Plongée Dans Le Libertinage...
Il est 17 heures en cette semaine de vacances. Les s ne sont pas là, nous navons pas fait grand-chose de la journée, nous sommes avachis sur le canapé, en train de légumer et de profiter du calme de la maison.
Je te demande ce que tu as envie de manger ce soir. Tu hésites un petit moment, pour me regarder avec un regard quil sillumine dun coup :
Jirais bien au restaurant, quen penses-tu ?
Ok, de quelle cuisine as-tu envie ?
Après un court instant dhésitation, tu me dis que tu mangerais bien une belle entrecôte ou en tout cas de la viande rouge.
Ok, jappelle pour réserver alors.
En te levant nonchalamment, tu me dis que tu vas te préparer. Tu files à la salle de bain, jentends que tu tépiles, puis au bout dun petit moment, tu sors, complètement nue comme si de rien nétait.
Je te soupçonne de le faire exprès, pour que je puisse tadmirer dans tes plus beaux vêtements
cest-à-dire sans rien.
Tu as réservé pour quelle heure ?
Pour 19 heures, comme ça si on veut aller faire un tour ensuite on sera libérés de bonne heure.
Bonne idée !
Tu retournes dans la salle de bain, à tapprêter comme tu sais si bien le faire.
Tu ressors de la salle de bain, resplendissante, une jolie petite robe sans manche qui te va si bien. Colorée, elle met ta poitrine en valeur, et sarrête au-dessus des genoux comme jaime.
Tu as mis un peu de maquillage, tu es aussi belle sans quavec, mais jaime te voir ainsi apprêtée.
Je file à mon tour dans la salle de bain pour me préparer. Je dois me mettre à ta hauteur, il nest pas question que je reste habillé comme tous les jours alors que tu tes faite si belle.
Je me douche et jen profite également pour moccuper des quelques poils que jai, principalement ma toison pubienne. Je la taille courte, comme je sais que ça te plait, je me rase autour, en dessous, à côté, toujours selon ce que je sais que tu aimes.
Mais chaque chose en son temps, je dois finir de me préparer, jenfile un pantalon habillé, une chemisette, il fait quand même plus de 20 ° même en soirée, du parfum que tu aimes, et me voilà !
Tu me rejoins dans la salle de bain, mentoure de tes bras et renifle mon cou. Tu adores ce parfum, je sais quil tenivre. Et cest un peu le but dailleurs.
Nous voilà prêts tous les deux, il est lheure, nous avons étés parfaitement synchronisés.
Nous nous chaussons, et je sors sur le palier de la maison quand tu minterpelle dun coup :
-Attends, jai oublié quelque chose. Va démarrer la voiture (tu sais que je naime pas du tout être en retard), jarrive tout de suite.
Je me dirige donc vers la voiture, démarre et manuvre pour être prêt à partir. Tu arrives 2 ou 3 minutes plus tard, un grand sourire sur tes lèvres.
Quavais-tu oublié ? ça a lair de te mettre en joie !
Rien dimportant, un truc de fille.
Ah, moi qui mimaginais déjà une soirée coquine, je me dis quun truc de fille pourrait bien être un obstacle à mes plans
Mais ça nest pas un drame, ça ne nous empêchera pas de passer une excellente soirée tous les deux. Pendant les 15 à 20 minutes que dure le trajet, je te vois te tortiller, comme impatiente.
-Tu as envie daller aux toilettes ?
- Non, je suis pressée darriver, jai la dalle !
Je jette un il au GPS, et tindique quil reste à peu près 5 minutes de trajet, tu pourras bientôt te remplir le ventre !
Effectivement, nous arrivons presque tout de suite au restaurant, je me stationne. En ayant réservé à 19 heures, nous sommes en début de service, il ny a quasiment personne dans la salle.
Le serveur nous demande si nous avons une préférence pour manger, dehors ou dedans. Sachant que tu es un peu frileuse (quelle femme ne lest pas ?), et même si la chaleur est encore présente, je sais que la fraicheur tombe rapidement en soirée.
Nous sommes à lécart de la salle principale, dans un recoin tranquille. Nous nous asseyons, tu as un gigantesque sourire accrochée aux lèvres, tu rayonnes. Jaime tellement te voir ainsi.
Nous commandons un apéritif, Piña-colada, notre cocktail.
Le serveur nous les apporte assez rapidement et prend notre commande dans la foulée.
Nous vidons nos verres le temps que le plat arrive. Juste quand le serveur pose nos assiettes et repart, tu me dis que tu as besoin daller au petit coin et tabsente quelques courts instants.
Tu reviens, toujours aussi souriante. Tu te penches vers moi, membrasse avec passion, celle-là même qui anime notre couple depuis plusieurs années maintenant. Tu atts ma main et je te sens y déposer quelque chose.
Cest en tissus, jy jette un il, cest bien ta culotte. Je suis aux anges, jai toujours rêvé que tu fasses ça. Mais alors que je pense la ranger dans ma poche, tu me demandes mon autre main. Tu y glisse une autre chose. Cest la télécommande de ton uf vibrant ! Alors là je pense que les idées se bousculent dans ma tête pendant que je me sens bien à létroit dans mon pantalon.
Cest ça que tu avais oublié tout à lheure ?
Exact ! Tu ne men vux pas dêtre retournée le chercher ?
Comment te dire
bien sûr que non ! dis-je souriant comme jamais. Et denchainer :
Attention, je lallume.
Je préfère faire un petit test lorsquil ny a personne, on ne sait jamais, le bruit de la vibration est peut-être trop fort et sentendrait, ou alors ça peut être inconfortable pour toi (cest la première fois que nous lutilisons en extérieur). Dans ma tête, je te visualise, nue sous ta robe, certainement passablement excitée, ce petit uf planté en toi. Je suis très excité.
Lorsque jappuie sur le bouton de mise en route, je te vois sursauter, avoir le regard à la foi curieux, gêné, et amusé.
Alors, cest agréable ?
Cest bizarre, mais très agréable en effet. Jai peur de mouiller ma robe
et la chaise tellement la situation est exitante.
Tu me dis si tu veux que jarrête ou si tu ne te sens pas à laise, je le coupe et je le remettrai plus tard. Nhésites pas à me demander si tu as envie que je lallume.
Nous mangeons notre plat, délicieux soit dit en passant, et jallume de temps en temps luf. Jattends le moment où le serveur vient prendre la commande de dessert, et lallume luf et le monte en puissance que les vibrations soient un peu plus intenses pour toi. Je vois que tu me regarde, toujours avec cette expression mêlée de plaisir et de gêne. Je questionne, plus longuement que je ne laurais fait en temps normal, le serveur sur les desserts quils ont et leur composition.
Pourtant, avant même quil narrive, je savais que jallais prendre un café, tout comme toi.
Quand même, tu exagères, il aurait pu entendre !
Tu naimes pas ma chérie ? Désolé si je tai mise dans lembarras.
Non, jaime beaucoup, mais comme cest une première
je découvre.
En tout cas, moi jadore, même si je ne sens rien bien sûr, mon imaginaire, et ton visage empourpré se chargent de tout. Je vais aller changer de taille de pantalon !
Je reviens mon chéri, à tout de suite.
Tu retournes en direction des toilettes, qui sont à létage. Je te vois monter lescalier, et ta petite robe légère vole au rythme de tes pas. Lorsque tu es en haut de lescalier, jentre-aperçois la naissance de tes jolies fesses, je sais quaucun tissu ne fait obstacle entre ton intimité et le monde extérieur. Je suis vraiment très à létroit sous la table.
Une fois que tu es arrivée tout en haut, je te vois vérifier que je tai bien suivie du regard. Je te soupçonne davoir volontairement accentué tes petits sauts sur les marches pour me dévoiler tes fesses en montant.
Le serveur derrière sa caisse en a peut-être également profité, je ne sais pas. Jétais trop concentré sur toi pour regarder sil te suivait du regard. Quoi quil en soit il a le sourire aux lèvres, peu importe la raison, cest toujours agréable de voir des personnes joyeuses.
Un court instant passa, et tu reviens vers moi, récupère tes affaires et ton sac à main, tu y dépose quelque chose (luf jimagine), et tu me demande dy aller. Tu vas mattendre dehors pendant que je règle. Le serveur, toujours souriant ne me semble pas faire la moindre allusion à ce quil aurait pu entrevoir lors de ta montée des marches, si ce nest un :
Passez une excellente soirée monsieur, je pense quelle a bien débutée !
Libre à moi dinterpréter ces paroles comme je le souhaite. Effectivement, la soirée a plus que bien débutée, et jespère que la suite sera du même acabit.
Tu es dehors, le gilet sur tes épaules, une cigarette à la main et tu men tends une. Nous fumons tous les deux avant de prendre la voiture pour rentrer.
Ça ta plu de jouer avec moi ?
Carrément, jai adoré te faire vibrer, au sens propre. Et encore plus quand il y avait du monde autour.
Cétait excitant, javais à la fois peur dêtre découverte et ça ne rendait mon plaisir que plus grand.
Je me demande si le serveur na pas pu constater que tu ne portes plus de sous vêtement lorsque tu es allée aux toilettes avant de partir.
Ah bon, tu crois ? Ce nest pas bien grave, au pire, ça aura égayé sa soirée, il aura un truc à raconter.
Jaime quand tu es coquine mon amour, fais attention à ne pas attr froid.
Je joins les actes aux paroles et je te glisse la main sur les fesses en prononçant ces mots.
Je crois que je ne risque certainement dattr froid, un peu de fraicheur me fera le plus grand bien même !
Je souris, et nous montons en voiture.
Pendant le trajet, je pose ma main droite sur ta cuisse dès que je le peux. Tu tinstalles en remontant ta jambe gauche afin de me laisser libre accès au fruit de mon désir. Et je ne peux que confirmer, tu ne risques effectivement pas dattr froid !
Tu es toute humide, et le contact de mes doigts avec ton intimité brulante provoque en toi un petit sursaut.
Lorsque nous sommes arrêtés au feu, je me penche vers toi et en profite pour laisser mes mains et mes doigts être encore un peu plus aventuriers et te donner un avant-goût de la suite de la soirée. Tu as lair très impatiente que nous arrivions.
Mais, un peu avant que nous ne soyons chez nous, tu me demandes une « faveur ».
Jai envie daller au sauna
quen dis-tu ?
Je crois quen règle générale, je serais toujours partant pour y aller, et avec ce début de soirée, jen brule denvie. Allons-y !
Je bifurque peu après, et en cinq minutes, nous voilà sur notre lieu de plaisir favori. Le seul à vrai dire, mais nous lapprécions beaucoup, je ne pense pas me tromper en avançant cela.
Nous descendons de la voiture, le parking est déjà pas mal rempli, mais difficile de savoir qui est partie humide, qui est parti sèche. Le nombre de voiture laisse peu de doute sur le fait que les deux moitiés doivent être chacune bien remplies.
Nous nous dirigeons vers lentrée du sauna, fumons une petite cigarette avant de sonner.
Cest agréable ?
De quoi ?
De ne rien porter sous ta robe ?
Ah oui, en effet, jaime bien sentir le vent sur moi, ça mapaise et mexcite en même temps.
En tout cas, moi jadore, quand je me colle à toi et que je glisse mes mains sur tes fesses, ne sentir aucun tissu en dessous, cest troublant.
Encore une fois, je joins les actes aux paroles, et je tembrasse à pleine bouche pendant que ma main se pose sur tes fesses, et jose même maventurer plus loin en remontant carrément ta robe sur tes reins pour découvrir ta face cachée que mes mains flattent avec passion.
Attends quon soit à lintérieur quand même !
Me dis-tu un petit sourire aux lèvres.
Nous sonnons donc finalement, le portier passe la tête par la petite lucarne et nous ouvre. Quelques instants après, nous pénétrons à lintérieur, dans la pénombre. Impossible de voir qui est présent tant le contraste avec lextérieur est important. De toute façon, nous ne connaissons personne, nous pourrions à la rigueur voir sil y a des personnes à notre gout.
Ce sera donc pour plus tard. Je paye lentrée, tu récupères serviettes, paréo et le bracelet avec la clef de notre casier.
Nous allons nous changer, un autre couple est déjà en train de se déshabiller, madame est nue devant nous, son compagnon baisse son boxer. Ils sont tous les deux à poil et nous saluent le plus naturellement du monde. Jadore cette ambiance décalée.
Nous revêtons donc la même tenue, rangeons nos affaires dans le vestiaire, et nous sortons du vestiaire, toi vêtue dun paréo, moi une serviette autour de la taille.
Tu me demande de passer dabord par le bar pour prendre un café, pour ma part, je ne prends quun verre deau, et tu as conservé deux cigarettes avec toi pour que nous allions au fumoir.
Dans cette petite pièce sans ouverture aux murs noirs, nous prenons chacun un tabouret haut. Et nous asseyons face à face. Nous sommes seul, est-ce fait, le début de soirée, ou les deux qui te rends joueuse, mais au lieu de rester sagement assise comme à ton habitude, tu remontes un pied sur lassise du tabouret pour mexposer, sans pudeur ta si jolie petite chatte. Même sans glisser sur elle, je vois à quel point tu es excitée.
Je ne peux résister, je descends de mon siège et me penche en avant pour te lécher. Dabord les grandes lèvres, puis, avec une pression légèrement supérieure, jintroduis ma langue au bord de ton précipice du plaisir. Tu passes une main dans mes cheveux, je sens que tu aimes ça.
Mais je ne veux pas aller trop vite, je me relève et reprends place sur mon tabouret.
Toi tu ne bouges pas, ton sexe fièrement exposé à mes yeux. Trois personnes rentrent, un couple et un homme. Viennent-ils ou vont-ils jouer ensemble, je ne sais pas. Peut-être même ne se connaissent-il pas encore.
Cependant, ils capturent immédiatement la tension érotique quil y a entre nous à cet instant. Bizarrement, lhomme seul vient te demander du feu pour allumer sa cigarette. Je vois ses yeux qui ne peuvent sempêcher dadmirer le délicieux spectacle que tu offres. Tu lui tends la boite dallumettes.
Le couple à côté nen perd pas une miette non plus, ils se placent le plus possible en face de toi.
Pour ma part, tout en essayant de graver cette scène dans ma mémoire, je suis subjugué par ton attitude
que jadore. En dautres lieux, je laborderais certainement dune toute autre manière, mais ici et maintenant, jADO-RE !
Nos cigarettes terminées, tu me glisses à loreille
Jai envie daller dans le jacuzzi, mais je crois que tu ten doutais, non ?
Ça ma traversé lesprit ! te dis-je en rigolant.
Derrière les portes battantes, nous nous dirigeons vers les douches. Nous nous rinçons, je tembrasse et nous entrons dans leau.
Contrairement à ce quaurait laissé penser le parking, il ny a que peu de monde dans leau. A vue de nez, je dirais 4 couples (3 que je vois et un quon entend dans le petit coin sombre, ils ont lair de passer un excellent moment), et 4 hommes seuls.
Nous prenons donc place, je pose ma main gauche sur lintérieur de tes cuisses en dessous de la surface de leau, pendant que tu empoigne mon sexe déjà bien dur.
Ça ta excitée de te montrer dans le fumoir ?
Oui, en fait au début jétais comme tétanisée, puis cest très vite devenu excitant. Le fait de savoir quici, je peux me montrer sans pudeur sans avoir peur dêtre embêtée ou sollicitée si je ne le veux pas, jai bien aimé.
Moi ça ma grave excité, je naurais jamais pensé te voir faire ça
Enfin, tu me diras, je naurais tout simplement jamais pensé aller en club échangiste avec toi. Tu as bien fait de me parler de ton fantasme !
Je crois bien que oui ! Et ça ne te dérange pas de voir dautres personnes me regarder et avoir envie de moi ?
Non, ça mexcite. Les premières fois où on est venu, quand des hommes seuls approchaient, javais peur. Je savais que ça nétait pas quelque chose dont tu avais envie, et je pensais sincèrement que je napprécierais pas du tout en voir un te toucher ou toi le toucher. Puis on a coquinné quelque fois tout seul en se montrant, quelque fois avec dautres couples, et le jour où on est allés sur la plage et que je tai vue, allongée sur le dos, la femme te caresser et te faire un cuni, et toi empoigner le sexe de son mec, jai compris que ce qui mexcitait vraiment, cétait de te voir prendre du plaisir. Avec dautres femmes, jai toujours été certain que jaimerais te voir, mais avec un autre homme, cest le fait de tavoir vue, masturber, puis une autre fois sucer un autre qui ma ôté mes doutes. Jaime ça. Bien sûr, je naimerais pas te regarder et ne rien faire. Jaime quon partage cet instant, jaime aussi caresser et me faire caresser par une femme. Mais te voir prendre du plaisir, que ce soit sous des caresses masculines ou féminines, jadore ! Cest aussi simple que ça. Et toi, quelles sont tes sensations ?
Ce soir, cest particulier, je suis vraiment TRES excitée ! Mais en général, je préfère quand même échanger avec dautres femmes, leurs caresses sont plus douces. Et puis je nai pas besoin dun autre homme, tu me combles déjà.
Toi aussi tu me combles ma chérie, et je nai pas besoin dautres femmes pour me caresser, mais japprécie ça parce quon le fait ensemble ! Ce que jaime, cest quon sabandonne au plaisir tous les deux.
Nous cessons de discuter, les choses saccélèrent devant nous.
Deux couples se sont rapprochés, ces dames discutent ensemble, comme dans une quelconque parade nuptiale. Sauf quici, ce ne sont pas les mâles qui paradent et qui sont les maîtres du jeu, ce sont bien les femmes. Ce sont elles qui initient ou stoppent. Nous les hommes aussi pouvons bien sûr stopper la partie, parfois à contre cur jimagine, mais le corps narrive pas toujours à suivre lesprit. Cependant, force est de constater, que le milieu libertin fait quand même la part belle aux femmes, maitresses du jeu, entremetteuses et déesses des lieux.
Cest très bien ainsi. La bestialité masculine ne permettrait pas un tel laisser aller, ni un tel respect. Je dois bien le reconnaitre.
Ces dames donc, sembrassent maintenant à pleine bouche. Leurs hommes tournent autour delles. Je ne doute pas que leurs mains, sous leau, glissent indifféremment sur un sein ou lautre, une paire de jambe ou lautre, un sexe ou lautre.
Chaque homme simmobilise derrière la compagne de lautre, collé à elle. Leurs mains empoignent leurs poitrines, les femmes sembrassent toujours et la position de leurs bras ainsi que leurs mouvements saccadés ne laissent que peu de doutes sur le fait quelles explorent mutuellement leurs intimités.
Tu sens ma queue durcir sous tes doigts.
Tu aimes bien ça on dirait ?
Oui, jadore voir deux femmes jouer entre elles ! Et quand cest deux couples, cest encore mieux.
Tu continues ta masturbation nonchalante, je continue de glisser mes doigts sur tes lèvres que je sens, même sous leau, humides.
Les deux couples se rapprochent de la plage. La femme qui y tourne le dos se remonte et sassied dessus. Lautre se glisse immédiatement entre ses jambes pour la lécher comme si sa vie en dépendait. Celle assise sur la plage empoigne le sexe, dressé, de lhomme qui était derrière elle il y a encore quelques instants. Le deuxième homme est lui toujours occupé à caresser la plus gourmande des deux.
Il lui glisse un petit mot à loreille, et elle vient sassoir à côté de celle quelle vient de lécher. Toutes deux remontent leurs jambes sur lassise de la plage, offrant ainsi leurs intimités dans une pose délicieusement obscène.
Tu penses bien que les deux hommes ne se font pas prier pour se ruer sur ces gourmandises si gentiment proposées.
Des gémissements commencent à monter, les mains et les doigts se joignent aux langues, les femmes sembrassent, se caressent mutuellement, elles aiment ça tout simplement.
Les hommes se relèvent, et semblent enfiler leurs protections de plaisir en latex. Ils poussent, presque simultanément, les femmes à se coucher sur la plage, et, profitant certainement de leur caresses précédentes, les pénètrent sans ménagement jusquà la garde.
Mis à part quelque personne dans un recoin très sombre qui sadonnent à leurs propres jeux, le silence est quasiment parfait dans leau. Ces deux couples monopolisent toutes les attentions, tous les regards. On distingue çà et là des caresses subaquatiques, certaines plus poussée que les autres, une pipe dans un coin, un cuni dans un autre, mais tous les regards convergents vers la plage et cette magnifique scène qui soffre à nous.
Deux femmes, main dans la main, chacune ayant le partenaire de lautre en elle, enfoncé au plus profond de leur désir. Elles gémissent et soufflent de bonheur, les rythmes changent, tour à tour lent puis rapides, amples puis courts, le désir monte en eux quatre. A les voir, je mimagine que ce nest pas la première fois quils jouent ensemble.
Je pense quils ont déjà joué ensemble, leurs échanges sont tellement fluides, on dirait quils se connaissent.
Je ne sais pas, ils ont bien discutés ensemble avant de débuter.
Mouais, enfin peu importe de toute façon, ils mexcitent, je crois que ma bite va exploser !
Moi aussi ils mexcitent, même si je ne crains pas que ma bite explose ! Me dis-tu en souriant.
Leurs ébats continuent de plus belle, ils alternent, levrette, amazone, et dautres, toujours en douceur, toujours avec volupté, ils prennent du plaisir à nous offrir ce spectacle.
Les deux hommes sallongent sur le dos, chacun les pieds vers lautre, les jambes enchevêtrées. Les femmes sempalent sur leurs queues, si proches lune de lautre quelles pourraient se toucher.
Elles sempoignent et sembrassent, se caressent mutuellement la poitrine, tout en chevauchant leurs montures. Aux cris et gémissements de plaisir, se mêlent maintenant les claquements des corps qui sentrechoquent avec énergie.
En dautres lieux, avec une autre lumière, cela serait certainement obscène, proche de la pornographie, mais là, maintenant, je trouve ça beau.
Le rythme saccélère, les cris sintensifient, jusquà ce que dun coup, comme répondant à un signal qui nous aurait échappé, les femmes se retirent et viennent ôter limper en latex de leurs hommes pour prendre en bouche leur compagnon respectif et en aspirer toute la jouissance si lon en croit leurs râles de bonheur.
Sans prendre, je pense, le temps de déglutir, elles sembrassent ensuite et semblent mélanger leurs nectars avec une délectation apparente.
Je ne pourrais jamais faire ça moi !
Je sais ma chérie, tu me las déjà dit. Je crois quon devrait survivre sans, ne ten fais pas.
Leurs ébats terminés, les deux couples rejoignent les douchent, avec une certaine forme de béatitude accrochée à leurs visages.
Le jacuzzi reprend son cours normal avec la fin de cet acte
Comme si chacun se réveillait dun coup, les regards reprennent leur ronde afin de détecter tout signe dinvitation, ou tout appel à débuter un autre acte avec dautres intervenants.
Nous navons dailleurs pas remarqué à quel point les lieux se sont remplis. Il y a tellement de monde quil est difficile de bouger sans frôler une autre personne.
Reprenant mes esprits, je vois sous leau une main posée sur lintérieur de ta cuisse se rapprocher doucement de la mienne, occupée à explorer ton sexe. Je me penche et vois quelle appartient à un homme (sous leau, avec le peu de lumière, javais un doute).
Ça ne te dérange pas quil te caresse, il na pas lair dêtre ici en couple ? (un autre homme est assis à côté de lui et il ny a pas de femme a proximité).
Non, pas pour le moment. Ça ne te dérange pas toi ?
Bien sûr que non, si cest le cas, je te ferai signe. Laisse-toi aller comme tu le sens ma chérie. Je taime.
Petit à petit, je le sens qui remonte vers le centre de tous ses intérêts et que tu écartes un peu plus les jambes pour lui rendre la tâche plus facile. Tu sens ma queue durcir encore entre tes mains expertes, signe de lexcitation que je ressens. Tu te tournes vers moi et membrasse, je libère la place quoccupait ma main pour prendre soin de ta poitrine et de tout le reste de ton corps.
Aussitôt, je vois cette autre main aux doigts inquisiteurs prendre possession de toi. Tu as lair daimer ça.
Tu tends à ton tour ton bras pour empoigner sa tige fièrement dressée. Tu vas et viens langoureusement. Au même rythme des mouvements que tu fais sur moi.
Notre « invité » se penche vers toi, je vous vois avoir un court échange dont tu me dévoile immédiatement la teneur :
Il veut me lécher, tu veux bien ?
Pas de soucis ma chérie.
Alors, tu te relèves sur le banc à peine au-dessus de la surface de leau, et tu lui offre une vue, mais surtout un accès parfait à ton fruit du plaisir.
Je te regarde, je vous regarde, jaime te voir comme ça, mais je suis frustré de ne pas pouvoir participer. Jai moi aussi envie de te gouter, te sentir tes mains sur mon corps, ta peau contre la mienne.
Jai aussi envie de te lécher ma chérie, de sentir ta bouche sur moi, tes mains sur ma peau
tu veux quon aille au sec soccuper de toi tous les deux, dans les limites que tu décideras.
Tu hésites quelques instants, partagée, jimagine, entre lappel du plaisir pur, et la voix de la raison qui doit te retenir pour dobscures raisons. Si elles te retiennent, cest que ce sont de bonnes raison, quelles quelles soient. Je nai même pas à en discuter. Je ne veux en aucun cas que tu penses que je veuille infléchir ta décision, que ce soit dans un sens ou dans un autre.
Je te laisse donc décider, seule, si ma proposition te convient. Devant ton hésitation, je me demande si je naurais pas mieux fait de mabstenir
Jai peur de tavoir choquée ou embarrassée.
Ok, mais juste des caresses, et la bouche, rien de plus.
Ça me va parfaitement ma chérie.
Je me retourne vers notre partenaire du moment, pour lui donner nos conditions. Le but étant dêtre clairs tous ensembles. Lui non plus nest pas un produit que lon consomme en tant que couple. Cest une personne avec des envies et certainement des barrières ou pas.
Il est daccord pour continuer comme on le souhaite.
Nous nous dirigeons donc tous les trois vers les douches. Je dois bien dire quil a un sexe de taille très honorable, je pense que lorsquil est en pleine forme, il doit me dépasser. Son corps est harmonieux, il semble plus jeune que nous dau moins cinq ans, allure sportive et traits fins. Nous nous savonnons, il se colle à toi, jen fais de même.
Tu es comme prise en sandwich sous la douche, moi devant, lui derrière, nos sexe, durs, tout contre toi, nos mains baladeuses sur toi, nos bouches sur ta peau. Moi sur ta bouche, lui sur tes épaules.
Tu fais cesser notre petit manège pour nous devancer de quelque pas, coup dil coquin en arrière, lair de dire : « allez les s, on y va maintenant, ça suffit de jouer ».
Nous voilà dans la première pièce libre que nous avons trouvée ouverte : Assez sombre, pas trop de miroirs, un grand lit / matelas avec un passage tout autour (aucun côté du lit nest collé à un mur).
Tu tallonges au centre du matelas, les jambes écartées, les talons près des fesses, une sorte de position du lotus, mais allongées.
Allez, continuez à me faire du bien en vous occupant de moi, cest bon
.
Je regarde notre invité, nous nous sourions, et nous avançons vers toi. Je lui fais signe de me suivre et deffec les mêmes mouvements que moi. Est-ce pour me rassurer, est-ce pour te donner plus de plaisir, est-ce pour lui montrer que jai lascendant, ou lui montrer quil nest « que » linvité
certainement un peu de tout ça. Cest la première fois que je « te partage ». Je suis terriblement excité, mais jai peur de ne pas aimer, peur que tu naimes pas, peur de te choquer si jaime, tout se bouscule dans ma tête.
Pour me rassurer pour le coup, je suis certain que cest pour cette raison à 100 % - je te rappelle au creux de loreille, que tu arrêtes quand tu le souhaites, il ny a quà le dire ou me faire signe.
Ne ten fais pas mon chéri, moi aussi jen ai envie, mais jappréhende un peu. Tu as bien refermé la porte ?
Je vais vérifier et te confirme que oui. Nous ne serons pas dérangés. Heureusement que le verrou est mis, tes cris et gémissements des minutes à venir vont attirer du monde qui tentera à plusieurs reprises, mais sans insistance, douvrir
Notre nouvel ami, John, et moi prenons place chacun sur un de tes flancs. Je lui montre donc le chemin à suivre.
Jembrasse dabord ta poitrine, délicatement, puis je la caresse du bout de mes mains. John mimite immédiatement sur ton sein droit. Il imite chacun de mes mouvements, flattant ton flanc droit pendant que je moccupe du gauche.
Je fais glisser mes mains sur ton buste, tes côtes, je vais de ton cou à ton entrejambe, mais je marrête juste avant. Mes lèvres imitent mes mains, je recouvre ta peau de délicieux baisers.
Je change de place, et je viens masseoir du côté de tes jambes. Je pose ton talon gauche sur mon épaule, et je fais glisser mes paumes, de ta cheville à ton aine, John, continue de mimiter et prodigue le même traitement ta jambe droite.
Tour à tour, nos doigts sapprochent de ton désir brûlant. Ton souffle indique, sans le moindre doute, combien tu te languis que nous allions plus loin. Mais je veux faire monter encore ton désir avant daller plus en avant.
Je commence donc à effleurer ton entrejambe, sans aller jusquà tes grandes lèvres, mais jen suis tout près. Jenlève ma main pour rediriger mes caresses vers ta cheville et John descend à son tour ses doigts vers ton puits damour. Il se rapproche sans toucher sa cible. Nous enchainons ainsi un petit instant jusquà ce que je lui fasse signe de la tête et quil vienne poses sa main à plat sur le côté de ta petite chatte, je fais de même de lautre côté. Nous navons même pas besoin de te toucher ou de te gouter pour voir à quel point ce traitement texcite.
Nos mains se plaquent sur toi, et dun lent et délicat mouvement, nous écartons ton sexe pour en découvrir les moites profondeurs. Je glisse un doigt sur te fente humide, John enchaine également cette caresse. Nous recommençons, tour à tour, chaque fois, notre caresse est un peu plus appuyée, et à chaque fois nos doigts glissent un peu mieux.
Cette fois, avant de glisser sur toi, je me glisse dabord en toi.
Doucement.
Une première phalange, puis je ressors. Une nouvelle fois notre partenaire de jeu mimite à la perfection.
Une deuxième phalange, et je ressors pour aller titiller ton clitoris, sensible comme jamais.
La troisième phalange ensuite, et voilà tout mon doigt en toi, la paume de ma main recouvrant ton sexe.
Je ressors mon doigt, et jobserve attentivement John prendre possession de ton désir. Il glisse son doigt en toi, tu gémis de plaisir, jen bave dexcitation. Cette fois-ci, sous le coup de son envie, ou à lécoute de tes réactions, il ne mimite pas exactement.
En effet, il amplifie sa caresse, se retire très lentement, et recommence cette caresse trois ou 4 fois de suite, tout en te malaxant ta poitrine de lautre main.
Lorsquil retire son doigt, japproche ma bouche pour te lécher. John ayant maintenant pris place à ta gauche, tu empoignes sa bite dressée. Tu entames de douces caresses.
Je te lèche, il caresse ton clitoris, tu le masturbes, cest délicieux !
Je fais durer un peu cet instant tant japprécie la saveur de ton nectar.
Puis, je jette un coup dil à John, et nous intervertissons nos positions. Chacun prend la place de lautre, sa bouche et sa langue viennent se ficher tout au fond de toi. Tu glisses ta main sur sa tête pour le plaquer encore plus, signe quil sait sy prendre et te donner du plaisir.
De lautre main, tu
empoignes ma queue, et approche tes douces lèvres pour me lécher et me sucer.
Je suis au supplice ! Non pas parce que quelque chose me dérange, mais au contraire parce que jessaye de ne surtout pas jouir tout de suite.
Cette fois ci, cest toi qui nous demandes dintervertir. Une fois que nous avons effectué ce que tu désires, tu te mets également à sucer John alors que je te lèche comme tu aimes.
Quelques instants de ce traitement suffisent à déclencher en toi de petits orgasmes. Je sens, à travers ma langue et les doigts que je glisse en toi, les petites contractions, signe manifeste de ton plaisir.
Puis, comme épuisée, ou saoule de plaisir, tu tassieds doucement sur le matelas.
Merci John, cétait délicieux, mais on va sarrêter là pour le moment.
Ok, merci à vous deux, cétait exquis, peut-être à plus tard ou à une autre fois.
Nous nous retrouvons tous les deux dans cette grande pièce, je te prends en levrette, en poussant tout doucement mon gland au fond de toi. Puis je le ressors, et recommence ainsi de nombreuses fois tout en faisant attention de ne pas dépasser mon seuil dextase.
Tu gémis, à la limite des cris, mais je décide de nous arrêter là afin que nous retrouvions non esprits, et allions nous rafraîchir.
Nous sortons et nous dirigeons vers le bar, non sans que je tai enlacée avant.
Je taime mon amour, tu es si belle lorsque tu prends du plaisir.
Merci mon chéri, moi aussi je taime.
Nous voici de retour dans la salle principale, le bar. Nous prenons chacun un verre pour nous rafraichir, puis tu commandes un café pendant que je vais chercher des cigarettes au vestiaire.
Je te retrouve dans le fumoir, tu es seule et manifestement pensive.
Quelque chose ne va pas ma chérie ?
Non, au contraire, je repense à ce que nous avons vu tout à lheure et à ce que nous avons fait ensuite, jai adoré, jen suis encore toute mouillée !
Moi aussi jai vraiment adoré, regarder, mais encore plus lorsque nous étions avec John dans la pièce. Jouer tous les deux avec toi et faire monter ton désir était vraiment délicieux.
Nous retournons chacun à notre cigarette, pensifs
Je glisse mon pied contre ta jambe, jai envie de ce contact avec toi.
Nos mégots écrasés, tu me propose de retourner dans le jacuzzi, jaccepte avec grande joie.
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