Weekend À La Montagne - Épisode 8 - Comme Les Inquisiteurs Espagnols...
Weekend à la montagne - Épisode 8 - Comme les inquisiteurs espagnols...
Petite aparté : javoue humblement que ces récits, qui partaient pourtant dune base réelle dans les 1ers épisodes, sont issus à 99% de mon esprit ou le masochisme non révélé côtoie le conformisme sexuel dans une danse schizophrénique quotidienne. Japprécie donc particulièrement les retours dexpériences, les encouragements et autres expressions de satisfactions (je préciserais bien de la gente féminine en particulier mais vous vous en doutez probablement). Sur ce, je doute que vous soyez là pour lire mes mémoires donc revenons à nos moutons
Jaimerais pouvoir commencer comme dhabitude en vous disant que je ne sais pas combien de temps cétait écoulé depuis quon mavait écartelé au milieu de la pièce. Mais la vérité, cest quelles mavaient orienté face à une horloge dun mètre de diamètre. Impossible de louper la petite aiguille qui tournait lentement, si lentement
Ça faisait une bonne ½ heure que jétais en place. Mon corps entier me faisait souffrir le martyr quand jentendis les filles revenir en rigolant. Jessayais de me retourner pour les voir entrer dans la pièce mais je revenais vite sur lidée : impossible de bouger sans avoir limpression que jallais imploser.
- « Ah bin voilà il est tout sec ! »
Léa sétait installée sous lhorloge, dans mon champ de vision. Elle ne portait quun corset mauve, de longues bottes en cuir noir qui lui arrivaient mi-cuisse et son éternel tresse tenue par un nud violet. Son intimité était complètement exposée, je pouvais voir le reflet de sa mouille depuis mon perchoir
Dire que la situation lexcitait serait un euphémisme.
Pauline sinstalla à côté. Elle avait opté pour une mini-jupe verte, de longs gants en satin assortis, des bas ouvragés montés sur de simples escarpins et un serre taille noir mat
Le tout chapeauté par un chignon sévère tenu par un nud vert pomme.
Elles mobservaient toutes les deux avec le sourire.
- « ça va, tu es bien installé ? »
Je navais même plus la force de crier. Ma mâchoire, comme le reste, était écartelé depuis ½ heure. Je nattendais que le moment où elles allaient me faire redescendre.
- « Viens, on va jouer un peu »
Moment qui navait pas lair de se profiler. Je sanglotais doucement en attendant la nouvelle qui risquait de suivre.
Les deux filles disparurent de mon champ de vision et pendant un temps, rien ne se passa. Puis, je sentis une caresse toute douce sous mes bourses. Mon périnée écartelé était complètement exposé et Pauline, armée dune plume, jouait sur chaque mm2 de peau. Au bout de quelques seconde, la caresse devint chatouille et la situation se corsa. Mon premier réflexe fut de magiter mais, mon plug me tiraillant lintérieur à chaque mouvement, je dus rapidement mastreindre à limmobilité. Ce qui nétais pas une mince affaire. A la place, jessayais dextérioriser ma frustration grandissante en criant dans mon bâillon. Puis après une éternité, la caresse sarrêta. Elle fut cependant remplacée par une autre sensation désagréable : Léa, armée dune branche de sapin, me piquait les bourses avec les épines. Cétait trop pour moi.
Je me mis à pleurer et à magiter ouvertement. Merde à la corde qui me tirait les bourses. Merde au plug grand ouvert dans mon fondement qui refusait de céder le moindre millimètre. Merde au bâillon, merde aux cordes, merde aux salopes tortionnaires. Je craque.
Craquage qui ne les fit pas arrêter du tout, bien au contraire. En même temps, Pauline mavait prévenu : pas de safeword, pas de pitié. Elles continuèrent à alterner pendant de longues minutes, sans aucune cohérence dans les durées, parfois sans me toucher, parfois les deux s en même temps
Elles finirent cependant par se lasser.
- « Bon on va peut-être le faire descendre
»
Léa fit mine dhésiter, mais acquiesça. Je navais même plus la force de montrer de la gratitude
ou même la moindre émotion. Pendant que Léa faisait le tour de la pièce pour enlever les cordes une par une, Pauline sétait glissée sous moi. Avec un petit tabouret. De cette manière, ça tête arrivait juste entre mes cuisses. Elle fit alors glisser doucement sa langue sur la zone rougie par leur jeu pour apaiser les douleurs. Elle sattaqua au périnée, puis lorsque toutes les cordes étaient tombées et que mes jambes était refermé, au-dessous des bourses.
Quand Léa me fit descendre au sol. Pauline maccompagna à genou. Mes jambes ne pouvaient pas me porter. Elle sécha mes larmes avec ses caresses et sa langue en me chuchotant des encouragements, en me répétant quelle était fière de moi. Puis, les deux filles me firent face et je sus que la scène nétait pas finie.
Je me mis à sangloter doucement.
- « Arrête ton cinéma » attaqua Pauline, « tu ne sais même pas la suite du programme »
Elles attendirent une bonne minute que jarrive à me reprendre, puis Léa pris à son tour la parole.
- « Voilà le deal sunshine, tu vas choisir lune dentre nous. Celle-ci sera soumise avec toi pour la suite des évènements. Lavantage pour elle, cest que cest la seule de nous deux qui pourra jouir. Linconvénient, cest que lautre risque dêtre un peu frustrée, donc un tantinet sadique. »
Pause, sourire carnassier. Pauline prit le relai :
- « Cest à toi de décider. Sache aussi une chose. Tu as à lheure actuelle 2 cadenas sur toi. Lun verrouille ta cage, lautre ton plug. »
Je les regardais et devinais la suite : chacune portait une petite clé dorée autour du cou.
- « Tu ne sais pas quelle clé ouvre quoi, mais tu pourras avoir soit le sexe libre, soit le cul
pas les deux »
Je les regardais, lune après lautre, le regard perdu.
- « Bon après si tu ne veux pas choisir on peut aussi te remettre dans la position précédente une petite heure que tu ais le temps de te décider. Ça te tente ? »
Sans réfléchir, javançais à quatre pattes jusquà Pauline. Elle me regarda avec un petit sourire et solennellement, dénoua son chignon. Léa passa derrière elle et lui attacha un collier. Puis, elle se pencha sur moi et entreprit de me libérer le sexe.
Dans un premier temps, je mestimais chanceux. Après réflexion, un peu moins
Connaissant Léa, ce nétait pas parce que mon sexe était libre que jallais pouvoir en profiter. Par contre, le moindre mouvement continuerait de me coûter avec lautre objet de malheur dans le fondement.
Léa entreprit aussi de me libérer les poignets et la bouche. Je me massais doucement les mains et le haut des bras, la bouche bloquée dans une position entrouverte et un filet de bave qui coulait par terre.
- « Merde il est vraiment pas propre » Léa se tourna vers Pauline « va chercher une cagoule dans la chambre
non réflexion faite, ramène le sac entier »
Pauline sexécuta en gardant la tête baissée. Elle revint vers moi et, après un bref hochement de tête de notre maitresse, entreprit de menserrer la tête dans laccessoire en cuir. Léa prit tout de même le temps denlever le string trempé de ma compagne pour me le mettre dans la bouche avant quelle soit bloquée en position fermée par la cagoule.
Décidément, elle ne faisait clairement pas appel à moi pour ma conversation ! Quand ma bouche nest pas bloquée en position ouverte, elle lest en position fermée
Au moins, je ne risquais pas de dire une connerie qui aggraverait mon cas !
- « À genoux, tous les deux, lun en face de lautre, les mains derrière la tête »
Lordre claquait encore dans lair quand Léa quitta la pièce. Nous nous installâmes donc comme indiqué, nos deux visages à quelques millimètres lun de lautre. Entre la bombe sexuelle soumise juste devant moi et le goût de sa mouille dans ma bouche, ma queue commençait rapidement à prendre conscience de sa liberté et à prendre de lampleur.
Pauline avait la bouche entrouverte juste devant moi, me regardait droit dans les yeux avec une expression dexcitation intense imprimée au fond des prunelles. Puis, défiant lautorité de Léa, elle membrassa à travers ma cagoule en cuir.
Bien évidemment, cest ce moment-là que choisit Léa pour se racler la gorge derrière moi. Elle ne fit aucun commentaire, mais nous la connaissions suffisamment pour savoir quun affront même aussi mineur ne resterait pas impayé.
Léa installa à côté de nous 2 éléments distincts : le premier, une simple chaise percée. Le second, une structure métallique que nous connaissions maintenant bien, visant à immobiliser une victime en position « levrette ».
Une fois son travail achevé, elle me souleva par le bras sans ménagement et me posa sur la chaise. Me jeta plus que me posa pour être exact. Elle entreprit alors de my attacher avec un sadisme comme seul un esprit dérangé comme le sien pouvait concevoir. Par le trou de la chaise ressortait la boucle de mon plug de malheur. Léa me lia donc les deux chevilles ensemble, les tira en arrière, passa la corde dans la boucle avant dattacher solidement mes poignets avec le bout restant. Ainsi harnaché, aucune corde ne me tenait bloqué sur la chaise en elle-même
Cependant, impossible de faire le moindre mouvement sans être tiraillé de lintérieur. Elle poussa le vice jusquà caller un petit vibro dans la boucle et à lenclencher, faisant vibrer la fleur ouverte dans mon cul. Je poussais un long gémissement dont Léa parue extrêmement satisfaite. Elle se retourna alors vers Pauline avec son éternel sourire carnassier : cétait son tour.
La structure métallique fut installée juste en face de moi et la seconde victime de cet épisode fut progressivement harnachée.
Tout dabord, Pauline sinstalla à 4 pattes le long de laxe principal. Au niveau de ses mains, de ses genoux et de ses pieds, un axe perpendiculaire partait de la structure centrale avec à son bout une menotte en cuir. Léa entreprit donc dattacher progressivement les poignets, les genoux et les chevilles de Pauline, dont un filet de mouille commençait à courir le long de la cuisse dêtre traitée de la sorte. Léa le préleva dun doigt et lenfonça dans la bouche de sa soumise qui suça avidement. Puis, elle lui fit lécher un crochet qui se terminait par une boule assez volumineuse
il rentrait à peine dans sa bouche !
En vint ensuite sinstaller derrière elle et, après lui avoir patiemment travaillé la rondelle avec ses doigts en utilisant sa mouille qui débordait, y enfonça sans ménagement le crochet.
Jétais scotché, je ne pense pas avoir déjà vu Pauline prendre quelque chose daussi gros dans le cul. Celle-ci avait semblé en difficulté pendant toute lopération, mais une expression de soulagement intense éclata sur son visage lorsque la boule finie par être en place.
Léa tendit ensuite une corde entre un nud dans ses cheveux et son crochet pour lui tirer la tête vers le haut. Elle finalisa ce tableau en enfonçant un Rabbit dans le vagin encore ouvert de sa soumise qui poussa un long soupir de satisfaction. Elle le maintint en place, la partie vibrante écrasée contre son clitoris, avec une dernière cordelette qui partait de larrière de son collier et revenait vers lavant.
Satisfaite, elle fit un pas en arrière pour nous observer. Je bandais vers le plafond à men faire mal aux bourses, Pauline haletait sur place comme une chienne en chaleur
nous étions près.
- « Nous allons donc pouvoir commencer ! »
Elle alluma le rabbit qui sactiva instantanément : vibration sur son clitoris, vibration dans son vagin, mouvement rotatifs, mouvement glissant
Pauline poussa un cri de surprise. Elle était tellement excitante avec sa petite tenue décolière, ses escarpins, sa jupe, ses seins à lair
Léa approcha ma chaise à quelques millimètres du visage de ma co-soumise.
- « Pauline, je te conseille de trouver quelque chose pour remplir ton trou à gémissement parce que je veux plus vous entendre
»
Et elle sinstalla dans le canapé et commença à lire un livre.
A suivre...
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