La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1314)

Camélia au Château - (suite de l'épisode N°1312) - Camélia devient chienne Maera :

Une fois arrivée dans celle-ci, je pris le temps de me rhabiller et mit le contact en route puis démarra pour rentrer chez moi. J’étais encore toute troublée et mes sens étaient encore mis tous en exergue. En effet, j’étais encore toute excitée par la situation que je venais de vivre ainsi que ma soumission et mon éducation à l'art de la fellation avec le Majordome dans le donjon ancestrale. J'avais vécu pas mal d’émotions en si peu de temps depuis que j’étais entrée en ce jour dans ce vaste et ancestrale Château à quatre pattes, tenue en laisse, par le Majordome telle une véritable chienne. Alors que j’étais dans ce Château, il y avait encore quelques minutes, j’avais ainsi pu pleinement vivre ma soumission et progresser dans ce qui me faisait tant défaut mais aussi m’entraîner ainsi à sucer, à mettre en bouche une verge dressée, ce qui comptait beaucoup pour moi ainsi que pour le Seigneur et Maître Vénéré auquel j'avais l’immense chance d’appartenir... Alors que je conduisais étant à la fois heureuse, comblée, perdue dans toutes ces bonnes pensées qu’une excitation commençait à poindre et à se faire sentir de nouveau au niveau de mon entrejambes. J’étais mouillée et trempée par le simple fait de repenser au Seigneur et Maître Vénéré et aux divers moments que j'avais vécu cet après midi en ayant l’immense honneur de pouvoir voir Monsieur le Marquis ainsi que d’être éduquée à l'art de la fellation dans ce donjon ancestrale et chargé d’histoire de ce vaste Château. J’étais littéralement et irrémédiablement en chaleurs, mouillée de ma cyprine coulant maintenant abondement le long de mes jambes, de mes cuisses. Je fis le trajet faisant quand même attention à la route pour ne pas avoir d’accident même si je ne prenais pas trop le temps d’explorer les paysages, bien trop occupée à me concentrer sur mes pensées orientées à ce que je venais de vivre au Château…

Ma dévotion et mon adoration envers le Seigneur et Maître Vénéré augmentaient chaque jour un peu plus.

Et plus ma soumission grandissait et plus ma motivation s’amplifiait pour devenir la chienne soumise qu'Il voulait que je sois capable à procurer du plaisir d’un claquement de doigts... La route se passa sans embûche, le temps était magnifique et on pouvait presque voir à l’horizon un magnifique coucher de soleil Je me rapprochais alors du périphérique lyonnais et n’étais plus qu'à quelques kilomètres de chez moi, je devais bien avouer que j'avais hâte d’arriver chez moi pour pouvoir écrire un mail et remercier comme il se doit le Maître et Seigneur Vénéré de s’occuper de mon éducation et de l’honneur qu'Il m'avait fait de Sa présence dans Son bureau, même si cela n'a été que quelques minutes, cela restera pour moi un grand privilège. J’entendis tout d'un coup mon portable vibrer. Je résistais ainsi à la tentation de regarder le message que je venais de recevoir. Je n’étais plus qu’à quelques minutes de chez moi et j’avoue que mon excitation, mêlée à la curiosité, s’était décuplée par ce message… J'arrivais enfin devant chez moi…

Après m’être assise sur mon canapé, j'enlevais mes chaussures et j’ouvris le sac pour me saisir au plus vite de mon portable. Et mon visage s’illumina en regardant le destinataire de ce message Skype. En effet c’était Celui que j’espérais, le Maître et Seigneur Vénéré. Quelle joie, béatitude et immense plaisir se sont emparés de moi... Je ressentis alors une chaleur intense et apaisante qui parcourut tout mon corps remontant sur toute mon échine par de délicieux frissons accompagnés d’un bien être intérieur total. Et ma cyprine recommençait de nouveau à couler doucement le long de mes cuisses J’étais tellement excitée et heureuse d’avoir de Ses nouvelles si rapidement. Je découvris rapidement le message avec fébrilité, joie et émotion. J'eus même quelques larmes de bonheur pur. Ce message disait :

- Ma chienne, tu es partie depuis peu du Château et le Seigneur et Maître a déjà décidé de changer ton nom de chienne soumise de Son Cheptel. Dorénavant, je t’appellerais soumise Maera ou encore mieux chienne Maera. Quand Moi ou les personnes de Mon Château s’adresseront à toi, tu devras toujours répondre par une position de soumission en baissant la tête. Soit fière que Je daigne te baptiser ainsi. Et soit toujours reconnaissance de cet immense honneur que Je t’accorde, comme celui que Je daigne m’occuper de ta petite personne. Le Maître.

Après quelques instants à contempler, lire et relire ce message mainte fois et me remettant de ma béatitude et de mes émotions, je me décidais enfin à Lui répondre et à le remercier sincèrement pour ce nouveau de nom de chienne soumise qu’Il avait choisi et bien voulu m'attribuer. Bien consciente de l’honneur qu'Il me faisait en m'octroyant ce nouveau nom, je vérifiais en rédigeant mon message en réponse de ne rien omettre pour le remercier avec humilité et reconnaissance. Une fois ceci fait, je l'envoyais… Puis, je pris le temps d’écrire un email au Maître Vénéré pour lui donner mon ressenti sincère et honnête sur ce que j'avais ressenti en Sa présence au Château et sur l’initiation à l'art de la fellation :

- Maître, Daignez-me lire, Concernant Votre présence au Château que Vous avez daigné m’accorder à Vos pieds cet après-midi, je souhaiterais tout d’abord vous remercier pour l’immense honneur que Vous m'avez fait en me recevant dans Votre bureau. J’espère être, à l’avenir, plus digne de Votre éducation et ne pas commettre de faute afin ne pas être source de Votre déception qui me peinerait tant. Pendant Votre initiation à la fellation octroyée par votre Majordome, j’avais toutes les peines du monde à retenir mon envie de me rebeller mais j'ai pris sur moi pour taire mon orgueil et ainsi pouvoir mieux Vous satisfaire par la suite en progressant dans la pratique même de la fellation. Au début, je trouvais cette situation humiliante mais très vite, je ne pus que remarquer que j’étais bien excitée d’être dans cette position et que j'y trouvais même beaucoup de plaisirs, en me sentant à ma place je me dois de Vous l’avouer. Je vous prie de bien vouloir m’excuser pour les fautes que j’ai commises en ce jour et je veillerais, à l’avenir, à être plus vigilante afin de Vous satisfaire et répondre ainsi au mieux à Vos exigences. Recevez ma reconnaissance éternelle pour tout ce que vous daignerez m’inculquer. Votre chienne Maera à Vos pieds.

Après avoir lu et relu le message, j’envoyais le message au Maître et Seigneur Vénéré… Le temps passait et les jours se suivaient ainsi sans grand événement notoire. Je n’avais pas de nouvelles de Monsieur le Marquis depuis ma dernière visite au sein de Son ancestrale et vaste Demeure. J’attendais ainsi impatiente d’avoir de Ses nouvelles pour savoir quand j’aurai la chance de me retrouver à Ses pieds, physiquement. Quelques jours après j'eus la réponse à mon interrogation, car en effet je reçus un message Skype sur mon portable du Maître :

- Bonjour Ma chienne salope Maera, je veux te voir jeudi prochain en Mon Château dès 14h. Je te veux en forme et présentable à Mon regard. Le Maître »

Je répondis presque instantanément à Son message et lui confirmant ainsi ma disponibilité (dans le cas où j’aurai été indisponible, je me serais débrouillée pour devenir disponible) et que je serais bien présente jeudi prochain à 14h en Son Château... Les jours passaient doucement à mon goût car je dois bien avouer que j'avais trop hâte d’être à nouveau à Ses pieds en Son ancestrale Demeure. Quand enfin le fameux jour arriva, je me préparais donc pour partir dans Son Château. Je prévoyais ainsi le temps nécessaire au trajet ne voulant surtout pas arriver en retard dans le Beaujolais. Je me mis donc en route assez tôt… J’arrivais enfin aux impressionnantes grilles en fer forgé du Château. J’eus la surprise de constater que les grilles étaient déjà grandes ouvertes quand je les franchis pour m’engager dans l’allée centrale toujours aussi bien entretenue par les esclaves jardiniers du Maître. Je ralentis et m'arrêtais à quelques mètres du perron du Château puis coupa le moteur. Puis je me dévêtis entièrement. Me retrouvant dans la nudité la plus totale, je ne pus m’empêcher de lever un regard impressionné face à la somptueuse façade de pierres, hautes fenêtres et double-porte d’entrée qui s’offrait majestueusement sous mes yeux admiratifs. Je laissais les clés sur le contact et me dirigeais vers le perron à quatre pattes. Je me déplaçais donc en quadrupédie comme la chienne que j’étais et j'évoluais ainsi de manière féline et séduisante sur les graviers rouge, menant au perron, qui me rendirent les genoux douloureux. Après quelques mètres je gravis toujours à quatre pattes les marches des larges escaliers de pierres du perron et je frappais à la massive double-porte vernis à l'aide du loquet. Puis, j'attendis que l’on daigne venir m’ouvrir, j’étais à la fois nue, excitée, impatiente, silencieuse et immobile à quatre pattes…

(A suivre …)