A Malin, Malin Et Demi 2
- Oh! Mon ami, murmure Ludivine, quelle belle verge. Elle palpite dans ma main comme un oiseau. Dieu, elle grossit et s'allonge. Ta femme est une sotte ou tu ne sais pas utiliser ton pipeau de manière à la contenter. Je serais coupable de ne pas te fournir les consignes nécessaires pour améliorer tes performances sexuelles. Avec un engin d'une raideur pareille tu devrais la de plaisir chaque fois que tu la pénètree. Voyons ça de plus près.
Je ne peux pas protester à haute voix, sinon les deux salauds qui copulent dans mon lit apprendront qu'ils ne sont plus seuls dans la maison. Et puis pourquoi refuser à Ludivine de jouer du pipeau ou de la clarinette quand ma propre femme en fait autant avec la flûte baveuse de Ben son mari. June prend honteusement son plaisir et je devrais éviter de recevoir celui que tente de me dispenser cette superbe quadragénaire, victime comme moi de leur adultère? Le contexte autorise les caresses des mains manucurées de Ludivine sur ma verge en érection.
J'ai toujours considéré la femme de Ben comme un parangon de vertu. Belle, soignée, c'était à mes yeux le modèle de la femme à imiter, à l'égale de ma June. Elles étaient jusqu'à peu des exemples d'épouses fidèles. Leur beauté leur valait compliments et tentations d'hommes en quête d'aventures. Ceux là perdaient leur temps. June venait de céder aux sollicitations de notre meilleur ami. C'était navrant, désolant, inattendu mais contredit par le concert de plaisir que ces deux amants nous offraient en direct. Et voilà que Ludivine, dans le tourbillon de déception et de colère tombait à son niveau. Avec cette différence que la conduite de Ludivine est une riposte légitime.
Il est tout à fait normal que la femme trompée cherche à se venger de la rivale malhonnête en train de lui voler le sperme et l'affection de son mari. Cocu moi-même, je juge recevable que Ludivine se venge et me venge en même temps. Alors le mouvement de ses doigts sur mon sexe gonflé devient ne bonne action.
A ce premier talent ma séductrice ajoute des coups légers de langue.C'est la pointe qui pose sa salive sur le frein de mon membre. Déjà j'en deviens dingue. C'est si fort. Par bonheur cette langue descend le long de ma tige et va chatouiller mes bourses et secouer mes testicules. Les lèvres apportent leur concours et mes couilles sont prises au chaud dans la bouche grande ouverte pour ce bal des roupettes enfournées. Que c'est bon. J'ai perdu des années de joie en ignorant Ludivine et ses dons naturels de suceuse.
Nous sommes toujours au milieu de l'escalier qui mène aux chambres. La position n'est pas la plus confortable pour moi qui suis debout, braguette grande ouverte, queue tenue par les mains de la femme agenouillée sur les marches d'escalier. En haut, dans la chambre où les amants se sont installés sans juger utile de pousser la porte, après une pause réparatrice June réclame une reprise des ébats amoureux :
- Ah! Non, ne me dis pas que tu veux t'arrêter. Je ne trompe pas mon homme avec toi et pour la première fois pour si peu. Tu m'as promis un feu d'artifice, j'attends avec curiosité le bouquet final. Allez présente arme. Viens là que je te broute la biroute.
- N'as-tu pas peur de nous faire surprendre par ton aimable cocu ? C'est mon ami et je ne veux pas lui faire découvrir son cocuage et le peiner. On peut s"aimer sans lui crever le coeur inutilement? Quelle heure est-il ?
- Mais tu t'ennuies avec moi. Tu as trouvé le temps long? Regarde le réveil sur la table de nuit.
-Oh! Pardon, tu as raison. Seize heures vingt, j'aurais cru... Mon Dieu il nous reste une bonne demi heure pour célébrer notre amour. Suce moi un peu et je remets ça dans une minute
Un instant Ludivine a tendu l'oreille tout en me conservant entre langue vibrante et palais.
Je résiste à la pression, je serre les dents et j'écoute les gémissements de plus en plus intenses de ma femme violemment possédée par ce traître qui a pitié de moi . Il la maltraite, il la bouscule, il l'encourage à décoller:
- Vas-y, lâche-toi, pousse, bouge. Tiens prends ça et ça encore. Alors que dis-tu de cette belle bleue. Oui, jouis mon amour. Tiens, je crache tout au fond. Tu sens? C'est bon?
- Et comment, mon amour. Tu es formidable. Tu es le meilleur. Mais on a encore un quart d'heure. Laisse-moi te grimper dessus. Je veux te pomper jusqu'à la dernière goutte. Ne dis pas non ou je ne te recevrai plus. Là ! Je te la secoue, Avec la bouche tu rebanderas vite. Hum, c'est vrai. Ca vient, le petit bonhomme redresse la tête. Je me la mets. Oh! C'est tout facile maintenant, je glisse autour, tu t'enfonces, je glisse vers le bas, j'y suis. Au trot, au trot...au galop... au galop
J'entends des bruit de coups. Ben claque les rondeurs des fesses ou le ventre endiablé cogne l celui du succube ?
Je perds les pédales, Ludivine me fait mourir de plaisir. Je ne peux pas m'empêcher de supplier l'avaleuse, de réclamer plus de douceur. Mon cri rauque m'échappe et me pétrifie. Ils ont dû m'entendre. J'entends des pas, je lève les yeux. Sur le palier se montrent les deux, Il y a June en jeans et Ben en tenue de ville.
Ma femme est secouée par un interminable rire. Ben hoquette. Ils sont fous, quand on se fait prendre en flagrant délire d'adultère on doit avoir la décence d'être confus, honteux,inquiet parce qu'on redoute les conséquences de la faute. Et ces deux imbéciles ne contiennent pas leur fou-rire, nous montrent du doigt. Il est vrai que notre attitude n'est guère digne. Enfin c'est de leur faute.
Ludivine a écarté ses mâchoires de gloutonne. Elle est la première à réagir aux extravagances des deux crétins en transe :
- Mais, vous êtes habillés. Si vite. Ce n'est pas possible? Comment avez-vous fait ?
- Pas comme vous, réplique June. Vous aussi vous êtes vêtus des pieds à la tête. Que fais -tu à genoux, la bite de mon mari encore en main et du foutre dégoulinant sur le menton? Oh: Pas besoin d'essuyer, on voit bien. De plus ton visage congestionné trahit l'activité que tu viens de cesser. Ce n'était pas convenu dans nos plans. Tu as profité de la confusion de mon pauvre mari pour te payer en nature.
- Pourquoi pas, ça fait trop longtemps que j'attendais la bonne occasion. Merci pour vos plans à la con. Le jus de Jean est fameux. Je recommencerai avec joie une fellation aussi délicieuse. Et vous, vous êtes-vous bien amusés?
Qu'est-ce que cette histoires de fous. De quels plans parlent-ils. Nous sommes quatre, trois semblent être au courant. Moi je suis perdu quoique pas si malheureux de ce qui m'est arrivé de si fameux. June et Ben ne sont pas nus. Comment ont-ils pu faire l'amour dans leur tenue. Je crie :
Pourriez-vous m'expliquer ?
Ma question relance la crise d'hilarité. Cette fois Ludivine imite les deux autres. Ils sont trois à me montrer du doigt et à se payer ma tête. June reprend ses esprits, m'invite à monter.
- Mon chéri, viens que je t'explique. Il y a un certain temps tu m'as vanté la beauté de Ludivine.
- J'en suis heureux. L'explication est incomplète ou je me trompe. Ce truc de ouf est une farce? Tu trouves ça drôle? Peux-tu m'en dire plus ? C'est quoi la farce ?
- Nous voulions savoir si tu étais jaloux pour exploiter cette faille. Ben et moi avons joué aux amoureux contrariés. Tu as mordu à l'hameçon simplissime du rendez-vous par smartphone. La nuit suivante je suis allée aux toilettes et le hasard a voulu que je te voie en train de trafiquer les pendules. Ludivine nous a prévenus de ton projet de nous prendre en flagrant délit. Avec elle tu es arrivé sans bruit. Mais pas invisible. Je guettais. Quand tu es entré Ben et moi avons simulé des cris d'amour fou. Nous devions rire de ta déconvenue lorsque tu nous découvrirais dans notre rôle de comédiens vêtus. Quelque chose a foiré. Je crois que Ludivine a mélangé rêve et réalité
- Hé! bien , oui ma chérie. L'occasion était trop belle. Tu ne peux pas savoir combien j'ai profité de la fureur de ton mari. J'ai passé un moment unique à sucer ton Jean. Je n'ai qu'un regret, c'est de n'avoir pas pu baiser avec lui. Il a une queue magnifique. On pourrait peut-être satisfaire nos fantasmes tout de suite, ici ? Au lieu de simuler, toi et Ben devriez vous envoyer en l'air et Jean et moi finirions ce que nous venons d'ébaucher. Qu'en dites-vous?
La farce tourne en folie! Or Ben et June ont l'air d'accord et même très contents. Je suis dépassé, je m'avoue petit joueur. Je ne suis cependant pas au bout de ma stupéfaction. Ludivine prend tout le monde à contre-pied :
- Ma chère June, mon écart se justifie. Depuis que toi et Ben entretenez une liaison, j'attendais le moment de faire table rase. Non, ne niez pas, j'ai des preuves rassemblées par un détective privé de vos rencontres du vendredi à l'hôtel de la cloche. Les bruits enregistrés. dans la chambre 7 et les photos de vos embrassades convaincront un juge. Cessez de nous faire passer pour des imbéciles. Ben je divorce. Jean je t'invite à en faire autant. June, je suis désolée de t'abandonner mon époux infidèle et de souhaiter avoir gagné le tien. Enfin, Jean tu as constaté que je ne suis pas inaccessible. Je t'attendrai. Si tu veux de moi, n'hésite plus à me le dire.
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