Bouts D'Essai

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Ce jeudi soir d’hiver glacial où l’on n’aurait pas mis un chien dehors, elle avait préféré prendre le métro, n’ayant plus beaucoup d’argent pour boucler la fin de mois. Presque une ligne complète traversant Paris d’Est en Ouest, de la porte de Montreuil à la station Billancourt. Une des dernières rames après minuit. Ce n’était pas la première fois qu’elle rentrait seule ainsi de chez des amis. Au moins, elle n’aurait pas de problème pour trouver une place assise, fatiguée qu’elle était de cette soirée un peu trop arrosée ! Dans le wagon désert, elle s’était confortablement installée près de la vitre les jambes allongées sur la banquette. Elle avait dû s’assoupir pendant quelques minutes, lorsqu’une voix la fit sursauter :

- Excusez-nous mademoiselle, on peut s’assoir ici ? Trois jeunes blacks baraqués avec casquette et écouteurs étaient entrés à la station précédente et venaient clairement la déranger.
- Euh… oui bien sûr ! Instinctivement, elle corrigea sa position pour s’assoir normalement. Elle fit ensuite comme s’ils n’étaient pas là, orientant son regard vers la vitre.
- Je me présente : Moi, Lui et Lui 2. Et toi c’est comment ?
- Ben Elle alors, répond-elle un tantinet agacée !

Moi et Lui 2 s’installent en face pendant que Lui s’assoit à côté d’elle.

- T’as l’air bandante et sympa comme meuf, on va faire le chemin ensemble si tu veux bien. On descend vers le terminus.
- Ah moi je descends avant !
- Cool ! Faut pas être pressée comme ça ! Nous on est sympas, on aime bien les rencontres imprévues avec des meufs dans ton genre. Mais avant on aimerait vérifier que t’es pas une keuf, on sait jamais…
- Mais n’importe quoi je suis pas flic !

Lui commence à fouiller dans son sac à main.

- Non mais ça va pas, rends-moi mon sac !
- Cool ! On veut juste vérifier, pas te piquer ton fric !

Lui tend le sac à Moi qui l’inspecte méticuleusement.

Il en sort une carte d’identité.

- Mégane de Joost, cheveux roux, yeux verts, née le 12 octobre 1987 à Copenhague, 1m69 pour 56 kg. T’es une rouquine danoise ? C’est des putes les Danoises, paraît qu’elles kiffent la queue grave ! Tu tombes bien, avec nous tu vas être servie… Mais dis, y’a pas tes mensurations ! Parce que nous, avant de te niquer, on aimerait bien savoir ton tour de taille, la grosseur de tes nichons, tu comprends !
- Ouais, bien sûr, comme si je demandais la taille de ta bite !
- Wouahh les mecs ! Je le savais, elle est chaude cette meuf ! Et puis… mais qu’est-ce que je vois dans ton sac : une bombinette lacrymo et… eh je rêve : des capotes ! Non mais regardez ! Elle est en chaleur !!

Ses deux copains portent la main à leur entrejambe et commencent à se branler au travers de leur jogging.
- Ouais je t’ai pas dit, mes copains et moi on n’est pas méchants, on a qu’un défaut en fait : on peut pas s’empêcher de sortir Popaul quand on rencontre une meuf en chaleur ! Tu vois Lui l’a déjà sorti, regarde sa grosse queue noire, elle te fait envie hein ? T’en vois pas tous les jours des engins comme ça… (il sort la sienne immédiatement suivi de celle du troisième larron).
- Bon les mecs, vous êtes gentils, mais là… enfin… c’est-à-dire… euh… nan mais… vous la sortez comme ça… à chaque fois ?
- À chaque fois, sœur ! Surtout avec une meuf en chaleur dans ton genre, tu comprends ça nous excite grave… Franchement, ce serait dommage de pas en profiter, non ?
- C’est assez direct comme méthode, mais j’y crois pas, c’est vrai que vous êtes montés comme des ânes…
- Tu voulais pas descendre ?
- Euh… bah… non, je vais… attendre un peu… et…
- … tâter de la bite de black, voilà, t’as tout compris, sœur ! Bon, retire ton pull, qu’on voit un peu tes formes... Très bien ! Pendant qu’on y est, retire aussi ton t-shirt avec, voilà ! Wouahh… t’es super bandante en soutif, c’est du beau calibre ça, c’est du combien ?
- euh 95 C…
- C’est du lourd ! Bon, prends la queue de Lui en main, je vois bien que tu rêves de ça depuis tout à l’heure. Vas-y, branle la bien ! Une bite de black bien chaude et dure comme ça, t’as pas dû encore t’en taper j’suis sûr ! Profites-en ! Tiens prends aussi celle de mon frère avec l’autre main, voilà comme ça ! Bon maintenant mets-toi à genoux devant moi et suce la mienne. N’arrête-pas avec les mains ! Allez, à genoux et suce !!

Pendant qu’elle exécute son mouvement de va-et-vient, un des deux autres fait tomber son soutif puis en profite pour lui malaxer les seins.

- Eh, mets-y un peu de sentiments, merde ! Lèche bien toute la marchandise et n’oublie pas non plus de t’occuper de mes boules, putain faut tout leur dire aux Danoises ! Bon, comme ça c’est mieux… ouais… continue et puis prends-la bien au fond de la gorge, voilà… une gorge profonde comme ça (il la force en appuyant sur sa tête)…
- Humm humm hummm !!

Elle manque plusieurs fois de s’ et reprend sa respiration avec peine en déglutissant.

- Attends, on va faire autrement. Je vais me branler entre tes nibards, oui comme ça, ils sont brûlants !

Les deux autres présentent chacun leur queue devant sa bouche.

- Allez ! T’attends quoi pour les sucer ?

Au bout d’un moment, il lui demande de se reculer, le dos contre la banquette. Il enlève son pantalon, son slip et se met debout devant elle, la queue à l’horizontale, devant sa bouche. Après qu’elle ait entamé une nouvelle fellation, le black prend la direction des opérations, lui imposant de grands coups de queue dans la bouche. En subissant ses assauts, elle émet de petits gémissements étouffés, la bave qu’elle a au menton tombant par longs filets entre ses seins puis coulant jusqu’au nombril. L’un des deux autres blacks en profite pour lui déboutonner son jeans pendant que son pote filme l’assaut avec son smartphone. Mégane se retrouve vite en string, le pantalon tombé à ses genoux. Pendant ce temps, les portes du wagon s’ouvrent plusieurs fois mais personne n’approche…

(à suivre)