Collection Cocu. Esseulée (1/1)
Lhistoire que je vais vous conter à eux lieu la semaine dernière.
Pour commencer, qui suis-je ?
Arlette 34 ans mariée à Pierre 40 ans deux s, deux filles.
Laure 18 ans et Lucie 4 ans.
Oui, Laure javais 16 ans quand ce grand garçon de 22 ans ma séduite.
Cétait dans une boîte où malgré mon âge javais réussi à me faufiler avec des copines plus vieilles que moi.
Les quatre avaient été contrôlés, comme chacune était majeure, jai eu la chance que lon me laisse passer.
Il faut dire que nous étions basketteuses et que jétais la plus grande de notre groupe.
1 mètre 92 à 16 ans, par chance ma taille sest arrêtée là.
Je me voyais me cognant la tête dans le haut de toutes les portes mais en fait jai eu du mal à trouver des garçons de ma taille.
Tous fuyaient car souvent je leur mangeais une tête.
« Alors microbe comment vas-tu, tu guiche ? »
Cest ainsi que je pouvais dire ce soir-là, jétais la géante de la boîte.
- Que buvez-vous ?
- Je nai pas dargent, jai juste le ticket dentrée quune copine ma donné.
Jai du mal à entendre ce grand garçon tellement la sono dirigée par le DJ du moment Brif ta mère est forte.
Pourquoi Brife ta mère, je lignore et je crois que je lignorerais à jamais.
Je comprends que je peux commander à boire, je vois Juliette et Josépha danser en se frottant les fesses.
Mes copines, du moins ces deux-là, sont lesbiennes et viennent demménager ensemble après leur bac pour débuter à la fac de Montpellier.
Elles veulent faire kiné et ouvrir un cabinet ensemble dans cette ville.
Un jour elles ont voulu mentraîner dans leurs jeux mais au fond de moi je savais que cétaient les garçons qui auraient mes faveurs.
Les deux autres Carla et Victoria ont déjà connu le loup comme lon dit.
Carla ne va certainement pas finir la nuit seule, le beau gosse qui la serre de prêt semble avoir ce quil faut entre les jambes.
- Un jus dorange, cest possible ?
- Vous ne préférez pas un whisky, vous avez le droit à une boisson alcoolisée avec votre ticket dentrée.
Ce barman est aussi grand que moi.
Jétais assise au bout du bar et je suis restée toute la soirée.
Quand la boîte a fermé, il ma proposé de prendre un dernier verre chez lui à deux pas de là.
Javais cédé sur le whisky, contre le règlement il men avait remis une dose et cest pompette que je suis montée dans son appartement.
Comment me suis-je retrouvée ses yeux à la hauteur des miens ce qui ma fait craquer ?
Un mec aussi grand que moi ça ne se refusait pas.
Il a été surpris de me trouver vierge mais plusieurs fois dans la nuit, il a honoré ma chatte.
Dans les jours qui ont suivi, il a accepté de me revoir.
Il ma appris bien des choses sur le sexe comme de lui faire des fellations.
Comme jétais à lintérieur de la boîte, à aucun moment il ne c'est poser de questions sur mon âge et quand je lui ai dit que bébé allait venir il a assumé et nous nous sommes mariés.
Jai passé mon bac enceinte, jétais lattraction de mon centre dexamen.
Jai poursuivi mes études malgré ma fille, Laure étant élevée chez mes parents.
Jai décroché un diplôme de chimie et je travaille dans un labo danalyse médicale.
Sexuellement nous avons toujours été comparse avec Pierre qui est maintenant architecte.
Il faisait le barman pour payer ses études, ses parents nétant que des petits commerçants du centre-ville.
À 30 ans, jai voulu un bien consenti celui-là.
Jespérais un mâle pour faire plaisir à mon mari, mais ses spermatos étaient faits pour me faire des filles alors Lucie est née pour notre plus grand plaisir.
Il aurait bien voulu un garçon mais en avoir un troisième nous aurait obligé à déménager or aussi bien lui que moi nous étions à quelques centaines de mètres de notre travail.
Jai donc continué ma vie dépouse irréprochable jusquà aujourdhui où Pierre est parti avec nos deux filles du côté de Bordeaux près dune plage où ils se sont retirés pour leur retraite.
Il est parti pour huit jours profitant de quelques jours de congé avant que nous ne prenions nos vacances en août.
Ça fait trois jours que nous subissons une canicule, chaque soir les filles et Pierre mappelle vers 18 heures alors que je suis rentrée depuis une demi-heure.
Depuis quils sont partis et comme je nai aucun vis-à-vis, je me dénude et je vais sur notre terrasse siroter un grand verre deau gazeuse sur lune des deux chaises longues que nous avons placé là pour nous reposer les week-ends.
La nuit dernière après que mes filles maient appelé, je me suis allongée.
Derrière la vitre de protection, je ne me suis pas rendu compte que le soleil tombant pouvait être encore aussi chaud, mon sexe sest soudainement réveillé.
Ça marrive de temps en temps et en temps normal cest Pierre qui profite de ces excitations.
Il ne se fait pas prier pour éteindre lincendie et je peux mendormir sereinement.
Là, je reviens au temps de mon adolescence où cétaient mes doigts qui faisaient le travail.
Ce nest pas le soleil, mais le lent passage de mes dernières phalanges qui finissent par sintroduire en moi qui me permettent de me détendre.
Une différence avec mes jeunes années, la peur du diable qui me lon me promettait si javais des pensées et des gestes impures se sont envolés, cest avec délices que je plonge au plus profond de mon vagin qui en dégouline de joie.
Cest comme cela, quau matin, le jour ma trouvé plein de courbature malgré le matelas.
Ce soir, je me douche avant le coup de téléphone.
Jai pris plaisir à me masturber grâce au jet de leau, mais je me vois mal parler à mes filles mes doigts dans ma chatte.
Je me savonne pour enlever les traces de ma transpiration de la journée évitant de me trouver dans ma zone dangereuse.
- Maman je me suis baignée, leau était froide.
- Maman, je suis tombée dans leau et jen ai bu, elle était salée.
Cest la petite qui a parlé.
Je laisse là les banalités que peuvent se dire mère et fille ainsi quavec Pierre qui ce soir me demande la permission de sortir diner avec un couple rencontrer sur la plage.
Un couple aucun risque, je lui donne mon absolution.
Sortir lenvie men prend, qui le saura si je fais attention que la vipère que nous avons comme voisine ne me voit pas.
Je vais aller boire un verre sur la place de la comédie où à cette époque les fêtes et la musique sont permanentes.
Jenfile ma petite culotte, je lenlève, je la remets, jenfile ma robe à fleurs légère et boutonnée sur le devant et je sors refermant ma porte palière sans bruit.
Je colle mon oreille sur celle de ma vieille salope de voisine, je lentends qui parle à son chat certainement dans sa cuisine.
Je descends un étage avant de prendre lascenseur.
Je sors par le garage dans la ruelle me permettant de ne pas passer sous son balcon ce qui aurait permis à cette mégère de me voir.
Je sors de la ruelle, je prends la rue me rapprochant de la place où doù je suis jentends déjà la musique.
Je tourne le coin.
- Aie, faite attention.
- Excusez, Madame, je marchais gaillardement et je ne mattendais pas à trouver une si jolie femme en tournant ce coin de rue.
Je vous ai fait mal ?
- Ce nest pas banal de sortir prendre lair et de manquer de se retrouver sur les fesses si vous ne maviez pas rattrapé.
Jai repris pied et je constate que pour la deuxième fois de ma vie je regarde un homme très prêt et dans les yeux.
- Allons sur la place madame, je vous offre une limonade.
Cest tout juste si je ne lui prends pas la main pour le suivre là où il veut me diriger.
Quand nous étions proches, cétait aussi la première fois que je voyais des grosses lèvres de black, grand et fort comme une tour.
- Je mappelle Fred, je suis guadeloupéen et jhabite à Paris, je suis là deux jours pour mon travail.
Je peux savoir comment je dois tappeler ?
- Jai un prénom affreux, Arlette.
Nous nous installons à une terrasse.
Regardant la carrure dathlète de ce garçon et sa couleur, jai limpression dêtre tombée sous les clichés et les fantasmes que mes copines vivaient quand nous allions voir jouer léquipe première du club où des noirs américains venaient jouer une ou deux saisons avant de reprendre leur chemin.
Dailleurs, nous sommes allées aux noces de Victoria qui en a levé un ayant deux têtes de plus quelle.
Jétais là pour la voir partir avec ses parents en pleurs quand ils ont pris le chemin de Los Angeles pour quil poursuive sa carrière.
De fil en aiguille, je passe un moment divin jusquau moment où il faut savoir rentrer.
Pour retourner chez moi il faut passer devant son hôtel.
Je me trouve en ce moment dans lascenseur sa langue pour la première fois dans ma bouche.
Comment en suis-je arrivée là, je lignore, je me vois glisser petit à petit vers ce garçon certes aussi grand que celui que je commence à faire cocu ?
Il me place ses mains sur mes fesses et mapplique sur son corps.
Je sens sa virilité sur le mien, je devrais me reprendre, mais ce contact me fait chavirer.
Je veux éviter de comparer les deux hommes, hormis la couleur, sa langue tourne en sens inverse de ce dont jai lhabitude avec Pierre.
Ça peut paraître étrange, mais les habitudes étant là, ces petites nouveautés me font mouiller.
Lascenseur sarrête, nous continuons à être collé jusquà ce quil mette sa carte dans le système douverture.
Il entre mentraînant.
Il referme la porte dun coup de pied et me colle à la porte.
Les boutons sautent les uns après les autres.
Jaurais espéré quils résistent, nos bouches sont en feu et son sexe est tendu à fond et voudrait certainement séchapper de son pantalon.
Que dire ?
À oui, ses pectoraux surdimensionnés sont collés à mes seins écrasant mes fraises.
Ma robe nayant pas voulu maider je fais confiance à ma petite culotte pour faire barrage au cocufiage de mon mari.
Quand elle tombe au champ dhonneur sans la moindre résistance, je sais que ma défaite est irrémédiable.
Je sens que sa main dégrafe son pantalon.
Jai placé mes bras autour de son cou et je prends une grande goulée dair étant à la limite de lapoplexie.
Je sens la chaleur de son sexe que je voudrais bien voir, mais ce nest pas ce quil veut.
Il mempoigne sous les fesses et me laisse glisser doucement pour que comme les suppliciés du Moyen Âge je mempale.
Jamais ma chatte na été aussi remplie.
Je sens pour la première fois de ma vie mes organes complètement compressés par ce gland qui doit être gigantesque.
Je menvole dans sa bouche avant de sentir quil marrose sans que je naie limpression que cette semence qui jaillit va se tarir.
Prise le long dune porte et par quelle bite, quelle jouissance, mon mari est peut-être cocu, mais jen retire un extraordinaire plaisir.
Ai-je dit quelle force de la nature il est ?
Sans quil soit sorti de moi et toujours maintenue sous les fesses.
Il traverse la salle pour me lâcher dune main, ouvrir la fenêtre à glissière et mamenez jusque sur la terrasse où je sens lair un peu plus frais caresser mes fesses.
Jignorais quun tel homme existait.
Et pendant tout ce temps nos bouches ont du mal à se dessouder.
Les chiens restent collés par le rostre du mâle quand il a coincé sa femelle.
Je suis coincée par son sexe dun côté et sa bouche de lautre.
Il va plus loin, il profite de sa main sur mon cul pour mintroduire un doigt dans lanus.
Cest la première fois quun homme touche cette partie de mon anatomie et je dois dire que la sensation est nouvelle mais que jaime bien.
Ce soir en sortant sans le faire exprès je suis tombée sur un véritable étalon.
Il me repose, fermement mais sans violence, il me place à quatre pattes sur les coussins du transat et alors quil vient de sortir de moi laissant son sperme couler le long de mes jambes, il me reprend toujours aussi fermement.
Ce sont mes fesses quil saisit et je repars pour les tourbillons de la vie émettant mes premiers cris de plaisir ma bouche étant libérée.
Que dire de plus, jai un orgasme dévastateur ?
Un orgasme comme je nen ai jamais eu, deux fois même car une dernière fois dans la nuit étoilée, lui allongé, sest moi qui m'empale mes mains sur sa poitrine rythmant notre coït.
- Où vas-tu, tu pars sans membrasser une dernière fois, je nai pas été à la hauteur de tes envies ?
- Jai une vie Fred et je dois la retrouver, ne men demande pas plus, jai passé une nuit extraordinaire.
Demain soir si tu veux, tu me rejoins chambre 222 et je temmènerais au restaurant avant de revenir ici.
- Mon mari revient ce soir, ce ne sera pas possible, mais un jour peut être la vie nous fera le même cadeau que ce soir et nous réunira.
Un dernier baisé et je rejoins mon chez-moi la chatte entièrement apaisée.
Je dois reconnaitre que les grosses bites noires cest autre chose que celle de mon mari.
Je rentre sans encombre, à cette heure là, casse couille ma voisine dort.
Ce soir, je mhabille, je me déshabille, je prends une douche, une deuxième me masturbant avec le jet deau.
Même loreiller entre mes cuisses sur lequel je me frotte ne suffit pas mais par chance épuisé de la veille et du travail de la journée je mendors jusquà ce que mon réveil sonne.
Pierre est de retour, dès quil est avec moi, cest sous la douche quil me fait lamour.
Jai dit que je refusais de comparer et je ne le ferais pas pourtant il y aurait beaucoup à dire.
La vie a repris son cours, en août nous rejoignons les s.
Sur la plage un noir passe vendant ses colifichets, je regarde son entrejambe mais je sais que je ne céderais plus.
Pourtant quelques jours après ma nuit de folie me rattnt.
Mes règles ont du retard pour finir par une grossesse.
Avec Pierre, nous décidons de le garder, cest un garçon.
Je sais notre logement.
Aucun problème Laure est dans les bras de Ludo un bel espagnol qui veut lépouser.
Ça m'a mis un coup de vieux quand Pierre me la annoncé.
Lucie est heureuse davoir un petit frère.
Un seul point noir que je découvrirais au moment où Pierre coupera le cordon, la couleur de mon bébé.
Que personne ne sinquiète, je suis prête à assumer, lamour fait des miracles surtout quand le père a son garçon.
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