Initiation D'Une Sainte Nitouche (1) : La Rencontre.
La rencontre.
Je lai rencontré pendant un dîner chez des amis communs , elle était accompagnée de son mari et avait lair de sennuyer.
Je la trouvais plutôt jolie et je questionnais la maîtresse de maison qui mexpliqua quelle était lépouse dun directeur de banque , quelle avait deux s et quelle ne travaillait pas , la dame ajouta avec un sourire que ce nétait pas une proie pour un pervers comme moi car elle était le type même de la petite bourgeoise catho coincée.
Moi jaime bien les défis , et je profitais du repas pour jeter quelques regards appuyés sur la jolie bourgeoise.
Elle remarqua mon manége mais ne répondit pas à mes avances visuelles.
Le repas ne laissait rien augurer de bon pour la suite de la soirée , la conversation glissait de la météo aux souvenirs de vacances des uns et des autres en passant par la politique et le sport.
Bref on semmerdait ferme.
A la fin du repas , je décidais de passer à lattaque , je m approchais du couple et me présentait , le mari me répondit à peine et séloigna avec un autre type pour aller fumer un cigare. Cétait inespéré je me retrouvait seul avec la dame sous la regard amusé de la maîtresse de maison.
Un silence gêné ,puis je dois avouer quelle me surprit en me disant quelle trouvait mes regards insistants.
Je men tirais comme je pouvais avec un truc du genre « je préfères regarder les jolies femmes plutôt que découter des conversations sans intérêt » . Après ce genre de phrases toute faites , il y a deux solutions où elle me plante là où elle reste et jai une chance.
Elle me sourit et rougit un peu , je continue donc mon approche de dragueur à deux euros , elle a lair dapprécier et japprend que la petite dame sennuie aussi dans la vie avec un mari absent absorbé par son travail et deux s sages et bien élevés.
Je remarque que le mari est en train de terminer son cigare et sapproche de nous ,et je glisse à la jolie boudeuse mon numéro de portable en lui disant que jaimerai beaucoup reprendre cette conversation plus tard et je méclipse avant larrivée du mari .
En partant je jette encore un regard sur la petite dame qui cette fois me répond dun sourire.
Lhôtesse des lieux ironise sur mon numéro de Don Juan de fin de banquet et cest vrai que je me dis que tout cela nira sans doute pas plus loin.
Javais oublié tout ça lorsque trois jours plus tard , elle mappela , dabord surpris , nous discutâmes un peu puis je lui fixais un rendez vous dans un café , elle refusa dabord et je dus faire un exercice de haute voltige (voyons ça ne vous engage à rien, jaime beaucoup discuter avec vous , etc
..) et finalement elle accepta.
Le jour dit jarrivais un peu en avance afin de trouver une place discrète et isolée, elle avait un heure de retard et je commençais à flairer le lapin quand enfin elle arriva .
On aurait dit quelle avait fait exprès de shabiller le moins sexy possible , une jupe longue grise , un chemisier boutonné jusquau cou et des chaussures plates (un vrai tue lamour) je me disais que jallais abréger la rencontre sous un prétexte quelconque mais un détail me fit rester , elle sétait maquillée (un peu trop dailleurs comme toutes les femmes qui ne se fardent pas souvent) et grand naïf que je suis jen déduisit quelle cherchait quand même à me plaire .
Je la laissais parler delle , elle était intarissable , on sentait quelle navait pas discuté avec quelquun depuis très longtemps.
Au bout de deux heures , on se sépara en se promettant de se rappeler et audace ultime on se fit la bise.
En rentrant chez moi , je trouvais un message sur mon répondeur , cétait elle qui me remerciait pour cet après midi et qui espérait dautres rendez vous.
Suivirent alors une série de sorties dans des musée improbables , des cafés chics où de longues promenades dans Paris.
La dame se livrait de plus en plus , et sa tenue était de moins en moins austère mettant en valeur des formes qui je le devinais sannonçaient pleines de promesses.
Mais voilà, javais un problème comment faire évoluer la relation ; passer de lamitié naissante qui semblait lui convenir à quelque chose qui moi me conviendrait.
Cet après midi je décidais de jouer mon va-tout , je profitais de la pluie pour proposer un ciné, ravie elle accepta me disant que cela faisait des années quelle ny était pas allée sauf avec les s pour les éternels Walt Disney de fin dannée.
Mais javais prémédité mon coup et le film choisit navait quun très lointain rapport avec Mickey , je lemmenai voir « la secrétaire » (pour ceux qui ne connaissent pas il sagit de lhistoire dune jeune fille mal dans sa peau qui devient la secrétaire dun homme plutôt renfermé et leur relation évoluent lentement vers la soumission de la fille qui peu à peu sépanouie ).
Je guettais les réactions de ma camarade pendant le film et je constatai avec plaisir quelle semblait fasciné , ce quelle me confirma autour dun café après la projection.
Pour la première fois elle me fit des confidences sur sa vie intime , son mari qui ne la touchait plus , les rapports plan-plan et je me dis quenfin je trouvais louverture.
Malheureusement elle déclina mon invitation à venir prendre un verre chez moi car elle devait rentrer.
Je regagnai mon appartement ne sachant plus quoi penser et me disant que décidément elle me voyait plus comme un ami que comme un futur amant (ça a toujours été mon problème).
Il se passa plusieurs jours quand un beau soir un message de la belle me fixant un rendez vous pour le lendemain me redonna espoir.
Je passais une matinée assez fébrile, allant même jusquà faire un peu de ménage.
Préparant les lieux, sortant les bougies, choisissant la musique, bref je créais lambiance.
Pour une fois elle était à lheure et je ne fus pas déçu en ouvrant la porte.
Elle était différente , vêtue dune robe beige assez moulante et sarrêtant au dessus du genoux , de fines chaussures à talons et surtout elle avait laissé ses longs cheveux bruns et bouclés tomber en cascade sur ses épaules (bref elle était plutôt canon, ma petite bourgeoise).
Après un bref moment où je dus ressembler à un diabétique devant la vitrine dun pâtissier, je meffaçais pour la laisser entrer (et pour voir si le verso tenait les promesses du recto de la dame).
Elle semblait un peu tendue (moi aussi, mais pas au même endroit) ce qui me paru un bon signe.
Je lui fit visiter les lieux (quelquun peut il mexpliquer pourquoi on a cette manie lorsque lon reçoit pour la première fois), puis nous passâmes au salon.
Elle sassit dans le canapé ce qui eut pour effet de remonter sa robe sur ses jambes , instinctivement elle tira sur létoffe en me regardant (je devais ressembler au loup de Tex Avery).
Bon le plus dur reste à faire, je lui propose un café et profite de mon passage vers la cuisine pour démarrer la chaîne Hi-Fi qui laisse séchapper une musique douce et sensuelle (enfin moi je trouve).
Je reviens avec le plateau et prend place à ses côtés sur le canapé.
Commence alors un étrange ballet , nous parlons de choses et dautres en pensant à autre chose.
Je guette le moment opportun où enfin joserai et elle, elle doit se demander : Mais quest ce quil attend cet idiot !
Elle se penche pour poser la tasse sur la table basse et moi jen profite pour frôler son dos et passer mon bras sur le dossier du canapé , ce qui a pour effet lorsquelle se rassoit normalement de nous rapprocher.
Sans un mot je passe ma main sur son visage et voyant quelle laisse aller sa joue je mapproche et lembrasse (on dirait du Barbara Cartland).
Sauf que le baiser ! ! ! hou la la ! ! ! elle se jette sur ma langue comme un réfugié Haïtien sur laide humanitaire.
Bientôt, nous sommes lun sur lautre et moi je me bat avec la fermeture éclair de sa robe , puis avec lattache du soutien gorge (je ne comprend pas quau XXI ème siècle on nait pas encore trouvé une solution à ce problème majeur) mais mon combat naura pas été vain , parce que je découvre deux jolis seins que je mempresse de dévorer.
Elle aussi soccupe, elle dégrafe ma chemise et commence à me lécher le torse à petits coups de langue.
Puis elle sattaque à ma ceinture et se laisse glisser entre mes jambes .
Elle me surprend ma petite catho coincée, je ne perd pas une miette du spectacle . Elle est juste vêtue (pas pour longtemps) dune petite culotte en train de me tailler la pipe du siècle.
Mes instincts pervers reprennent le dessus et je commence à lui sur appuyer sur la tête en lencourageant de la voix , et ça marche ! Elle sapplique et démontre quelle sait faire autre chose avec sa langue que coller des timbres.
Moi, je ny tiens plus , je la redresse et la fait asseoir sur moi la prenant en écartant sa culotte.
Elle est comme dans un état second , elle crie et sempale en remuant son adorable petit cul.
Le docteur Jekyll que je suis se transforme en Mister Hide et je ne peux résister longtemps aux deux seins gonflés qui ballottent devant moi.
Je commence à les pétrir et à pincer les mamelons , ma douce amie ne se formalise pas et au contraire commence à avoir un drôle de regard (si vous avez vu lexorciste vous me comprenez).
Je tire sur les tétons et commence à claquer les deux globes.
- Tu aimes ça Salope ? (là on séloigne peu à peu de Barbara Cartland).
Un oui murmuré accompagné dune plainte à peine audible mencourage.
Mes claques prennent de lintensité , je lui fait pencher la tête en arrière en tirant sur ses cheveux et frappe méthodiquement chaque seins (pas de jaloux comme ça).
Je la relève en la tenant par les cheveux et loblige à se mettre à quatre pattes sur le tapis.
- Baisse ta culotte que je vois ton cul de chienne ! ! ! (amis de la poésie bonsoir )
La petite dame sexécute et me dévoile enfin toute son intimité.
Je la prend violemment et commence à claquer ce cul offert.
Chaque coup a pour effet de la faire crier mais aussi de lempaler plus profondément.
Je la tire par les cheveux et lui passe mes doigts dans la bouche.
- Suce les comme si cétait ma bite ! ! !
Pourquoi je dis ça , elle avait déjà compris la manuvre et se met à lécher consciencieusement.
Son cul est de plus en plus rouge.
Je retire mes doigts de sa bouche et je la cambre en appuyant sur son dos.
Le spectacle qui se reflète dans un miroir opportunément placé face à la dame achève de libérer mes ardeurs.
Je commence à poser un de mes doigts à lentrée de son anus tout en continuant à la limer.
Voyant quelle ne dit rien (et qui ne dit mot, consent) mon doigt sinsinue dans lorifice.
- Tu aimes ça être prise par les deux trous ! ! !.
Bien que ce soit plus une affirmation quune question elle lâche un ; Oui baise moi ! ! !
Maintenant jai mis deux doigts et je la branle sans ménagement.
- Demandes moi de tenculer ?
- Oui encules moi (je sais ça fait un peu cours danglais du style repeat after me).
Moi je suis là pour rendre service, alors mon membre remplace mes doigts et la dame maide en écartant ses fesses avec les mains.
Bientôt je ne peux plus me retenir et je jouie dans ce cul de petite bourgeoise en lagonisant dinsultes.
On reste là dans cette position pendant un moment puis je me retire.
Elle fais mine de se relever mais je len empêche en la plaquant sur le sol .
- Tu restes à quatre pattes le cul en l air comme la chienne que tu es.
Je massois sur le canapé et allume une cigarette en jouissant du spectacle.
Décidant de voir jusquoù je peux aller trop loin, je pose le cendrier sur son dos et allonge mes jambes sur ses reins.
- Tu as aimé ça ?
- Oui soupire ma table basse ( ils nont pas ce modèle chez Ikéa ne rêvez pas).
- Pour commencer il va falloir te montrer plus respectueuse, et mappeler Monsieur.
- Oui Monsieur.
Décidément cette fille a du potentiel.
Je termine ma clope et retire mes jambes de ce dos .
- Va te laver dans la salle de bain (jai compris pourquoi on fait visiter avant cest pour éviter dexpliquer où se trouvent les différentes pièces après) et reviens vers moi vite.
Elle se relève un peu honteuse et se penche pour ramasser ses vêtements sur le sol.
- Je ne tai pas dit de te rhabiller .
Docile, elle se dirige nue vers la douche ce qui me permet dadmirer les traces rouges qui parcheminent son cul.
Dans ma tête je me repasse le film des événements et me dit que son retour dans le salon sera le dernier test.
Soit elle reprend son attitude de soumise soit elle reprend ses esprits se rhabille et bonsoir Clara.
Lattente est insoutenable (je sais jexagère toujours).
Ma petite femelle réapparais bientôt et son regard ne laisse aucun doute.
- A genoux devant moi et vite.
Elle obéît.
- Prend ma queue dans la bouche mais ne bouge pas tu suceras quand je te le dirai.
- Oui Monsieur (elle apprend vite).
- Tu reviendras demain pour que je poursuive ton éducation et cette fois tu ne porteras rien sous ta robe.
- Oui répond t elle en ayant mon sexe dans la bouche (pour une fille bien élevée parler la bouche pleine est un signe qui ne trompe pas).
- Maintenant appliques toi et fais moi jouir dans ta bouche.
Arrivé à ce stade de lhistoire je vous épargne la description de la fellation (vous êtes assez grands pour imaginer), sachez cependant que je ponctuais les efforts de la belle suceuse de quelques coups de ceinture bien placés sur ce joli fessier ce qui avait pour effet darracher de petits cris à notre belle amie.
Docilement elle arriva bientôt au résultat escompté et avala tout sans rechigner poussant même le dévouement à nettoyer avec sa petite langue.
- Tu peux te rhabiller maintenant , laisse moi et noublies pas pour demain.
La belle partie , je me demandais si je navais pas été un peu trop loin et si je reverrai ma bourgeoise.
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