dire que dans la vie de tous les jours je suis un jeune homme relativement timide qui a toujours préféré obéir plutôt que commander. Malheureusement, ne connaissant aucune femme intimement, mes fantasmes restaient solitaires. Pourtant vers mes 20 ans, j'ai vécu une expérience que je ne suis pas prêt d'oublier.
Un jour, pendant mes vacances, je décide d'aller me promener dans le jardin public de la ville. Cette dernière est une petite bourgade de campagne, ni trop peuplé ni trop déserte. Alors que je me ballade parmi les allées, je finis par m'installer sur un banc et, profitant du beau temps, m'allonge afin de me reposer. Quelques minutes plus tard, une femme me réveille d'un ton strict :
- Dites-donc jeune homme, vous pourriez faire moins de bruits, vos ronflements m'empêche de lire !
- Pardon madame, dis-je en murmurant.
- Plus fort ! s'écrie-t-elle. Je veux vous entendre correctement vous excuser !
- Je vous prie, madame, de bien vouloir m'excusez de vous avoir dérangé. Dis-je sur un ton certes plus audible mais tout autant intimidé.
Sans même savoir pourquoi, je venais de présenter des excuses à cette femme alors que je n'avais rien fait. Ce n'était tout de même pas de ma faut si elle était venue précisément sur le banc d'à côté pour lire ! Pourtant, son ton, son allure ou peut-être simplement ma docilité, tout me donnait envie de m'excuser auprès d'elle et de me faire pardonner.
- Redressez-vous jeune homme ! Vous n'êtes pas dans votre canapé que je sache !
Je me redresse et lance à demi-mot : « veuillez m'excusez madame ». Sa voix devint plus douce et elle me demande alors :
- Tu manques de savoir vivre mais tu sais obéir, c'est déjà ça.
- Oui, madame.
- Viens par ici, je vais t'apprendre les bonnes manières.
Sans réfléchir, je me lève et m'assois à côté d'elle. Son ton est plus calme mais toujours aussi strict.
- Je vais reprendre ma lecture, quant à toi tu te tais, tu ne bouge pas et surtout tu ne me dérange pas. C'est compris ?
- C'est compris. Répondis-je
- Compris qui ?! gronda-t-elle
- Madame ! C'est compris madame.
- Bien, bon garçon.
Pendant de longues minutes je reste là, immobile sans rien dire ni rien faire à part contempler la femme assise à mes côtés. Plus âgée que moi, elle semble avoir une quarantaine d'années. Elle est brune, les cheveux relativement long attachés en queue de cheval. Ses yeux sont d'un bleu très pâle et souligne un teint tout aussi claire. Délicatement, elle tourne les pages sans même faire attention à moi. Puis, après en avoir lu une dizaine, la femme se tourne vers moi :
- Pour t'occuper tu peux nettoyer mes chaussures, regarde elle sont sales. J'ai des lingettes dans mon sac, fais-ça bien, sinon tu auras affaire à moi.
- Oui, madame. Répondis-je docilement.
Je saisis alors son sac, sors de quoi nettoyer les chaussures et me met à la tâche. Elles ne sont pas si sales que ça ces bottines, elle exagère un peu. Pourtant je ne peux m'empêcher de m'appliquer. Au bout de quelques minutes mon travail est terminé et, tout fière me tourne vers la femme en lui présentant ses chaussures, je n'ose rien dire de peur de la déranger. Au bout d'une minutes ou deux, elle ferme son livre, regarde mon travail, inspecte si tout a bien été nettoyé avec la même attention puis les pose au sol.
- « C'est bien jeune homme, tu as fait du bon travail ». Elle me donne de petites tapes sur la joue, me faisant ressentir de la fierté mais aussi un peu d'humiliation. Elle me prend pour son domestique ou quoi ?
- J'ai fini de lire pour aujourd'hui, dit-elle. Je vais me reposer sur se banc. Pendant ce temps, tu vas me masser les pieds, c'est la moindre des choses que tu puisses faire n'est-ce pas ?
- Oui, madame bien sûr.
Alors qu'elle m'avait disputé pour avoir dormi sur un banc, voilà qu'elle fait de même ! C'est injuste. Pourtant je ne ressens aucune colère, il me semble normal qu'une telle femme puisse faire ce que bon lui semble. Je sens alors ses jambes se reposer brusquement sur mes cuisses.
- Au boulot ! Lance-t-elle le sourire au lèvre.
Je commence par installer correctement ses jambes sur moi pour rendre le moment le plus confortable possible pour elle. Puis, hésitant, je prends le premier pieds et commence a masser délicatement à travers ses chaussettes. Je sens la chaleur de ses pieds du bout des doigts, une forte excitation commence à monter mais je tente de me concentrer. Je masse le talon, la voûte plantaire puis les orteils. Quand j'ai fini avec l'un je m'attelle au second. J'alterne ainsi de longues minutes sans un mot, sans bouger, en attendant juste un nouvel ordre de cette femme si sûre d'elle. Après un certain moment, elle se relève et remets ses chaussures après avoir enlevé ses chaussettes. Elle se lève alors et me les tend.
- Tiens, c'est ta récompense pour avoir été un bon garçon et t'être fait pardonné. Reviens demain à la même heure, au même endroit si tu veux me servir à nouveau. A présent, rentre chez toi !
Sans même me laisser le temps de la remercier ou de lui dire au revoir, elle me tourne le dos et s'en va. Je reste seul sur ce banc, la paire de chaussette dans les mains. Je suis si heureux de cette récompense que je ne pense plus à rien si ce n'est revenir demain.
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