Un Bel Été 4
Un bel été 4
La première nuit avec David
Avec David, chez lui, dès notre arrivée, nous venons d'avoir notre premier grand moment d'amour. Il fallait bien que nos corps s'expriment.
En fin d'après midi, chez Roland, j'ai goûté au sexe, dans ma bouche et dans mon cul. Et quel début, moi qui ne connaissait rien du sexe masculin il y a quelques jours. La vie nous donne quelquefois de drôles de bonnes surprises. Si mes parents savaient ça, par contre, ils feraient une syncope.
Mes relations avec Roland et David, je les ai faites de mon plein gré. Je les ai désirées, appréciées. Je ne regrette absolument rien de ce que j'ai fais. J'ai la chance que ces deux hommes me désirent autant que je les désire. Comment ne pas remercier ce militaire qui m'a dépucelé, m'a mis la clé dans le contact. Ca, c'est une autre histoire ( pas encore écrite ).
Mon cul dilaté me chauffe un peu avec ces queues qui m'ont bien limé et graissé. La grosse de Roland et la longue de David. J'ai la chance de ne pas être tombé sur des hommes qui auraient pu m'exploser le cul, me faire mal, profiter uniquement de leur plaisir, ou des sadiques s'acharnant à me faire souffrir pour me dégoûter du sexe.
Après un petit repos bien mérité et une remise à niveau dans la salle de bains, retour à la vie courante chez David.
Il met un boxer qui lui va très bien, lui moule bien le paquet. Je remet mon slip.
" Tu es très beau, Laurent. Je ne me lasse pas de te voir. Ton sexe est très beau, bien proportionné avec ton corps. J'ai de la chance de t'avoir rencontré, grâce à Roland.
" Merci David. J'apprécie que tu sois attentionné et prévenant avec moi.
" Si tu étais efféminé, je ne t'aurais pas invité, tu sais.
" Tu m'as impressionné au départ avec ton allure de légionnaire, de mec dur. Heureusement que Roland
.
La discussion continue ainsi, pleine d'amabilité et de respect.
David se révèle un excellent cuisinier et prépare une cuisine simple mais très bonne, je dirais même extrêmement savoureuse et nous mangeons de bon cur. Tous ces ébats ont creusé nos estomacs. Mon merveilleux amant a un solide appétit et tient à ce que je mange correctement.
Ce n'est pas le moment de flancher avec toutes ces activités érotiques que nous faisons. Il ne faut pas manquer d'énergie.
Ce qui me fait plaisir c'est qu'il ne me traite pas comme un , son fils ou son neveu mais comme un ami auquel il tient. Je me sens bien chez lui, en confiance, aimé, accueilli, désiré. Il me fait ouvrir ses placards si besoin, signe d'ouverture sur son espace intime, sa confiance envers moi.
Il a acheté de bons produits, sans discuter sur le prix et m'explique les subtilités de la cuisson, voulant me faire découvrir une deuxième facette de ses capacités. Il me propose un deuxième dessert, mon péché mignon.
Le repas s'est déroulé sans précipitation, comme deux amis qui passent du bon temps. De temps en temps, je vois ses yeux caresser mon corps. J'admire moi aussi son corps magnifique. Ma main n'a pas hésité à frotter son dos et ses reins lorsque l'occasion l'a permis lors de la préparation du repas et il n'a pas mis halte à mes initiatives. Par moment, ses mains se sont aussi égarées sur mon corps. Nous sommes dans l'intimité de sa maison, sans contrainte de temps, sans jugement de qui que ce soit par rapport à notre différence d'âge.
Les yeux brillants, pétillants, David s'installe sur la terrasse sans le moindre vis-à-vis pour profiter des derniers rayons du soleil. Boire une bière, tranquille, reprendre des forces, recharger les batteries, penser au bon temps que nous avons pris et à celui que la nuit va nous apporter. Nous parlons peu. David est économe de ses mots, il va à l'essentiel. J'ai l'impression, qu'avec moi, il se libère, il se sent bien. Sans un mot, d'un transat à l'autre, il pose sa main sur la mienne.
Nous ne nous précipitons pas, nous avons eu déjà notre dose de bien être ensemble. Passer la nuit avec David est un rêve inimaginable pour moi. Le fait de lui offrir mon cul, mon corps toute la nuit l'est encore plus. Je vais moi aussi profiter de son magnifique corps d'adulte, le toucher, le sucer, l'embrasser.
Il est beau, sculpté, des tatouages magnifiques. C'est le genre d'Apollon que je pensais inaccessible pour moi. Bien sûr, il a peut être 10 ou 20 kilos en trop, un style plus rural que citadin, un genre taciturne mais tout en lui ne va
il me plait beaucoup
.énormément.
Une espèce de moustique décide pour nous pour lever le camp et passer à une étape qui me tient à cur, le rejoindre dans son lit pour y passer la nuit.
Il s'est allongé dans le lit et m'attend. Il a fermé la porte et nous sommes vraiment dans le noir. Se blottir contre quelqu'un qu'on aime, sentir son odeur, savoir que l'on va passer la nuit avec lui, le toucher, entendre sa voix profonde, virile, j'en pleurerais presque tellement je suis content.
S'il ne m'a pas embrassé devant Roland, il ne manque pas de tendresse pour autant. Dans l'obscurité, il est câlin, absolument craquant, d'une douceur extrême. Je l'ai constaté lorsqu'il m'a serré dans ses bras en arrivant chez lui.
Il sait que j'accepte qu'il me féconde autant qu'il le veut, sans capote. Mon corps est pour lui et il m'offre le sien. Une longue étreinte sensuelle débute notre nuit. Il me laisse parcourir son corps chaud. Je m'attarde sur ses tétons que je n'avais pas eu trop le temps de saliver. Il se tourne légèrement pour me faciliter la tâche et ronronne de satisfaction. Il vibre, gémis de bonheur, caresse ma nuque.
" C'est bon, mon chéri, continue.
Pour la première fois, il m'appelle "mon chéri", comme Roland, et livre sa tendresse sans retenue. Il me laisse aller ensuite sur son délicieux sexe, m'en offre toute la corbeille de fruits, sans limite.
Mon bonheur est total et ses délicieuses petites couilles sont léchées, prises en bouche. Son succulent bambou trop long pour ma bouche est salivé avec douceur, son gland abondamment remercié par mes lèvres. Il se contorsionne même pour faire profiter son illet de mes faveurs. Je suis no limite pour mon David.
Il me tire à lui pour rejoindre mes lèvres et me prouver sa satisfaction.
A son tour, il visite mon corps, s'attarde partout, mes tétons, mon ventre et s'aventure sur mon sexe. De sa langue râpeuse et chaude, il en lèche les contours avant de prendre en bouche mes bijoux. Je me retiens et, tellement c'est bon, lui fait comprendre qu'il pourrait me faire jouir. Je préfère que ce moment de plénitude se prolonge. J'ai tellement envie qu'il se prolonge.
Passé ce moment magique, il se met sur le ventre et me laisse masser sa nuque, frotter son dos puissant de mâle, caresser ses reins. C'est avec plaisir que je caresse aussi ses cuisses musclées. Je suis sur lui et mon sexe en érection vient se placer entre ses fesses. Pour lui faire plaisir, je positionne mon gland sur sa rosette et simule une pénétration. Il éclate de rire:
" Même pas dans tes rêves, Laurent.
Il rit. Il est heureux, câlin, doux, excité parce que j'ai osé.
" Mets toi sur le ventre, tu m'as trop excité.
Nos corps se comprennent, se trouvent. Il me prend dans un bonheur réciproque. D'une infinie tendresse, il est en moi, attendant mes petits gémissements sous ses coups langoureux.
Je ne saurais dire le temps de cette belle étreinte. Puis il me fait découvrir de nouvelles positions, savourant son plaisir, le mien aussi. Tard dans la nuit, nous avons jouit ensemble, à l'unissons. Il ne s'est pas retiré aussitôt, s'endormant en me serrant dans ses bras.
Son corps contre moi, son souffle chaud, le plaisir d'être avec lui, j'ai du mal à dormir. Tout à mon bonheur de le sentir contre moi, je ne veux pas dormir, je veux profiter de ce miracle.
Lui aussi veut profiter. En pleine nuit, nous voilà repartis pour des câlins, des caresses. Ivre de désir, je le lèche, le suce aux meilleurs endroits et il me le rend bien puis ( quand même ) nous avons basculé dans les bras de Morphée
..
Le bonheur nous ratt vers les 4h du matin ou il m'honore d'une belle introduction amoureuse et finit par jouir en moi. Sa grosse main calleuse a saisi mon sexe tendu et me branle jusqu'à lui enduire sa main de mon sperme. Il tient absolument à ce que j'éprouve du plaisir avec lui. Satisfait, il me barbouille le ventre de mon foutre, me serre encore plus fort contre lui et se rendort.
Il est encore prêt à assouvir un besoin sexuel et me faire plaisir au chant du coq mais la nature a ses limites et mon corps exprime des besoins naturels. Il me comprend. Ce ne serait pas raisonnable d'insister.
" Il n'y a pas de problème, je vais te baiser plus tard, mon petit cur
et il me bécote pour me dire qu'il n'est pas vexé.
La tête embarbouillée par le manque de sommeil, le corps et le cul englué de sperme, je me lève. Je suis habitué à me lever tôt et David aussi. Cela devrait aller.
Sans perdre de temps, il se lève lui aussi, énergique, vif, plein d'entrain. Les draps sont enlevés et mis au lavage aussitôt. Amoureux, ravi de sa nuit passée, il me prépare des serviettes et tout le nécessaire pour prendre ma douche.
" Prends ta douche, Laurent. Je vais passer après.
Lorsque je sors de la salle de bains, les draps ont été changés et le petit déjeuner est presque prêt. Il me laisse l'accompagner prendre sa douche. J'adore le voir nu, se laver. Il sait que ça me fait plaisir. Il est beau, magnifique, mon sexe durcit.
Tout mouillé, il me demande de l'essuyer
Ah, quel bonheur
il sait que la vue de son corps, de sa bite, me rendent fou et pourraient me faire disjoncter. Il est amoureux, le sexe en érection, les yeux brillants de désir, sûr de son emprise sur moi.
" Laurent, j'ai envie de te prendre.
" Je veux bien, David
comme s'il avait besoin de ma réponse.
Il ne me viendrais pas à l'idée de le refuser. Tant de gays se pâmeraient pour se faire enculer par un homme aussi viril. C'est la chance de ma vie, le cadeau de mes 18 ans.
Nu, à peine sec, le sexe dur et pointé vers son nombril, il me soulève et m'emporte sur le lit tout propre et, sans trop de préparation, il me pénètre et assouvi son désir. Il sent trop le propre mais son ardeur à me limer, sa respiration contre moi, je retrouve mon David, son odeur de mâle, de senteurs un peu de fauve. Je me donne à lui, libre, heureux. Nos corps s'expriment et finissent par exploser sous la pression du désir.
Il a trouvé le bon tempo et ses mains larges et calleuses, si agréables, enserrent mon pénis, lui demande de rendre grâce, d'enduire ses doigts qu'il garde en place après mon éjaculation délicieuse. De toute façon, même sans sa main, j'aurais jouis.
" Moi aussi, j'ai jouis, Laurent.
" J'aime bien tes mains qui me font jouir, David.
" Il est beau ton sexe, Laurent. Tu as bien juté. J'en ai plein les mains
.
La main pleine de mon sperme, il n'est pas rebuté, il accepte cet état naturel, respire profondément comme pour prolonger, montrer qu'il a tout donné, qu'il m'aime. Il est toujours en moi, retardant au maximum cette fin d'accouplement.
" Laurent, j'aimerais beaucoup passer d'autres nuits avec toi.
Je me retourne, me libérant au passage de son sexe, m'approche de son oreille pour lui dire, tout bas:
" David, moi aussi, j'aimerais beaucoup.
Il sourit, satisfait de m'avoir baisé, d'avoir juté en moi, de m'avoir mis en demande de sexe puis me roule une pelle tel qu'il sait le faire: tendre, moelleuse, bien baveuse, virile.
" Merci, Laurent
.. Si tu veux, la prochaine fois, je te ferai découvrir l'amour avec d'autres hommes. J'adore te baiser et j'aimerais bien te voir te faire baiser. Ici, c'est discret.
Ah, ce David
.je sens que je vais en découvrir des choses, cet été.
J'ai dis Oui, bien sûr
..
Caramel
* Cette histoire ne date pas de cette semaine. Protégez vous.
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