Le Peintre Et Sa Muse 17 : Avant La Punition

Chapitre 17
Le peintre et sa muse
Avant la punition

Après cette journée et nuit de sexe, Annie est bien hésitante, mais doit prendre une décision pas facile, remettre un moment de plaisir avec Aziz et cette fois-ci tromper vraiment Bernard et François, de façon volontaire.
Hier après midi c’était plutôt de l’ordre du viol bien qu’elle fut rapidement consentante, jusqu’à en prendre vraiment du plaisir.
Plaisir qu’elle a ensuite renouvelé dans la nuit mais en temps qu’instigatrice ainsi que ce matin, avant le départ d’Aziz.
Elle prend la sage décision de ne pas rappeler Aziz mais ce n'est pas pour autant qu'elle se sépare du petit mot avec le numéro de téléphone (voir chapitre 16) que ce dernier lui a laissé.
Elle garde précieusement les coordonnées de ce mâle qui l'a tant fait jouir.
Malgré un bon bain relaxant, elle reste avec l'impression d'être passée sous un train ; ses tétons dressés et son sexe trempé sont encore soit trop sensibles soit trop ouvert. Alors elle décide de prendre
du temps pour elle, se bichonner et prendre un bain de soleil, nue dans le jardin.
Elle a les clés de la maison, pas de risque d’être dérangée, par sécurité elle va jusqu’à la porte pour tirer le verrou. Elle se retrouve seule.

Elle se prépare un bon petit déjeuner et s’installe à la table de la cuisine.
Tout en mangeant et sans y penser elle se caresse une cuisse, allant du genou jusqu’à la naissance de l’entrejambe, là où la chair devient plus tendre, plus sensible.
Elle repense à la folle nuit qu’elle a passée, et de l’autre main elle écarte le haut de son déshabillé pour titiller ses seins.
Elle les sent brûlants de désir et quand sa main passe sur un de ses tétons elle le sent se tendre. Les doigts lui font du bien mais ils ne remplaceront jamais une bouche. Un sein c’est fait pour être tété par une bouche gourmande !
Les yeux fermés elle revoit en pensée l’après midi et la nuit qu’elle a passés avec ces hommes, ces trois peintres, et encore ce matin avec Aziz.



D’ailleurs ses doigts atteignent maintenant sa vulve encore sensible et rien qu’au rappel de ce souvenir, elle sent son vagin s’humidifier.
Annie commence une masturbation salvatrice pour tenter de calmer son corps maintenant tendu vers le plaisir.
.
Et alors qu’elle a les yeux fermés, la bouche grande ouverte et que déjà elle s’entend gémir, et qu'elle est à deux doigts de jouir, elle est sortie de sa torpeur érotique par la sonnerie du téléphone. Le rêve
s’évapore et la tension sexuelle retombe.

Au bout du fil c’est son compagnon Bernard
- Bonjour ma chérie, tu va bien ?
- Oui juste un peu fatiguée.
- Qu’est ce que tu as fait ?
- Rien, au fait les peintres ont terminé le travail et ils m ont redonné les clés.
Je leur ai dit que tu passeras régler la facture des travaux.
- Oui je le ferai quand je serai de retour.
- Au fait tu reviens quand ?
- J’ai encore 5 jours de cure et je suis de retour.
Au fait j’ai eu François au téléphone et au lieu que je revienne en train il passe me chercher pour me ramener, il a une expo dans le coin.
Ce sera plus agréable de faire la route ensemble, et puis nous discuterons lui et moi de l’avenir ma chérie !
- Bisous.

Annie raccroche et elle reste dubitative sur ce coup de fil de Bernard.
Pourquoi parler de l’avenir, de son avenir ?
Elle essaye d’appeler François mais pas de réponse et elle obtient toujours le répondeur de son portable.
Pour un amant, il n’est pas bien pressé de prendre des nouvelles de sa maîtresse !

Et toujours le même message :
"Vous êtes sur la messagerie de François je ne peux vous répondre pour l'instant laissez moi votre numéro je vous rappelle."
La journée commence mal, elle se retient d'envoyer le portable à travers la pièce.

Mais elle est bien e de constater que ses deux hommes lui manquent et que malgré la nuit de débauche qu'elle vient de passer, le besoin de se sentir dominée par François, avec l'accord de Bernard, ça lui manque.


D'un pas rageur elle regagne la cuisine.
Le déshabillé s'entrouvre sur son corps de mature épanouie. Les seins en poire sont bien fringants, denses, gonflés, l'air de dire "tête moi j'attends du plaisir de tes mains et de ta bouche".
Et puis là, au bas de son petit ventre rebondi, la motte dénudée, de chairs roses, les petites lèvres dépassant légèrement de ses grandes lèvres charnues où perle déjà une goutte de miel parfumé.
Annie s'admire dans la grande glace du couloir.
Elle comprend ce en quoi elle a pu plaire à François et aussi pourquoi il l’a choisie comme modèle.

Elle regagne la cuisine non sans retirer complètement son déshabillé, puis elle se prépare un café mais son regard se porte sur le panier de légumes posé sur le plan de travail.
Et parmi les légumes dépasse un concombre.
A cette vue Annie reçoit comme une décharge électrique, sa peau se couvre de perles de
transpiration érotique. Annie se dit "je ne vais quand même pas succomber à ça !!!!!!"

Mais la tentation est bien trop grande, alors Annie s’empare du dit légume, elle prend place sur la chaise et elle pose ses deux pieds sur le bord de la table.
Elle s’écarte le plus possible et qui rentrerait à ce moment découvrirait un tableau des plus sensuels, des plus érotiques.
Elle approche l’extrémité de ce gode improvisé et le fait glisser lentement sur toute la longueur entre des babines détrempées. Elle enduit son nouvel amant horticole de toute sa liqueur, retardant le plus possible le moment où il va se perdre dans les profondeurs de sa grotte. Le légume finit par luire de toute la cyprine
qui le couvre et qui maintenant coule dans la raie d’Annie enduisant son petit anneau fripé d’un jus brûlant et qui maintenant s’écoule sur la chaise.
Annie sent son petit anneau palpiter à l’unisson avec son vagin, elle décide de faire glisser le concombre tout le long de sa fente, du clitoris à son anneau serré.

A chaque fois que la pointe du légume effleure son œillet, elle se sent s’ouvrir lentement à cette caresse, là où personne ne s’est jamais aventuré.
Oh, bien sûr, quelques flirts l’ont explorée avec un doigt, mais jamais elle n’a accepté plus, faisant toujours jouir ses amants avant qu’ils n’aient eu la moindre idée de s’introduire dans l'anus.
Par elle-même le geste est furieusement tentant, mais elle a encore quelques réticences, alors elle enfonce lentement le pal vert dans son vagin, savourant chaque centimètre de cette raideur, qui lui écarte délicieusement les chairs intimes.
Elle sursaute sur sa chaise au moment où le pal touche son utérus car même si le diamètre et la longueur équivalent au sexe d’Aziz, le gland d’un homme agit un peu comme un amortisseur, adoucissant le contact, mais là le bout est dur légèrement pointu et justement cette petit pointe entre en
contact avec son petit orifice tapis au fond de sa grotte.
Annie s’étonne elle-même de sa réaction à cet attouchement, elle renouvelle le contact mais cette fois en appuyant un peu plus afin de faire pénétrer la pointe dans l’entrée de son utérus.
Tandis que d’une main ferme elle baratte son sexe en agitant le concombre tout lui faisant faire des rotations, de son autre main elle pince un de ses tétons et c’est soudainement le déferlement, un tsunami qui la balaye, un ouragan qui la dévaste. Haletante, cherchant un souffle libérateur,
Annie s’effondre sur sa chaise, épuisée, laminée par cet orgasme dévastateur.
Combien de temps est-elle restée prostrée, abattue ?
Quand elle retrouve un peu ses esprits, sa main est toujours crispée sur le pal végétal, et son vagin palpite autour du cylindre vert qui la remplit toujours.
Comme à regret elle retire le légume de son vagin et tandis que sur la chaise son plaisir coule entre ses fesses, venant détremper son petit anneau, durant quelques secondes elle a la pensée de prolonger son plaisir dans cette partie vierge avec cet amant docile qu’elle tient en main.

Mais elle se ressaisit, pose le concombre sur la table et lentement elle gagne la salle de bain pour se tremper dans un bain chaud comme si elle voulait effacer toute trace de ce qu’elle vient de faire.

Elle ne sait pas encore si elle va en parler avec Bernard et François elle a cinq jours pour prendre cette décision et puis qui sait, donner à nouveau du plaisir à cet amant docile qui l’attend posé sur la table de la cuisine.

Cinq jours à attendre le retour de Bernard et François. Bien sûr, le premier jour après le plaisir intense qu’Annie s’était procuré dans la cuisine, ce fut un peu plus facile bien qu’à chaque fois qu’elle passait par la cuisine, la tentation était de plus en plus forte, surtout qu’elle éprouvait le besoin de rester nue.

Afin d’éviter la tentation Annie décida de manger à l’extérieur de chez elle et bien entendu elle respecta le désir de François, qu’elle ne porte plus jamais de culotte.
C’est donc le sexe à l’air sous sa jupe qu’elle prit la direction du restaurant de François.
Après le repas de midi elle se promena en ville, ce qui aurait pu passer pour une sortie distrayante, faire un peu de lèche vitrine, visiter quelques magasins et faire quelques essayages.
Mais non, les pensées érotiques ne quittaient pas son esprit, et à un moment elle eut juste le bon
réflexe d’entrer dans un magasin car elle avait aperçu la camionnette des peintres, et cette vision détermina la mise à feu du désir qui couvait en elle.
Surtout qu’à travers la vitrine elle reconnaît Aziz côté passager, et Pedro au volant.
Alors sa vulve s’est mise à palpiter et s’humidifier.
Annie a attendu quelques minutes en déambulant dans le magasin avant de se hâter de regagner le domicile.
Avant de rentrer chez elle, Annie a fait quelques emplettes dans la superette près de chez elle, quelques achats pour les repas à venir et elle se dit qu’il lui restait quatre jours avant le retour de ses hommes.
En passant devant le rayon légumes, son regard se pose sur les concombres, non sans créer un trouble en elle, bien compréhensible après ce qui s’était passé. Afin de calmer son corps elle délaisse les concombres pour porter son dévolu sur les autres légumes, elle prend un chou fleur, mais ce faisant elle frôle du dos de sa main les courgettes tout à côté, et là c’est comme si elle venait de prendre une décharge électrique du haut voltage qui vient de faire se liquéfier son sexe.
Elle sent ses lèvres se gonfler son vagin palpiter, elle reste appuyée sur l’étal de crainte de tomber. Quand elle reprend un peu ses esprits, sa main s’est refermée sur une des courgettes, alors avec une certaine effervescence elle choisit quelques courgettes comme si elle faisait son choix devant un étalage de pénis, elle prend celles qui lui semblent être dans la mesure de lui procurer le plaisir auquel elle aspire.
Elle règle ses achats et retourne chez elle précipitamment, pressée d’essayer ses nouveaux amants.
A peine arrivée, juste le temps de fermer le verrou, et de faire tomber manteau et robe et c’est vêtue seulement d’un porte jarretelle et de bas noirs qu’Annie se précipite à la cuisine pour reprendre la pose obscène du matin, fesses au bord de la chaise, pieds en appui sur le bord de la table et jambes écartées, la vulve ouverte humide de liqueur.
Annie choisit la première courgette, bien droite, lisse à souhait et d’un diamètre normal, du moins c’est ce qui lui semble.
Lentement elle frotte ce nouveau didlo afin de bien l’enduire de sa liqueur et de succomber à ce à quoi elle s’était défendue depuis la petite séance avec le concombre, et qu’elle s’était promis de ne pas recommencer.
Mais l’envie est devenue trop irrépréhensible, elle ne se sent plus qu’un sexe avide de pénétration. Le cerveau déconnecté de la réalité, elle écarte ses grandes lèvres d’une main tandis que l’autre enfonce le légume luisant de mouille et maintenant aussi brûlant que les chairs qu’il bouscule.
Elle agite régulièrement le légume qui lui dilate les chairs et qu’elle enfonce jusqu’au fond de son vagin, bien au contact de sa matrice.
Chaque fois que le bout dur de la courgette vient en butée sur son utérus, elle est prise de frissons et très proche de l’orgasme. Alors elle retire le légume pour en essayer un autre et celui-ci est plus courbé avec un bout bien plus renflé que le précédent.
Annie progresse lentement avec un peu d’appréhension, c’est la première fois qu’elle agit de cette façon.
Depuis qu’elle a rencontré François elle a bien changée. François lui a fait découvrir bien des choses en ce qui concerne le sexe, sans compter que c’est avec le plein accord de Bernard son compagnon.
François l’a complètement désinhibée et la voilà au stade où elle ne peut plus se passer de sexe, même s’il faut passer par des substituts.
Voilà et entre temps le légume a pris place dans son vagin, dilatant les chairs un peu plus. Annie fait glisser le courgette pour sentir chaque aspérité du gode improvisé sur chaque centimètre de sa grotte qui coule de plaisir. Annie sent son jus brûlant couler sur son petit trou qui palpite plus bas et une idée perverse lui traverse l’esprit. Alors elle prend en main son premier amant de ce matin, elle retire la courgette de son sexe pour que le concombre la remplace afin de bien le lubrifier, puis jugeant que c’est suffisant elle fait glisser lentement le pal vert sur son petit trou ridé.
Annie essaye de se détendre, et s’écartant un peu plus, en s’approchant de la table où elle a posé ses pieds dans la position la plus obscène.
Elle pose le bout du légume juste sur son anus et elle pousse lentement le sexe improvisé. Le légume
entre lentement dans son corps, la douleur c’est la première chose qu’elle ressent, elle attend quelques instant, pour que son anus s’adapte, la douleur s’est estompée laissant place à un vide qu’elle se doit de combler. Alors lentement la grosse tige prend place dans son ventre, la cyprine qui coule en abondance aide à bien humidifier l’intrus.
Annie agite le concombre d’abord très lentement mais le désir devenant trop fort elle prend un rythme
soutenu, qui la fait crier de plaisir, entre les oh ouiiiiiii et les baise moiiiiii, elle ferme les yeux et énumère les prénoms de ses amants comme si c’étaient eux qui lui procuraient ce plaisir qui se répand en elle comme un feu qui dévore tout. Alors au comble de son plaisir elle s’empare de la première
courgette à porté de main et sans préambule elle l’enfonce dans son vagin et les deux pals bien enfoncés dans son corps elle part dans un orgasme qui la laisse anéantie sur la chaise, les cuisses écartées, incapable de bouger.

Le reste de la journée fut plus calme, la nuit par contre fut peuplée de rêves érotiques, la réveillant, à chaque fois le corps couvert d’une rosée érotique, et la vulve humide et palpitante.
Les jours suivants se déroulèrent avec le même rythme, comment résister à ces légumes posés sur la table de la cuisine !
Bien sûr Annie avait bien l’impression de tromper ses hommes, mais d’un autre côté ce n’étaient que des légumes, et puis Bernard et François n’avaient qu’à pas la laisser seule, dévorée par le besoin de sexe.
Le cinquième jour Bernard lui téléphone afin de lui dire qu’il rentre ce soir et que François va arriver le chercher.
Annie décide de se faire belle. Après le petit déjeuner elle se fait couler un bain avec beaucoup de mousse parfumée, bougie et musique douce, et se prélasse rêvant à ses deux hommes qui vont bientôt être là, pour l’aimer, satisfaire son corps assoiffé de sexe et de tendresse.
Elle sent sa vulve palpiter et elle se dit qu’une petite masturbation pourrait apaiser le feu qui la dévore toute entière.
Et voilà elle se caresse à l’abri de la mousse comme une jeune fille qui découvre la masturbation en cachette. Et bien sûr le plaisir n’est pas long à venir.

La journée se passe plus calmement ; Annie a cuisiné à regret les courgettes, et fait une salade de concombre pour le retour de ses hommes.
Vers 18 h00 elle entend la voiture de François s’arrêter devant la maison, et quelques instants plus tard ses deux hommes entrent tout en devisant.

Toute joyeuse Annie les accueille, elle embrasse son compagnon d’abord puis son amant. Le trio semble heureux de s’être reformé, retrouvé.
Tandis que Bernard gagne sa chambre pour déposer sa valise, Annie se love dans les bras de François pour un baiser enflammé.
En posant sa tête sur l’épaule de son amant elle lui glisse à l’oreille : « Tu m’as terriblement manqué, j’ai plein de choses à te raconter !!! ».
Tandis qu'Annie ronronne comme une chatte en chaleur. François vérifie si Annie est bien dans la tenue qu'il exige d'elle. C'est à dire sans sous vêtements.

D'une main fureteuse, après lui avoir palpé les fesses pour vérifier qu'il n'y avait pas de culotte, la main passe sous la jupe afin de s'assurer que la vulve est bien à l'air.
François passe ses doigts entre les lèvres de sa maîtresse comme pour lui signifier sa reprise en main.
- "C'est bien tu es obéissante. C'est ce que tu as à
nous raconter qui te fait mouiller ou bien c'est le retour de tes hommes ?"
- "Les deux mon amour."

C'est le moment choisi par Bernard pour revenir au salon et
découvrir sa compagne dans les bras de son amant, la jupe relevée, les fesses à l'air et la main de François entre ses cuisses.
- "Voilà un bien joli spectacle !"
- "Il faut la reprendre en main, j'ai besoin d'un modèle obéissant."

- "Annie tu nous racontes notre absence ?"
- "Après le repas. J'ai préparé l'apéritif il y a du champagne au frais tu le sers Bernard, je vais chercher les toasts. Et après le repas je vous raconte."
C'est effectivement ce qui se passe.
Puis arrive le moment des confidences.

Annie assise entre ses deux hommes, chacun ayant posé une main sur ses cuisses. Annie raconte sa rencontre avec les peintres sans omettre aucun détail.
Les deux hommes ne disent rien ils accentuent un peu la caresse sur les cuisses quand un détail les émoustille un peu plus.
Puis vient le moment d'avouer ses égarements masturbatoires.
- "C'est tout ?" demande Bernard.
- "J'ai autre chose à avouer mais je ne sais pas!"
- "Ou bien il fallait te taire ou bien nous en dire plus maintenant."
- "Et bien après le départ d’Aziz j’étais repue de sexe, mais
ça n’a pas duré longtemps alors j’ai utilisé un sexe de substitution."
- "Un gode ?"
- "Non ?"
- "Alors quoi ?"
- "J’ai utilisé le concombre dans la cuisine !!"
- "C’est tout ?"
- "Non ! Les autres jours j’ai utilisé aussi les courgettes."
Suite à ces révélations Bernard demande à François de prendre une décision.

François : Annie ce qui s’est passé avec les peintres ce n’est pas de ton fait, donc on ferme les yeux. Si tu as pris du plaisir tant mieux pour toi, mais pour le reste ça mérite une punition.

Bernard : D’abord ma chère Annie, François avec mon accord avait mis sur pied ta rencontre avec les peintres là-dessus ils ont assuré et toi aussi et même la nuit et le lendemain ce qui n’était pas prévu.
François verra cela avec Aziz. Mais quand aux autres jours que tu t’es réservés pour ton plaisir, tu sais pourtant que c’est devant nous que tu dois faire ça, en conséquence comme l’a dit François ça mérite une punition. Sur ce, tu te mets nue et tu vas te coucher.
François et moi nous allons préparer ta journée de demain.

Dépitée et aussi frustrée Annie se déshabille et part se coucher, suivie de près par François qui, Annie une fois couchée, lui menotte les mains au montant du lit :
« Au moins comme cela tu ne pourras pas te caresser et tu seras sur des charbons ardents pour demain »
Et il embrasse Annie.

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