Collection Folle Du Cul. Jeanne La Pucelle (1/1)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Je mappelle Jeanne, je suis née en 1412 à Domrémy dans un duché qui serait actuellement dans les Vosges où je suis gardienne de moutons.
On me prête une histoire rocambolesque de jeune femme appelée à sauver la France après un appel de Saint-Michel.
Le lieu de ma naissance et ma mort sur le bûcher condamnée par labbé Cauchon et non cochon comme certains aiment à le penser sont les deux seules vérités de ma vie.
Michel je connais mais pas le saint.
Michel cest mon cousin qui passait près du champ où paissait mes moutons, il me coucha dans lherbe fraîche et me mis son sexe dans ma chatte.
Il ma enlevé mon pucelage ce qui ma fait prendre peur.
Mes parents ont eu vent de ce quavait fait mon cousin.
Ils minterrogèrent.
Pour protéger mon amant qui me baisait tous les jours me faisant jouir autant que maman avec son amant lorsque papa était au champ.
Dire que Saint Michel avait fait appel à moi pour libérer la France des Anglais a été mon salut pendant un temps.
Hélas mon cousin, cest vanté davoir fait de moi une catin et nous avons dû fuir droit devant nous.
Une catin, je le suis devenue pour commencer dans une auberge où le patron me livrait à tous les clients qui souhaitaient prendre mon cul.
La pucelle vous parlez dune pucelle en peu de temps javais vu autant de bites que de soldats de larmée française de Charles VII.
Parmi eux il y a eu Michel mon cousin et amant qui a été enrôlé par un sergent recruteur et qui est mort dès le premier jour percé par une lance Anglaise.
Ce con, il la pris dans lil, alors il a bien fallu que je me débrouille.
La prise dOrléans, jétais en première ligne dans ce que vous appelez maintenant un B.M.C bordel militaire de campagne pour soldat où je les suçais avant quils montent se faire trouer la peau.
Dans la grange où jofficiais, un soldat anglais est entré par larrière mobligeant à sortir par lavant laissant en plan le soldat qui venait de décharger en moi.
Quand je suis sortie, la chatte à lair, un autre anglais gravement blessé mest tombé dans les bras et est mort.
Jai retenu son épée lautre soldat étant littéralement venu sempaler dessus.
Lhistoire a retenu mon fait darmes, javais tué au nom du roi deux adversaires anglais.
L'histoire racontée par un ménestrel chanoine Davranches sur un texte dAlbert Lambert père a permis à ma légende de prendre corps.
Cest le soir de ce fait darmes que je lai rencontré.
Je lui ai raconté mon parcours et la chance que jeusse eu de ces Anglais.
Mon histoire de dépucelage par mon cousin et notre fuite jusquà sa mort nétait pas vendable.
Maintenant nous appellerions ça une fake news.
Il a fait de moi une vierge appelée par Saint Michel à soutenir son roi.
Pour le soutenir, je lai soutenu, ses hommes montaient se faire trouer la peau en chantant les couilles bien vides.
Il faut dire que je le suçais de bouche de maître avant quil menfile sa bite dans la chatte et avant de menculer profondément.
Davranches chanta ma gloire à travers tout le pays et ça a dû revenir aux oreilles de Charles VII.
- Laissez passer les envoyés du roi.
Laissez passer les envoyés du roi.
Connaissez-vous Jeanne la pucelle ?
La pucelle dOrléans, là encore cest une trouvaille de Lambert dans son texte, Davranches a acheté tout de suite.
- Ça cest bon disait-il !
Pucelle, comme je lai dit, jétais une catin, présentement quand ces gardes de Charles VII se sont présentés jétais dans lincapacité de les entendre.
- La Jeanne, elle est sous ce tas de mecs là-bas dans le foin.
Si je vois bien elle sen prend deux dans la chatte et une dans le fion.
Quelle salope cette Jeanne.
En plus elle en a un dans la bouche et masturbe le dernier.
- Soudard, écartez-vous, le roi veut voir cette dame dont les ménestrels chantent les louanges.
Partir de son petit village de Domrémy pour venir deux soldats anglais, ce fait darmes mérite récompense.
À la vitesse où mes trous se sont trouvés libérés, jai bien senti quun fait insolite se produisait.
Cétait la première fois que mes trous et ma bouche ajoutée celui que je masturbais ne se sont pas retrouvés remplis du sperme qui était mon principal aliment depuis que Michel, paix à son âme, mait dépucelé.
- Vous êtes Jeanne la pucelle ?
- Après ce que vous venez de voir capitaine, je nirais pas jusque-là.
Mais si ça vous plait de croire que je le suis oui, je suis Jeanne la pucelle.
- Messieurs, mettez-lui larmure qui la protégera des flèches anglaises et mettez là sur ce cheval blanc que le roi offre à celle qui a déjà tué deux Anglais en même temps.
Voilà comment dans les livres dhistoire de votre époque, on me dessine sur un cheval blanc une lance à la main.
Ce sont les tapisseries de lépoque me représentant en chef de guerre qui ont concrétisé ma légende.
En réalité à part ma cotte de mailles rien nest vrai, jai chevauché entourer des gardes sans aucune lance ou étendard.
Tout le long du chemin mamenant aux portes dOrléans, jentendais les quolibets des hommes de troupe marchant que nous croisions.
- Dit Jeanne, te voilà bien harnachée, ta chatte ne séchauffe-t-elle pas trop sur la selle de ton canasson ?
- Jeanne on te préfère les jambes écartées aux bouts de nos queues plutôt que te donnant du plaisir sur ton cheval blanc.
Bref des jaloux que javais certainement déjà rencontrés mais dont jétais incapable de dire quand et où.
Il est vrai que les tressautements de mon cheval méchauffaient et que les quatre gardes plus le capitaine, jen aurais bien fait mon quatre-heures.
Cest la nuit à la belle étoile nous étant arrêté près dun ruisseau quils mont libéré de mon carcan de ferraille.
Jétais nue au-dessous et je me suis baignée dans londe clair.
Cest le capitaine le premier qui sest mis aussi dans le plus simple appareil vite rejoint par ses quatre soudards.
À ce que lon a vu plus tôt quand ils sont venus me chercher cinq verges ça ne me faisait pas peur et ils mont fait vivre lune de mes meilleurs nuit de ma courte vie.
Courte, je ne le savais pas encore.
Au matin ils mont remis mon armure et nous sommes arrivées aux portes dOrléans assiégé par les troupes françaises.
Je croyais rencontrer Charles VII, mais cest Jean le Bâtard qui maccueille.
Là encore plusieurs fakes news.
Il est dit que jai viré les putains pour les remplacer par des ecclésiastiques.
Cest faux, la première nuit, cest dans le lit du Bâtard que jai dormi.
Dormi, me connaissant, cest vite dit.
Il ma baisé jusquà ne plus pouvoir bander renseigné par son capitaine lui expliquant où il mavait trouvé et comment la nuit dernière ils mavaient fait jouir.
Je pensais moi aussi dormir lorsquun des gardes se trouvant dans la chambre pour protéger le Bâtard ma demandé de venir le sucer.
Ils étaient six autour du lit.
Ils sont six que jai soulagé pendant que le bâtard ronflait.
Là encore, ils mont baisé me remplissant de sperme bien chaud.
Au matin Jean émergeant bandait et cest dans le foutre de ses hommes quà son tour il sest vidé une dernière fois les couilles.
Les putains donc, je lai réunie, javais tellement fait de B.M.C que jen connaissais la plupart.
Cest la chatte à lair que nous sommes arrivées devant messieurs les Anglais.
Un jour un homme a dit.
« Messieurs les Anglais tirez les premiers. »
J'ai simplement dit.
« Faites voir à ces pourris de rosbif que nos chattes nont pas peur de leurs petites bites. »
Javais dû taper juste concernant la taille de leur bite car cest ainsi que jai pris Orléans devenant devant lhistoire la pucelle dOrléans.
Grâce à cette victoire, je suis partie vers Reims afin de persuader le roi de prendre la couronne de France.
Jétais devenue une icône, à mon plus grand regret, les coups de bite se faisant plus rares.
Jusquà son sacre à Reims où jai eu le droit à la verge royale en catimini car la reine Marie dAnjou était très jalouse et veillait sur son mari.
On me connaît, jai su déjouer ses plans, mieux même jai réussi à lemmener aux portes de Paris ce qui hélas ma été fatale.
Hélas à Compiègne étant lâché par les troupes royales, je fus faite prisonnière par les Bourguignons alliés des Anglais et qui tenait Paris.
Ils mont vendu à leur allié.
Nous voici arrivés à lévêque Cauchon et non Cochon et pourtant.
Cest lui qui est chargé de conduire mon procès dont je connais déjà lissue dès que je le rencontre.
- Si tu veux la vie sauve, viens me sucer, il paraît que tu es une gourmande malgré ton surnom de « la pucelle. »
- Plutôt crever que de vous sucer la bite, jai eu quelques amants dans ma jeune vie.
Jai tué des Bourguignons et de nombreux anglais étant même plusieurs fois blessées.
Mais vous sucer monsieur, cest au-dessus de mes forces.
Dans l'histoire future un homme va vous dire ce mot qui restera célèbre.
« Merde. »
Voilà un point dhistoire rétabli, beaucoup disent que cest un chef de guerre à Waterloo qui la dit, non cest moi qui ai dit merde aux Anglais.
Le résultat, on le connaît, jai fait un magnifique rôti sur mon bûcher à Rouen lieu de caserne de ceux qui toute au long de lhistoire du monde, nous auront fait chier.
Voilà la vraie histoire de Jeanne de Domrémy même si certains esprits chagrins contesteront ma version.
Quils sachent que cest ma chatte en cramant qui emporte la vérité cachée au monde entier.
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