Moi, Nicolas, 26 Ans, Bisexuel

I – Mise en bouche pour toi, lecteur !

Dimanche matin. 10h. Je me réveille doucement. Je remarque à côté de moi une belle demoiselle. Elle est blonde, cheveux décoiffée, le corps à moitié nu, couvert seulement d’un petit string noir et d’un soutien-gorge assorti. Elle est petite, environ 1m60, et avec quelques formes. Des seins d’une taille plutôt généreuse, je dirai à vue d’œil 95C.

Mes souvenirs sont vagues. Je suis encore dans le flou de la soirée de la veille. Puis me revient petit à petit des images. Rencards, alcool, sexe. Tout commence à devenir clair au fur et à mesure que je reprends mes esprits, les restes d’alcool se dissipant petit à petit de mon sang, rendant mes idées de plus en plus claires.

Avant de revenir sur ce qu’il s’est passé en ce samedi soir, il est de bon ton de me présenter. Je m’appelle Nicolas, 26 ans. Je suis bi-sexuel, mais nous y reviendront surement dans de prochaines histoires. Car oui, j’ai décidé de raconter ma vie de célibataire, qui aime profiter de la vie, que ce soit avec des femmes qu’avec des hommes. Je suis infirmier dans un hôpital public, entouré de filles …. Quelle chance me diriez-vous ? ça dépend les jours ! Pour faire simple, je vais me décrire en quelques chiffres & lettres (comme le jeu télévisé pour retraités) : 1m77, 82kg, quelques bourrelets, blond aux yeux marrons, fumeur de clopes et parfois d’autres substances que la loi m’interdit surement de citer ici …. Oui du cannabis vous avez compris, mais j’ai rien dit ! Je suis un fêtard, mais la fatigue de ma vie d’oiseau de nuit dans les couloirs d’hôpitaux me rend assez sensible à l’alcool. Deux verres de bières à 9° et je vois double. Bref !

Revenons sur ma soirée de samedi soir. J’avais rendez-vous avec Adeline, 23 ans. Je l’avais rencontré il y a quelques jours via Tinder, que je ne vous présente pas, je suis sûr que vous y êtes inscrit aussi. Nous avons longtemps discuté de tout et de rien, le feeling est bien passé entre nous.

Elle me plaisait, aussi bien physiquement quand dans nos discussions. Nous nous sommes proposé de nous retrouver autour d’un verre, en ce samedi soir, dans les rue de Lyon (j’avais oublié de vous mentionner que j’étais lyonnais, comme ça vous le savez désormais !).

20h, me voici dans un bar, sur la place des Terreaux. Je l’attends devant la fontaine qui orne cette jolie place en travaux. J’ai mis mes chances de mon côté, en m’habillant avec un petit tee shirt blanc, une chemise bleu et un jean de la même couleur. Je m’étais parfumé et avait rajouté sur mes cheveux de l’eau de Cologne piqué à l’hôpital. Le stress est là, comme toujours, malgré mon expérience dans le domaine des rencards.

- Salut, tu es Nicolas ?
- Oui, et toi Adeline je suppose. Tu es ravissante. On va s’asseoir et prendre un verre ?
- Je te retourne le compliment. Allons y !

Adeline était en effet très belle dans ce débardeur et cette jupe noirs. Je pouvais déjà admirer la forme de sa poitrine, plutôt généreuse et bien mise en valeur par son haut.

Nous nous installâmes au bar, en s’ensuit plusieurs discussions, sur ma vie, la sienne, nos boulots, la vie à Lyon … Tout cela s’enchainait au fil des bières. Vers 23h, nous décidâmes d’aller nous balader un peu, pour digérer ce trop-plein d’alcool, que nous tenions visiblement plutôt bien. Puis vint le moment de tenter le tout pour le tout.

- Ca te dit de venir boire un verre chez moi ? J’ai à boire & à manger même si besoin.
- Alors allons-y, dit-elle avec un sourire en coin et des yeux qui pétillaient, ce qui me laissait penser que j’allais surement faire un peu de sport de chambre dans quelques heures.

Arrivé chez moi, je suis proposé de s’installer sur mon canapé. Je décapsulais deux bières, sorti un paquet de chips, puis nous prolongeâmes nos bavardages encore une bonne heure. Ce fut un geste maladroit de Adeline qui interrompit cette séance de blabla. Sans le vouloir, elle renversa sur mon jean le verre qu’elle avait dans ma main.

- Oh mince ! Je suis vraiment désolé je ….
- Ne t’inquiète pas, je vais aller l’enlever, cela ne te gêne pas que je finisse la soirée en boxer ?
- Euh … non, tu es chez toi après tout.
- Par contre, il faut qu’on soit à égalité, tu dois enlever ton haut pour contre balancer, dis-je en souriant
- Pourquoi pas, dit-elle gênée mais visiblement excité de l’idée.

Elle ôta donc son haut, laissant apparaitre un magnifique soutien-gorge noir cachant des seins que j’avais envie de voir plus en détail. Seul souci, cette vision entraina chez moi une réaction qui allait être visible en enlevant mon pantalon.

- Je vois que cela te fait de l’effet.
- Comment ne pas en avoir quand on voit une si jolie fille en soutif devant soi ?
- Tu as l’air plutôt bien équipé, ça donne envie tout ça, dit-elle, assise à côté de moi, la main commençant à se balader sur mon boxer.

Ni une ni deux, je m’approche de son visage et l’embrasse. Elle ne mit pas longtemps à me faire glisser mon boxer et commencer à jouer avec mon membre.

- Je dois me faire pardonner de ma maladresse, me dit-elle approchant son visage de mon entre-jambe.

Commença alors une fellation de 5minutes. Elle gobait mon membre, salivait dessus, le léchait avec une sensualité qu’on sentait qu’elle aimait ça.

- Tu sais y faire avec ta bouche, je ne dois pas être la première que tu suces.
- En effet. J’ai un passif et de l’expérience. Mais quand je suce un homme, c’est pour qu’il y ai un retour.
- Alors allons dans ma chambre, que je te montre que j’ai de l’expérience aussi.

Nous nous dirigeons dans ma chambre, j’enlevais mon tee shirt pendant qu’elle fit de même avec sa jupe. Elle se posa sur le lit, les jambes écartées. Elle écarta son string, pour laisser apparaitre ses lèvres, bien seule sur ce bas tout épilé. Je me mis au-dessus d’elle, l’embrassa de nouveau, avant de descendre sur ses seins. Je lui dégrafai son soutien-gorge pour libérer enfin cette poitrine, tétons pointant, qui servirent de jouet à ma langue. Je continuais mon exploration de son corps pour arriver à son petit trésor tant convoité. Je m’amusais avec pendant un moment, y insérant un puis deux puis trois doigts, titillant son clitoris en même temps avec ma bouche. Tout comme moi quand je voyais cette magnifique créature dans mon lit, son vagin salivait de désir.

- Un vagin n’est pas fait que pour la bouche. Je crois que ton pénis a envie d’en découvrir l’interieur.
- Ce n’est pas faux. Et je crois que la propriétaire de cet intérieur a envie aussi d’être visitée

Je sorti une capote de ma table de nuit, l’enfila sur mon 19cm tout dressé, et me présenta à l’entrée de la grotte. Adeline était tout excité, et poussa un petit cri au moment où je la pénétrai. Je commençais par des mouvements doux, pour tâter le terrain, puis accélérais au fur et à mesure ou je sentais qu’Adeline appréciait. Je rajoutais à quelques moments des grands coups au fond du vagin de la belle déesse, ce qui lui faisait lâcher des petits cris de jouissances.

Adeline n’était pas farouche, une sacré coquine. Nous changeâmes de positions pour qu’elle vienne s’empaler sur mon sexe triomphant. Elle joua au rodéo plusieurs minutes durant, me laissant prendre mon pied, profitant de ce moment pour embrasser et jouer avec ces seins, qui ballotait au fil de ses mouvements. Puis vint ce moment où je voulu reprendre le contrôle et lui montrer de quoi j’étais capable. Je la retournais et la mise à quatre pattes.

- Fini de jouer maintenant. Je vais te défoncer et te montrer qui est le chef ici !
- Huuum … alors va falloir taper fort, riait elle d’excitation.

Je m’inséra en elle sans ménagement, et attaqua directement par des mouvements forts, enfonçant ua maximum mon chibre tout dur. J’allais aussi vite que je pouvais, en ajoutant quelques fessées à mon show sexuel. Cela ne déplu pas à Adeline, qui avait l’air de prendre son pied comme jamais, au bord de la jouissance ultime.
- Oh oui continue …. Plu fort …. Va si …. Oh putain !

Voir Adeline jouir m’encouragea dans mon élan. Jusqu’au moment où je sentais que la fin était proche.
- Je ne vais pas tarder à lâcher la sauce.

Elle se sorti de mon emprise, et vint vers ma queue pour la prendre en bouche. Je compris que la petite coquine avait envie d’avaler le produit de notre sport des minutes précédentes. Je lui offris donc sa récompense, dont elle ne perdit pas une goutte.

Après avoir enfilé nos sous-vêtements, et un passage par la salle de bain, nous nous retrouvames sur mon balcon, pour fumer une cigarette d’après efforts.

- Je ne m’attendais pas à ce que tu veuilles avaler.
- Je le fais que quand je suis vraiment excitée, et là, tu m’as vraiment bien baisée, j’ai pris mon pied. Toi aussi je crois
- Oh oui ! J’aime les filles qui ne sont pas coincées à faire l’étoile de mer. J’ai senti que tu aimais ça et ça m’a encore plus donné d’élan.

Après une bière, quelques clopes, quelques câlins et bisou dans le lit, elle remit sa tête sous la couette, pour me prodiguer une nouvelle fellation. Plus douce que tout à l’heure, plus sensuelle aussi. Adeline était un rencard réussi, qui devrait surement avoir ses entrées pour mon lit pour un long moment.