L'Éducation De Judith
Léducation de Judith
Je mappelle Judith. Jai 38 ans, mariée, mère de deux garçons, mon mari est boulanger. Une vie sans histoire jusquà ce que
Jai connu Christophe mon mari à 18 ans. Il en avait 21. Cétait pendant les vacances, au bal des pompiers. Jusquà lors, je navais connu que deux garçons. Le premier avait été un flirt de vacances, rencontré deux années plus tôt en Vendée où nous passions nos vacances. Il mavait fait découvrir ce quembrasser sur la bouche signifiait, je trouvais ça agréable, et le dernier soir il avait dégrafé mon haut de maillot de bain et caressé mes seins. Le lendemain, nos vacances finies, nous reprenions la direction dOrléans. Jemportais le souvenir de ses mains sur mes seins, et le soir je me caressais en y repensant. Lété suivant, je rencontrais Loïc, de nouveau quelques jours avant la fin des vacances. Il était entreprenant et dès le deuxième soir, au cinéma, il avait glissé sa main sous ma culotte et mavait masturbée. Je me souviens du sentiment de honte qui mavait habité à ce moment-là. Le lendemain, il mavait entrainé chez lui, mavait déshabillée et sans préliminaire avait emporté ma virginité. Il paraissait content de lui, je ne garde pas à un souvenir impérissable de ce moment, la douleur ayant été plus importante que le plaisir.
Jai donc rencontré Christophe au bal des pompiers. Il était en vacances dans notre village, et je métais retrouvée à danser avec lui. Nous avions sympathisé, il mavait appris quil était boulanger et grâce à un petit héritage il allait pouvoir acheter une affaire dici quelques mois. Nous nous sommes revus, je suis devenue sa petite amie, et quelques mois plus tard nous nous sommes mariés et je suis devenue « la boulangère », celle qui tient la boutique et est au contact des clients. Deux garçons sont nés de notre union, et je me suis petit à petit installée dans une vie monotone : soccuper des s, de la boutique, de la maison, avec en plus un mari adorable mais se couchant vers 20 heures pour se relever à 3 heures.
Cétait un jour de printemps, une de ces premières belles journées où le soleil darde des rayons annonciateurs de lété. Javais mis une jupe en jean (jétais généralement en pantalon), et je ne sais pas pourquoi, je me sentais dhumeur joyeuse. Peu avant midi, Monsieur Guibaud, un client fidèle, vint chercher son pain. Cétait un bel homme, denviron soixante ans, un de ces hommes qui ont une classe naturelle et ont su lentretenir. Je savais, parce quil me lavait raconté, quil était seul, sa femme layant quittée. « Tiens, vous avez meilleure mine aujourdhui » me dit-il « cela fait plaisir à voir, vous sembliez dépérir ». Il paya son pain, me salua et quitta la boutique. Il venait tous les deux jours, et deux jours plus tard, donc, il me complimenta sur mon sourire. Ses remarques métaient agréables, et je me mis à guetter sa venue. Lorsque la boutique était vide, il sattardait, distillant des compliments à mon égard. Je me sentais flattée et vaguement troublée. Un jour, la boutique était vide, pensant à lui, je sentis des picotements au niveau de mon bas ventre. Je me dirigeai vers larrière-boutique, avisai un rouleau à pâtisserie, je retroussai ma jupe et frotta mon sexe contre le cylindre. Lorgasme fut bientôt là et je dus me mordre les lèvres pour ne pas crier. Cinq minutes plus tard, il était là et sétonna de mes joues rouges et de mes yeux brillants. Mon dieu, lisait-il dans mes pensées ? La semaine suivante, il me proposa de passer chez lui « à lheure que je voulais, le jour que je voulais, vous me direz quand », il avait un livre de recettes anciennes de pâtisserie quil souhaitait de montrer « votre mari pourra peut-être y découvrir de nouvelles recettes ». Sa proposition me troubla plus que de raison. Ce nétait pas convenable, mais je me sentais seule et délaissée.
Devant la penderie, jhésitais sur la tenue à mettre. Je voulais plaire, mais sans provoquer. Après tout, je me faisais peut-être des idées. Je choisis une jupe sarrêtant juste au-dessus des genoux, un pull léger rose pâle et des sous-vêtements de dentelle noire. A 14 heures, je sonnais chez Monsieur Guibaud. « Bonjour, merci dêtre venue, vous êtes la bienvenue. Vous êtes
ravissante. Mais tout dabord, appelez-moi Paul. Comme mes amis le font. ». Nous nous installons dans le salon, moi sur le canapé, lui dans un fauteuil en face. « Je vous sers un verre ? jai un excellent petit bordeaux blanc, frais et léger ». De peur de passer pour une mijaurée si je refuse, jaccepte, moi qui habituellement bois très peu dalcool. « Permettez-moi de vous appeler Judith, je ne me vois pas vous donner du madame. ». Paul est un homme charmant, il a de la conversation, du tact, de la culture, il est drôle. Il faut que je me méfie. « Ah oui, jen oubliais le prétexte de votre venue, le livre de pâtisseries anciennes. Je vais le chercher ». Deux minutes plus tard il revient avec un vieux livre quil me présente tout en sasseyant près de moi.
« 19 ».
« Comment ça 19, que voulez-vous dire monsieur Gui, euh..Paul ? »
« 19. Chanel. Votre parfum. Il vous va très bien. On le dirait fait pour vous ».
Je sens son bras passer derrière moi et se poser sur mon épaule, mattirant doucement vers lui. Je voudrais résister, mais je men sens incapable. Un peu de tendresse. Juste un moment. Ça nira pas plus loin. Son autre main att mon visage et le tourne vers le sien, nos lèvres se rapprochent, je ferme les yeux.
Peu après son départ, le facteur apporta un matin le courrier. Parmi les factures et autres catalogues publicitaires, il y avait une enveloppe brune. Intriguée, je louvris. Ce que je vis me figea. Une liasse de photos où on me voyait avec Paul Guibaud, chez lui, plus déshabillés quautre chose, en train de nous livrer à des joutes amoureuses. Un petit mot accompagnait les photos « Bientôt mon tour jespère. Bisous. » Je remis précipitamment les photos dans lenveloppe et lenveloppe dans mon sac. Qui pouvait être derrière tout ça ?
Deux jours plus tard, une nouvelle enveloppe brune. Pas de photo mais une phrase « à partir daujourdhui, plus de pantalon. Des jupes. Et courtes si possible ». Je mexécutai. De peur que mon maitre-chanteur nenvoie de lettres à mon mari. Qui cela pouvait-il être ? un client ? un voisin ?
La semaine suivante, nouvelle enveloppe brune. Une photo où on me voit en bas et porte-jarretelle en train de sucer Paul. « Tu vois, les bas te vont très bien. Exécution ».
Puis, un peu plus tard nouvelle missive brune « Dis adieu à tes culottes » Je mexécutais, un peu gênée mais je dois dire de plus en plus excitée. Il y avait juste en période de règles que je me garnissais normalement.
La boulangerie tournait bien. Yvon, lapprenti était un garçon sérieux et travailleur. Javais remarqué quil jetait de temps en temps des regards dans ma direction. Mon dieu, pouvait-il deviner ? Un jour, à son regard dilaté, je compris quil avait dû surprendre, sans doute fugitivement, mes cuises gainées de nylon, et peut-être davantage. Loin de mhorrifier, cette idée mexcita.
Ce fut un jeudi, juste avant la fermeture que tout bascula. Jallais fermer quand un jeune homme, un peu métis, qui venait régulièrement à la boulangerie arriva en courant. « Excusez-moi. Je suis en retard. Un pain et un éclair au café sil vous plait ». Je me tournais pour empaqueter léclair. Soudain, je sentis un frôlement dans mon dos. « Ne dis rien. Jai attendu que ton mari et lapprenti soient partis. On est bien là tous les deux. Depuis le temps. » Je sentis deux mains sinsinuer sous ma jupe. « Cest bien. Tu nas pas de culotte. Et je te trouve toute mouillée. Toute frémissante. Ne bouge pas. » Jentendis le rideau de la boulangerie se baisser. « Maintenant on est tranquille. Je mappelle Karim. Tu me plais. Je veux te baiser depuis pas mal de temps. Mieux que ton Paul. Tu vas aimer, je suis très doué à ce quil parait. « Bientôt, je me retrouvais nue dans le magasin. Karim, accroupi devant moi me léchait la chatte. Ses mains pinçaient doucement des mamelons. Il se releva, se déshabilla devant moi. Sa verge pulsait, décalottée. Elle me sembla énorme. Il était un peu plus grand que moi. Il me retourna, appuya mes coudes sur le comptoir et me pénétra en levrette. Je perdais pied. La sensation était plus forte quavec Paul.
Il me lima longtemps, me tenant parfois par les hanches, parfois par les seins. Je jouis deux fois de suite. Il continuait à me prendre « alors, cest mieux quavec ton mari ? «
« oui »
« et mieux quavec Guibaud ? «
« oh oui, oui, cest mieux »
« tu aimes ma queue ? dis le, je veux tentendre le dire
« oui, jaime ta queue »
« dis moi que tu veux baiser encore avec moi »
« ouiiiii je veux
que tu me baises encore
que tu reviennes
. Quon aille ailleurs, où tu veux »
«Bien, maintenant vide moi dans ta bouche et avale tout ».
Je suçais Karim, il éjacula longuement. Stoïque, javalai, alors quhabituellement je naime pas trop ça.
Jétais anéantie. Je réalisais ce qui venait de se passer. Je venais de faire lamour avec un client dans ma propre boulangerie, à lendroit même où je travaillais et servais les clients. Et surtout, javais aimé. Terriblement. Karim était jeune, mais il faisait divinement bien lamour. Je savais que javais mis le doigt dans une spirale infernale. Karim revint régulièrement. Il profitait quil ny avait pas dautre client pour mattirer à lui, retrousser ma jupe et me fouiller avec ses doigts, me laissant à chaque fois pantelante. Il me donnait rendez-vous dans des endroits divers pour me prendre et me combler. Un jour, il mentraina dans léglise et me retira ma jupe. Il me fit assoir sur un prie-Dieu, dans un coin protégé par un pilier et me prit en levrette. Jentendis la porte de léglise grincer. Il ne ralentit pas sa cadence mais au contraire accéléra ce qui provoqua notre orgasme à tous les deux. Jeus juste le temps de me rajuster avant quune grenouille de bénitier passe devant nous, me regardant bizarrement.
Ma relation avec Karim durait depuis plusieurs mois. Il était insatiable. Pour lui plaire, je me parfumais, je mettais du rouge à lèvre. Un soir, mon mari me dit quil me trouvait changée, différente et quil avait entendu certains bruits me concernant. Je le rassurai et le lendemain je mis fin à ma relation avec Karim. « Nous nous reverrons, ne tinquiète pas » me dit-il.
Javais repris une vie normale, monotone, mais javais sauvé mon couple. Quelques mois plus tard, Clotilde, une des infirmières de notre petite ville, passa à la boutique chercher son pain. Dans la conversation qui concernait nos vies un peu difficiles elle me glissa « nous avons deux autres points communs : Paul Guibaud et Karim ». Je sursautai. Comment, elle aussi ? je ne limaginais pas. Elle mapprit le lendemain ce qui lui était arrivé, sa liaison avec Paul, le chantage de Karim qui uvrait pour son patron lentrepreneur Rocier. Comme je lui faisais part de mon aversion pour ce dernier, un homme rustre et sans éducation, elle me dit quil y avait une attirance sexuelle intense entre-eux. Javais du mal à limaginer avec ce type qui me révulsait. Nous sommes devenues amies ce que mon mari voyait favorablement.
Quelques temps plus tard, nous avons été conviées à linauguration de la nouvelle maison des associations. Après avoir salué mes clients, jai retrouvé Clotilde et nous sommes restées au vin dhonneur qui suivit les discours. Alors que nous discutions, Jacques Rocier est venu nous rejoindre. A peine quelques phrases et il demandait à mon amie si elle avait mis une culotte. Je nen revenais pas. Rapidement, il nous proposa de le suivre chez lui. Jallais refuser sèchement quand Clotilde accepta pour nous deux. « Ne tinquiète pas, tu pourras rester en retrait. Mais tu verras cest une bête de sexe. Tu vois, jen ai envie, rien que dy penser je mouille ». Je les suivis sans réfléchir. Je métais assise à larrière, il me demanda décarter les cuisses, et jobéis, incapable de résister. Arrivés chez lui, Clotilde se planta devant lui et dun air de défi enleva son pull lui offrant sa poitrine et vint se frotter lascivement contre lui. Il souleva sa jupe, elle semblait aimer cela. Jétais hypnotisée par ce tableau. Je la vis sagenouiller, baisser son pantalon et le sucer. Elle y prenait plaisir. Cétait la première fois que je voyais un couple en action. Jétais à la fois sidérée et excitée. Rocier en profita pour mattr par le bras et me retira dun coup mon pull et mon soutien-gorge, semparant de mes seins, me procurant des sensations contradictoires. Clotilde se redressa. Je baissais les yeux. La verge était tendue vers le haut, elle était longue et massive. Je nen avais jamais vu de semblable. Je me demandai comment un engin de cette taille pouvait pénétrer un sexe féminin sans labîmer. Jeus la réponse instantanément, Rocier souleva Clotilde par les fesses et la laissa redescendre sur son sexe. Je vis le gland puis le sexe entier disparaitre dans le sexe fendu de mon amie. Elle donnait des coups de bassin pour accen le mouvement. Il entreprit de la pilonner. Les deux y prenaient un plaisir charnel animal. « La belle et la bête » version érotique. Le tableau était irréel. Cet homme rustre auquel mon amie se donnait sans retenue, jouissant par tous les pores de sa peau. Lorgasme la foudroya lui arrachant des cris rauques. Il la reposa, et se dirigea vers moi. Je nosai bouger. Je me sentis basculer sur le tapis. Il sallongea sur moi et me prit dun coup. Je mattendis à avoir mal, mais jétais tellement mouillée de désir que jéprouvai immédiatement du plaisir. Jamais je ne métais sentie aussi remplie. Je ne sais combien dura cette étreinte, mais je sentis lorgasme monter du fond de moi et me ravager tandis que je lui griffais le dos. Se redressant, il éjacula longuement sur mes seins. Un quart dheure après, il nous relâchait sur le parking, sans un mot. Je gardais lempreinte de son sexe au fond de moi.
Quelques temps plus tard, il avait convaincu mon mari de me laisser aller à une réunion soi-disant dembellissement de la ville où la présence de femmes était souhaitée. Dans le même temps, il mavait demandé de mhabiller très sexy et prévenu que Clotilde serait aussi de la partie. Javais mis une minijupe et un chemisier presque translucide, sans dessous autre que des bas. Clotilde avait revêtu une simple chemise peu boutonnée laissant voir son sexe nu et ses seins libres. Un appel au viol. Je rentrai la première dans le salon. Rocier était là avec ses cinq employés. Je reconnus des clients parmi eux, que je voyais chaque jour, et je vis leurs yeux sécarquiller de surprise. Clotilde fit son apparition derrière moi. La femme de Rocier arriva à son tour, sa nudité soulignée par un porte jarretelle et des bas. Six hommes, trois femmes. Rocier édicta la règle du jeu : il nous offrait à ses employés, et nous participerions chacune à son tour au dépucelage du jeune vietnamien, ce jeune homme timide qui baissait les yeux lorsque je lui rendais la monnaie de son pain. Nous nous retrouvâmes bientôt nus et je passais de bras en sexe. Le jeune Minh me prit en levrette. Pourrai-je le regarder à présent lorsquil viendrait à la boulangerie ? Son sexe était fin et je pris moins de plaisir quavec les autres. Ce soir-là, je découvris lamour avec un black, lamour avec deux hommes, la sodomie. Mais ce fut avec Rocier que jexultai le plus, y prenant un plaisir trouble. Rocier qui imposait ses désirs, son rythme dévastateur. La soirée touchait à sa fin. Clotilde demanda à Rocier de la baiser devant tout le monde. Ces deux-là transpiraient le désir et leur jouissance fut aussi sauvage que leur chevauchée, décuplée par les regards posés sur eux.
Je navais quune envie : continuer à vivre de pareils moments
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