Jeunesse Infernale Chapitre 4
Jeunesse Infernale Chapitre 4
Les épreuves du samedi
Vers neuf heures , Paula pénétra dans la chambre . Vêtue de sa seule culotte, la mienne , elle sapprocha de François pour lui murmurer à loreille ; il était déjà réveillé et je pouvais voir quil lécoutait avec attention.
« Valérie , vas préparer les petits déjeuners , tu viendras ensuite pour nos toilettes. »
Elle partit en marchant péniblement, gênée par la ceinture de chasteté quelle portait toujours.
Javais une forte envie duriner , timidement je demandais la permission daller me libérer.
« Valérie ty conduira à son retour. En attendant , pousse toi pour laisser de la place pour Paula. » dit François
Le lit était assez large pour trois personnes et elle se glissa entre nous . Elle se lova contre François , comme une amoureuse ; je navais rien à dire et je restais immobile ne sachant ce qui était attendu de moi.
Je sentais quà mes côtés frôlements et caresses étaient prodigués ; par crainte dun faux pas je ne mexprimais ni ne bougeais.
Lorsque Valérie vint annoncer que le petit déjeuner était prêt François lui indiqua quelle devait memmener pisser.
Elle me dirigea vers les toilettes sans porte et se posta à lentrée.
Javais retiré la culotte de Paula , ma chatte était encore imprégnée de sperme.
François et Paula qui avaient pénétrer dans la salle de bains saffairaient , moi accroupie face à eux. Tétanisée , je narrivais pas à faire pipi malgré une envie qui me tordait le ventre.
« La soumise ne pisse pas » claironna Valérie
« Montre lui lexemple » dit Paula en lui apportant un grand récipient.
Ce faisant elle ouvrit la ceinture de chasteté et Valérie enroula sa culotte de latex jusquaux chevilles et la retira.
A peine accroupie, elle se libéra bruyamment sans difficultés ; elle pissa longuement sous nos yeux et les dernières gouttes lâchées elle sessuya avec ses doigts quelle lécha.
Le bruit découlement de lesclave produit son effet car enfin , les premières gouttes tombèrent suivies dun flux ininterrompu ; abandonné à ce plaisir denfin me libérer jen oubliais mes spectateurs ; jétais heureuse de mon cheminement.
Ce fut bien sur Valérie qui sur un ordre bref vint messuyer avec sa bouche.
Sa langue sattarda un peu trop car elle reçu quelques coup de cravache.
« Je ne tai pas demandé de la lécher » lui dit François.
A peine penaude , elle se releva , partit vider son récipient et tirer la chasse deau.
François prit un bain intimant à Valérie de faire nos toilettes. Elle prit un gant et commençant par Paula, elle lui lava longuement les aisselles et les fesses ; elle fit de même avec moi.
Après la nuit passée avec ma culotte souillée, ma chatte était très sale mais je neus droit à aucune toilette de mon intimité, pas plus que Paula.
«Valérie, avant ta douche tu vas nous servir de toilettes. » A peine cette phrase prononcée, Valérie pénétra dans la douche et saccroupit en attente.
Paula la première larrosa de son urine qui dégoulinait sur son visage et son corps.
Lorsque François vint à son tour, Valérie affichait un sourire de plaisir ; il se vida longuement dans sa bouche. Je pouvais la voir déglutir, les yeux
mi-clos ; voilà des plaisirs qui métaient encore inconnus.
Pour sa toilette, Valérie dut de nouveau enfiler sa culotte de latex si ajustée quelle en était étanche. Elle se savonna et se sécha. Elle remit son tablier pour nous accompagner vers la table du petit déjeuner.
Elle avait préparé des boissons chaudes, des fruits pressés tandis quun boulanger avait livré des viennoiseries.
«Allons faire une promenade ce matin ; jai quelques idées pour un cuisant après-midi nest ce pas Valérie ? »
Cette dernière se tenait à nos pieds occupée à laper son écuelle de café.
Absente lors de nos derniers ébats, Paula était interrogative.
« Que sest-il passé ? »
« Je laisse à Elise le soin de le dire »
Je me lançais, timidement cependant.
« Hier soir , Valérie ne voulait pas me lécher ; elle disait que ma chatte puait trop »
« Cest vrai que ta chatte sent très fort mais depuis quand lesclave a-t-elle un avis sur ce quon lui ordonne de faire ? »
Je retrouvais cette Paula cruelle à mon égard. De plus elle navait rien à menvier come javais pu le constater hier soir; mais ce matin je men moquais !
«Ca ne changerait rien mais Valérie a peut-être un autre avis ce matin ? »
Paula se leva , tourna ma chaise , mécarta les cuisses et pris Valérie par les cheveux pour lamener entre mes cuisses.
« Quas tu à dire ? »
Lesclave posa son visage sur ma culotte , ne dit rien pendant un moment avant de prononcer ces mots «elle sent fort la femme ; jaime son odeur »
« Cest mieux mais tu aurais bien fait de le dire hier »
Il faisait beau et chaud si bien quun T-shirt et des chaussures étaient suffisants pour aller faire cette promenade.
François pris un panier dosier, des gants et un sécateur.
« Paula met lui son collier »
Elle ferma un collier de cuir autour du cou de Valérie et y attacha une laisse que François pris fermement.
Je fus chargé de porter le panier.
Le parc était très beau , de nombreuses essences y poussaient . Des bois sétendaient au-delà de la partie entretenue ; cest là que nous allions.
Arrivés dans une clairière François décida que nous pourrions rester un peu au soleil.
Javais encore les seins et les fesses endoloris de la séance de la veille et quand bien même Valérie allait devoir être sévèrement punie dans la journée , je connaissais suffisamment mon Maître pour savoir jallais certainement devoir subir dautres punitions ; il avait jusquà ce moment préserver ma chatte.
« Voilà ce que je cherchais ! » Il se leva entrainant Valérie ; il me demanda de les suivre.
Arrivés devant un buisson dorties, je dus enfiler les gants et aller en couper une grande brassée que je plaçais avec précaution dans le panier.
Javais regardé plusieurs vidéos de soumises «traitées » » aux orties dont certaines qui étaient particulièrement cruelles ; je nespérais quune chose, quelles soient destinées à Valérie ! Elle connaissait évidemment ce châtiment et je pouvais déceler un voile dinquiétude sur son visage.
Il était temps de rentrer , Valérie devait finir de préparer le déjeuner. Seule en cuisine il nétait pas question quelle se laisse aller à un plaisir qui devait la dévorer. Voilà une semaine quelle se caressait sans avoir le droit de jouir , quelle avait assisté à toutes nos jeux sexuels sans pouvoir en pratiquer un seul si ce nest de nous lécher et jimaginais létat de frustration dans lequel elle devait être.
Paula lui avait donc posé sa ceinture de chasteté avant de rejoindre le salon.
François me demanda daller placer les orties dans un vase rempli deau et de le déposer dans le petit salon. Je ne savais que penser ! Je crois que sils métaient destinés je devrais prononcer le « safe word » ; bref nous verrons bien. Je me sentais rassurée par cette porte de sortie encore que je ne voulais pas le décevoir ; je voulais rester sa soumise.
Il était assis dans son même fauteuil, comme Paula lorsque je revins ; ma chaise en face deux était à sa place.
«Retire ta culotte avant de tasseoir, Valérie la nettoiera avant le déjeuner. »
« Je dois lui faire un lavement Monsieur ? »
Un lavement ! Devant eux ! Jétais pétrifiée de cette honte à venir ! « Je vous en prie , je peux le faire moi-même ! »
« Tu peux mais cest Paula qui te le fera, cétait une phrase de trop ! »
Paula habituée aux réactions de son Maitre sétait déjà levée ; elle revint avec un broc deau et les instruments de lavement.
« Mets toi en position offerte »fit-elle
Jétais morte de honte, et mes pleurs ne firent rien ; je devais me plier à sa volonté.
En position , elle enfonça la canule profondément , versa leau qui était chaude sans excès dans la poche et la leva ; le liquide me pénétrait ; Le sensation était tout aussi agréable que lorsque je lavait fait la veille dans lintimité mais les deux regards posés sur moi me mettaient plus que mal à laise .
Lorsque la poche fut vidée, Paula prit un plug quelle menfonça dans lanus ; je restais de longues minutes dans cette position. Lenvie de me vider devenait de plus en plus pressante mais ni François ni Paula qui parlaient ne prêtaient attention à moi.
« Il faut que jaille aux toilettes sil vous plait Monsieur, je vous en prie »
« Paula , emmène la , je vous suis »
« Tu dois te déplacer à quatre pattes , je ne veux pas que tu souilles les tapis » me dit Paula.
Je la suivis tant bien que mal vers des toilettes qui se trouvait au fond de la cuisine. Une fois arrivée, Paula retira le plug et me fit asseoir sur le trône ; la pièce sans porte était très éclairée , Valérie saffairait non loin de moi, tandis que Paula et François mobservaient.
Soudain ny tenant plus mon sphincter souvrit et séchappa de mes fesses une cascade deau bruyante qui semblait sans fin ; une fois terminé , sur un mouvement de tête de François , Valérie me fit asseoir sur le bidet adjacent et me nettoya les fesses au savon avant de les essuyer.
Retour au salon.
« Tu vois ça nétait pas si terrible » me dit-il
« Cétait difficile Monsieur mais je lai fait ; je ne me plaindrais plus »
« Cest bien , dommage que tu te sois plainte ! Rassure toi les punitions que tu subiras seront accompagnés de vrais plaisir.»
Valérie nous annonça que le déjeuner était prêt. Elle était bonne cuisinière et tout le monde la félicita. Elle savait que sa cuisine ne la rachèterait pas mais cétait le jeu !
Peu avant le déjeuner Paula lui avait posé la pompe sur la chatte et elle déjeuna ainsi appareillée.
Les cafés furent servis dans le petit salon par Paula ; Lesclave ne pouvait se déplacer quà petits pas de sorte à ce que le récipient qui « contenait » sa chatte gonflée puisse conserver son étanchéité. Venaient les tourments !
« Paula , libère sa chatte et installe la sur le lit de gynéco , attachée , mains et pieds »
Lénorme excroissance formée par son sexe était sous nos yeux ; comme hier jétais fascinée !
François enfila ses gants , pris plusieurs brins dorties et se dirigea vers Valérie.
« Je commence par les lèvres »
Mon Dieu ça allait durer ! Tout ça pour cette phrase déplacée !
Il approcha les feuilles et les fit glisser doucement de haut en bas sur le sexe de lesclave ; après quelques secondes commencèrent ses gémissements qui vite devinrent des cris ; elle tressautait sur le lit ou elle était entravée.
« Tu te souviens de ce que tu as dit hier soir à ma soumise ? »
Elle répondit dans un sanglot. Plusieurs minutes se passèrent jusquà ce quelle se calme ; leffet se dissipait.
« Paula, prends pinces et ruban adhésif pour lui maintenir la chatte ouverte »
Elle sapprocha, posa quatre pinces sur chacune des lèvres et les fixa sur les cuisses de lesclave.
Son clitoris gonflé pointait de façon obscène au milieu de ce sexe déformé, écartelé et offert.
« Approche toi et doigte la » mordonna François.
Mes doigts glissaient et je fus autorisée à la branler.
« Tu peux aussi mettre dautres doigts dans son cul »
Ainsi pénétrée Valérie en avait déjà oublié ses souffrances et poussait son bassin dans les limites que lui autorisaient les courroies qui la tenait attachée.
« Tu vois tu as eu un peu de plaisir »
« Merci Monsieur » murmura t-elle.
« Tu vas avoir ta dernière punition difficile daujourdhui »
Dune main il prit de nouveaux brins et les plaça à lintérieur de sa chatte, de lautre il « caressait » son clito avec dautres feuilles quil lâcha enfin pour la caresser après sêtre déganté.
La caresse fut longue tandis quil retirait les orties de sa chatte tuméfiée et là, Valérie se mit à jouir dans un long hurlement, son corps secoué de spasmes ; son orgasme profond paraissait ne pas sarrêter. Jétais pantoise ; jobservais Paula , limperturbable Paula était elle aussi stupéfaite.
Finalement, pour lune comme pour lautre le plaisir de Valérie nous soulageait ; il nous démontrait aussi combien François connaissait son esclave et ses limites.
Après avoir été les témoins muettes , immobiles et consentantes de ces sévices, nous étions encore plus prêtes à nous laisser aller entre ses mains.
Ces pensées me réconfortèrent au moment ou, je le savais, mon tour était venu.
«Le moment du plaisir est venu pour toi aussi Valérie. Vous avez chacune le droit de faire ce que vous voulez à lautre ; je reste larbitre cependant. »
Paula me prit par la main , mallongea et commença à enfoncer ses doigts dans mon sexe, un , deux, trois, quatre, elle me branlait bruyamment, ma cyprine coulait , jentendais le doux bruit de ses doigts qui allaient et venaient sans tendresse ; je relevais mes cuisses pour quelle mouvre et je sentis sa main senfoncer dans la chatte qui lengloutit ; premier fist ! Putain ! Jétais envahi !
« Viens Valérie , viens quon la fouilles de partout ! »
Je compris soudain ; jétais au centre du jeu , moi la nouvelle ! Elle allait se déchaîner sur moi .
François me regardait alors que Valérie , venait saccroupir sur mon visage ; sa chatte encore enflée se frottait sur ma bouche avec frénésie et là, enfin François lui offrit sa bite quelle suça avec amour.
« Va lenculer , je ty autorise » lui dit-il.
Javais maintenant sa bite dans la bouche et la main de Paula qui me branlait toujours ; je me sentais sombrer dans une sorte de folie de sexe !
Cest à ce moment que je sentis un gode tenté de se frayer un chemin dans mon cul ; la main de Paula encombrait tellement mon vagin quil semblait impossible de me pénétrer le cul.
François se retira alors de ma bouche et, après avoir saisi un tube , menduit lanus avant dy plonger le tube et dy faire pénétrer une grande quantité de ce lubrifiant gras .
« Maintenant Valérie, vas y !
Le gode forçait mon entrée et enfin je le sentis pénétrer dans mon anus doucement , lentement ; mes orifices étaient remplis . Les efforts de Valérie payaient ! Je sentais mon cul se détendre , souvrir ; jimaginais mes deux trous dilatés sous les coups de ces deux femmes , javais mal mais la sensation inconnue et excitante dêtre partout possédée lemportait .
Elles me baisaient lune et lautre de plus en plus fort et cétait Paula qui avait maintenant le sexe de François dans sa bouche.
Je me mis à jouir de partout quand François déversa sa semence dans la bouche de Paula ; elle continuait à le sucer jusquà ce quil se retire.
Elle plaqua sa bouche sur ma mienne pour partager le sperme de notre Maître.
Revenir sur terre allait être compliqué !
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