Le Manoir Du Péché (5)
Comme je le faisais tous les matins, je me suis pointer jusquau manoir pour ouvrir les 28 volets. Jy ai croisé bien sûr, la comtesse. Elle était en train de prendre le petit déjeuner en compagnie dune de ses filles, et de son époux. Je lai trouvé très radieuse. Comme elle lavait été lors de notre ébat. Mais le plus drôle pour moi, fut linstant où jai serré la main de Monsieur. Celle qui avait tant donner de plaisir à sa femme.
- Alain ! Minterpela-t-il. Vous allez sans doute avoir la visite de mon autre fille dans quinze jours. Elle viendra avec sa petite famille passée les fêtes de fin dannée. Veuillez quelle ne manque de rien surtout que son époux viendra épisodiquement pendant ce séjour.
- Bien monsieur. Je tâcherais de faire de mon mieux pour que leurs séjour soit le plus agréable possible. Je peux disposer ?
- Oui Alain. Répondit la comtesse. Je compte sur vous pour que vous restez dans les parages. Cétant jamais, je pourrais sans doute avoir besoin de vos services.
- Bien madame. Je suis à votre disposition. Vous me retrouvez pour cela dans la loge.
Ce fut mon dernier mot, avant de prendre congé.
Jétais assis dans ma cuisine devant un bol de café quand jai entendu quen frapper à ma porte.
- Alain tu es là fit la voix que je reconnu en étant celle de Charlotte. La petite fille de la comtesse. Tu peux mouvrir la grille sil te plaît je dois me rendre en ville.
- Et tu y vas toute seule, en ville ?
- Oui ! Je ne vois pas le problème.
Cependant, je notais que la jeune fille avait soigné sa tenue vestimentaire. Elle est drôlement sexy avec sa minirobe ultracourte et ses collants fumés.
- Ta mère te laisse sortir seule.
- Et pourquoi elle ne le ferait pas ?
- Et dans cette tenue !
- Quest-ce quelle a ma tenue ? Si tu veux savoir, jai mis des bas. Qui montent bien haut sur mes cuisses. Et le plus drôle cest quils tiennent tout seuls.
- Eh bien ! Tu en as fait des frais.
- Je les ai empruntés à maman.
- Jespère pour toi quelle est au courante ?
- Bien sûr, cest même elle qui ma dit de les porter.
- Et le maquillage que tu portes, cest elle aussi ?
- Parfaitement
Bon alors tu mouvres cette putain de grille.
- Je ne sais pas si je dois. Il me faut lavale de ton grand-père, voir de ta mère. Désolé... ce nest pas moi qui décide !
Elle a bougonné un instant avant de demander :
- Je peux avoir un café moi-aussi ! Fit-elle en regardant ma tasse sur la table.
- Bien sûr, je mempresse de te le servir. Prend une chaise et installe toi
Ce quelle fit. Et comme un fait exprès juste dans mon axe de vision doù jétais installé quelques minutes plus tôt. Alors que je lui versais le café, Charlotte est restée silencieuse. Posant même une cuisse sur l'autre comme pour mieux sinstaller. Par ce fait, la mini jupe de la demoiselle ne cachait plus grand-chose de ses jambes. Je nai pas pu résisté dy glisser un il. Dy apprécier le volume, ainsi que la plastique d'une cuisse largement dénudée. Quelle mapparaissait bien laiteuse.
- Allez Alain ne déconne pas ! Laisse-moi sortir !
D'un geste des plus naturel, elle a décroisé les jambes comme pour changer de position. Le mouvement a eu pour effet de me permettre, dans un instant furtif, de distinguer la blancheur de sa culotte.
Une, et une seule idée me vint alors à lesprit. Celle daller toucher. Daller aussi humer lodeur qui sen dégager. Que jimaginais très piquante comme seule peu donner une fille de cette âge. Mais très vite je me repris. Un peu honteux de mavoir laisser aller à des pensées incompatibles à ma morale. Mais des pensées qui, en outre, avait commencé à déclencher un début dérection. Que je me suis empressé à cacher.
Malgré ma bonne volonté, il métait très difficile de ne pas braqué de nouveau mon regard sur ses cuisses dénudées.
Jai tout de même prié bien fort le bon Dieu pour quelle est la délicatesse de les écarter un peu. Assez pour que je jouisse de nouveau du plaisir dapercevoir sa culotte.
- Mais si je te dis que ma mère est daccord !
- Oui je veux bien de croire ma petite Charlotte, mais elle ne men a pas fait part ce matin quand je lai vu avec tes grands-parents.
Elle a croisé mon regard. Un peu honteux, je nai pas pu faire mieux que de détourner le mien. Elle sest saisie de la tasse et elle en a bu une gorgée. Dans le mouvement, elle a replié ses jambes en arrière en prenant bien soin de laisser ses genoux desserrés. Là, jai pu mater l'intérieur des cuisses. La coquine a agrémenté la situation en donnant à ses genoux et à ses cuisses un mouvement répétitif d'ouverture et de fermeture. La chipie me soumettait au jeu de la séduction.
Insensiblement, elle a plus quil le fallait, élargit l'ouverture de ses jambes. Jai eu le plaisir à nouveau de distinguer la bande supérieure des bas et la peau laiteuse du haut des cuisses. Elle a incliné son buste en arrière pour mieux s'adosser à sa chaise. Cette position a fait saillir sa poitrine appétissante que le fin tissu de son tee-shirt, moulée à la perfection sous son blouson en cuir, grand ouvert.
Dans linstant daprès, elle a de nouveau allongé ses jambes devant elle, en les écartant. Une vraie gymnaste ! Mine de rien, sa mini est remontée de quelques centimètres sur le haut sur ses cuisses, quelle a écarté en grand sans pudeur. Jai alors aperçu distinctement sa touffe frisée due à la transparence de son sous-vêtement. Une sale pensée mest alors venue à lesprit.
- Ça te plaît ? Me fit-elle en captant mon regard.
- Pardon
- Je te demander si cest à ton goût ?
- Bon ma chère Charlotte, tu es bien gentil mais tu as fini ton café, jaimerai que tu partes, jai du boulot si tu veux bien me laisser seule !
- Bien ! Comme tu veux.
Cinq minutes plus tard la porte souvrit de nouveau.
- Charlotte, je tai dit que javais du boulot.
- Ce nest pas Charlotte, cest moi !
- Au pardon madame ! Je croyais que cétait encore votre petite fille.
- Quest-ce quelle vous voulez, Charlotte ? Je viens de la croiser sur le chemin, boudeuse
- Que je lui ouvre la grille.
- Quelle drôle didée ! Elle vous a dit ce quelle comptait faire une fois dehors.
- Ça madame, je ne peux vous le dire. Une envie de se rendre en ville, ma-t-elle avouer.
- Trois kilomètres à pieds pour une gamine qui naime pas marcher cest impensable.
- Je ne saurais vous répondre, madame.
- Moi jai ma petite idée mon cher Alain. Elle aurait le béguin de vous que cela ne métonnerez pas.
- Madame ! Je vous en prie !
- Il ny a pas de mal. Cest de son âge. Naturellement, cela ne reste que mon avis. Fit-elle. Il y a chez elle pas mal de moi, nest-ce pas Alain ? Vous nêtes pas daccord ?
- Je ne saurais vous dire, madame.
- Je ne vous dérange pas, au moins Alain ?
- Non, madame.
- Vous étiez en train de déjeuner ?
- Non ! Non ! Madame, javais terminé.
- Cest sûr Alain ?
- Oui, madame. Enfin je finirais plus tard.
- Mais non, allez-ci. Ne vous gênez pas pour moi. Tiens ! Dailleurs cela me donne une idée. Fit-elle en verrouillant la porte dentrée.
Puis elle a dégrafé sa jupe.
- Jespère que la coquine de reviendra pas nous ennuyer. Vous nêtes pas de mon avis Alain ?
- Je suis tout à fait daccord avec madame.
Dessous elle portait une culotte en soie. Jai cru un moment quelle allait la faire glisser le long de ses jambes, mais elle sest contentée de ce saisir du pot de confiture dabricot, et à laide de la cuillère, elle a tartiné sa culotte.
- Oh Alain ! Que je peux être maladroite. Alain je vous en prie venez à mon aide, sil vous plaît
Mon sexe tressautait au fond de mon slip.
Pour lui prouver que sa décision était loin de moffusqué, je plaquais ma bouche sur la fente. Ma langue vibrait maintenant uniquement sur le clitoris à travers la soie souillée, provoquant des sensations tout à fait affolantes à sa propriétaire. Elle regardait ce que je lui faisait. Les joues écarlates. Les lèvres entrouvertes, luisantes de salive. Montrant une dentition dun blanc écarlate. Jai continué à moccuper de son bourgeon devenu dur comme du granite.
Puis elle sest dégagée, pour se débarrasser de son manteau, ainsi que de son chandail. Quelle a soigneusement plié, avant de le posé sur une chaise, les yeux emplis dune jubilation malsaine. Dessous elle portait un soutien-gorge en soie. Dun geste elle la dégrafé. Et ses seins mont apparu. Elle a replongé ses doigts dans le pot de confiture puis sen est badigeonné ses mamelles. La confiture dégoulinait sur sa poitrine. Quelle sest mise à malaxant tout en me fixant. Cétaient deux lunes aux aréoles assez large et sombres, aux tétons dressés. Comme lavait été plus tôt la culotte, ils furent à leurs tours recouverts dune couche de confiture.
- Vous voulez bien me les lécher, sil vous plaît Alain ?
- Vos souhaits sont des ordres madame
- Allez, venez vite, je ne tiens plus
Fit-elle, les pupilles dilatés.
Elle ma agrippé la tête de ses deux mains, et me plaqua le visage entre ses seins. Que je me suis mis à lécher à grands coups de langue, avant de moccuper du sommets grumeleuses de ses mamelles. Tout en gémissant daise, la comtesse se frottait à moi. Collant sa cuisse contre ma verge raidie. Elle a attendu quà mon tour je me frotte à elle pour me repousser brutalement. Tout en ricanant, elle sest saisie de son soutien-gorge.
- Aider-moi à magrafer ! voulez-vous
Jai obéi sans comprendre ce qui marrivait. Elle sest passée le chandail. Puis elle sest retournée, ma regardé en remettant de lordre dans ses cheveux. Elle avait lair réjouit. Après avoir ramassé son manteau elle ma dit sur un ton amer :
- Il faut que jaccompagne mon époux. Jespère bien avoir un moment de libre cet après-midi pour finir ce que nous avions commencé. Cela ne vous dérange pas au moins ?
- Aucunement madame. Je suis tout à votre disposition madame, comme vous le savez
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