Anomalie De Mère Nature (3)
Besogné par les trois hommes, encore et encore, me faisait tourner sur leurs verges, se vidant, recommençant, jusquà ce que, tous les quatre épuisés, je suis resté seul avec Ahmed, partageant un repas que Nordine nous avait apporté peu après nous avoir quittés.
Cest en laissant sur la table un plat bizarre, que je ne connaissais pas (Un plat à Tajines), rependant ses effluves épicés par louverture en haut de son couvercle conique, quil a gentiment déposé un baiser sur mon front et à tenter de mexpliquer :
« Tu sais, Marc, on est un peu honteux de ce qui sest passé, mais il ne faut pas nous en vouloir »
« Mais, pas question de vous en vouloir
Vous mavez donné, tous les trois, un plaisir inouï que je ne pensais jamais connaitre, au vu
Comment dire
de ma particularité
»
« Je suis Algérien, Harki. Dans mon pays, jai toujours vécu en bonne entente avec les français, avec respect de part et dautre, et à cause de ça, jai été de mexiler dans un pays que je pensais être le mien aussi
»
« Nordine
La guerre dAlgérie est encore très fraîche dans tous nos esprits, et même si jai lu beaucoup de livres à ce sujet, je me sens bien incapable de te répondre »
« Je ne suis pas là pour en parler avec toi, juste pour te dire, que nous, les arabes, les « melons » les « bicots » et autres, ne sommes pas vraiment bien vus ici, et encore moins dans cette ville »
« Jai pu le constater, et sache que je napprouve pas »
« Merci Marc
Mais Maghrébins, plus ou moins cloîtres dans un foyer à lécart, nos besoins sexuels restent les mêmes, je dirais, davantage encore, nous avons la réputation davoir le sang chaud »
« Ça, jai pu le constater
»
« Donc, le sexe pour nous est hyper rare, à part quelques vieilles putes tellement usées quil ne leur reste que des arabes, ou des jeunes mecs à la recherche de sensations fortes, après avoir tout épuisé »
« Je crois avoir entendu parler de ça, Nordine »
« Alors quand Ahmed ta rencontré, il pensait voir en toi un de ces jeunes garçons qui nous offre ses faveurs, moyennant quelques billets
Mais certainement pas toi
»
« Javoue
.
« Toi, ta particularité, ta fougue, ton désir de connaitre ont fait que, si même nous aussi avions en nous ce besoin, quasi permanant chez nous, de baiser, Ahmed et nous deux après, avons ressenti que tu désirais découvrir autre chose, te rassurer dune certaine manière »
« Franchement
. Cétait tout à fait ça
»
« Quand Ahmed est rentré au foyer après votre première rencontre, il nous a tout raconté et on a parlé tous les trois. Et si on voulait prendre notre plaisir, bien sûr, on voulait aussi ten donner, que tu saches enfin aussi, quelle était ta vraie nature »
« Je ne sais quoi te dire
»
« Rien
On ta baisé comme une pute, défoncé par tous les trous et tu en redemandais encore
Mais le respect était toujours présent, jamais nous ne taurions fait le moindre mal
Ta soif de plaisir était aussi forte que celle que nous avions de te posséder
Avoue
. Non ? »
« Oui
et merci
»
Je suis resté seul avec Ahmed après, dévorant ce repas aux saveurs inconnues. Si mon bas-ventre était plein, mon estomac était vide, sauf de substance mâle. Je me sentais repu, rassuré par les paroles de Nordine, au français quasi parfait, et je me suis endormi, collé à cet homme si viril, qui ne sest pas privé de reprendre ses droits de mâle à trois reprises pendant la nuit.
Le matin, après un solide petit déjeuner apporté par les deux garçons, suivi par labandon sans fin aux plaisirs que nous avons partagé tous ensemble jusquau début de laprès-midi, je suis enfin rentré chez moi.
Longue douche pour évacuer tous ces sucs dhomme présents partout sur moi et dans moi, je me suis allongé sur mon lit, pour une fois, sans la main dans ma culotte, mais en réfléchissant le mieux possible, à tout ce qui venait de se produire en quelques heures.
- Dabord
Piquer quelques serviettes hygiéniques dans le stock de ma mère
- Ensuite, retrouver la coque quon mavait donnée pour protéger ma bite, cétait pour un sport que je navais pas vraiment pratiqué, mais pour lequel il fallait une protection
- Me dire que je ne pouvais plus me promener, à mon âge, avec un bas-ventre quasi inexistant et que la coque allait faire illusion, le temps que jaille en acheter une un peu plus imposante en rapport avec mon âge.
- Voir Julien pour rencontrer le Médecin Endocrino au plus vite.
Rasséréné par toutes ces résolutions, je me suis enfin laissé aller, masturbant ma chatte encore et encore, recommençant immédiatement après chaque jouissance, tenté dy introduire un objet de substitution, mais y renonçant très vite, je ne voulais que de la vraie chair en moi.
Quelques jours après, grâce au Miracle du téléphone (Celui dont parlait le père de Marcel Pagnol en 1900 dans ses souvenirs denfance
Pagnol
Mon auteur préféré
Ce que jai pu pleurer quand il est mort
), mais je mégare, ce lien encore rare à lépoque, que possédait les parents de Julien mais pas les miens, je pouvais revoir mon Endocrino.
Silence quand je me suis installé dans le fauteuil devant lui, et sans un mot échangé, jai fondu en larmes, un torrent qui ne semblait pas se tarir.
Je lui ai tout déballé crûment, sans aucun artifice
Ma rencontre avec Ahmed, le foyer, comment de me suis fait dépuceler la chatte, et le cul ensuite
Comment jai été pris ou prise, un nombre incalculable de fois, par ses hommes rejetés mais archi virils
Combien ces membres, dune grosseur hors norme en Europe ont pris possession de moi, et une fois rentré, jéprouvais encore le besoin de masturber ma chatte jusquà ce que le plaisir mépuise.
« Jai honte Docteur, je suis une anomalie, et en plus, je suis nymphomane »
« Comment vous connaissez ce terme, Marc ? »
« Je lai lu dans un ouvrage médical parlant de femmes toujours insatisfaites »
Il ma tendu un verre deau, puis un café ensuite et ma apporté les résultats des analyses quil avait reçus, me parlant de « troisième sexe », de confusion hormonale, de la rareté de mon cas où le vagin était totalement constitué, comme celui dune vraie femme, avec ce qui lentourait, restant complètement masculin, sans être hyper viril, mais pas dapparition de seins, ni même le contour, et les poils qui eux, étaient bien virils, quoique peu abondants.
Ce que jai retenu dans tout ça, cest que mon ambivalence sexuelle était présente, avec une prédominance féminine, progestérone en plus grande importance, que mon vagin était suivi dun demi-utérus, avec un col atrophié, donnant à ma cavité une profondeur denviron 40 cm, ce qui expliquait que les membres virils qui mavait perforé aient pu sintroduire en moi en totalité. Evidemment, jétais stérile, nayant ni ovaire, ni spermatozoïdes
Un peu abasourdi pas toutes ces révélations, je lui posais la question de savoir ce quil fallait faire.
- Cest votre choix :
- Soit on fait des examens encore plus poussés, sachant que votre caryotype est XY, soit masculin
- Soit on intervient massivement en matière dhormones féminines pour que votre corps soit en apparence avec votre vagin, même si vous êtes XY total.
- Soit on intervient chirurgicalement dans le sens Y, mais les chances que vous retrouviez une verge sont quasi, impossibles, ou on intervient sur le X et on accélère le côté féminin
- Soit, si tel est votre choix, on laisse les choses telles quelles, avec un suivi endocrinien permanent, à vous de lassumer, et surtout, de vous sentir épanoui
Comment dire
Dans cette
Double peau
!!! »
« Docteur
Ces derniers jours mont montré que mon ambivalence, certes hyper rare, pouvait me procurer énormément de plaisir
et en donner aux hommes aussi... »
« Et alors ? »
« Pour rien au monde je ne voudrais renoncer à mon vagin, source dautant de jouissance
Et pour rien au monde, je veux me faire charcuter pour avoir des seins où autres dont je me fous totalement. Finalement, pour le moment, je me sens très bien dans ce corps
»
« Cest votre choix Marc
Je le respecte
. Je peux juste ajouter une chose ? »
« Bien sûr Docteur
Laquelle ? »
« Cest celle que je pense être la meilleure pour vous, du moins, pour le moment, et sous réserve que vous me promettiez un suivi régulier
. Allez vite rejoindre vos amis au Foyer
»
« Vous êtes sûr de ce que vous dites Docteur ? »
« Oui
.
« Ma foi
. Après tout, vous avez raison
»
Après lavoir quitté, avec son numéro en poche, jai filé au foyer en fin daprès-midi, où jai pu enfin voir Nordine et prendre un thé avec lui, sur le pas du perron
« Pas trop le temps de texpliquer en détails, mais ce Weekend, mes parents sont pas là, je peux vous rejoindre tous les 3 ? »
« Bien sur, tu es le bienvenu
»
Je lui ai juste résumé la conversation avec mon médecin, cette particularité de lambivalence de mon corps que je voulais conserver, et celle aussi de ma chatte, prolongée qui ma permis de les prendre en entier, même pour une première fois.
« A vendredi soir alors »
Merci à labsence de progrès à lépoque, du moins chez moi, avec ce téléphone qui nétait toujours pas installé, mais qui me rendait libre.
Le lendemain matin, un mercredi, (Le jeudi avait été remplacé quelques années auparavant), jai retrouvé Julien avec plaisir et lui ai raconté en détail, ma consultation avec lEndocrino. Je voyais quil nétait pas très à laise et je lui en ai demandé la raison. Un peu embarrassé, il a commencé à me parler :
« Men veux pas Marc, mais hier, jai discuté avec mon pote Ibrahim et sans citer ton nom, bien sûr, je lui ai raconté que je connaissais quelquun avec
Comment dire
ta particularité
»
« Tu as osé Julien
Mais cest un secret entre toi et moi
!!! »
« Marc, je nai absolument pas dit que cétait toi, dailleurs, il ne sen doute même pas mais il sest montré très curieux de voir un tel
phénomène
quil ma demandé de convaincre ce mec de lui monter ça, à lui et à son frère. »
« Et alors, je devrais faire quoi ? »
« Ils viennent chez moi cette aprèm, si tu veux, tu peux nous rejoindre »
« Ma foi
Pourquoi pas »
Très gêné au début, jai trouvé ça, finalement assez amusant et plutôt excitant, mon Docteur mavait dit quil fallait que jassume, non ?
Je les ai rejoints vers 14 heures, avec une coque un peu plus imposante sous mon bermuda et Ibrahim a été surpris de me voir arriver. Après un regard interrogateur envers Julien, il ma demandé :
« Toi aussi tu veux voir ça, Marc ? »
« En quelque sorte »
Après un soda avalé, Ibrahim a interrogé Julien sur labsence de son pote qui devait venir nous montrer
son anatomie
Julien ma consulté des yeux, cherchant, soit mon approbation, soit mon refus.
Je me suis affalé sur le canapé, baissant mon bermuda et le reste, et en écartant les cuisses au maximum :
« Cest ça que vous vouliez voir, les mecs ? »
Ibrahim et son frère étaient estomaqués, surtout quand jai commencé à ouvrir mes lèvres et à caresser mon clito. Leurs yeux sortaient de leurs orbites, et très vite, une barre énorme a commencé à prendre de lampleur dans leurs survêts.
« On peut toucher ? »
Je me suis ouvert encore davantage pour leur confirmer mon accord, et mes doigts se sont emparées de leurs tiges, les branlant chacun en même temps, pour les faire grossir encore plus.
Leurs mains, leur langue ont parcouru ma chatte dans tous les sens, bites à lair depuis un moment, et Ibrahim sest allongé sur moi, perforant dun trait mon orifice de son membre veineux, pendant que son frère prenait possession de ma bouche.
Il était super excité, me défonçant comme un malade, et quand jai senti sa jouissance arriver, alors quil voulait se retirer, jai poussé sur ses fesses pour que sa semence minonde.
« Tinquiète
Je suis stérile, tu peux pas mengrosser
»
Il sest lâché en moi, et la place a été aussitôt investie par son frère, Julien occupant celle laissée libre.
Je me suis fait sauter par tous les trois pendant plusieurs heures, et après une douche réparatrice, je suis rentré chez moi, reprenant lattitude de « sage » garçon auprès de mes parents.
Après une nuit bien réparatrice, ponctuée quand même par plusieurs masturbations de ma chatte, jai pu enfin me reposer, en pensant au Weekend de délices qui mattendait au foyer.
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