Seuls Dans L'Open Space

Elle s'appelle Divya. On ne fait pas parti de la même équipe, mais on se croise parfois dans l'open space, comme les places ne sont pas attribuées. Ce jour-la, elle vient s'assoir a côté de moi, pour la première fois. On se dit bonjour et j'en profite pour demander un renseignement, elle tombe bien, il fallait que je la contacte sur un sujet. Très vite je remarque qu'elle est bien apprêtée, les cheveux frisé, elle est brune, un haut noir qui fait ressortir sa poitrine, et une jupe longue de type flamenco, mais de ton jaune. Elle porte des talons sous sa jupe ce qui la rend un peu plus grande que moi. Au final, elle ne montre rien de son corps, mais son attitude globale la rend attirante. Une belle plante exotique, elle est indiene, en somme.
Dans la journée nous nous croisons aux gré de nos allées et venues. Je peux la voir déambuler sur ses talons. Des fois, du coin de l'œil, je peux voir qu'elle se tient debout devant le bureau, penchée en avant pour utiliser son ordinateur. Ses courbes ressortent. Ça donne envie d'être derrière elle pour la prendre, mais bon, il ne faut pas trop rêver. Je ne sais rien de sa vie.
Comme nous sommes arrives tard le matin, nous nous retrouvons a être encore au bureau tard le soir. l'Open Space est vide désormais. Je n'avais pas fait attention, mais elle a l'air stressée. Je lui demande si tout va bien.
"Non, c'est la galère ce projet, je fais des heures depuis plusieurs semaines. Et a la maison, ça ne va pas avec ma belle mère et mon mari. Je n'en peux plus"
Je ne sais pas trop comment l'aider.
"Si tu veux je peux te masser les épaules pour un peu te détendre vis a vis de ce projet. Tu peux me montrer ce qui cloche aussi, lui dis-je.
- Ça ne va pas résoudre les problèmes, mais pourquoi pas"
Je viens me placer derrière elle et commence a lui masser les épaules, en tout bien tout honneur. Elle me montre son projet, les points durs, et je lui donne deux-trois idées.

Puis elle se tait, sans doute pour apprécier le massage. Sa tête vient se poser sur mon bras gauche et sa main droite vient carresser mon autre bras. Juste furtivement, je n'en tiens pas compte. Quand tout a coup, elle se retourne et droit dans les yeux, me dit:
"Attends, j'ai envie de te sucer !
- Euh, tu es sûre, la ?"
Mais sans répondre, elle déboutonne mon pantalon et sort ma bite, qui commençait à se trouver à l'étroit. Elle l'enfourne dans sa bouche et commence une série de vas et viens, ce qui me fait durcir assez rapidement.
"Tu sais comment t'occuper d'un mec, toi"
Elle me regarde et continue sans me répondre. C'est tellement bon.
Après quelques instants de ce doux traitement, je l'arrete et lui dit:
"Merci. J'ai trop envie de te baiser maintenant"
Je l'invite à se lever. Elle ne dit rien, peut être troublée entre le désir et la honte de ce plaisir interdit. Je la retourne et la fait pencher en avant, telle qu'elle se positionnait plus tôt dans la journée. Je remonte sa jupe jusqu'aux hanches et descends sa culotte. Elle écarte un peu ses jambes et se cambre. Ma bite vient a l'entrée de sa chatte, que je sens humide. Je joue un peu avec son clito et m'enfonce profondément en elle, d'un seul coup. Elle lâche un petit cri de plaisir. Je commence a la pilonner. C'est assez sauvage, je me suis rendu compte qu'elle est encore toute habillée, et que je ne lui ai pas prodigue de cunni, comme j'aime le faire habituellement. Mais le stress que quelqu'un puisse se pointer et nous surprendre nous oblige a aller au plus direct.
De temps en temps, je la vois basculer sa tête de bas en haut, ce qui fait rabattre ces cheveux dans son dos. Cela accentue mon excitation et par consequent l'intensité de mes coups de boutoir. Je l'entends pousser des petits cris de plaisir, mais pas trop fort, nous sommes quand même au bureau !
Au bout de quelques minutes de coups de rein intenses, je n'en peux plus et explose dans sa chatte.
Je reste quelques secondes en elle pour savourer l'instant, avant de me retirer. Elle se retourne et me glisse avec un sourire:
"Toi aussi, tu sais bien satisfaire une nana"
Elle part aux toilettes pour se nettoyer. Elle revient confuse et déterminée a la fois: C'était un bon moment mais cela ne sera qu'une parenthèse. Il n'y aura pas de suite, cela serait trop compliqué a gérer avec sa famille. Pour moi également du reste. Très bien, cela restera un bon souvenir pour nous deux. On est parti du bureau peu après.
N'étant pas dans la même équipe, nous nous croisons rarement depuis. A chaque fois, c'est avec un sourire de complicité et de bienveillance pour se rappeler au bon souvenir de cette fin de journée.

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