Plongée Dans Le Libertinage 2
Nous retournons chacun à notre cigarette, pensifs
Je glisse mon pied contre ta jambe, jai envie de ce contact avec toi.
Nos mégots écrasés, tu me propose de retourner dans le jacuzzi, jaccepte avec grande joie.
En y allant, nous ne pouvons-nous empêcher de nous arrêter devant un spectacle qui nous subjugue
Dans une pièce dont la porte est grande ouverte, nous voyons une femme avec trois hommes. Dautres sont autour et devant la porte pour regarder, mais disons quelle est en prise, littéralement, avec 3 de ces messieurs.
Le premier homme est allonge sur le dos, les pieds face à la porte, la femme à califourchon sur lui, un deuxième homme est placé derrière elle et la sodomise manifestement pendant quelle suce le troisième.
Voilà quelquun de bien gourmand ! dis-je doucement dans ton oreille.
Oui, je nenvisage pas den faire le quart, mais de la regarder
je suis encore plus trempée que tout à lheure.
Tu veux quon sapproche pour mieux voir ?
Pourquoi pas
Nous rentrons dans la pièce, discrètement, nous ne voulons surtout pas quils sinterrompent, et nous ne souhaitons que regarder, pas participer.
Nous nous asseyons sur un coin du matelas, je me presse contre toi. Dici, nous avons une vue imprenable sur les évènements. Ces quatre corps en fusion, littéralement, abandonnés au plaisir physique pur.
La femme y prend un plaisir certain. Pourtant, si on regardait cela avec froideur, la scène est proche voir une copie conforme dune scène pornographique à petit budget.
Quatre personnes aux physiques quelconques, suant et gémissant dans une étreinte obscène.
Nous voyons ces deux tiges coulisser en madame, personnage principal, sa bouche coulissant sur un troisième sexe.
Les deux hommes la besognent, je la vois tourner la tête vers nous et tendre une main comme pour nous inviter à participer.
Sans nous consulter, nous déclinons tous deux de la tête.
Mais le sexe cru est parfois bon à regarder. Je te caresse doucement et descend ma main vers ton entre-jambe. Je constate que la scène a un effet indéniable sur toi, tu dégouline presque
jadore. Je tembrasse, jaime lorsque tu es comme ça, jaime lorsque je sens le désir couler en toi, jaime lorsque tu es coquine, je taime.
Voyant que nous sommes malgré tout intéressés par la scène, un des hommes seuls qui était présent dans la pièce vient te solliciter en posant sa main sur ta jambe. Tu léconduis délicatement et il comprend quil nest pas nécessaire dinsister et se retire.
Ce spectacle est hypnotique, mais je te propose daller dans le jacuzzi au bout din petit instant. La pièce commence à se remplir et lambiance change pour commencer à devenir dérangeante pour moi.
Nous allons donc dans leau toujours en passant par les douches auparavant.
Le lieu est plus calme, il doit en tout y avoir une bonne quinzaine de personne, la plupart en couple, mais quelques hommes seuls bien sûr. Il reste quelques places sur les sièges dans leau, nous en choisissons un en face de la plage, entre deux couples qui, sans ouvrir leurs bras à dautres personnes se caressent mutuellement avec un rythme et des énergies différentes.
A gauche, ce sont de sages caresses sous leau, on devine que madame masturbe monsieur qui lui caresse la poitrine. A droite, madame est debout, dos à la « salle » et monsieur est derrière elle et alterne caresses buccales et manuelles. Peu de temps après que nous nous soyons assis, il commence à pénétrer sa partenaire, très expressive, en levrette.
Dans le jacuzzi, les choses mettent rarement des heures à sinitier. Au bout de quelques minutes de présence, je sens ta main qui serre la mienne avec insistance et tu penches la tête vers moi :
La femme dà côté a posé la main sur ma cuisse et me caresse.
Cest agréable ?
Oui ! Ils te plaisent ?
Je me penche pour jeter un il. Me voyant faire, tous deux me sourient. Ils doivent avoir entre trente-cinq et quarante, comme nous, je ne distingue pas leurs courbes sous leau, mais leurs visages semblent indiquer quils sont de corpulence moyenne, et leurs traits sont agréables.
Oui, ils ont lair pas mal, et toi, ils te plaisent.
Oui.
Alors fais-toi plaisir, on verra où est-ce que ça nous mène !
Suite à cette courte discussion, tu poses en retour ta main sur la cuisse de cette femme qui ta abordé, vous rapprochez vos têtes et vous embrassez avec tendresse.
Elle se penche sur toi et sa main se fait plus téméraire pour aller effleurer ton intimité. Je vois que tu lui rends la pareille sous leau et que monsieur teffleure les côtes en guise de prise de contact. Nous nous rapprochons, et échangeons nos prénoms (chose rare ici, nous avons souvent coquiné, superficiellement certes sans connaître le nom de nos partenaires de jeu.
Nous sommes donc avec Aude et Marc.
Aude prend place sur tes genoux, une main toujours fermement posée sur ton sexe, Marc te flatte la poitrine et dépose de petits baisers sur tes épaules et sur ton cou. Il caresse également le dos de sa femme. Jentame les mêmes caresse et je sens la main dAude se poser sur ma queue, je devine que tu fais de même avec Marc.
Nous voilà parti à nouveau vers une exquise partie de plaisir à quatre.
Nous échangeons des caresses sous leau et au fil de mes explorations tactiles, je sens tour à tour la main de Marc et Aude explorer ton intimité.
Marc se relève, et tout en tembrassant, Aude guide ta bouche vers son gland. Petit à petit, tu te rapproches du centre de son désir pour finir par y poser ta bouche. Délicatement pour commencer, puis ta langue continue le jeu que tes lèvres ont commencé. Après quelques instants, je vois ta bouche recouvrir le bout de ce sexe tendu vers toi. Tu entames de doux et lents va-et-vient. Vous avez lair dy prendre tous deux du plaisir, le mien nen est quaugmenté.
Je demande à Aude de venir sasseoir sur le rebord du bassin. Je remonte un de ses pieds sur ce dernier et passe son autre jambe par-dessus celles de Marc.
Sa chatte soffre à moi, entre ses jambes très écartées. Je commence à la lécher, doucement, comme tu le fais avec Marc, puis plus énergiquement pour suivre ton rythme.
Tout comme moi, tes mains se joignent à ta bouche pour décupler le plaisir de nos partenaires. Mes doigts glissent en Aude pendant que ta main enserre la queue de Marc. Nos bouches sont collées sur leurs sexes, nos mains sont curieuses et aventureuses. Ils gémissent en cur. Ma main droite se pose sur ton dos que je caresse. Je remonte vers ton cou, et tattire à moi pour tembrasser à pleine bouche.
Notre baiser a un goût particulier, en tout cas pour moi. Celui de la queue de Marc, et tu dois goûter en même temps à la source de plaisir de Aude.
Cest terriblement excitant.
Tout en gardant la main sur le sexe de cet homme, tu embrasses la jambe dAude, et tu remontes petit à petit vers ce sexe féminin offert qui nattend que ta langue pour prendre du plaisir.
Je te vois hésiter un court instant avant dy plonger avec envie. Je te vois, pour mon plus grand plaisir, goûter à un sexe de femme. Je ne doute pas que cette sensation, que tu recherchais et redoutais à la fois, te déroute. Pour te rassurer, je me colle à toi, tout dur, bien calé entre tes fesses, mes mains vers tes seins.
Tu te redresses et embrasse cette femme dont tu viens de goûter le plaisir, tu latts par la main et lattire vers toi tout en te dirigeant vers la plage.
Comme si nous étions devant notre cour, tout le monde sécarte pour nous laisser passer, impatients de regarder la suite.
Aude sallonge au bord de la plage, les jambes encore dans leau, et tu te penches sur elle pour reprendre ton activité.
Marc et moi nous allongeons de part et dautre delle, elle empoigne nos sexes dune main ferme pour nous caresser très agréablement.
Quelques instants plus tard, vous échangez vos positions et cest elle qui plonge sa langue, avide, au plus profond de ton désir.
Tour à tour, tu nous prends en bouche, Marc et moi.
Aude, certainement en manque de caresse et de plaisir sort de leau et vient sassoir sur ton visage et soffrir à ta langue délicate. Aussitôt, Marc la remplace et prend possession de ta chatte désireuse de caresses.
Tu as une main sur les fesses de ta partenaire pendant que lautre saffaire toujours sur mon sexe, dur comme la pierre devant cette superbe scène.
Aude se penche et me prend en bouche.
Je me penche alors vers toi :
Tu veux quon aille au sec tous les quatre ?
Non, mais que penses-tu de donner un préservatif à Marc ?
Tu ne cesses de me surprendre !
Avec plaisir ma chérie ! Noublie pas, seulement ce dont tu as envie.
Sur ces paroles, je mexécute, Marc se redresse et enfile son costume de latex. Je vous observe avec une grande attention.
Il se redresse et se présente à toi. Il glisse sur tes lèvres intimes, comme pour habi ton corps à ce contact nouveau, puis, doucement, glisse en toi.
Je vois son gland disparaître, puis son sexe glisser, encore et encore jusquà prendre complètement possession de ta chatte.
Cest beau, jaime ça.
Je te vois doucement pousser Aude vers moi, sa bouche toujours sur moi. Marc lui tend à son tour un préservatif quelle me donne immédiatement.
Je mets aussi un préservatif ma chérie ?
Dans mon esprit les choses sont claires, jai envie de cet échange, mais je ne veux pas heurter tes limites. Jen ai envie, mais pas besoin. Ça nest pas parce que tu entames certaines pratiques que tu as ment envie que je fasse de même.
Oui, couvres toi, je veux que tu prennes du plaisir toi aussi.
Je d donc ma queue de ce morceau de latex tendu, Aude se positionne à quatre pattes, sa bouche au-dessus de la tienne, et pendant quelle tembrasse, je me glisse en elle. Au bout de ton bras tendu, je sens tes doigts qui meffleurent pendant que je la pénètre.
Encore une fois, cest bon. Tout simplement. Tous les deux, nous prenons du plaisir à quatre. Aude te masse et te lèche la poitrine pendant que Marc te besogne. Jen fais de même avec elle.
Jen ai oublié le monde extérieur, oublié que nous sommes sur la plage aux vues de tous, et admirés, cest le mot je pense, de tout le monde.
Nous entendons çà et là des gémissements, le clapotis de leau qui sagite au rythme des étreintes. Pourtant, nous sommes à mille lieux de ce monde.
Nous sommes dans un plaisir, une bulle de plaisir et dabandon. Et cest ça qui est bon.
Nous échangeons nos positions, tu te mets en levrette pendant quAude sallonge sur le dos. Marc et moi reprenons place en vous, à nouveau je ne peux mempêcher de tadmirer pendant quil te pénètre. Pour ma part, je relève les jambes dAude que je pénètre profondément pendant que tu caresses et embrasses ses seins. Marc accélère le rythme, son bassin claque sur tes fesses à chaque coup de boutoir. Tu te mords la lèvre inférieure je pense que tu es en train de jouir. Je timagine, te serrant sur sa queue, il doit être lui aussi au bord de la jouissance.
Effectivement, quelques coups de rein plus tard, il se fige en toi et pousse un râle de plaisir. Il se décharge au fond de son impair en latex. Puis il se retire et te glisse quelques mots à loreille.
Tu me diras plus tard quil ta remerciée, je men doutais, et quil ta dit quil avait aimé sentir tes contractions sur lui, ce qui a déclenché sa jouissance bien plus tôt quil ne laurait aimé.
Tu te retournes vers Aude et moi, et glisse tes mains sur tout son corps, de nos sexes fusionnés à sa poitrine, ses fesses ses flancs, et tu lembrasses. Vous êtes belles à voir.
Je décide cependant darrêter là notre échange pour me consacrer entièrement à toi mon amour. Jen ai trop envie depuis trop longtemps.
Je remercie à mon tour Aude et lui expliquant que bien que je prenne un important plaisir, jai trop envie de toi pour continuer. Elle te regarde, tembrasse, la main droite sur ton sein, et me répond :
Je te comprends mille fois !
Certainement excitée par le fait dêtre vue, tu me demandes de mallonger sur le dos, et tu tempales littéralement sur moi face au bassin, me tournant le dos. Dans cette position, chacun peut profiter de ce sublime spectacle de mon sexe avalé par le tien.
Aude qui était restée près de nous sapproche, tembrasse et te caresse.
Puis elle descend ses lèvres sur ton corps pour arriver sur ton petit bouton de plaisir. Je sens une de ses mains sur mes bourses, et je sens sa langue qui glisse parfois sur ma queue au rythme de nos mouvements conjugués.
A ce rythme, je risque de ne pas tenir longtemps. A mon grand regret, je te demande de ralentir, cest trop bon. Tu te soulèves, libérant mon gland quAude aspire aussitôt. Je suis au bord de lexplosion, heureusement, jai le temps de larrêter avant quil ne soit trop tard. Jai besoin dun peu de repos, et jai envie de te retrouver pour moi.
Je te propose daller tous les deux dans une pièce. Tout comme je le ferai pour toi, tu acceptes sans me poser de question. Nous remercions chaudement Marc et Aude, passons aux douches et allons dans une pièce tous les deux.
Cest une des pièces que nous aimons tous les deux, pleine de miroirs et très lumineuse.
Une fois rentrés, tu me demandes si je veux que nous fermions la porte. Jai envie que nous restions tous les deux seulement, mais jaime beaucoup nous sentir regardés. Je te propose donc de laisser ouvert tout en positionnant le ventilateur devant la porte pour faire comprendre que regarde qui veut, mais sans participer.
Tu acceptes.
Je commence par te lécher, jadore ça, te sentir, te gouter, boire ton nectar et le rendre plus abondant sous mes caresses, cest délicieux. Je te lèche et glisse mes doigts en toi, tu viens sur moi pour me sucer en même temps. Mais rapidement, je nen peux plus, je veux te posséder, glisser ma queue dans ta chatte délicieuse.
Nous reprenons la même position que tout à lheure sur la plage, mais face aux miroirs du côté de la porte. Toi comme moi constatons ainsi que nos gémissement mutuels, surtout les tiens je pense, ont attiré un public, curieux, mais respectueux de notre barrière.
Je distingue au moins trois hommes et une femme, plus petite devant. Impossible de dire sil y a un couple ou non, ou si cest un quatuor, mais franchement, peu importe. Ils nous regardent et ça mexcite plus encore
Comme toi, je le sens à ta fluidité !
Nous bougeons nos bassins en rythme et je vois des mains dhommes se glisses sous le paréo de la femme qui nous observe avec eux. En un rien de temps elle se retrouve nue avec des mains partout sur elle et en elle. Ils gémissent, cest excitant de les entendre, et encore plus grâce à tes mouvements et la vue de tes fesses qui se soulèvent et retombent sur moi, à ton vagin qui enserre mon sexe. La pression monte.
Je te demande de passer en levrette, jai envie, enfin de laisser aller ma jouissance, et cest de cette manière que je te sens le mieux, que chacune de tes contraction musculaire me subjugue, et que je peux aller au plus profond de toi.
Nous changeons donc, et je vois que la femme qui nous regardait est maintenant penchée en avant, les mains sur le rebord du matelas de la pièce (elle est donc entrée, mais sans jamais savancer vers nous, respectant ainsi notre désir), un homme la pénètre pendant que les deux autres la caressent et lembrassent.
Tu es tellement excitée quun seul délicat coup de rein me suffit à te pénétrer totalement. Nous entamons alors notre chorégraphie sexuelle, avec ce quatuor à moins dun mètre de nous.
Je nen peux plus, je sens que je vais jouir dun moment à lautre. Alors je ressors mon gland, puis le pousse en toi sans avancer plus. Je recommence ainsi plusieurs fois. A chaque fois, je te sens un petit peu plus serrée. De temps en temps, je donne un coup de rein plus énergique que les autres afin de glisser totalement en toi. Puis je recommence. Je veux que ton plaisir soit total, je veux voir sur ton visage cette expression de béatitude après lorgasme. Je le sens qui monte, qui sapproche, te caresse du bout de ses doigts, pose ses mains, se rapproche encore pour finir par prendre totalement possession de toi au moment où tu lâches un grand cri de jouissance, que tu me serres comme jamais, et que moi aussi, au sommet de mon extase, je finis par exploser au fond de ton couloir du plaisir.
Nous nous effondrons tous les deux côte à côte sur le matelas, épuisés, ivres de plaisir.
Le quatuor continue son activité comme si de rien était, les hommes ont (plusieurs fois ?) échangé leurs rôles. La femme tend un bras vers toi alors que nous sommes enlacés en train de les regarder.
Jaurais beaucoup aimé, mais là je nen peux plus, jai besoin de me reposer.
Nous les observons ainsi quelques minutes puis nous habillons, ou plutôt, mettons respectivement paréo et serviette, direction les douches (nous devons nous doucher au moins 10 fois lorsque nous venons ici !
Nous fumons une cigarette, nous habillons, vraiment cette fois, aux vestiaires, puis prenons le chemin du retour.
Avant de monter dans la voiture, je tenlace, et te serre fort contre moi.
Je taime ma chérie, jespère, mais je pense que cest le cas, que tu as pris autant de plaisir que moi ce soir.
Moi aussi mon amour, et oui, cétait un pur délice. Vivement la prochaine fois. Pas tout de suite, jai physiquement besoin dun peu de repos, mais jai adoré tout ce quon a fait ce soir.
Nous rentrons, silencieusement à la maison.
Une fois au lit, nous discutons un peu de la soirée que nous venons de passer, inévitablement arrive le sujet de la comparaison. Est-ce quelle suçait mieux que moi, est-ce que tu as préféré la pénétrer que lorsquon est tous les deux, etc
Je ne me pose pas ce genre de questions, mais je ne ten veux pas de le faire au contraire. Mieux vaut poser une question à haute voix que de la garder pour soi et dimaginer la réponse, souvent mauvaise en plus.
Nous en discutons donc aussi longuement que tu le souhaites, et je texplique que pour moi, je ne compare pas, cest juste différent. Le plaisir est très intense cest certain, mais il lest parce que nous sommes ensemble, parce que cest avec toi que je méclate. Jamais, je ne cherche le mieux, je ne cherche rien dailleurs, je prends ce qui vient, et avec toi, jen profite.
Je te dis aussi que je suis content du cap que nous avons franchis. Et surtout, je te dis de ne pas ten faire, ça nest pas parce que nous lavons fait une fois que nous devons le refaire, ou le refaire à chaque fois. Jamais je nirai en club avec à lesprit une réflexion du genre : « tant quon na pas fait ça ou ça, je ne veux pas quon reparte. ».
La phrase magique de ces lieux, est et restera, même et surtout au sein de notre couple :
Tout est possible et rien nest obligatoire ! Seul le plaisir compte.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!