Spectacle Partie 1

J’ai publié déjà 2 récits. Ma première séance de pose nue pour un photographe et une deuxième fois improvisée et très coquine. Ma deuxième expérience de poste dans la cave de la Bastille avait été étonnante. Certes j’ai posé à nouveau mais je suis allée vers un plaisir inattendu.

Le temps avance et je suis restée avec ces deux expériences dans ma tête. Mon mari n’a vu qu’une partie des photos, pas le film. Il a aimé les clichés de moi ne portant qu’un collant sans démarcation, les talons et une petite veste noire. Il trouvait ces clichés très excitants. Je veux bien le croire et le résultat était avantageux.

C’est très agréable car, comme la fois passée, avant de retrouver Claude j’étais totalement épilée. Le contraste de ma peau sous ce collant comme prétexte de vêtement exacerbait en fait ma nudité. Mon sexe parfaitement épilé était offert à la vue et à toute envie. 

Il t’a touchée ?
De fait oui j’étais contre lui. Si tu veux que je te rassures il ne m’a pas caressée et encore moins ne serait-ce qu’effleurer mon sexe.
Je ne te crois pas ce n’est pas possible. A sa place je n’aurais pas résisté. Ton collant sans rien en dessous c’est irrésistible.
Non non je t’assure
Et de te montrer nue encore une fois tu as aimé ?
Se sentir désirée, même par un objectif photo ce n’est pas désagréable. Par contre, oser poser avec un autre homme que toi c’était bizarre.
Ne me dis pas que tu as regretté. Tu y es retourné sans me prévenir et tu t’es montrée sans beaucoup de retenue.
Oui mon amour, cette expérience m’a fait du bien et je prends confiance en moi. Jamais je n’aurai osé il y a 10 ans et c’est grâce à toi.
J’imagine que beaucoup de gens ont vu ces photos de toi totalement nue et le sexe épilé.
Non c’est privé et pour les publier Claude doit avoir mon autorisation.
Et si je te demandais de lui donner cette autorisation et d’en publier certaines sur son site ?
Non mais tu rends comptes de ce que tu dis ? J’ai un boulot je suis cadre dirigeant dans une grosse boîte à coup sûr on me reconnaîtra.

Penses-y cela peut être pas mal et je serai fier de toi.

Nous en sommes restés là et en plus je n’avais même pas honte de mon mensonge de lui avoir caché les clichés très sexe et la vidéo.

Les photos sont vraiment coquines et faites par un pro en plus, elles sont belles. J’aime bien celles nue sous le collant avec juste une veste, j’aime bien celles où je suis pénétrée . Me voir les yeux pleins de jouissance, mes fesses honorées par cet homme que je connaissais à peine. J’ai eu beaucoup de plaisir, je me rappelle ce moment où je lui demandais d’aller plus loin en moi, je voulais le sentir dans mon petit cul de femme honorable.

Ces passages de vie sont divins et frustrants à la fois. Le souvenir excitant de cette expérience, l’envie de la revivre, trouver comment aller plus loin dans l’interdit.

Les jours suivants je pensais à la question de mon mari. M’imaginer regardée et désirée était plus que sexy. J’ai regardé le film un soir au travail. Je me montre nue, j’ai trompé mon mari et j’ai été filmée. Désolée de l’avouer mais j’aime bien. Les images de moi offerte, mon corps entièrement livré c’est troublant. Je voyais mes seins bouger pendant que j’étais pénétrée, Je me voyais haleter, bouche ouverte et le son trahissait mon plaisir.

J’avais envie de continuer ces expériences nouvelles et oser aller plus loin. J’ai rappelé Claude.

Bonjour c’est Véronique.
Ah ma belle comment vas-tu ?
Très bien , je te rappelle car je me suis posée une question sur ce que vous faisiez des photos. Je ne les vois pas sur votre site, et je préfère, mais les avez-vous montrées ?
Elles sont sur le site mais cachées et accessibles uniquement avec un code.
Vous l’avez donné ?
A ton partenaire de la cave et à des amis photographes. Sois tranquille entre nous nous ne diffusons rien sans l’accord formel du modèle.
Très bien merci à toi. En fait mais je ne sais pas comment l’exprimer, disons que me savoir regardée cela me trouble et me plaît.
Tu as envie que je mette des photos de toi. Ne va pas trop vite.
Et si tu floutais mon visage.
Oui bonne idée. Tu passes me voir pour sélectionner ls clichés.
OK je passe en début de soirée.
Parfait à tout à l’heure.

19 heures j’étais à son studio. Il m’a accueillie avec toujours la même gentillesse et nous avons bavardé avant de faire la sélection. Je lui ai expliqué que franchir ce pas, toujours dans l’anonymat, me faisait envie. Dans le répertoire « Véronique » il y avait toutes mes photos dont certaines que je n’avais pas encore vues. Ce coquin a pris des poses où je suis assez indécente. Lovée sur le sol de la cave tout juste couverte par mon collant ou encore marchant en collant et talons dans ce lieu vide et sous terrain.

Je n’ai plus la plastique de mes 30 ans mais j’en ai 53 et je me trouve loin d’être ridicule. Prendre le temps de regarder tous ces clichés, moi nue, faisant l’amour, posant érotiquement, laissant voir mon intimité. Je me surprenais. C’est une banalité que de le dire mais avoir attendu ma cinquantaine pour aller aussi loin et prendre un plaisir de débutante était amusant.

Quelles photos as-tu envies de poster sur ton site ?
Ce qui me fait envie ce sont celles sur lesquelles tu n’es vêtue que de ton collant et veste puis juste le collant et tes talons hauts. Je ne mettrai pas de photos plus hard car cela ne passe pas sur le site.
Heureusement et j’ai envie de susciter de la douceur, pas du cru.
Je vais flouter ton visage discrètement afin que la forme de celui-ci se devine sans que tu puisses être reconnue.
Il y en a 17, c’est beaucoup.
Non c’est bien ainsi, tu poses dans des séquences qui s’enchaînent car sinon cela fait juxtaposition de photos sans aucun sens et surtout c’est très voyeuriste.
Tu as raison et les clichés sont très jolis, du travail de pro quoi !
Quel pseudo veux-tu que je donne ?
Laisse Véronique, ce n’est pas mon vrai prénom de toutes façon mais cela donne de la continuité et du sens dans ce que j’ai commencé avec toi.
Et c’est fait, dans une heure tu pourras te voir ou du moins te deviner sur internet. Dis moi ce que tu en penses et comment réagit ton mari.

Je lui ai fait un gentil baiser sur la joue et je suis rentrée chez moi. Il était plus de 22 heures. Mon mari commençait à grogner mais sans un mot j’ai allumé l’ordinateur et je suis allé sur le site K….k.fr et directement sur les clichés de Claude.

Il a aimé et la qualité du travail de Claude rendait esthétique ma nudité. Les autres modèles due Claude étaient différentes, plus jeunes et avec des styles très opposés. L’une d’entre elles avait posé sur une scène vide de théâtre. Photographiée en contrebas j’ai adoré ces clichés. La scène, être ainsi par définition en représentation mais en plus sans rien, totalement offerte, je craquais. Même si le théâtre était vide au moment des poses ce lieu et cet environnement me faisait envie.

Mon mari n’arrêtait pas de me questionner pour savoir si j’avais profité du moment et avait été plus loin que ces clichés certes nus mais relativement raisonnables. Je n’ai pas cédé et je ne lui ai pas avoué que cela était allé beaucoup plus loin et que j’avais profité des charmes du propriétaire des lieux.

Je me suis malgré tout laissée aller à avouer que les photos du modèle sur une scène ne me laissait pas indifférente.
Tu es tentée par un essai ?
Mais non tu es fou, sûrement pas devant du monde
Tu n’as pas hésité à t’exhiber sur le site de Claude au vu de tout le monde. Ne me dis pas que tes intentions sont de rester dans la plus grande discrétion.
Mais tu ne comprends rien cela n’a rien à voir. J’ai des sensations agréables à l’imaginer voire même par quelqu’un d’autre mais de là à passer à l’acte nous en sommes très loin.

Rien à voir ! Mais s’exhiber devant des spectateurs est bien présent dans mon esprit et mon imaginaire. Je ne sais pas comment le traduire en une expérience réelle mais l’idée est grisante. J’ai bien imaginé un concert pendant un festival mais je n’ai plus l’âge. Aller dans un théâtre érotique, pas question je trouve ça d’un glauque total. L’idée peut venir de Claude. Il connaît et participe au monde libertin. Je l’appelle demain pour le solliciter.

Bonjour Claude, c’est encore Véronique qui viens vers toi.
Tu peux venir tous les jours tu sais. Les expériences avec toi sont toujours étonnantes et bien agréables.
Cette fois j’ai besoin de ton expérience.
Ah, tu m’intrigues. Et quel genre ?
Tu m’as dit une fois que tu fréquentais le monde libertin.
Tu es intéressée ?
Non pas comme tu l’imagines. En fait Ces dernières expériences m’ont disons révélé l’envie de tenter une nouvelle chose, un peu décalée.
Je t’adore. Vas y dis moi.
Voilà j’ai dans la tête l’idée de me montrer nue devant une assistance ou des spectateurs. Pas un truc glauque genre spectacle érotique gras et stupide mais plutôt l’expérience dans un monde d’initiés où une femme comme moi peut se montrer nue.
Mais genre spectacle érotique ou soirée privée ?
Je ne sais pas, en fait je suis en plein fantasme sans savoir où je vais.
OK, je vois l’idée. J’ai besoin de chercher et de contacter du monde. Laisse moi quelques jours et je te rappelle.

Pas de nouvelles, je trouvais le temps long même si je commençais à avoir un peu peur de m’être lancée dans un engrenage incontrôlable. Et Vincent qui n’était au courant de rien.

Claude m’a rappelée 3 semaines plus tard avec une proposition.

Hello ma chérie, je ne te dérange pas ?
Non bien sûr que non et je suis trop impatiente de t’entendre.
J’ai contacté plusieurs connaissances de mon réseau et j’ai une jolie proposition à te faire.
Vas-y dis moi vite.
Une soirée est organisée le mois prochain dans une boîte en banlieue. C’est totalement privé et ne sont admis que les membres d’un Cercle que tu ne connais pas. C’est au Raincy dans la ville chic du 93.
Oui mais dis moi en plus.
Ce sont des personnes des villes autour qui financent la soirée. Ils veulent des couples et des femmes d’expérience, chic, bourgeoises et qui seront amenées à se comporter d’une manière inhabituelle pour elles.
Plutôt énigmatique soit plus précis..
Les mécènes,, je les appellerai comme ça si on peut les appeler ainsi, sont des types des cités, riches, qui veulent voir se dévergonder des femmes entre 40 et 50 ans. Je ne veux pas savoir d’où vient leur argent mais ils sont du 93 et roulent dans de grosses voitures allemandes. Afin d’avoir des candidates au show qu’ils veulent organiser ils doivent rassurer. C’est pour ça qu’ils sont passés par le Cercle que je connais et auquel j’appartiens. Ceci va leur permettre de garantir la sécurité et l’organisation et rassurer les participantes. Ils organisent en fait un mega clip de rap plein de débauche. Ce sera filmé et bien sûr réservé aux seuls participants à la soirée.
C’est un peu strong quand même comme scenario. C’est risqué.
Non pas de souci car les mécènes ne seront pas plus de 20 et surtout ils devront tous être en couple. De notre côté nous sommes une petite centaine.
Dis m’en plus, qu’est-ce qui est prévu ?
La soirée est un jeudi le 21, elle débutera à 22 heures sans horaire de fin. Le lieu est très joli, une boîte dans le centre ville du Raincy. C’est très Privé il n’y a que des soirées réservées sur invitations. Le public ne connaît donc pas ce lieu et donc pas de risque d’arrivées incontrôlées ou pas souhaitées.
C’est important et qu’est ce qui est prévu ?
En fait ces 20 personnes sont là pour regarder et profiter, voire même participer. Je ne sais pas qui ils sont mais la soirée a un budget de dingue. Les femmes et des couples du Cercle présentes, et toi si tu viens, passeront sur scène afin de s’exhiber et de jouer les escort girls. Il est prévu que du cadeaux soit remis aux participantes. Vous avez été sélectionnées à partir de ce que nous leur avons montré. Ainsi pour toi ce sont les photos de ta première séance celles avec Aline puis celles de la cave. Je leur ai également partagé le film que j’ai fait lorsque tu as fait l’amour avec Louis ce même jour.
Ça craint vraiment. Tu n’as pas fait ça ? Me montrer à ces trafiquants, exhiber ce que même Vincent n’a jamais vu. Tu aurais pu m’en parler . Comment as-tu vendu ma présence ?
J’ai rencontré les mécènes et je leur ai expliqué comment tu réagissais et ce que tu avais envie de faire. Je leur ai expliqué comment se sont passées les 2 séances de shooting et comment le film qui te met très en valeur a été improvisé.
C’est chaud quand même.
Je peux te dire que ta présence est très souhaitée. Tu es attendue en collant, sans culotte, le sexe épilé, seins nus sous une veste et en talons, cela a accroché.
Tu m’as vendue comme un produit.
Ma chérie, c’est ce que tu voulais.


Certes mais devant le fait accompli je ne faisais pas la fière.

Il fallait que je m’organise, trouver un alibi avec Vincent, trouver un prétexte pour être épilée en permanence sans que cela éveille ses soupçons et enfin que je prépare ma valise et qu’il ne la voit pas. J’avais 3 semaine devant moi.

Pour l’alibi, comme la soirée était un jeudi, je pouvais monter un scenario de déplacement professionnel. Des mails envoyés et des ordre du jour donneront le change. Je devais partir le mercredi matin pour revenir le vendredi soir.

Pour mon épilation je resterai ainsi et je serai en permanence épilée pendant les 3 semaines à venir. Pour la valise, simple.

J’ai rappelé Claude le lundi précédent la soirée.

Hello Claude.
Hello ma belle, tu es prête à participer ?
Je pense oui, juste des détails pratiques. Est-ce que tu peux venir me chercher jeudi soir Place Gambetta ?
Oui pas de souci, idéalement à 20 heures pour y aller tranquillement.
D’accord et en chemin tu me donneras les derniers détails.

Je suis partie de la maison mercredi matin comme prévu. J’avais pris une chambre d’hôtel à Nogent sur Marne pour être sûre de ne pas croiser Vincent ni prendre le risque de voir des têtes connues. Je me suis promenée toute la journée sur les bords de Marne et dans la ville, pas très intéressante.

Jeudi réveillé à 9 heures, j’ai pris tout le temps pour me préparer. J’ai soigné ma coiffure, assurée une épilation parfaite avec une peau bien lisse et douce. La tension est montée progressivement. J’ai quitté l’hôtel à 19 heures pour aller rejoindre Claude en transports. Ma voiture et mes tenues sages sont restées à l’hôtel.

Jeudi 21, 20 heures Place Gambetta. Le van de Claude était à l’heure. Vêtue utile, j’étais en jean, pas de soutien gorge pour ne pas faire de traces et ma valise prête. J’avais pris soin d’ajouter le petit plug avec une pierre rouge, je comptais profiter de cet artifice ce soir.

Bises Claude.
Hello ma belle. Tu es prête et j’espère curieuse de ce qui t’attend.
Un peu nerveuse quand même. Dis moi à quelle heure cela commence vraiment ?
A 23 heures, les 20 personnes qui financent la soirée vont arriver. Il nous ont prévenu que tous seraient en couple ou du moins accompagnés. Ils demandent à regarder les dames aller et venir dans la boîte et sur scène. La musique sera du rap et choisie par eux. Pas de drogue mais alcool à volonté. Tu est censée être avec moi, je te présenterai comme mon amie. Tu devras être vêtue comme sur les clichés : nue sous ton collant sans démarcation, sexe épilé, topless sous ta veste et talons hauts. En jupe pour arriver sur scène.
Bref telle que tu m’as vendue.
Arrêtes, c’est ce qui t’attires.
Dans la boîte il y a 2 petites scènes avec sur chacune un fauteuil. Chacune d’entre vous passerez successivement. Les 4 premières se déshabillent pour offrir leur nudité. Je te rappelle que vous serez photographiées et filmées. C’est un pro qui le fait ce sera bien réalisé. Les 2 suivantes posent avec leur conjoint. Tu passes ensuite, ce sera vers minuit. Ce qui est attendu c’est que tu retires ta jupe pour poser sur scène puis te déplacer dans la boîte simplement vêtue de ton collant, tes escarpins et de ta veste ouverte. Tu pourras être interpellée pour aller vers des couples mécènes, parmi les 20, qui te demanderont de t’exhiber devant eux ou te toucher. Tu es libre de faire et d’accepter ce que tu veux. Personne ne pourras t’obliger à quoi que ce soit.

Le contexte encadré dont m’avait déjà parlé Claude et cette première expérience d’exhib me faisaient frissonner. Je l’avais voulu et j’allais l’avoir. Être exhibée et regardée pour ce que je suis me faisait plaisir. 53 ans et se sentir désirée me faisait plaisir mais surtout me rassurait.

J’avoue ne pas avoir beaucoup pensé à Vincent. Je lui ai passé un coup de fil à 21 heures. Rien de spécial, il m’a souhaité une bonne nuit.

L’attente a commencé et les premiers mécènes sont arrivés. Ils étaient du 93, détendus et se sont installés dans les alcôves qui faisaient face aux 2 petites scènes et à la piste. Ils nous ont salué, et les échanges montraient qu’ils avaient co organisé avait pour but de nous dominer et montrer leur puissance. Le Cercle était un alibi. Les filles qui accompagnaient les mécènes étaient très légèrement vêtues laissant pour certaines plus que deviner leur plastique avec leurs vêtements faits pour cela.

Nous avons été réunis, femmes et couples à 22 heures 45. Nous étions une bonne trentaine. Les plus jeunes devaient avoir 30 ou 35 ans et j’étais parmi les matures. L’ordre de passage nous a été expliqué et cela correspondait à ce que Claude m’avait dit. Ce que j’appris c’est qu’après moi il s’agissait de couples de femmes puis en final une femme et deux hommes.

Yannick qui faisait partie du Cercle nous donna quelques informations finales.

Comme vous le savez les mécènes sont en couples. Pas de bande ni d’hommes seuls. Vous serez sollicités pour vous approcher d’eux, être caressés ou plus. Vous n’avez aucune obligation rappelez vous et nous sommes présents. Avez-vous des questions.
Où serons nous en attendant de passer ?
Vous resterez dans cette salle avec interdiction absolue de regarder ce qui se passe avant vous. Vous avez à votre disposition un buffet et des boissons. Les vins et le champagne ont été sélectionnés avec goût. Une fois passés vous pourrez rester dans la boîte avec tout le monde mais vous ne pourrez pas retourner dans la salle. Si vous avez besoin de quelque chose je serai là pour vous. C’est bon pour tout le monde ? Je vous souhaite un bon moment et beaucoup de plaisir.

Les dés étaient jetés. Perturbant de voir à côté de soi les personnes se préparer sans se cacher ou dissimuler quoi que ce soit. Mais toutes appartenaient au Cercle, j’étais la seule en Guest qui découvrait le lieu et ce type de soirée.

Bonsoir, je suis Virginie.
Véronique.
C’est toi l’invitée de Claude ?
Oui et je découvre car je ne suis encore jamais venue au Cercle.
C’est vrai et ce soir c’est original, l’idée de ces mécènes est troublante. Je l’ai un peu déjà fait une fois en vacances à côté de Bordeaux. Nous avions organisé un concours dans le genre avec des lots.
Moi c’est la première fois que je vais me montrer devant un public, et surtout très dévêtue. Et vous, vous passez quand ?
En deuxième, je fais un simple strip tease et m’exhibe devant les mécènes. Je ne sais pas comment va se dérouler la soirée, ces personnes sont impressionnantes. Les filles qui les accompagnent ont une belle plastique et je suis impatiente de me confronter à ces jolies blacks.
C’est vrai qu’elles sont jolies et très aguichantes. Leurs seins sont magnifiques et pas refaits. Mais que peuvent-ils nous demander de faire ?
Je ne sais pas mais quoi qu’il arrive tu n’as aucune obligation et tu peux refuser. Viens allons boire un verre.

J’ai pu déguster de superbes vins blancs qui m’avaient bien évidemment donné un peu chaud. J’entendais la musique derrière la porte, fort, du rap agressif. Virginie était partie depuis un moment déjà. J’ai commencé à me préparer car il était 23 heures 30.

J’ai enfilé mon collant noir fin sans démarcation. J’y suis allée progressivement, je l’ai remonté lentement. Avant de terminer de le mettre j’ai sorti le plug de son écrin. Je me suis introduit délicatement entre les fesses ce petit bijou de métal. Le bout en Swarovski rouge est adorable. J’ai fini de remonter le collant.Douce sensation qui me détendait et excitait mes pas. Marcher ainsi était un adorable délice.

Je pouvais poursuivre ma préparation, les chaussures à talons, raisonnables car j’allais avoir marcher., la jupe et la veste. Mon maquillage était en contraste avec le noir des vêtements, le rouge sur mes lèvres faisait ressortir la blancheur de mon visage. Coiffée, mes cheveux au carré ébouriffés me donnait un ensemble que j’aimais bien. Tailleur jupe et talons, c’était le dress code de Véronique, le mien ce soir.

Il était minuit dix quand Yannick est venu me chercher. Mon coeur battait fort et bien sûr mes jambes tremblaient. Ce qui me donnait une douce sensation c’était mon plug, invisible à ce stade sous la jupe.

Je suis entrée dans la boîte, la lumière tournait mais ne m’éblouissait pas. Comme prévu le rap était à fond et il faisait une chaleur incroyable. J’ai de suite vu les 20 mécènes. Ils étaient chaud et chaud. La chaleur et l’excitation les faisait parler fort. Yannick qui drivait la soirée a annoncé mon entrée :

Véronique nous rejoint , encouragez la car c’est une première pour elle. En partant de la tenue de la femme qui dirige une équipe dans une grande société de distribution elle va vous offrir une quasi nudité raffinée et sensuelle. Après son passage sur l’estrade elle viendra à votre rencontre, à vous de jouer.


Pas terrible comme annonce mais cela ne me fit pas hésiter. Je suis allée doucement vers l’estrade en regardant les types dans les yeux ou dans l’axe de leurs lunettes de soleil.

Une fois montée sur mon promontoire j’ai continué à me déplacer doucement en prenant le temps de regarder l’assemblée. Doucement j’ai défait un à un les quelques boutons de ma veste pour offrir la vue de mes seins, pas très gros mais bien en forme. Les mains sur les hanches j’offrais la vue de ma poitrine en gardant la veste ouverte.

Je les regardais, ils ne me quittaient pas des yeux. Je pouvais continuer, je savais que la mature que je suis, installée dans la vie et qui s’offre ainsi leur faisait plaisir. J’ai offert l’autre partie de moi. La jupe a été dégrafée, le dernier bouton retiré. Je l’ai faite glisser et découvert mes cuisses puis mon sexe sous le collant. Je me suis remise les mains sur les hanches pour maintenir la veste ouverte, les jambes légèrement écartées et je les ai regardés en tournant doucement la tête vers les uns et les autres. Arrogante et indécente. La scène était filmée et sur les grands écrans on ne perdait rien de moi.

Maintenant commençait la deuxième partie de l’exhibition, aller vers eux. J’avais gardé encore secrète la présence du rosebud.

Je suis descendue de ma petite estrade pour aller vers ces hommes manifestement pas fréquentables mais qui ce soir mataient une mature et jamais nous n’aurions du nous croiser. Le contexte était en fait dingue. Le plug continuait à produire ses magiques effets quand je marchais. Je suis d’abord allée vers ceux qui étaient manifestement les plus timides, je me plaçais devant eux et toujours les mains sur les hanches afin de laisser en permanence mes seins lises.

La troisième table était celle de deux types qui étalaient leur fric avec des montres, des vêtements, des bouteilles aux prix indécents. Les 2 filles avec eux étaient manifestement très soumises, topless et la jupe étroite et courte avec des hauts talons. Elles ne bougeaient pas.

Je me suis approchée des deux hommes, je me suis mise de dos et en me penchant légèrement, en écartant légèrement les fesses de mes mains j’ai dévoilé la présence du rosebud. Lorsque ceci est apparu sur les écrans il y eut des sifflets et des cris. Cela leur plaisait manifestement.

Un des deux types me fit approcher, il posa une main sur le sein droit puis me retourna et fit glisser l’autre main dans le collant afin de faire bouger le plug. Je me laissais faire mais cela n’irait pas plus loin. J’en avais décidé ainsi.

Je partis vers les autres tables sans me laisser toucher et en me montrant, délicatement et en tournoyant sur moi même.. Je me dirigeai enfin vers les tables que j’avais identifiées comme celles des leaders de bande. Ils étaient 6. Les 3 hommes avaient autour de 35 ans, les yeux dissimulés derrière des lunettes de soleil. Ils étaient avachis dans les banquettes et sans aucune pudeur se passaient la main sur le sexe, par provocation. Les 3 filles étaient blacks, belles et très féminines. Une en pantalon ultra moulant dans une sorte de latex et les deux autres en jupes également hyper moulantes. Les trois étaient déjà seins nus.

A ma grande surprise les types ne bougèrent pas et ce sont 2 des filles qui se sont levées.

La première se mit derrière moi et me retira doucement ma veste découvrant les épaules puis le buste puis tout le haut de mon corps. Elle laissa tomber la veste par terre à ses pieds. Je me retrouvais ainsi quasi nue, totalement topless et mes seins offerts au regard de tous. Restaient mes chaussures à talons et mon collant sans démarcation, ne cachant pas grand chose de mon sexe ni de mes fesses, elles mêmes indécentes avec le rosebud qui les honorait. Je me sentais bien. Cette progression inattendue du plaisir était un délice.

Face à moi les 3 types fixaient mon corps et la dépendance totale dans laquelle j’étais et que je consentais me faisait frissonner. Tout pouvait se passer. L’absence de réaction de ma part était un accord pour ma soumission.

La fille qui m’avait enlevé le haut était restée dans mon dos. Elle introduisit sa main dans mon collant et commença à me masturber doucement entre mes fesses avec le rosebud. La seconde fille vint devant moi, plaqua ses seins assez volumineux contre les miens en me tenant par les épaules. Elle m’embrassa à pleine bouche C’était la première fois que mes seins étaient au contact d’autres seins, et c’était la première fois que j’embrassais amoureusement une autre femme.

J’étais prisonnière entre ces deux jeunes femmes aux seins nus. La première me caressait les seins avec ses propres seins en m’embrassant, la seconde me donnait du plaisir en faisant aller et venir le délicat rosebud entre mes fesses. Il me manquait une dernière chose. Je descendis une main vers mon sexe pour me caresser.

Ces deux filles me rendaient folle. Elles étaient restées habillées, la personne qui était à leurs ordres c’était bien moi. A tour de rôle elles m’embrassaient à pleine bouche et suçaient délicatement le bout de mes seins, offrant une autre voie de plaisir. Les caresses sur mon sexe et les mouvements délicats du rosebud étaient irrésistibles. Je ne cachais pas des respirations et des légers râles exprimant ma jouissance.

Les seins de la fille de face ondulaient sur ma poitrine afin de me comprimer. Elle me léchait l’oreille puis revenait à ma bouche. Celle de dos continuait à honorer mon derrière avec le plug. Je jouissais vraiment et régulièrement mes jambes tremblaient.

Je me laissais r et oui je ne cherchas pas à éviter leurs mains ni leurs lèvres. Lorsque j’ouvrais les yeux je voyais la scène sur les écrans. Torride et fou. Cela dura je ne sais pas combien de temps mais elles me firent encore jouir. Elles s’écartèrent de moi, signe que c’était fini et les trois types estimaient que la scène devait en rester là.

Les trois types me firent signe de venir vers eux. Ils me dirent merci et le leader manifestement me posa la main sur mon sexe. Il m’a dit à l’oreille qu’il voudrait me revoir plus tard dans la soirée. Je n’en su pas plus à ce moment là.

J’ai ramassé ma veste et l’ai mise négligemment sur l’épaule pour aller retrouver Claude, seins en avant et épuisée.

Tu y es allé fort ma belle. La surprise du rosebud m’a même étonné moi. La femme mûre et respectable s’est donnée du plaisir. Quand tu verras le film complet tu comprendras pourquoi c’était chaud. Il est prévu que chaque participante et chaque couple aient les photos et le film de leur passage. Ces deux filles qui ont abusé de toi, certes consentante.
C’était inattendu mais très fort. J’imagine que j’ai été regardée avec une pensée que cette Véronique est une trainée ?
N’imagine pas ça déjà parce que nous sommes tous ici pour ça et parce que quand la caméra venait en gros plan sur ton visage tu exprimais un plaisir fou. Ce que tu n’as pas vu ce sont la plupart des mécènes qui ont demandé aux filles avec eux de se mettre topless et de danser sur la piste. Avec toi qui faisait ton show ça a été un beau moment.
Sois gentil Claude va me chercher de l’eau et rapporte une bouteille de Dom Perignon.

La soirée n’était pas finie. Il y avait encore pas mal de prestations à venir. Je reviendrai avec l’acte 2 de cette soirée. Disons qu’après ce que je viens d’oser faire devant tant de monde, j’ai besoin de souffler un peu.