Retrouvailles

Comment je me suis retrouvée dans cette situation ?
Laquelle ?

Mise sur un coffre au pied du lit, les mains attachées de chaque cotés, un banc ou quelque chose placé derrière moi où mes chevilles y sont elles-mêmes attachées offrant complètement mon cul et ma chatte, mes seins repassant par dessus les barreaux du lit, un baillon boule dans la bouche.
J'ai l'impression d'être un cochon avec sa pomme dans sa bouche, attendant d'être mangée !
J'oubliais, je porte un string blanc, retenant le vibromasseur que l'on m'a inséré.
Comment me suis-je retrouvée dans cette situation ?
Simplement en faisant un message sur facebook, oui, un simple message, mon ami, mon ancien sex friends repassait célibataire, je l'étais redevenue moi aussi, quelques échanges, je lui propose de remettre ça MAIS il me dit que ça ne l'interesse pas de juste se vider, il me dit qu'il veut me posséder, il reste mystérieux mais ça m'excite... Même si je n'avais pas compris cela comme ça.
Je dois donc me rendre ce vendredi soir chez lui, en robe, courte de préférence, des talons, pas de sous-vêtements, les cheveux attachés et j'y vais donc.
Je suis à l'entrée de son bâtiment, j'appuie sur la sonnette, je l'ai au parlophone, il m'ouvre et me dit de monter, j'arrive devant sa porte, il m'ouvre et m'invite à rentrer.
Il me regarde de haut en bas, il sourit.

"Tu as grossis toi"

Paf, aucune délicatesse, je le dévisage mais j'ai déjà très envie qu'il me prenne.

"Tu n'as pas changée d'avis" me dit-il.
"Non, en aucun cas."
"Très bien, si tu reste du même avis, ouvre le premier tiroir et met ce qu'il y a dedans."
Je l'ouvris, une petite boite, j'ouvre celle-ci à son tour, un collier, je le mets autour de mon cou, j'ai l'air d'une chienne, il esquisse un sourire.
"Très bien, tu as l'air d'une bonne chienne, même si je dirais plutôt une truie"
"..."

Il est vexant, mais ça m'excite, je ne dis rien.

"Fais tomber les brides de ta robe, dévoile moi tes seins"

J'étais très gênée, même si nous avions couchée de nombreuses fois ensembles, je n'aimais pas mon corps à l'époque, encore moins maintenant, mais je ne discutais pas et le fis, il regardait longuement mes seins et puis me fis signe de son index de faire tomber la robe.

"Mets tes mains dans ton dos que je te regarde bien."

Et encore une fois je l'écoutais.
Il fit signe avec sa main de tourner sur moi-même, une fois revenue face à lui il dit alors :
"Tu t'es vraiment engraisser, toujours baisable mais engraisser, va dans le second tiroir et donne-moi ce qui s'y trouve."

Je m'y rendis donc et l'ouvris, une laisse et je le lui donnais, j'étais vraiment mal à l'aise, je savais qu'il allait me la mettre et me promener à quatre pattes, ce qui arrivait aussi vite que je vous l'écris et il m'emmenait dans la chambre, m'attachant comme je vous le décris plus haut.

"Quelques règles, tu ne discutes pas, tu ne rouspètes pas, tu ne refuses pas, tu as bien compris ?"

Je fis un "oui" de la tête et puis je ne l’entendis plus.
Voilà, comment je me retrouvais dans cette situation.