La Tentative De Vol De Ma Cliente Préférée

Après avoir lu avec plaisir sur ce site, j’ai décidé vous raconter quelques anecdotes de ma vie. Voici la première histoire.


L’histoire que je vais vous narrer date d’il y a quelques années. J’avais à l’époque 26 ans et j’étais directeur d’un petit supermarché d’une ville de la banlieue parisienne. Je gérais une cinquantaine de collaborateurs, mais j’avais surtout la chance de croiser des clientes toutes plus belles les unes que les autres venant faire leurs courses à la sortie des sièges des grandes entreprises. Un midi, je vis rentrer d’un pas décidé une femme ayant à peu près mon âge, 1m75. Ses cheveux étaient bruns, longs et bouclés. Elle portait un minishort en jean et une mini-débardeur duquel s’échappait une énorme poitrine. Elle est passée à côté de moi. J’étais littéralement scotché devant cette femme qui malgré sa tenue, était d’une classe sublime. Elle repassa dans l’autre sens une minute plus tard une bouteille à la main.


— Bonjour Mademoiselle.

— Bonjour Monsieur.


J’aurais pu ne jamais la revoir (comme beaucoup de clients), mais la même scène se passa quelques jours plus tard. Elle portait cette fois un jean slim et chemisier. Les 2 premiers boutons étaient détachés. Je pus remarquer aux tétons qui pointaient à travers le tissu blanc qu’elle ne portait pas de soutien-gorge.


— Bonjour Mademoiselle.

— Bonjour Monsieur.


Cette fois, j’ai eu la chance d’avoir un sourire de sa part. Je remarquai aussi qu’elle était passée exactement à la même heure que la première fois.

Le lendemain midi, je décidai donc me balader dans les rayons liquides vers 12h15. Et je revis ma magnifique cliente arriver.


— Bonjour Mademoiselle.

— Bonjour Monsieur.

— Comment allez-vous ? (Ma voix était tremblante tellement sa beauté m’intimidait)

— Ça va très bien merci.

— Bonne journée.



— Merci vous aussi.


Ces quelques paroles m’avaient complètement troublé. Une érection que j’avais du mal à dissimuler était apparue. Je rejoignis mon bureau, ferma la porte à clés afin de me caresser à pensant à cette sublime créature.


Les jours qui suivirent, je me trouvais donc « par hasard » tous les midis dans le rayon boisson.


Les « bonjours » avaient évolué. Nous discutions maintenant 1 ou 2 min à chacune de nos rencontres. J’appris qu’elle vivait à Boulogne. Qu’elle essayait de percer à la télévision. Elle me plaisait énormément et je sentais qu’au fil de nos discussions elle m’appréciait.


Un midi, il y avait énormément d’attente en caisse. Elle vint me voir et me demanda avec un énorme sourire qui me fit craquer si elle pouvait mettre la bouteille de coca qu’elle voulait acheter dans son sac et remettre directement l’argent, car elle ne voulait pas patienter.


Etant très joueur, je lui dis que si elle faisait ça, je considérerais son geste comme du vol et je devrais l’interpeller. Elle mit alors la bouteille dans son sac avec un regard espiègle.

Je l’ai saisie par le bras et lui dis et repassant au vouvoiement.


— Mademoiselle, suivez-moi dans mon bureau s’il vous plaît.


Elle ne protesta pas et me suivit.

Je refermai la porte derrière elle et baissa les stores.


— Mademoiselle, je pense que vous avez volé. Je vais devoir vous faire une fouille au corps.


Sur le coup, elle me regarda, interloquée.

Je pris mon air le plus sérieux et lui ordonna de poser ses mains sur le bureau et d’écarter les jambes.

Elle semblait ne pas savoir si j’étais sérieux ou si je blaguais. Je haussais donc la voix. Surprise et perdue, elle m’obéissait.

Je me reculai d’abord afin d’admirer son corps penché en avant et légèrement cambré. Elle était tellement excitante dans son pantalon moulant.


Je commençai par palper d’abord son dos, puis son ventre. Je descendis ensuite sur le devant de ses cuisses. Puis je remontai tout doucement par l’arrière des cuisses. Mes mains arrivèrent sur ces fesses. A ce moment-là, elle se redressa et se retourna l’air furieux. Je lui ordonnai de se remettre dans sa position, car la fouille n’était pas finie. Elle obtempéra, sûrement due à mon ton menaçant.


Je repris donc ma fouille. Je caressai doucement ses fesses. Je les malaxais. Elles étaient si fermes et si bombées par, j’imagine, des heures de sport.

Je collai ensuite mon sexe qui était tendu comme jamais à travers mon pantalon contre ses fesses et je saisis sa poitrine de mes deux mains. Comme à son habitude, elle ne portait pas de soutien-gorge. Je passai mes mains sous son t-shirt. Ses tétons se durcirent dans mes doigts. Je sentais sa respiration s’accélérer. Son corps se cambra. Sa tête bascula en arrière et ses lèvres vinrent au contact des miennes. Nous nous embrassions. Nos langues se mélangèrent. Une main tenta d’ouvrir son pantalon, mais elle se dégagea de mon étreinte et se dirigea vers la porte. Elle me dit qu’elle était en couple et que par conséquent elle ne pouvait pas faire cela.


Mais je sentais son désir et j’avais terriblement envie de son corps. Je la plaquais donc fermement contre la porte. Nos langues se lièrent à nouveau. Mes mains parcouraient son corps. J’essayai à nouveau d’ouvrir son pantalon, mais elle se mit accroupie contre la porte pour m’en empêcher.


Là, elle vit la bosse dans mon pantalon. D’un coup, son regard changea. Elle défit les boutons, sortit ma queue et la goba instantanément. Elle me suça d’une manière incroyable. Jamais personne ne m’avait fait une telle gorge profonde. La sensation était incroyable. Cette sensation si particulière que l’on sent sur le gland. Ses grands yeux me fixaient. J’étais aux anges et surtout à la limite de jouir. Je la relevai et lui ôta son t-shirt.
Ses seins étaient magnifiques. Je les léchai, je mordillai les tétons. Elle sembla apprécier. Cette fois, elle ne protesta pas lorsque je lui baissai son pantalon. Elle reprit d’elle-même la position de la fouille. Je guidai mon sexe à l’entrée de sa grotte humide, je la pénétrai doucement puis je mis mes mains sur ses hanches, l’agrippant fermement. Mes allées retour étaient d’abord douces. J’accélérai ensuite le rythme. Ma queue tapait littéralement le fond de son vagin. Des cris s’échappèrent de sa bouche aussitôt camouflée par ma main.


Il fallait également faire vite de peur qu’une personne ne frappe à la porte.

Elle me dit :


— Baise-moi, j’adore ça.

— T’es ma ptite salope ?

— Oui je suis à toi.


Sur ces paroles, je sentis son corps se crisper. Elle jouissait ? C’est à ce moment que je décidais de me déverser son sexe.

Nous sommes restés quelques secondes dans cette position afin de profiter du moment.

Elle se rhabilla en vitesse, me fit un bisou et disparut par la porte.

La suite bientôt...

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