La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1310)

Vanessa au Château (devenue soumise Keira MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1309) -

- J’accepte, répond-t-elle d’une faible voix, j’ai trop besoin de soumission, Monsieur….
- Alors à genoux et demande-le moi correctement.
- Monsieur, punissez-moi.
- Correctement, tu sais quoi dire, je te déconseille de jouer également à me tester, accuse-t-il.
- Monsieur, je vous prie de bien vouloir sanctionner mon comportement.
- Debout, mains sur la table, relève ta jupe.

La jeune serveuse s’exécute, attend tremblante, le patron se lève et se dirige vers un meuble, en sort une cravache et se place derrière elle.

- Ce sera dix coups, même si cela en vaut dix fois plus, mais je doute que tu sois capable d’en supporter davantage. Tu ne bouges pas, tu supportes en silence, au moindre mouvement, au moindre bruit, je recommence à zéro.

L’homme abat le premier coup, retenant sa main, appuie davantage à chaque coup, jugeant au fur et à mesure ce qu’elle est capable d’endurer, flirtant avec ses limites sans les dépasser. La serveuse sert les dents, elle n’a jamais ressenti une douleur aussi vive, des larmes commencent à monter, elle décompte pour tenir. Le dernier coup tombe, il pose la cravache sur la table et reste debout derrière elle.

- A genoux et je t’écoute.
- Monsieur, je suis désolée d’avoir testé votre Invité sous votre toit, surtout un Grand Maître tel que Lui. Je promets de ne plus recommencer, dit-elle en s’agenouillant.
- J’espère bien, et ?

La jeune femme ouvre la bouche, mais ne sait pas quoi dire, elle panique, envoyant un regard implorant vers la femme du patron. Cette dernière lui sourit, lui faisant signe de remercier.

- Et, je vous remercie, Monsieur.
- De ?
- Pour m’avoir sanctionné
- Hum c’est un début, allons à quatre pattes, va présenter tes excuses sincères à Monsieur Le Marquis.

La serveuse se met à quatre pattes, se dirige jusqu’au Noble, s’agenouille devant Lui et sans le regarder cherche ses mots.

- Monsieur Le Marquis… je… je suis désolée… je… vous demande de bien vouloir accepter mes excuses pour Vous avoir manqué de respect de la sorte, implore-t-elle un sanglot dans sa voix.
- La sanction est passée et tu l’as acceptée, avec difficulté certes, mais tu l’as subi jusqu’au bout, la faute est donc pardonnée, répond Le Noble d’une voix réconfortante.
- Bien, relève-toi et termine le service, nous verrons la suite à donner à ce moment, après, ordonne son patron.

La jeune femme quitte le salon privé, laissant Le Noble avec le patron et sa femme.

- Eh bien, jamais je n’aurais parié sur ça, annonce le patron du restaurant.
- Pourtant tout en elle, respirait cette envie, sourit Le Noble.
- A vivre trop près des gens on ne les regarde même plus. Tout comme toi ma chérie, je suis désolé de ne pas avoir vu ta fatigue, c’est indigne d’un Maître.
- Ce n’est pas votre faute Maître, j’aurais dû vous en parler, mon orgueil a voulu tenir coûte que coûte.
- Certes, mais, je me dois de te protéger, c’est mon rôle et sans la présence de Monsieur Le Marquis, que je remercie chaleureusement, je n’aurais pas vu ta détresse. Je vais donc te laisser profiter de ce repas en sa compagnie, je vais terminer de superviser la cuisine.

Le patron rejoint les cuisines, laissant sa soumise seule en compagnie du Noble. Ils déjeunent en discutant de divers sujets que choisit Le Châtelain, évitant celui de la D/s, voulant plus que tout laisser à la femme le temps de se détendre. Alors qu’ils arrivent au dessert, Walter fait son apparition, accompagné de soumise Keira MDE qui le suit à quatre pattes, tenue en laisse par le Majordome.

- Ah Walter, déjà ?
- Oui, Monsieur Le Marquis, le restaurant a terminé le service, vous êtes le dernier client.
- Bien, bien, et comment s’est comporté ma chienne.
- Parfaitement bien Monsieur Le Marquis, elle a été irréprochable, digne de Votre marque. Je n’ai reçu que des compliments la concernant.
- Comme quoi, quand elle veut… Mais je t’en prie, prends une chaise, tu vas prendre le dessert en notre compagnie.

Le Majordome s’assoit à la table, détachant la laisse de soumise Keira MDE qui patiente à genoux auprès du Noble, en parfaite position d’attente.

- Chienne, as-tu soif ?
- Oui Maître.
- Parfait, Walter à ce qu’il te faut et à ce que je vois tu as vraiment bien travaillé.

Le Majordome apporte une gamelle qu’il pose devant Vanessa. Elle y découvre un mélange de sperme en grande quantité et comprend que les hommes qu’elle a aidé à se soulager ont tous vidé le contenu de leur préservatif dans ce récipient. Elle aurait espéré se désaltérer avec de l’eau, mais compte honorer la Volonté du Maître. Aussi, le jeune femme se place à quatre pattes et commence à laper le contenu, du bout de sa langue, non sans un certain écœurement qu’elle met de côté. soumise Keira MDE termine de lécher la gamelle la nettoyant dans les moindres recoins, alors que la serveuse apporte les desserts.

- Bien, as-tu encore soif ?
- Oui, Maître, ose-t-elle espérant obtenir de l’eau cette fois-ci.
- Mademoiselle, voulez-vous bien aller remplir cette gamelle d’eau, demande Le Noble en désignant le récipient.

La serveuse acquiesce de la tête tout en se saisissant du récipient pour le ramener rempli d’une eau bien fraîche, quelques minutes plus tard. Elle la pose devant soumise Keira MDE, puis retourne en cuisine pour aller chercher le café.

- Je t’autorise à t’abreuver soumise, tu l’as mérité.

Vanessa se désaltère avec joie, appréciant la fraîcheur et la pureté de l’eau après le breuvage qu’elle a dû avaler. Une fois terminé, elle se remet en position d’attente aux pieds du Noble. La serveuse revient servir le café, suivie du patron qui s’installe à la table pour le partager avec ses invités.

- Bien, très cher, j’espère que vous avez apprécié ce repas et je suis désolé que vous n’ayez pas pu profiter de la bouche de ma soumise, je sais que vous appréciez une bonne soumise sous Votre table lors des repas.
- Le repas fut excellent et votre soumise d’une excellente compagnie, d’ailleurs si vous le permettez et si elle en a envie, j’aimerais la remercier par une fessée qu’elle semble avoir enviée…sourit Le Noble regardant la femme du patron.
- Si elle le souhaite, je le lui accorde.
- Alors soumise, le veux-tu ?
- Monsieur Le Marquis, je ne le mérite pas.
- Je n’offre jamais rien qui ne soit mérité, allons viens donc ici.

La femme du patron, se lève de sa chaise, s’approche du Noble, s’allonge sur ses genoux qu’Il lui présente et ferme les yeux pour savourer le cadeau qu’Il lui offre. Le Châtelain démarre une fessée particulièrement sensuelle, caressant, effleurant, appuyant un peu plus de temps en temps, faisant rougir les fesses de la soumise sans provoquer la moindre douleur. La submergeant d’un océan de sensations exquises qui l’excitent au plus haut point, elle sent sa jouissance monter alors qu’il n’a pas touché à son sexe, la simple situation l’a fait monter. Le Noble stoppe avant de l’amener à la faute, la laissant se remettre tremblante sur ses genoux, puis l’aide à se relever.

- Monsieur, merci vraiment de ce cadeau, ce fut exquis.
- Le plaisir était pour moi, allons reprends ta chaise.

Le Noble se tourne enfin vers la jeune serveuse qui patiente debout, lorsqu’elle croise son regard, elle baisse immédiatement les yeux.

- Bien, à votre tour, il me semble que vous avez émis le souhait de devenir la soumise du chef, est-ce toujours ce que vous souhaitez ?
- Oui, Monsieur Le Marquis.
- Alors vas te placer à genoux face à lui. Le Noble attend qu’elle s’exécute, puis reprend. Tu acceptes devant nous tous témoins, de devenir la soumise du chef, dorénavant tu l’appelleras Maître, et tu devras te conformer à toutes ses exigences. Il te sera possible de reprendre ta liberté, mais le retour en arrière ne sera alors plus possible. Il décidera de chaque instant de ta vie, chaque faute ou manquement sera sanctionné pour parfaire ton éducation, tu devras t’attacher à obéir sans faille. En échange de ta soumission, il prendra soin de toi et, te protégera en toute circonstance. Ce n’est qu’une période d’essai, il décidera lorsque tu auras l’honneur de devenir officiellement une de ses soumises, s’il t’en juge digne un jour. Acceptes-tu toutes ces conditions ?
- Oui, Monsieur le Marquis.
- Alors mets-toi nue et patiente à genoux à ses côtés…

(A suivre …)