Retrouvailles 3

On but quelques verres, on dansait, la soirée battait son plein, il vint quand même me murmurer à l'oreille de ne pas oublier ma mission.
Alors qu'on se posait à une table et discutait de tout et de rien, je finis par lacher.
"Et si on retournait tous les trois chez toi ?"
Je le vis me regarder de manière satisfaite et il dit :
"Pourquoi pas ?"
Mon amie dit :
"On va se faire un plan à trois ?"
Le tout sur le ton de la plaisanterie, mais elle m'aida sans s'en rendre compte.
"Pourquoi pas ?" Dis-je alors sérieuse.
"Tu es sérieuse Laura ?"
"Ben oui, pourquoi pas ? Nous sommes trois célibataire, à lui de voir si il voudrait !"
"C'est vrai que monsieur est difficile" Dit alors Sandra.
"Vous deux et moi ?" Dit-il.
"OUI !" répliquais-je.
"Moi je suis d'accord, mais j'ai une condition" Dit alors Sandra.
"Laquelle ?" Dis-je.
"Vous avez déjà couchés ensembles de nombreuses fois que tu m'as dis, tu m'as aussi dit qu'il t'as fais avoir plusieurs fois des orgasmes en te faisant un cunni."
Je rougis, lui me regardait avec un sourire en coin.
"Elle t'as dis ça ? Je pensais que c'était notre secret à elle et à moi."
"Oh oui elle me l'a dit, et que tu es le seul à lui avoir procuré ça, donc, je veux aussi ce fameux cuni."
"Il te le fera !" Dis-je.
"Et que tu regardes lorsqu'il me le fait."
"Salope..."
"C'est ça ou rien." dit-elle.
"Pour moi, ça me va, rien d'autres comme demande ?" Dit-il.
"Rien, après ça, je serais open avec vous deux."
"Très bien" Dit-il.
"Ok" Dis-je ralant un peu.
Et on partit, dans la voiture j'étais derrière, eux devant et on montait ensuite chez lui.
A peine passer la porte il lui dit.
"Retire ton pantalon si tu veux que je te lèche."
Et elle le fit tomber au sol, dans le hall, il regardait ses fesses, un beau fessier et il passait devant elle, lui empruntant le pas vers sa chambre, je suivais comme si j'existais pas à leur yeux, il la déshabillais et la couchait dans le lit, il me placait devant et toujours habillé il montait sur le lit à son tour, sa tête partit très vite entre ses jambes et elle se laissait très vite aller.


Je sentais que ça m'excitait, je voulais me toucher, y aller, me déshabiller, leur crier que j'étais là.
Ca durait, ça durait autant avec moi ? Je n'avais aucune idée du temps dans ces moments-là. Et elle finit par venir, serrer ses jambes autour de son cou, s'aggriper au lit et puis se relacher.
Elle tournait la tête vers moi, me fit un sourire.
"Déshabille-toi et viens"
Me dit-il, ce que je fis, il nous fit nous embrasser, on se caressait, elle sentait que j'étais moi aussi mouillée et puis elle montait au dessus de moi, me mit sa chatte sur la bouche et se mit à lecher la mienne, ça me dégoutait à la fois et à la fois non.
Lui venait de se déshabiller et était à coté de nous, nous caressait, tout en me léchant, avec sa main gauche elle se mit à caresser sa bite et le branler, puis se retirait de moi et elle se mit à le sucer, et il me fit signer d'y aller aussi.
Elle finit par monter sur lui et s'embrocher sur sa bite, lui me fit venir au dessus de lui et il se mit à me lécher ma chatte, je les regardais baiser, je la regardais avoir bon, je sentais ses caresses, ses coups de langue, et il finit par venir en elle, elle se laissait retomber sur lui et moi je n'osais pas bouger, il continuait à me lecher.
Elle se redressait et regardait l'heure.
"Je vais devoir y aller, je ne saurais pas restée..."
"Déjà ? On s'est pas occupée d'elle." Dit-il.
"Qu'on lui mette une petite fessée" Dit-elle en rigolant.
"Je t'en prie" lui dit-il.
"Allais, viens sur mes genoux."
J'allais sur ses genoux, mes fesses en l'air et elle me mit une dizaine de fessée, fort sans l'être, elle rigolait puis se rhabillais, s'excusais milles fois et partit.
Je restais assise sur le lit, frustrée, je l'entendis fermée la porte à clé et il revint dans la chambre, son sexe pendant.
"A ton tour, retournons-en où on en était."
Il ouvrit le coffre.
"Remet ce que tu avais avant qu'on partes"
Je remis le collier, le baillon, il me sortit des menottes qu'il attachait à mes poignets et chevilles et qui pouvaient être attachés entre eux, me laissant pour l'instant tout le loisir de bouger et déposait le bandeau sur le lit.

Il me fit le suivre, se servit à boire et me servit un bol qu'il déposait au sol, lorsque j'eu fini, il s'assit dans le divan et je restais debout devant lui.
"Comment tu t'appelles ?"
"Je m'appelle Truie ou fourre-tout"
"Tu es une truie ?"
"Oui."
"Couine comme une truie alors."
"wiii, wiiii"
"C'est presque ça, tu es un fourre tout ?"
"Oui..."
"Donc on va remplir tout tes trous, ça te fais plaisir ?"
"Oui, merci..."
"Retournons dans la chambre, te remettre dans ta position."
Quelques minutes plus tard, j'étais dans la même position qu'au début du récit.
Comment en étais-je arrivée-là ? Maintenant vous le savez.

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