Collection Libertinage. Le Domaine. Saison I (4/5)
Handicapée à la suite de ma chute de cheval, cela ne mempêche pas de connaître la viticulture même si je nai pas fait lécole de Beaune après mon accident.
Cest le cas en ce moment où je me promène avec maître Mathieu contremaître de mon père puis de moi.
Mon père trop tôt disparut ainsi que ma mère mais qui elle ne soccupait pas du vin.
Il ma appris à goûter le raisin et reconnaître le goût de réglisse déclenchant la récolte.
- Vingt sur vingt, je fais le même diagnostic, jespère que le réseau commercial écoulera tout au meilleur prix, on a de la chance, les cours des créments sont en hausse, les blancs stagnent et les rouges ont eux aussi tendance à la hausse, surtout les crus les plus prestigieux que nous produisons sur les hauteurs et que Lionel a pris en main depuis son arrivée avec Pompon.
- Le beau temps remplit les chambres dhôtes et la location des chevaux marche mieux que lan dernier grâce à lachat que vous mavez fait réaliser.
Si les trois semaines prochaines sont aussi chaudes sur tous les plans nous ferons une saison exceptionnelle.
- Je croise les doigts avec tous ces orages à répétition.
Après lorage dhier la vigne la plus haute est intacte bien que la grêle soit tombée.
Je viens de my rendre mais coup de chance les grêlons était petit et notre parcelle a été frappée quelques secondes.
Il est loin den être de même pour la parcelle de notre jeune voisin du domaine Raquet, toucher à 40 %, dommage car il tente de survivre.
- Lionel devra-t-il intervenir avec Pompon ?
- Oui, leau a fait descendre quelques pierres, je viens de le voir partir pour tout remettre en place.
- Que pensez-vous de lui ?
- Je pense que vous avez vu, pardon que vous avez entendu que Laurette et lui était devenue très proche !
Mais cette situation semble leur donner du tonus et ils font un travail formidable.
- Cest très bien, je vais retourner à la maison, je dois équeuter les haricots verts pour que Laurette en fasse des bocaux pour cet hiver.
Ça fait partie des travaux que mes yeux permettent de faire et ça soulage mon amie.
- Bonne journée.
- À vous aussi maître Mathieu.
Jusquà 13 heures jéqueute les haricots verts sur la terrasse à lombre dun parasol, Laurette vient de mapporter ma salade composée car je prends soin de ma ligne.
Il fut un temps je voulais développer mes muscles en installant une salle de gym dans une pièce libre à létage de ma maison mais le cheval, le piano et les petites activités que je fais men dissuade.
- Bonjour madame jhésitais à vous approcher, javais peur de vous faire sursauter.
- Aucune crainte, je digérais et vous avez eu limpression que je dormais.
Je vous ai entendu monter les trois marches qui mènent à la terrasse.
Cherchez-vous quelque chose ?
- Oui, une compagnie pour ma femme cette après-midi près de la piscine.
- Elle est malade ?
- Oui, la plus belle des maladies, nous sommes enceintes.
Jadore déjà cet homme dont le nom mest inconnu.
Sa femme est enceinte et le nous le place au même pied que le sien.
Si javais la chance un jour quun garçon fasse battre de nouveau mon cur et que je sois enceinte jaimerais quil soit aussi prévenant que lui.
- Comment vous appelez-vous et votre femme bien sûr ?
- Alain et Nelly, nous avons presque 40 ans et cest notre premier bébé.
Nous avons galéré pour lavoir et ce garçon va être le sauveur de notre couple car le désespoir dun dans notre foyer nous a fait faire quelques bêtises, surtout moi.
- Je vous comprends, mais pourquoi souhaitez-vous que je tienne compagnie à Nelly ?
- Je parlais avec mademoiselle Laurette quand jai visité lécurie et je lui ai dit que je suis cavalier.
Je monte vers Chantilly de temps en temps et jaurais aimé faire une balade avec Rocco votre cheval à ce quelle ma dit.
Magnifique bête entre parenthèses où vous deviez faire une promenade avec elle cet après-midi et jai scrupule à laisser Nelly seule.
- Partez tranquille, je profite peu de ma piscine et ce sera une occasion pour moi de faire connaissance avec votre femme.
- Pour vous remercier nous vous invitons au restaurant ce soir.
Jai réservé il y a longtemps dans une auberge de la côte chalonnaise, le moulin de quelque chose mais jai oublié le nom.
- Martinet !
Très bon choix.
- Cest cela.
- Bonne promenade avec Rocco attention il est fougueux surtout avec les hommes, il a dû être femme dans une première vie.
- Cest très bien, jaime vous dompter.
- Je vais voir votre femme à 14 heures cela me fera plaisir.
Il me remercie, cet intermède piscine me fait plaisir surtout que Nelly est charmante et que Laurette nous rejoint.
Jai mis mon maillot deux pièces que nous avons acheté ensemble à Beaune avec ma copine sur son conseil bien sûr.
Au début la conversation met du temps à débuter mais Laurette fait tomber la glace.
- Mesdames faites comme moi enlever ce haut de maillot qui va vous faire des marques disgracieuses avec le soleil.
- Laurette madame Nelly va se choquer de se trouver seins nus quant à moi il y a longtemps que je me suis mis les seins dénudés.
- Sainte-ni-touche, quand nous étions jeunes nous étions toujours les seins à lair. Même du temps, avant que la piscine soit construite où Lucien mettait une grosse bassine avec de leau qui chauffait au soleil sur ta terrasse, nous étions entièrement nues.
- Nous avions cinq ans.
- Vous pouvez vous mettre les seins nus, ça ne me choque pas le moins du monde.
Les autres années nous allions au cap avec Alain où nous louions un bungalow les pieds dans leau, jétais nue toute la journée.
Jentends létoffe du maillot crisser quand elle lenlève alors jôte le mien.
- Tes seins sont magnifiques Nelly, jadore les seins des femmes enceintes, je peux les toucher.
- Laurette.
- Laisse Véronique, permets-tu que je tappelle Véronique ?
- Aucun problème et nous nous tutoyons.
- Mon dieu quils sont durs, jadore tes grosses aréoles bien foncées, ton bébé va pouvoir téter, tu vas avoir du lait surtout avec les grosses fraises qui les terminent.
- Appuie dessus tu verras jai déjà du lait.
Cest normal à un mois daccoucher ce qui a entraîné notre séjour ici car Alain voulait que nous restions à deux pas de sa clinique.
Tu sais Alain en boit tous les jours, jadore car cela nous rapproche de nouveau après les moments que notre couple a passés, nous étions proches du divorce.
- Peux-tu nous expliquer ?
- Oui, bien sûr, je suis aussi médecin accoucheur comme lui dans notre clinique.
Nous avons travaillé darrache-pied pour mettre en place notre maternité privée près de Neuilly.
Tout marchait bien jusquau jour où nous avons décidé davoir un .
Avec Alain nous faisions lamour partout et dans toutes les positions.
Nous profitions de ce que deux clientes soient en plein travail sous la surveillance de la sage femme de service pour baiser dans nos bureaux mais chaque mois nous étions déçus.
Il dévorait les livres pour que nous puissions arriver à avoir cet .
Il me prenait de nombreuses fois par jour, jusquau jour où jai appris quil me trompait car cette quête d distendait notre couple.
Jai voulu lui rendre la monnaie de sa pièce et jai pris des amants.
Je me suis vite aperçu que cette quête était stérile surtout que sachant lun comme lautre que nous nous trompions.
Au fil du temps et après nos vacances au cap lidée est venue des clubs échangistes.
Il aimait me voir me faire prendre par dautres devant lui.
Je suçais des bites et je me faisais sauter quelques fois par deux hommes en même temps.
Pendant ce temps, je suçais la chatte dune femme, quand un jour il y a six mois mes règles ont eu du retard.
Le mois suivant, je rencontrais ma gynéco qui mapprenait que jétais enceinte.
- Vous avez dû être heureux de lapprendre vous qui aviez tous fait pour en avoir un !
- Oui Véronique je suis et nous sommes les plus heureux au monde même si cette annonce nous a posé un problème vite surmonté.
Il y avait quatre mois quAlain et moi faisions chambre à part et au club me regardait sans participer
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!