La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1312)

Camélia au Château - (suite de l'épisode N°1298) -

Alors, j'attendis obéissante avec patience et en silence docilement, sans le moindre bruit la prochaine directive de Walter… Pendant que je patientais ainsi silencieuse de longues minutes, s'écoulait ainsi ce moment passé de manière lente sans un soupir ni le moindre bruit ou mouvement qui auraient pu venir troubler ce si bon instant. Je commençais à ressentir paradoxalement et malgré le silence, une si agréable excitation que j’engageais à sentir de plus en plus fortement au niveau de mon entrejambes. Je peux aisément vous dire qu'à ce moment-là, j’avais bien toutes les peines du monde à contenir cette excitation grandissante en moi et qui ne demandait qu'à exploser. Je pris donc sur moi pour contrôler et résister à cette montée d’excitation. En effet, je voulais à tout prix éviter que ma cyprine coule de nouveau et ne vienne encore une fois tâcher ou bien salir l’illustre et ancestral parquet de ce donjon. J'étais littéralement et irrémédiablement une femelle en chaleur comme la chienne salope et soumise que je suis. J'avais l'impression que le temps était comme suspendu à un fil et je n’avais strictement aucune idée depuis combien de minutes, j'avais fini de lécher ma mouille sur le parquet. J’avais aussi cette drôle de sensation d’être scrutée ou plus précisément comme si on me regardait de manière perverse sous tous les angles et points de vue, malgré le fait que je ressentais ce regard qui pesait de plus en plus sur moi.

Je restais ainsi immobile sans le moindre bruit, ni aucun geste sachant très bien qu’en obéissant aux ordres de Walter, j'obéissais et je satisfaisais ainsi aux nobles exigences du Seigneur et Maître Vénéré. Je savais que c'était de Sa Volonté de me faire patienter ainsi. Car l’attente et la patience font partie de la vie du quotidien d'une bonne soumise. Après environ une grosse demi-heure, j'entendis le parquet grincer tout d'un coup et quelques instants après j'entendis des bruits de pas du Majordome qui résonnaient sur l'épais parquet ancestral et multi-centenaire de ce donjon chargé d’histoire auquel le Marquis de Sade a officier, jadis.

Puis je sentis Walter silencieux et à ma hauteur, je pouvais presque sentir son souffle sur moi, ayant bien sûr gardé ma tête baissée et mon regard rivé au sol. Je sentis ma respiration qui s'accélérait subitement comme si j'étais encore plus excitée par cette situation. Je ressentis par la même comme instinctivement et presque dans la minute une augmentation de mon humidité bien présente au niveau de mon bas ventre. Le Majordome devait me dévisager, me scrutant et me regarder d'un air hautain. Walter décida de profiter encore un peu du spectacle et de la jolie vue qui s'offrait devant lui sous son regard pervers, inquisiteur et vicieux. Apres un petit moment, Walter me dit d’un ton sec rempli d'autorité n'admettant aucune réplique ni la moindre remarque :

- Bien, la chienne soumise, tu as décidément bien du mal à te contrôler et un rien t'excite. Tu n'es décidément qu'une petite femelle à éduquer, une chienne en chaleur qui a bien du mal à contenir son excitation et qui mouille comme une femme fontaine, salope !... Pour me remercier que je t'éduque à l'Art de la fellation, tu vas venir me présenter tes hommages comme une chienne appartenant à Monsieur le Marquis doit savoir le faire. Avant toute chose et de faire la moindre action, tu vas écouter très attentivement mes prochaines exigences et sache que je n’hésiterais pas à sanctionner d’un ou plusieurs coups de badine sur ton cul de salope si tu n’obéis pas assez promptement aux exigences que je te donne… Quand je claquerais des doigts, tu viendras nettoyer mes chaussures avec ta langue de pute pour les lustrer et les faire briller… Attention cette fois-ci, je ne veux pas que tu utilises tes mains pour t’aider. Tu vas mettre tes bras derrière le dos avec bien sûr l'interdiction formelle de les bouger. Tu pourras et seulement quand je te le dirais t'arrêter et tu pourras alors remettre tes mains au sol et à quatre pattes... Met tes bras derrière ton dos et ne bouge plus…

Je plaçais ainsi mes bras derrière le dos. J'étais ainsi dans cette position en attente et paradoxalement j'étais très excitée et les sens en émoi par la position de soumission que je venais d'adopter. Après quelques minutes de silence d'attente, j'entendis enfin le son si distinct du claquement de doigts qui me délivra et me tira enfin de mon immobilisme. Et je me mettais donc à m'activer en léchant ses magnifiques chaussures en cuir avec avidité et gourmandise. Je m'm'appliquais avec beaucoup d'attention à suivre scrupuleusement ses exigences pour remercier de la manière la plus appropriée possible. Je bavais aussi abondamment pour nettoyer et lécher. Au bout de quelques instants, j’entendis très distinctement un autre claquement de doigts et donc je stoppais immédiatement ce que j'étais en train de faire et je relevais légèrement ma bouche de ses chaussures et restais ainsi immobile, la tête restée baissée et le regard toujours rivé au sol. J’attendais ainsi patiemment les bras toujours dans mon dos, j'escomptais ainsi la prochaine exigence qui me permettrait ainsi de pouvoir reposer mes mains sur le parquet et ainsi de pouvoir me remettre par la suite à quatre pattes. Après quelques minutes de patience, j’entendis la voix calme, perverse et autoritaire de Walter qui me dit d’un ton autoritaire sans aucune ambiguïté :

- Bien, la chienne, tu peux enlever tes bras de dernière ton dos et te remettre à quatre pattes. En effet c’est à quatre pattes que les chiennes comme toi évoluent dans cette demeure ancestrale. La séance d’éducation à la fellation est finie pour aujourd’hui, tu vas bientôt quitter ce Château et retrouver ainsi ta vie vanille. Avant de quitter ce donjon, je vais te rappeler quelques exigences que tu devras appliquer si tu ne veux pas être sanctionnée durant le temps où nous nous rendrons jusqu’au perron. Tu vas donc écouter très attentivement ce que je vais te dire : On va sortir et tu vas évoluer à quatre pattes, tenue en laisse en tenant la cadence et le rythme qui te sera imposé par moi. Tu as bien sûr l'interdiction formelle de relever la tête et donc de regarder les décorations accrochées au mur ou bien des gens que l’on pourra croiser. Tu te dois de garder la tête baissée et le regard rivé au sol, en progressant à quatre pattes dans les vastes et longs couloirs ainsi que dans les grands escaliers du Château. Sache que je n'hésiterais pas de nouveau à sévir ni à rapporter toute nouvelle faute que tu ferais volontairement ou par omission durant ce long trajet vers la sortie du perron, exigea Walter tout en se saisissant avec agilité et énergie de la laisse qui pendait accrochée à mon cou.

C'est alors que je ressentais une certaine pression sur le cou et me mettais en mouvement en quadrupédie. Je me hâtais donc de le suivre et j’attendis un instant le temps qu'il referme la porte du donjon puis je me remis en mouvement. Je pressais ainsi des fois les genoux dans cette vaste Demeure pour suivre la cadence que Walter m’imposait. J'étais encore plus concentrée que d'habitude pour ne pas désobéir aux ordres. Ainsi après quelques minutes à évoluer à quatre pattes dans les escaliers et les couloirs luxueux du Château, nous arrivâmes à proximité du hall d'entrée. A peine quelques instants après, je sentis que Walter ralentissait le pas, lâcha ma laisse et ouvrit la double et massive porte d’entrée et ainsi on se trouva rapidement sur le perron du Château. Instinctivement et dès qu’il eut lâché ma laisse. Je me mis donc à genoux tête baissée et le regard toujours rivé au sol. Je n’eus pas longtemps à attendre car presque instantanément Walter se saisit de mon collier et le détacha de mon cou. Il tenait ainsi la laisse et le collier de sa main droite. Sans dire aucun mot, je savais immédiatement ce que j'avais à faire et je me dirigeais donc toujours à quatre pattes et nue vers ma voiture. Une fois arrivée dans celle-ci, je pris le temps de me rhabiller et mit le contact en route puis démarra…

(A suivre …)