Magali 1/6 Une Jeune Femme Ronde
Je me rends à un concert donné dans notre église, plutôt par devoir pour couvrir l'événement que par envie. Je connais les organisateurs et la chef de chur qui dirige les deux groupes de la soirée.
Je commence par prendre des photos du public venu nombreux à ce concert exceptionnel, puis je me place au premier rang pour pouvoir ensuite prendre en photo les groupes.
Le responsable de la soirée fait son petit discours de présentation et laisse la place au premier ensemble qui s'installe en ordre sur les gradins montés à l'occasion. C'est enfin la chef de chur qui fait son apparition sous les applaudissements
Magali, puisqu'il s'agit d'elle, a revêtu une robe bustier bleue du plus bel effet. Elle dégage ses épaules marque sa taille et s'évase jusqu'au dessus du genou dans une corolle qui met en valeur ses jambes. Au départ, je suis concentré sur mes photos, mais lorsque je la prends en gros plan, son regard plonge vers mon objectif et me trouble.
Elle se tourne vers son groupe et lance le premier chant. Elle est à deux mètres de moi et quand elle bat la mesure, je ne vois plus que ses épaules et ses bras qui mènent harmonieusement la musique. Le trouble qui m'a envahi lors de la dernière photo n'est pas retombé et je suis subjugué par elle. J'écoute à peine le morceau, uniquement rivé sur le dos de Magali.
Je la connais pourtant depuis longtemps et franchement, elle ne m'a jamais vraiment attirée. D'abord, elle est plus jeune que moi de vingt cinq ans. Plutôt ronde avec des formes opulentes. Un visage assez quelconque avec des grosses lunettes de myope. D'habitude, elle n'est pas particulièrement habillée à la façon d'une fille de son âge, mais plutôt à la mode des années soixante dix, ce qui ne la met pas particulièrement en valeur. Certes, elle est gentille et avenante. Mais ce nest pas du tout le genre de femme qui mattire. Pourquoi ce soir, me fait-elle cet effet ?
Cest vrai que sa tenue est superbe.
La première partie du concert s'achève et je suis toujours sur mon nuage. Pendant l'entracte, je parle de tout et de rien avec mes voisins mais n'attend qu'une chose : le retour de Magali et je ne suis pas déçu !
Pour accorder sa tenue avec le nouveau groupe, elle a revêtu un bustier lacé dans le dos et une jupe longue fendue sur les côtés, qui dévoile ses jambes à chaque pas quand elle s'avance vers nous. Bien sûr je la mitraille à nouveau. Je suis à nouveau scotché à ses épaules. Entre chaque morceau, elle se retourne face au public pour faire la présentation du suivant et ne manque pas à chaque fois, de plonger ses yeux dun bleu intense, dans les miens. Je pense que tout le monde se rend compte de mon trouble et elle en tout premier. Je vis un calvaire jusqu'à la fin de la représentation, ne voulant pas me trahir, mais je bande comme un fou et j'ai du mal à tenir en place sur mon banc inconfortable.
Bien sûr, après la fin du concert, les responsables, les amis, les invités, se retrouvent pour boire le verre de l'amitié. Magali n'a pas quitté sa tenue et vient me faire la bise en souriant. Quand on se touche, je ressens un frisson dans tout mon corps et j'ai la sensation qu'elle aussi ressent la même chose. Sans y prêter attention, en l'embrassant, je pose une main sur son épaule qui m'attire depuis le début de la soirée. Je sens la chaleur de son corps et respire son parfum envoûtant. Quand elle se recule, nos yeux ne se lâchent pas. Je la sens elle aussi brusquement fébrile.
Elle virevolte autour des personnes présentes, passant de l'une à l'autre. Après un concert, les artistes se relâchent souvent. La pression retombée, ils s'amusent et chantent entre-eux. Magali tourne souvent la tête vers moi, alors que je m'efforce de ne pas la regarder en permanence, sauf lorsque je me mêle aux chanteurs quelle guide.
Peu à peu, les gens s'en vont et il ne reste qu'un petit groupe de quatre ou cinq personnes. Les chanteurs sont tous partis et je n'arrive pas à faire de même, cherchant à prolonger au maximum ce moment. Magali s'approche alors de moi. Je pense que c'est pour me dire au revoir, mais elle me demande :
- « Pourrais-tu m'accompagner s'il te plaît ? Je dois me changer au vestiaire, mais il fait noir dehors et il n'y a pas de lumière »
J'entends sa voix dans un brouillard et mets quelques secondes à réagir. Les autres, en effet, sont occupés à ranger la salle de réception. Ils se chargeront ensuite de fermer et ont demandé à Magali de faire de même avec le vestiaire puisqu'elle doit en garder la clé.
Je pars donc avec elle . Le vestiaire est à deux cent mètres environ et j'éclaire le chemin avec mon téléphone portable. La pièce est vide. Il reste que ses affaires et quelques partitions oubliées.
« Tu peux m'aider à dégrafer mon bustier, me demande-t-elle en me tournant le dos ? »
Fébrilement, j'essaye de défaire le lacet sans trop toucher sa peau. Le vêtement est serré et la comprime bien. Après l'avoir dénoué, il faut bien que j'appuie mes mains sur elle pour écarter les pans. Quand j'y parviens, j'ai les mains moites et mon cur bat à cent à l'heure. Penché comme je suis, je respire son parfum à pleins poumons, ce qui ne manque pas d'accen mon trouble. Sans réfléchir je pose un baiser sur son épaule, lui provoquant un frisson. Je suis paniqué à l'idée qu'elle se rende compte de mon état. Son buste libéré, Magali gonfle ses poumons, soulagée d'être débarrassée de l'étau qui l'enserrait. Les mains sur sa poitrine, pour retenir le corset, elle se retourne et me remercie en me faisant la bise.
Le temps est suspendu. Ses yeux d'un bleu éclatant, me fixent intensément. Nos visages sont si proches que nos souffles se mélangent. C'est alors que tout bascule. Magali lâche son bustier qui tombe entre nous en dévoilant ses seins. Elle passe ses bras autour de mon cou et écrase ses lèvres sur les miennes.
Je ne sais combien de temps nous restons ainsi. Plus rien ne compte, que son corps contre mon corps, sa chaleur et l'intensité de notre étreinte. Nos langues virevoltent, s'affrontent, les salives s'échangent, les mains parcourent les corps. Très vite, Magali en veut plus et passe ses mains sous ma chemise, m'électrisant encore un peu plus. Cela ne lui suffit pas et elle me débarrasse alors de mon vêtement et colle sa poitrine contre la mienne. La pointe de ses seins est dure et « griffe » ma peau.
Je reviens sur terre malgré tout, m'écarte un peu d'elle et lui dis :
« Magali, non ! Il ne faut pas !
J'ai envie ! Tu m'as excitée toute la soirée depuis que tu m'as photographiée !
Tu te rends compte ? Tu es si jeune et...
Je m'en fous ! Viens ! »
Elle se recule, détache sa jupe la laissant tomber à ses pieds. Dessous, elle ne porte qu'un tanga très échancré et des bas auto-fixants. Elle dégage une vraie sensualité ! Cette fille est superbe et elle s'offre à moi. Je la prend dans mes bras, collant ma peau à la sienne, mes mains sur ses hanches et bientôt sur ses fesses bien charnues.
« Je sais. Je suis grosse ! Je ne suis pas belle ! Dit-elle en interrompant notre baiser.
Oh non, tu n'es pas grosse ! Tu es superbe ! Tu es...pulpeuse ! Un régal pour les yeux. Beaucoup de femmes voudraient être comme toi.
Tu n'es pas sérieux ? Je sais comme je suis.
Justement. Tu te dévalorises.
Pourtant, tu ne veux pas de moi.
Au contraire ! J'ai très envie de toi, mais ce n'est pas raisonnable voyons ! Tu es si jeune, je te connais ton enfance et je suis sûr que beaucoup d'hommes de ton âge seraient heureux d'être là à ma place.
Eh bien, ne crois pas çà ! Les hommes ne me regardent pas
pas comme toi ce soir.
Même parmi tes chanteurs ? Il doit bien y en avoir un ou deux qui te regardent et qui sont charmés comme moi.
Je n'ai jamais aimé les garçons de mon âge et ils ne s'intéressaient pas à moi. Je fais vieille.
Quand tu es dans ta tenue de scène, je peux te dire que tu es...
Je suis comment ?
Bandante ! Quand j'ai vu tes épaules, ton corps sculpté dans ton bustier, j'ai été bouleversé. C'est vrai que je t'ai découverte là. J'étais hypnotisé, je ne voyais plus que toi !
J'ai senti aussitôt ton regard sur moi. Je te dis pas comment j'étais ! J'ai dirigé dans une sorte de brouillard. D'habitude, je ne présente pas les chants, mais j'éprouvais le besoin de te voir chaque fois. Je ne sais pas si ça c'est senti, mais j'avais chaud partout ! Ma chatte ruisselait. Mes chanteurs m'ont dit ensuite qu'ils ne m'avaient jamais vue comme ça ! J'étais radieuse. Ils ont adoré. Ils ont cru que c'était parce que j'étais chez moi, mais moi je savais que c'était à cause de toi et puis il y avait ton regard chaque fois. J'avais l'impression que tu me déshabillais. Je n'avais jamais connu ça !
Si ça doit te faire le même effet chaque fois, je vais assister à tous tes concerts !
En attendant salaud, baise-moi ! J'ai trop attendu !
Tu es folle !
Oui ! Je te veux ! Même si c'est la seule fois, je veux te sentir en moi. Si tu ne veux pas c'est que tu ne me trouves pas assez bien pour toi.
Tu es folle ! Bien sûr que j'ai envie de toi ! Je bande depuis le début du concert.
Alors prouve le-moi ! Viens ! »
D'elle même, elle retire son tanga et se recule contre la table, offerte. Je n'ai qu'à baisser mon pantalon et mon boxer, faire un pas pour me retrouver entre ses jambes écartées pour m'enfoncer d'un coup dans sa chatte qui ruisselle. Elle m'étreint de ses bras et de ses jambes. Elle se donne à fond et je ne me retiens pas non plus.
Très vite, elle jette sa tête en arrière, lâche un profond soupir et je sens son sexe se resserrer sur le mien. Un bruit de clapot rythme notre coït. Je prend sa bouche, accélère à mon tour et je jouis. Je ressens un orgasme énorme. Comme un éclair dans ma tête qui descend jusque dans mes reins, à moins que ce ne soit l'inverse... Je me déverse en elle, tout en continuant mes coups de reins. Elle jouit une deuxième fois en criant :
« Oh oui !!! Engrosse-moi ! Remplis-moi de ta semence ! C'est trop bon ! Je t'aime ! Oui !! Bourre-moi! J'aime ta bite ! Que c'est bon !
Oui !!! Prends tout ! Tu es belle quand tu jouis ! Je te transperce, je te remplis ! J'aime ton corps ! »
Le retour sur terre est lent. On transpire tous les deux. Ma tête dans son cou, je respire son odeur de femme comblée en embrassant sa peau brûlante. Je ne me suis pas retiré et je sens à nouveau ma bite regonfler. Je reprend lentement le rythme de notre accouplement et Magali, en reculant sa tête lâche « Oh oui ! Encore ! C'est bon ! Tu vois que tu n'es pas si vieux !
Plus lentement, mais le calme ne dure pas, je vais et je viens entre ses reins, comme dit la chanson. Magali n'en peut plus, elle détache ses bras de mon cou et s'étale en arrière sur la table, au milieu des partitions dont elle a oublié la présence.
Elle m'offre ainsi la vue de son corps d'odalisque. De gros seins lourds et blancs, aux tétons proéminents, une taille resserrée avec un petit ventre rond et des hanches évasées. J'agrippe ses jambes pour les écarter, je prend ses genoux sur mes bras et la pénètre à fond. Ses yeux bleus écarquillés, elle se frotte les seins, agite son bassin à la rencontre du mien comme si elle voulait que je lécartèle encore plus. Elle a gardé ses bas et ses chaussures, composant un tableau magnifique. Cette fille est une bombe quand elle est nue !
Bien que j'ai déchargé il y a peu, je sens remonter en moi une nouvelle jouissance et au moment où une nouvelle fois, elle éclate, j'éjacule avec elle. Car, incroyable ! Un geyser sort de sa vulve et nous arrose le bas ventre. Magali est une femme fontaine !
Le calme revient peu à peu, mais j'ai envie de goûter à sa source, aussi, je m'agenouille et lape son vagin qui ruisselle lui apportant un dernier orgasme, moins violent et abondant que le précédent mais je m'empresse d'avaler la nouvelle coulée de cyprine dont elle m'abreuve.
Je me relève et elle redresse son buste pour venir m'embrasser, retrouvant sur mes lèvres le goût de sa jouissance.
« Tu sens la fille ! Dit-elle en riant
Et c'est délicieux !
Mon dieu ! J'en ai mis partout ! Pardon ! C'est la première fois que ça m'arrive !
Ne t'excuse pas, j'adore !
C'est vrai ? Tu n'es pas dégoûté ?
Tu es folle ! Tu m'as fait un magnifique cadeau !
Je suis confuse tout de même.
Ne le sois pas, c'est la preuve que j'ai bien uvré, mais tu es aussi très réceptive.
Mais tu te rends compte ? J'ai fais pipi !
Non ! Tu as jouis en giclant. Goûte, ça ne sent pas l'urine.
C'est fou ! Jamais je n'ai ressenti ça ! En plus, tu m'as engrossé !
Tu es folle !
Non. Je l'ai senti quand on a jouit. Comme si je voyais en moi tes spermatozoïdes entrer dans mon ovule. Je suis sûr que je suis enceinte !
Mais... Tu ne te protèges pas ?
Non. Je n'ai plus de copain depuis
très longtemps ! Les hommes ne sintéressent pas à moi. Les rares avec qui jai fais lamour, si on peut dire ça comme ça, mont aussitôt laissé tomber, ne voulant surtout pas safficher avec une grosse fille très ordinaire.
Mais tout de même, tu te rends compte ? Tu serais enceinte ! C'est ma faute aussi, j'aurais dû y penser, mais je n'avais rien prévu et je n'ai pas fais attention non plus. J'étais trop excité. Mais il ne faut pas...
Je le garde !
Mais...
Il n'y a pas de mais ! Ne crois pas que je t'oblige à quoi que ce soit. Je veux garder ce merveilleux souvenir, même si c'est la seule fois qu'on fait l'amour !
Peut-être, mais moi je saurai. Tu te rends compte ? A mon âge !
Je m'en fous de ton âge ! Je t'aime ! Je ne te demande pas de m'aimer et je te serai toujours reconnaissante de ce qu'on a vécu. C'est pour ça que je vais le garder.
D'abord, rien n'est moins sûr sur le fait que tu sois enceinte et puis...
Je sais que je le suis ! Je l'ai senti.
Je ne sais pas si ça se sent mais... tout de même !
Je te fais peur ? Mais ne t'inquiète pas. Je ne te demande rien et ne te reproche rien.
C'est que...
Quoi ?
Moi aussi je....
Que veux-tu dire ?
Je t'aime !
Oh ! C'est vrai ? Oh mon amour ! C'est magnifique !»
Magali me saute au cou et m'embrasse follement. Il y a presque une heure que nous sommes là, mais cette heure est l'une des plus importantes de ma vie. Il s'est passé tellement de choses. Tout a basculé sans prévenir.
« On ne peut pas rester ici, dis-je. Tu veux venir chez moi ?
C'est vrai ? Oh oui ! Je n'ai pas envie que ça s'arrête. Je te suis mon amour. Je veux tout te donner de moi. Fais moi encore jouir comme ça ! Mon corps est à toi ! Je veux tout connaître. ! »
On se rhabille tant bien que mal et après avoir fermé la salle, j'emmène Magali avec moi. Sa voiture reste sur le parking.
Arrivés à la maison, Ma compagne tient à prendre une douche, c'est vrai que nous avons transpiré et ajouté à sa jouissance qui a séché, ce n'est pas du luxe, même si j'adore cette sensation.
Elle découvre mon immense salle de bain avec la douche à l'italienne et les grands miroirs. Elle se pavane devant, ce qui ne fait rien pour calmer mes ardeurs.
« Je suis grosse hein ? Mais je vois que je te fais encore de l'effet, me dit-elle. Viens ! J'ai envie de te sucer devant la glace. C'est la première fois que je n'ai pas honte de mon corps. J'aime quand tu me regardes. Je vois dans tes yeux que je ne suis pas moche.
Je t'ai déjà dis que tu étais superbe et je te le dirais toujours, même quand tu seras grosse.
Tu vois que tu me trouves grosse !
Quand je dis grosse, c'est au sens biblique, puisque tu m'a dis être grosse de moi !
Mon amour ! Oui! Je veux être grosse pour toi et même si c'est déjà le cas, viens me remettre ta petite graine. Ma chatte réclame une autre visite, mais avant, donne moi ta belle queue à sucer ! Elle m'a rendue si heureuse qu'il faut que je la remercie !
Ne me vide pas tout de même, je ne vais pas pouvoir t'honorer, à mon âge, on n'est pas à répétition !
Salaud ! Tu bandes, dès que tu me vois, alors je n'ai pas peur et puis je saurai te regonfler mon chéri.»
Magali s'agenouille. Je me tourne pour qu'elle puisse se voir dans la glace dont j'enlève la buée qui la couvre.
« Je... C'est la première fois que je me vois faire ! J'adore ! En fait j'adore parce que c'est toi et ta queue est belle et toute lisse ! »
Magali est une experte et je prends un grand plaisir à la regarder. Sa bouche gourmande m'avale sans effort. Sa langue n'est pas en reste et d'une main, elle roule mes bourses comme une pro.
Je suis malgré tout obligé de l'interrompre car j'ai encore très envie de lui faire l'amour.
« Tu me laisseras avaler ton sperme ? Je n'ai jamais fait ! Je n'aimais pas ça. Je suçais les garçons pour les satisfaire et pour ne pas qu'ils m'engrossent. Je leur donnais aussi mon cul pour les mêmes raisons, mais je veux te boire toi et avaler ce bon sperme qui me rend femme et bientôt mère !
Oui ma chérie, mais j'ai envie de te faire l'amour et si tu me vides, je ne serai plus opérationnel.
Alors, viens t'occuper de ma chatte. J'ai adoré quand tu m'as « mangée » tout à l'heure... Ça non plus on me l'avais jamais fait. Les hommes me baisaient et repartaient aussitôt quils avaient fait leur affaire.
C'est pas vrai ? Tu es tombée sur des imbéciles ! Il ne savent pas le plaisir qu'ils manquent.
Ils ne pensaient qu'à me sauter vite fait et quand ils avaient eu ce qu'ils voulaient, ils me laissaient en plan, sans soccuper de savoir si javais jouit. Ce qui était rare. Je devais me finir toute seule à la main. Certains en ont été vexés. Tu aimes ça toi... me lécher ? Même si je... mouille beaucoup !
Au contraire ! Jadore ! Surtout si tu gicles beaucoup comme tout à l'heure ! J'ai la chance de te boire et ça prouve que j'ai bien travaillé.
Ah ça, pour travailler, tu es un expert mon chéri. Viens boire à la source de ta petite femme.
Tu vas t'asseoir sur ma poitrine et je vais me régaler ! »
Magali menjambe et je niche ma tête entre ses grosses cuisses. Au dessus de moi elle se dresse et paraît encore plus belle. Son ventre et ses gros seins attirent mes mains.
Dans cette position, elle coule encore plus et je me régale à la boire. Elle jouit plusieurs fois en marrosant chaque fois abondamment.
Cest elle qui demande grâce. Pendant que je la léchais, je me branlais. Aussi, alors quelle sétale en arrière, je la bascule et la retourne pour la mettre à genoux. Son immense mappemonde est encore plus somptueuse ainsi. Je me guide en elle et sans chercher autre chose que mon plaisir, je la baise énergiquement. Face au spectacle de son énorme cul, je ne peux me retenir de me dégager et de lui administrer des claques sur les fesses. Elle ne proteste pas, au contraire ! Ses gémissements sont de plaisir. Sa peau blanche se marque rapidement de rouge et je la reprends enfin jusquà jouir en elle.
On va faire l'amour sans arrêt toute la nuit et tout le samedi, jusqu'au dimanche à midi. Bien sûr on faisait des pauses pour dormir et pour manger. Heureusement, mon frigo et mon congélateur étaient bien garnis. On prenait des plateaux repas que je remontais dans la chambre. Le samedi soir, Magali est venue m'aider à la cuisine. Pendant que la cuisson se faisait, je l'ai prise sur le plan de travail. Elle a voulu absolument que je la sodomise penchée au dessus.
Elle a longtemps pratiqué la sodomie lors de ses relations sexuelles. Au début, c'était pour rester vierge, puis, pour ne pas être enceinte quand les « périodes » n'étaient pas propices lors de la menstruation. Elle m'a expliqué cela très naturellement. Elle voulait que je sache tout d'elle. Penchée en avant, ses hanches et son cul étaient un véritable appel à cette pratique.
Sa religion ayant longtemps condamné cela, je m'étonnais qu'elle en use. C'est sa mère qui lui avait conseillé quand elle lui avait expliqué vouloir rester vierge mais en donnant satisfaction aux garçons. Comme elle n'en intéressait que peu, sa mère lui avait dit à demi-mot « laisse-les passer par derrière »
Le dimanche, un peu après midi, son téléphone sonne. C'est sa sur qui l'appelle. Magali me fait signe de me taire et branche le haut parleur.
« Dis-donc, Où es tu toi ?
Ça ne te regarde pas.
On a vu ta voiture en allant à la messe. Elle n'a pas bougé depuis vendredi ? On s'inquiète !
Il n'y a pas de raison. Je suis assez grande pour savoir ce que j'ai à faire.
D'accord, mais tu aurais pu dire quelque chose. Maman se demandait s'il t'était arrivé quelque chose.
Oui, il m'est arrivé quelque chose, mais c'est plutôt une bonne chose.
Bon, bon. Tu comptes quand même passer à la maison avant de repartir ? Maman voudrait te voir.
D'accord.
On t'attend, fais vite.
Vous pouvez attendre un peu non ?
Pas vraiment. Je pars après déjeuner.
Bon... je serai là dans une heure.
Pas avant ?
Je vais voir. »
Elle raccroche n'y tenant plus, car pendant qu'elle discutait avec sa sur, je la caressais partout, je suçais ses seins, lui doigtais la chatte, bref, je cherchais à la déstabiliser.
« Tu es un salaud ! J'ai failli gémir et me trahir.
Tu ne penses pas qu'elle se doute pourquoi tu n'es pas rentrée ?
Je... Je ne sais pas. C'est la première fois que je ne donne pas de nouvelles pendant autant de temps. J'appelle ma mère tous les jours dans la semaine et ma sur deux ou trois fois. Tu crois qu'elles se doutent de quelque chose ?
Sûrement ! Ne les prends pas pour des idiotes.
Qu'est-ce qu'elles vont penser de moi ?
C'est ça qui t'inquiète ? Tu l'as dis toi-même, tu es assez grande pour te débrouiller. Tu gagnes ta vie et tu fais ce que tu veux.
Justement.... on se dit tout... enfin presque...
Voilà ! Cela fera partie du reste ! Si tu veux garder ton secret, tu as le droit.»
Nous passons à la douche, ce qui prend un certain temps, Magali se rhabille et s'en retourne chez sa mère après que je l'aie ramenée à sa voiture. Je range un peu la maison, puis je transfère les photos sur mon ordinateur. Je crée deux dossiers, l'un avec les photos « officielles » l'autre bien caché, avec celles que j'ai fais à sa grande honte, lorsqu'elle était nue à la maison. Sur les premières, je la retrouve dans sa tenue de scène et je constate déjà le trouble qui l'habitait quand elle fixait mon objectif. Celle de la deuxième série sont superbes. Magali dégage une sensualité extraordinaire et son corps dénudé est une merveille de courbes affolantes.
Je suis en train de les faire défiler en me branlant, lorsque le téléphone de la maison sonne. Au bout du fil, Sylvaine, la sur de Magali.
« Tu peux venir à la maison tout de suite ?
Euh... Pour quelle raison ?
Tu le sais très bien. On a besoin de parler.
Je ne sais pas si...
Ne discute pas, on t'attend.
Je n'ai pas très envie de me rendre à un tribunal...
Je... Ce n'est pas un tribunal.
Vu comment tu parles, je n'en suis pas sûr. Je viendrais si Magali me le demande.
Je te la passe.
Tu peux venir s'il te plaît ? » le son de sa voix est apaisé. Elle ne semble pas contrainte.
Si tu le veux toi, d'accord, mais j'ai passé l'âge de me faire sermonner.
Ne t'inquiète pas, viens mon chéri, je t'attends
J'arrive, le temps de m'habiller.
Ah parce que...
Oui... et je bandais et je me branlais en regardant tes photos.
Tu... tu es fou ! Je t'aime ! »
Je me doute que sa sur écoutait et je suis surpris qu'elle me parle aussi tranquillement. Rapidement, j'enfile des vêtements et un quart d'heure plus tard, j'arrive devant la maison de sa mère. C'est Magali qui sort pour m'accueillir et elle me saute au cou pour m'embrasser fougueusement.
On rentre tous les deux main dans la main. J'embrasse sa sur comme d'habitude et salue sa mère. C'est Sylvaine qui prend la parole.
« Bon, Mag nous a raconté ce qui s'est passé. Quand on a su que c'était toi, on a été un peu surprises.
Je dois dire que je le suis autant que vous.
Tout de même, je n'aurais jamais cru que
Toi
avec Mag...
Moi non plus. Puisqu'elle vous a tout dit, je suppose qu'elle a dit aussi que c'est elle qui m'a draguée... enfin, qui m'a... provoqué ?
Oui, mais ce n'est pas ça le problème.
C'est quoi alors ? Notre différence, d'âge ? De religion ? De mode de vie ? De situation ?
Non ! C'est le bébé !
Ah c'est ça ? Bon, elle m'a bien dit qu'elle avait « senti que... »
Elle est enceinte !
Vous êtes extraordinaire dans cette famille ! Vous croyez que ça se passe comme ça ?
Bien sûr ! Pour moi, c'était pareil, chaque fois que j'ai été enceinte Sylvaine, bien que plus jeune que sa sur est mariée et a trois s -, je l'ai senti au moment même de la conception, pour elle, c'est pareil.
Bon. On va se calmer et attendre peut-être le résultat d'un test.
Si je comprends bien, tu n'assume pas ?
La question n'est pas là. D'abord il faut savoir si elle est vraiment enceinte
Elle l'est !
Bon... d'accord... si tu le dis... ensuite si elle attend vraiment un , on n'est plus dans les années soixante dix où il fallait « assumer ». D'une part, il existe la pilule du lendemain...
Hors de question, chez nous ça ne se fait pas.
Bien. D'ailleurs Mag m'a déjà dit qu'elle voulait le garder.... si...
Elle est enceinte !
Quand à ce qui est d'assumer...si c'est le cas... je ne me sens pas du tout...
C'est ça ! Tu es un salaud ! Tu as planté ta graine et ce sont les autres qui s'en débrouillent !
Si je peux finir, je voudrais dire que je ne me sens pas du tout obligé par quoi que ce soit...
C'est bien ce que je disais
Et que je suis très heureux, mais inquiet d'être père à mon âge, mais que si c'est le cas, non seulement je le reconnaîtrai, mais en plus je veux épouser la maman, et si elle le veut , je l'épouse même sans ! »
Un silence pesant s'installe dans la pièce. Un coup de tonnerre ne ferait pas réagir les trois femmes. La tension était palpable avant ma sortie, mais là, le rapport de force a changé. Profitant de ma nouvelle supériorité, je me tourne vers Magali et lui demande :
« Veux-tu être ma femme ?
Oui mon amour ! » Je me tourne vers sa mère,
Madame, m'accordez-vous ma main de votre fille ?
. . . Je... Oui... Bien sûr mais... Si vite ?
Depuis vendredi soir, tout va très vite. Je l'aime, depuis vendredi soir on s'est aimés, enfin on a baisé...
Oh !
De toutes les façons possibles... enfin, il nous en reste encore à découvrir, heureusement. J'ai envie de passer la fin de mes jours avec la femme de ma vie. C'est un peu égoïste car elle fera une jeune veuve.
Ne... ne dis pas ça voyons ! » Dit sa mère. Elle même a perdu son mari à cinquante ans.
Ce serait assez logique, vu mon âge, mais en attendant, ou pas , j'espère pouvoir bander pour elle encore longtemps.
Oh ! Voyons !
Oui madame, parce que le cur, ça va aussi avec le cul et j'adore celui de votre fille avec tout ce qui va avec. Côté cur, il est pris à jamais. » En attendant, pour le mariage, ce ne sera pas à l'église, je suis divorcé, et chez vous c'est rédhibitoire. Pour le temple je n'y tiens pas non plus, alors ce sera une fête civile ou une simple cérémonie intime.
L'attitude des deux femmes change alors du tout au tout. Elles en sont déjà à parler du mariage, des invités, de la réception. Un regard avec Magali nous fait rire. Je n'ai pas très envie de poursuivre la conversation aussi je l'interroge :
« Tu rentres à Pau ce soir ?
Oui. Je travaille demain et le soir j'ai une répétition.
Tu as envie que je vienne avec toi ?
Mais... Oui. Bien sûr ! Tu ne travaille pas ?
Jamais le lundi ! Ma religion me l'interdit ! Je me marre de la tête des deux autres à ma remarque. J'avais en fait posé des RTT, mais je peux aussi me libérer quand je veux.
Il faut que je revienne mercredi soir. On part tous les deux ?
Si tu le veux, oui.
Bien sûr que je le veux !
Je passe chez moi prendre des affaires et je reviens te chercher dans une heure. Ça te va ?
Oui. Fais vite je t'attends déjà. »
J'embrasse Magali à bouche que veux-tu, sous les yeux de sa mère et de sa sur et je les quitte aussitôt. Nul doute que la conversation va se poursuivre sans moi.
De retour à la maison, je redescend sur terre. Je m'engage dans une aventure peu ordinaire. Les problèmes risquent de peser, mais je n'ai pas envie d'y penser. Je sais que Magali est la femme de ma vie, ou de cette période de ma vie. Je suis égoïste et ne pense qu'à moi, à cette femme qui me rend fou et heureux. Peu importe les obstacles, les on-dit... Je l'aime.
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