Un Bel Été 3
Un bel été 3
Première soirée chez David
David met mon vélo dans sa voiture et nous partons chez lui.
Il a posé sa main large et un peu rêche sur ma jambe gauche puis nos mains se sont rejointes dans la même harmonie.
Il me demande quand même si j'avais quelque chose de prévu pour la soirée. L'après midi que nous avons passé en compagnie de Roland a été merveilleuse. J'ai jouis deux fois sous leurs coups de bite. Pour mes débuts à me faire baiser, je trouve que je suis bien tombé avec Roland et David, certes pas du même âge que moi mais câlins, absolument virils, respectueux.
" Tu sais David, j'ai envie de passer la nuit avec toi mais je ne voudrais pas que tu sois déçu. Je suis pas sûr de tenir le coup.
David est tellement mâle, tellement viril, bien bâti, puissant, je ne sais pas ce qu'il attend de moi. Il rebandait déjà avant de monter dans la voiture.
" Ne t'inquiètes pas, Laurent, tout va bien se passer. Je ne t'ai pas brutalisé ?
" Non
..
" Tu me plais énormément et j'ai trop envie de te juter dans le cul.
et il me serre un peu plus la main puis il continue:
" J'ai très envie de passer la nuit avec toi, Laurent. T'as bien aimé quand je t'ai baisé ?
" En fait, quand je t'ai vu, j'avais trop envie de toi.
" J'ai bien vu ça.
Je ne suis pas habitué à un tel régime sexuel mais le bonheur et l'excitation, le fait de se sentir bien avec quelqu'un, je me sens zen. David m'a proposé de passer la nuit avec lui, c'est inespéré. Même si le connais depuis tout juste trois heures, j'ai l'impression que si j'avais refusé, je le regretterais toute ma vie.
Si j'avais vu sa photo sur une revue porno, c'est sûr que je me serai branlé en le regardant, jusqu'à éjaculation, bien qu'il n'ait pas du tout le profil des mecs des magazines gays.
.
Nous roulons sur des petites routes ou il me serait impossible de me repérer.
Le corps humain a ses exigences et une envie pressante est là. David s'arrête à l'entrée d'un petit chemin et en profite aussi pour soulager sa vessie.
Sans la moindre gêne, il pisse à côté de moi, sans se tourner. Nous sommes côte à côte, la queue sortie et nos jets d'urine s'étalent sur l'herbe. Curieusement, pour la première fois de ma vie, je me sens un homme. Je viens pourtant de me faire enculer tout l'après midi et, là, sur cette route de campagne, je me sens accepté, l'égal d'un vrai mâle. Il n'a pas cherché à me voir pisser, ni à m'épater avec sa belle et longue queue. Il ne me dévalue pas et n'essaie pas de comparer nos tailles de bites. Jamais quelqu'un n'a eu autant d'aisance près de moi. Il l'a secoue, la décalotte un peu puis la remet à sa place sans s'inquiéter de moi. D'un geste amical, comme pour un ami, il pose sa main sur mon épaule et me dit:
" On y va, Laurent.
D'un commun accord, nous nous arrêtons devant des petits commerces afin de prévoir le nécessaire pour manger. Il est vif, agréable, soucieux de mes goûts, discret, aucun geste déplacé à mon encontre. Nous avons l'air d'un père avec son fils, voire d'un oncle avec un neveu. Du point de vue taille, il est un peu plus grand que moi. Bien sûr, il est épais, musclé, d'une puissance qui impose le respect. Le genre de mec qu'on va pas énerver.
Il faut dire que si David fait très viril, moi, physiquement, je ne fais pas tarlouze, comme on dit. J'ai un profil tout à fait normal de jeune homme, bien galbé quand même, aucune manière de gonzesse, bien au contraire. Une peau légèrement ambrée, un petit duvet naissant ( et un petit cul bien chaud, bien sûr, depuis quelques jours ).
Les courses sont vite faites et nous repartons.
Sur la route, il reprend ma main, heureux, chaleureux, des éclairs d'amour dans les yeux.
" Ca va, Laurent?
" Oui, oui, je suis content d'être avec toi.
" Laurent, j'ai énormément apprécié que tu me laisses te juter dans le cul. Tu sais, j'avais des capotes dans mes poches, si t'avais pas voulu.
" Tu sais, David, j'avais envie que tu me jutes dans le cul.
" Ca fait bien longtemps que j'avais pas baisé un petit jeune comme toi. J'ai trop envie de t'en donner une autre tournée. Je vais te faire découvrir le sexe. T'es d'accord.
" Je suis d'accord.
" Roland avait un peu compris que tu débutais. Il a pris soin de ton petit cul, hier, la preuve, tu as aimé. T'as vu, on t'a bien pris tous les deux, tu as aimé, on t'a pas fait mal.
Puis il continue
" ça m'aurais vexé si t'avais pas voulu venir avec moi cette nuit
.. On arrive tout de suite, Laurent. T'inquiètes pas pour demain, je te ramènerai chez toi.
Je le sens fou de désir pour moi. Et je le suis tout autant pour lui.
" Bon, il faut que je me calme. Je bande comme un cerf, si les voisins me voient ils vont comprendre que je vais te baiser.
Il habite dans un endroit calme, presque isolé dans la campagne mais super agréable, avec une vue sur un petit étang. Son chien nous accueille.
David le caresse puis ils viennent se coller à moi.
" Laisse le te sentir.
Le chien comprend que son maitre m'accepte, me lèche les doigts, ne montre aucune agressivité.
Nous rentrons chez lui pendant que le chien, rassuré, continue sa garde librement à l'extérieur.
Son intérieur est très masculin, chaleureux.
Il me dit de descendre un peu les volets roulants pendant qu'il ferme un peu plus ceux de sa chambre. De là, il m'appelle
je le rejoins
Il m'ouvre ses bras, souriant, m' invite, me reçoit contre lui, m'enlace, me serre.
Dans la pénombre, dans l'intimité de sa chambre, sans Roland à proximité, sa tendresse et sa douceur s'épanouissent. Il cherche mes lèvres. Il en butine les sucs, en découvre les aspérités puis, sûr de lui, sa langue force ma bouche, nos salives se mêlent, il me prouve son désir, les yeux fermés
.c'est le bonheur
.le temps est suspendu. Sa salive est salée, abondante, d'un goût exquis. Il me dévore la bouche, m'impose sa langue comme il m'a introduit son sexe tout à l'heure. Je peine à respirer. J'en pleurerais tellement c'est bon.
Puis, d'une infinie tendresse, il me laisse répondre à ses baisers, goûter son visage, caresser sa nuque, assouvir ce besoin que j'avais de lui montrer mon désir pour lui. J'en avais tellement envie de ce petit moment. David était lui aussi sur la retenue et là, maintenant, il n'hésite pas à m'embrasser, m'offrir le meilleur de sa douceur. Sous son aspect rugueux, très mâle, il sait être tendre, câlin. Il sait qu'il pourra profiter de mon corps lorsqu'il le voudra.
Il me soulève, pousse un ou deux bibelots, me pose sur un meuble et nos corps se cherchent, à bonne hauteur. Tel qu'il m'avait découvert chez Roland, il parcoure mon corps, passe ses mains larges et calleuses sous mon teeshirt, cherche mes tétons, mes reins. Le moment est magique. Je sens son envie qui s'exprime, son désir pour moi. La porte laissée un peu entre-ouverte laisse passer un minimum de clarté
.les sens se révèlent.
" Tu sens bon, Laurent.
Son commentaire sur mon odeur me fait énormément plaisir. Lui qui dégage un parfum boisé et cuir à la fois, s'il savait que je suis fou de lui, de son odeur de mâle dominant, il me baiserait là, tout de suite.
" David, j'ai envie de te faire la même chose.
Heureux que je ne reste pas totalement passif, que je le désire, je le sens me regarder. Peut être a-t-il l'habitude de tout diriger? J'ai envie, tout simplement.
" Oui, je veux bien, Laurent. Fait ce que tu as envie.
Il me descends du meuble et va s'allonger, s'étendre de tout son long sur le lit, se livre à mes envies. Il est beau, magnifique, la queue bandée dans son bermuda kaki, rien que pour moi.
Je commence par lui caresser les bras puis remonte à ses épaules larges, sculptées. Je me couche sur lui pour le respirer, imprimer son musc en moi, poser mes lèvres sur son cou, oublier volontairement ses lèvres qui m'attendent. Je parcoure tout son corps, le ventre, les têtons que je sens durcis sous le teeshirt, lui frotte la braguette tendue, pleine de désir, puis continue vers les cuisses imposantes pour finir jusqu'aux orteils que ma bouche goûte.
Lorsque je remonte, un peu perdu tant tout me plait en lui, ma main le frôle, passe sous le teeshirt et explore sa poitrine musclée.
Sa main me bloque soudainement, il me bascule, ne tenant plus, m'enlace et vient me rouler une pelle virile, merveilleuse, bave sa salive en moi, me couvre de son ardeur, salivant tout mon corps.
Il m'arrache mes vêtements, se débarrassant des siens en même temps avec une dextérité incroyable. Il ne contrôle plus rien, suivant son instinct de mâle reproducteur.
Nos corps s'enlacent, cherchant une issue à cette fièvre. Ses mains parcourent mon corps qui s'offre à lui, le désire. Dans la chaleur de l'été nos corps suent. Mes mains s'accrochent à sa nuque, à son dos, à ses reins, l'invitent à prendre possession de mon corps.
Lorsque nos mains se rejoignent, c'est pour mieux repartir vers le bas de nos corps qui réclament eux aussi leur part de bonheur. Son sexe est dur, arqué vers son nombril, chaud et plein d'espoir de remplir sa mission. Ma main le caresse, en découvre toute la beauté, la grosseur, la longueur, la dureté, pendant qu'il titille mon petit trou enflammé, humide, avide d'accueillir son sexe merveilleux. D'un doigt expert, il m'ouvre. Je le laisse cracher dans sa main et il vient m'enduire la rosette qui le reconnaît et le laisse prendre possession des lieux.
Sans un mot, ivres d'amour, nos corps s'ajustent. Sans que David ne me le demande, je m'offre à lui, me tourne sur le ventre, comme il aime. Il vient s'introduire en moi. Son gland écarte ma rosette et poursuit son chemin, m'arrachant un gémissement de plénitude, de bonheur. Lorsque ses couilles atteignent la limite, David, le souffle chaud, se penche sur moi, cherchant mes lèvres et me murmure à l'oreille:
" HUMMM, mon Laurent, faut pas me chauffer comme ça. Je pouvais plus tenir.
A ma demande, il remet un peu de gel.
" Je t'ai fait mal, Laurent?
" Non, David, j'aime tout ce que tu viens de faire mais ta queue est quand même grosse, j'aime mieux quand elle glisse bien.
" J'ai senti ton petit cul qui me voulait. T'es bien chaud, j'adore.
Il sourit, heureux d'être arrivé à ce qu'il voulait. Son sexe en moi me fait toujours autant d'effet. Je le sens bien en moi, peut être la longueur, peut être sa forme arquée, très relevée.
Il profite de mon bonheur pour activer en moi, allant et venant.
Il m'introduit deux doigts dans la bouche pour mes gémissements, ce qui augmente encore mon plaisir. La sensation de ses gros doigts qui me fouillent la bouche est très érotique. J'ai l'impression d'être baisé par la bouche et le cul en même temps. Je ne pensais pas que des doigts dans la bouche pouvaient produire autant d'effets.
Il me couvre de tout son poids et je sens chaque coup de reins comme une offrande à mon cul, une bénédiction pour mon corps.
Câlin, prévenant, il m'honore à volonté
son souffre est puissant, chaud, ses gémissements rauques, profonds. Son plaisir est évident, je sens qu'il prend son pied.
" David, je vais jouir, je peux plus tenir.
Je suis sur le point de non retour. Il ne m'écoute pas, accélérant même, me démontant le cul sans ménagement.
" Moi aussi, je vais bientôt juter, ma petite salope, j'ai envie.
Il vient alors prendre ma bite dans sa main. Ce contact agit sur moi comme un déclencheur et, dans un petit cri d'épuisement et de soulagement, ma jouissance explose. Je libère plusieurs jets de sperme dans sa main, lui engluant les doigts. Il recueille tout, me laissant cracher jusqu'à la dernière giclée et vient m'offrir mon sperme à déguster en approchant sa main engluée de ma bouche. .
Je trouve cet attention surprenante, d'un érotisme magique et lèche sa récolte avec délice. Il m'oblige à bien lécher le creux de sa main et ses doigts puis, satisfait, reprends ses coups de bite. Je sens qu'il va se finir lui aussi.
Il se fait plaisir, comme un mec qui se branle énergiquement avant de jouir.
" Tends bien ton cul, ma petite salope, je vais t'envoyer ça bien profond.
Il fini par des coups de reins magnifiques, pleins de vigueur et me gratifie de sa semence, presque en silence, se libérant dans un énorme soupir de satisfaction.
Plusieurs minutes s'écoulent, en silence, il reste en moi
..
" Oh, Putain, ton petit cul, il aime bien ça. Ne bouges pas, laisses moi débander.
Je lui embrasse sa main qui me caresse le visage, en signe de remerciement et il me réponds en déposant contre mon cou des baisers d'amour, d'un infinie tendresse.
En silence, un peu fourbus, nous nous reposons, un peu ivres de tant de plaisir
" On va manger, Laurent?
" Oui, David, j'ai faim.
" Ca creuse, tout ça.
Nous rions, nous sommes heureux ensemble. Et la nuit n'est pas passée
.HUMMM
Caramel
Mail caramel35@orange.fr
* Les mecs, mettez des capotes, protégez vous.
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