Un Jeu De Société Qui Dé, Partie 3 : Calins, Baisers, Chattes Rasées Et Profs Pervers
Ceci est une histoire réelle. J'ai juste changé les noms, résumé certaines choses et complété les moments où mes souvenirs manquaient.
A ce stade du jeu, nous avons donc :
Noham, beau métisse entièrement habillé (hélas !)
Clara, belle petite blonde aux yeux bleus qui porte une petite jupe bleue assez courte et un débardeur blanc. Elle n'a pas de soutien-gorge sous son débardeur, il faut dire qu'elle n'a pas beaucoup de poitrine (je sais qu'elle complexe pour ça, alors qu'elle est vraiment canon).
Thomas, le copain de Clara, qui est en pantalon et torse nu.
Hugo, un gars en jogging et polo.
Moi, Julie, immortelle déesse de beauté (j'exagère un peu), en longue robe rouge (et je vous avoue qu'à ce stade ça me stresse un peu, car c'est le seul vêtement que je puisse enlever, et je suis alors direct en culotte-soutif !)
Et enfin la sage Constance, l'intello de la classe qui a une vieille jupe orange et un débardeur bleu, et qui a déjà enlevé son soutien-gorge, en laissant deviner deux seins de belle taille. Et qui s'est mis à rougir comme une tomate à la question de Noham : "Tout à l'heure, quand tu m'as vu pour la première fois, est-ce que tu as fantasmé sur moi en imaginant que je te bouffais la chatte, ou que je te défonçais le cul en levrette ? Ou les deux ?"
Elle finit par répondre, à voix haute : "Première réponse."
Et la partie continue. C'est à moi de jouer, je lance les dés en espérant pouvoir enfin avancer un peu dans le jeu, mais raté, je tombe chez Hugo qui me regarde avec gourmandise. Je choisis de jouer, parce qu'il faut que j'économise un peu l'argent à ce stade. Je lis mon gage sur l'écran : "Julie, si tu devais choisir une personne dans la pièce pour faire l'amour qui serait-ce ?"
Haha. La réponse est évidente pour moi, mais la formuler à haute voix me rend un peu mal à l'aise. Je fais mine de dévisager chacun des cinq autres participants ; Clara prend une pose en sussurant "Mmh, et pourquoi pas moi ma chérie" (c'est une blague, mais je me dis à ce moment que si ça se trouve elle serait pas contre tester un peu.
Noham joue à son tour, achète un nouveau terrain : "Les chiottes du lycée - 3" (il en possède deux sur les trois)
Thomas tombe chez Noham, qui refuse qu'il tire un gage - Thomas doit payer !
Et il arrive exactement la même chose à Hugo, qui doit enlever son polo pour payer Noham
Clara lance les dés à son tour et tombe sur "la case départ", elle doit effec une "action communautaire" pour gagner de l'argent. Le programme affiche : Noham et Clara, liguez-vous pour chatouiller Julie pendant une minute.
Les deux, surtout Clara au début, foncent sur moi et me chatouillent. Je suis extrèmement chatouilleuse et, prise au dépourvu, je me renverse sur le dos en riant fort. Leurs doigts parcourent mon corps sans interruption, je regarde Noham qui me chatouille sans grand effort. Au bout d'une quarantaine de secondes, je sens que Clara, sous couvert de chatouille, me pelotte les seins avec dans le regard l'esquisse d'une envie lubrique. C'est troublant. Au bout de la minute impartie, je me rassois par terre en me recoiffant. Hugo mate clairement mes seins, la main toujours sur son entrejambe.
A ce moment, le programme affiche "Passage au niveau 2 - sensuel". Je sursaute un peu. Clara précise pour tout le monde "alors c'est le niveau 2, on n'ira pas plus loin hein, dès que quelqu'un est à poil on arrête comme on l'a dit."
Constance, qui doit jouer, se tourne vers Clara et lui dit "Je vais changer un truc dans mes préférences". Elle se saisit de l'ordinateur et effectue quelques changements.
"Les préférences, c'est quoi ?" demande-je
"Oh, c'est les trucs que tu veux faire ou pas." répond évasivement Clara d'un air un peu gêné.
Constance lance les dés et tombe sur une case qui l'oblige à réaliser un gage : "Constance et Julie, levez-vous. Constance, mordille tendrement le cou de Julie." Nous nous levons. Elle s'approche de moi sans hésitation, pose ses mains sur ma taille, et ses lèvres sur mon cou, y laisse un baiser, puis un deuxième, puis me fait sentir doucement ses dents. En même temps, elle me prend dans ses bras, sa main droite descend dans mon dos jusqu'à mes fesses, et je sens qu'elle essaie de faire remonter ma robe. Elle me mordille doucement le cou de façon très tendre et sensuelle. Manifestement, elle est clairement bisexuelle. Mais pas moi, ce n'est pas du tout mon trip ! J'ôte sa main de ma fesse droite, et la repousse légèrement. Elle semble un peu déçue, mais continue à sourire et retourne se rassoir par terre. Fin du tour.
A mon tour de jouer, je regarde discrêtement quels sont mes fameux "réglages". C'est Clara qui les a paramétrés pour moi, m'avait-elle dit. Voyons voir... Il y a une liste de trucs à cocher. "Communication", "exhibition", "nudité", "domination", "boire de l'alcool". Tout est coché. Ah, et il y a aussi "coït", "recevoir sexe oral", "donner sexe oral", "soumission" ainsi que... "se faire pénétrer analement", "donner un anulingus", "recevoir un anulingus" ; et aussi "bisexuelle" ! Les seules chosee que Clara a dé-coché pour moi sont "uro" et "recevoir de fortes douleurs". Mademoiselle est trop bonne. "Y'aura des petits bisous" qu'elle disait. Allez, je me mets en "hétéro complète" et je dé-coche tout ce qui concerne la sodomie (oui, je l'ai déjà faite, mais là dans ce contexte, bof) ; bon, après hésitations je garde la soumission, parce qu'être soumise à Noham, je dirais pas non. Et puisque personne ne me regarde là (ils sont en train de se resservir en alcool) j'en profite pour regarder les préférences de Clara.
Le jeu reprend, c'est à Noham de jouer... et, enfin, il tombe sur la seule propriété que je possède ! Il fait mine d'hésiter, mais le gars n'a pas envie de dépenser de l'argent, donc il tire un gage, ce que j'accepte (avec joie). Clara le lit pour lui sur l'écran : "Julie, assieds-toi sur le sol. Noham, assieds-toi derrière elle. Noham, tu dois lécher et embrasser l'arrière de son cou."
J'étais déjà assise sur le sol, je me mets à genoux, le dos droit, et passe mes cheveux par-dessus mon épaule droite afin de découvrir mon cou aux délices des lèvres du beau métisse. Celui-ci prend place derrière moi, et je crois sentir son sexe dur sous son pantalon. Doucement, il approche ses lèvres, je sens sa respiration profonde dans mon cou. Il me fait un petit bisous sage au niveau de la colonne vertébrale, puis un autre plus à gauche. Il place ensuite ses mains sur le côté de mes épaules, comme pour me maintenir, et donne un petit coup de langue dans mon cou, puis un autre. Ca me chatouille, j'essaye de ne pas rire. Je crois que je dois sourire comme une idiote là. Il me donne comme ça deux ou trois autres petits coups de langue (je me dis que s'il fait des cunnis aussi timorés, il ne doit pas être un super coup !) puis se met à me lêcher le cou, à gauche, puis derrière et à droite. Alors, sans crier gare, il me donne un baiser sur la gorge et passe ses deux bras sous mes aisselles pour saisir mes seins à pleines mains. Il les caresse au travers de ma robe et de mon soutien-gorge. Aussitôt Clara, qui s'est improvisée arbitre de la partie, bondit devant moi en disant "Eh, mais c'est pas dans le gage ça". Les yeux mi-clos, je la repousse. J'ai presque envie de lui dire "Toi aussi tu aimerais bien les peloter ces deux seins, ma coquine ?" Je les imagine brièvement, tous les deux, me retirer ma robe et mon soutif pour attr mes seins.
Thomas joue ensuite et tombe également chez moi, et décide de tirer un gage que Clara lui lit : "Julie, tu dois t'asseoir sur les genoux de Thomas pour les trois prochains tours." Je hausse les sourcils. C'est un gage pour Thomas ou pour moi, en fait ? Chacun décide alors de ne plus s'asseoir sur le sol mais sur des chaises ou sur un canapé, et de placer une table basse au milieu de nous, sur lequel est posé l'ordinateur. Thomas s'asseoit sur un bord du canapé, et je m'asseois sur ses genoux. Bien vite, celui-ci pose les deux mains sur ma robe, l'une autre niveau de ma hanche et l'autre sur ma cuisse. Clara s'assied à côté de lui, et je sens qu'elle a très envie d'une partie à trois avec son mec et moi.
Hugo tombe chez Noham et celui-ci demande à être payé. Hugo doit vendre son jogging. Il est en slip, et chacun peut voir qu'il bande comme un taureau.
Clara lance les dés et tombe sur la propriété de Hugo. Même s'il n'a pas un rond, celui-ci accepte que Clara ne paie pas et effectue un gage qu'elle lit aussitôt : "Hugo, retire la jupe de Clara". Il ne se fait pas prier et, le regard brillant, s'approche du canapé et tire sans succès sur le vêtement. Clara, en minaudant, descend un peu la fermeture éclair de sa jupe en lançant des oeillades à Thomas et Hugo, très satisfait, ôte complètement le vêtement, dévoilant une petite culotte blanche. Clara a très légèrement rougi.
Constance, qui n'a rien perdu du spectacle, lance à son tour les dés et tombe sur une propriété à acheter : "salle de M Jean - 1". Elle s'exclame qu'il lui faut absolument l'acheter ! En effet, elle en possède déjà une, et Noham a la troisième, et elle-même possède un terrain, "Les chiottes du lycée - 1" qui intéresse Noham. Bref, si elle achète sa propriété, alors elle peut faire l'échange avec Noham, et chacun des deux aura une série de trois terrains, ce qui leur permet de nouveaux trucs dans le jeu - à ce stade, je n'ai pas compris exactement quoi, mais pas étonnant que Noham et Constance se débrouillent le mieux à ce jeu : Constance est l'intello de service, et Noham a l'air de jouer pour gagner !
Problème pour Constance : Le terrain coûte 550, et elle n'a que 50. Il lui faut donc vendre un vêtement, mais il ne lui en reste plus beaucoup. Le programme lui donne les tarifs :
* Jupe/Pantalon : 400
* Culotte/String : 500
* T-shirt/Débardeur : 300
Elle se lève donc, pour enlever sa jupe puis son débardeur, laissant voir deux beaux seins blancs. Alors, je me rends compte que Constance, presque nue, a plutôt un très joli corps : des seins fermes, une belle cambrure, et sa culotte très échancrée - limite un string - laisse voir un beau petit cul qui ne laisse indifférent ni Hugo ni Thomas - ni Clara... Je sens le sexe de Thomas se durcir sous mes cuisses. Clara se retourne vers moi, les yeux écarquillés, l'air de dire "Mais t'as vu, en fait, Constance, c'est une bombasse !"
Noham, assis sur sa chaise, les jambes écartées, laisse passer un moment puis lance à Constance : "Tu veux échanger 'Les chiottes du lycée - 1' contre 'Salle de M Jean - 1', c'est ça ?"
"Oui, voilà" lui répond langoureusement Constance, toujours debout et se sachant le centre d'intéret de tous les autres.
"Mais ça vaut pas, bébé. La salle de M Jean, ça vaut plus que les chiottes du lycée. Regarde, ça rapporte plus... Donc je veux bien faire l'échange, mais faut que tu rajoute 250"
"Hum... (elle regarde sur l'ordinateur posé sur la table basse). Tu me demandes 250, sachant que là je n'ai que 200... En fait.... (Elle fait une un petit sourire boudeur en se déhanchant légèrement) En fait, tu veux voir mon cul, quoi."
"T'en sais rien bébé. C'est peut-être ta chatte que je veux voir. En tout cas, c'est 250 ou rien..."
Constance sourit, se met à quatre pattes pour valider la transaction sur le jeu (il lui faut vendre son string pour pouvoir faire l'échange), puis se relève et enlève doucement sa culotte, dévoilant un sexe complètement rasé. Puis, elle retourne s'asseoir sur une chaise. Constance est complètement nue. Si on m'avait dit que cette copine de terminale était adepte du rasage intégral, je ne l'aurais pas cru avant cette soirée !
C'est à ce moment que je dis à Thomas, sur les genoux duquel je suis toujours assis, et qui bande : "Voilà, ça fait trois tours là, je peux retourner à ma place."
Mais il me maintient fermement en place. Sa copine ajoute : "Non, c'est trois tours complets de chaque joueur !"
Je n'insiste pas, mais pose une autre question : "Du coup, si on tombe chez Noham sur la salle de M Jean, ou chez Constance sur les chiottes du lycée, il se passe quoi maintenant qu'ils ont les trois ?"
C'est Constance qui me répond (manifestement elle a potassé les règles) : "Il vous faut payer plus. Et si vous voulez faire un gage à la place, alors c'est moi qui choisit le gage dans un ensemble de trois gages proposés par le programme. Ou alors je peux décider de vous faire payer à la place."
Bref, je me dis tout de suite : Il faut que j'arrive aussi à avoir trois terrains, pour pouvoir faire ce que je veux avec Noham quand il tombera chez moi. Ou, mieux, il faut que je tombe chez lui, pour qu'il puisse faire ce qu'il veut de mon corps...
Excitée par cette perspective, je lance les dés, mais rien ne se passe comme espéré : je tombe sur un terrain possédé par Thomas. Je ne peux pas payer la somme dûe sans vendre ma robe ou ma culotte ! Je décide donc jouer un gage, que Clara lit : " Thomas, retire la robe de Julie". "T'aurais dû payer en vendant ta robe..." me lance Constance (désolée, je dois pas être très futée pour ce genre de jeux !)
Thomas est très satisfait de la situation. Je suis déjà assis sur ses genoux, et maintenant il m'enlève ma robe, doucement, prenant son temps, utilisant l'une de ses mains pour tirer lentement sur la fermeture éclair derrière, tout en laissant passer son autre main sur mon corps, sur mes hanches, sur mon ventre, sur mes seins... Il en profite bien, le coquin, fait passer mes bras dans les manches, puis finit d'ôter ma robe par les jambes. Je suis ainsi en culotte et soutien-gorge, et mon dos touche son torse nu et musclé. Il pose fermement une main sur ma cuisse gauche et une main sur mon ventre, comme si j'étais sa propriété. C'est excitant, et je dois avouer que me montrer comme ça devant les autres m'emplit d'une certaine fierté - je suis pas mal quand même ! Mais Noham ne me regarde même pas... En face, Hugo me fixe avec lubricité. Constance aussi. Bon, je suis peut-être pas mal, mais je suis fauchée et je ne possède presqu'aucun terrain !
Thomas lance à son tour les dés, et tombe chez Noham, qui a donc le choix entre trois gages à lui proposer. Clara les lit pour lui : "Thomas, enlève le débardeur de Clara", "Thomas, enlève la culotte de Clara", "Thomas, enlève la culotte de Julie" ou bien "Demande à être payé". C'est donc à Noham de choisir le gage qu'il va infliger à Thomas. Noham réfléchit, me regarde moi, puis Clara, comme des bouts de viande. Il fait durer le suspense, qui me plonge dans un état d'excitation assez important... Noham va-t-il réclamer que Thomas me retire ma culotte ? Ou plutôt celle de Clara ??
Enfin, Noham tranche : "Thomas, retire la culotte de Clara."
Là, je crois que ça se voit que je fais la gueule. Thomas se lève, et donc me fait asseoir sur une autre chaise, puis se retourne vers Clara, affalée dans le canapé et s'approche d'elle, qui est toute rouge et gênée, mais souriante. Il se penche vers elle, att les deux extrémités de sa culotte avec deux doigts de chaque main, en même temps qu'il lui donne un baiser au niveau du sexe. Puis, avec ses dents et ses deux mains, il retire brutalement la culotte, révélant une toison bien taillée... Il retourne se rasseoir, regardant la chatte de sa copine avec gourmandise, mais oublie de me dire de retourner sur ses genoux.
Hugo, à son tour, tombe sur "la salle de M Jean", possédé par Constance, qui lui intime l'ordre de la payer, et donc de retirer son slip (il est encore plus fauché que moi). Hugo se lève et enlève donc son dernier vêtement. Comme prévu, le gars bande comme un taureau, sa queue est grosse et droite, gonflée à son maximum. Constance regarde son membre avec gourmandise, ce qui rend manifestement Hugo très joyeux.
"Et au fait", demande Hugo à l'intention de Constance, "ce monsieur Jean, là, le prof de Français, il est aussi pervers qu'on le dit ?"
"Ah, grave !", répond aussitôt Constance. "Clara, tu te rappelles, en Première ?"
Hugo est soudainement très intéressé : "Il vous a fait des trucs ?"
Clara lui répond : "Avec Constance, on s'est retrouvées à deux dans sa classe, après un cours. Comme il nous faisait bosser toute l'année sur des textes un peu érotiques, il a trouvé le moyen d'essayer de nous chauffer, en nous demandant si on a déjà fait l'amour, etc. Hihi! Il parlait de 'sexe oral' ou de 'nombre de participants supérieur à deux'. Ca le faisait tripper de parler de cul avec des lycéennes. Mais bon, c'était que ça, quoi."
"Mais ça s'est pas arrêté là !" s'exclame Constance. "Il m'a envoyé des mails, puis des textos, sous des prétextes divers."
Clara joue en même temps que Constance parle, tombe sur une case qui lui fait gagner de l'argent et... elle le redépense pour racheter sa culotte ! Manifestement, la coquine ne l'est pas tant que ça, et essaie de se couvrir un peu.
"C'est qu'il fait froid hihi."
"Attends", lui répond Thomas, "je vais augmenter un peu le chauffage là."
Constance continue de parler : "Moi, par texto, ça me faisait marrer de lui répondre, et le truc est monté progressivement. Comme je lui avais dit que j'avais pas de copain, il me posait des questions comme 'et vous, Mademoiselle ... si vous aviez un copain, que voudriez-vous qu'il vous fasse ?', des trucs comme ça."
"Chauuuud !" s'exclama. "T'as gardé ces textos ? C'est allé plus loin irl ?"
Constance lance les dés, achète un nouveau terrain, et continue à parler : "A un moment, les textos sont devenus vraiment hots. Il faut dire que de mon côté je commençais à le chauffer un peu aussi, puisque je lui avais dit 'et vous, si vous étiez mon mec, vous me feriez quoi ?' Et là, il me répond ça. Attendez, je dois en avoir gardé une copie dans mon téléphone. La voilà !"
Et Constance présente son téléphone à Thomas, à sa gauche, qui saisit l'objet, fait remarquer qu'il y avait plusieurs messages qui se suivaient, et lit (son visage va passer par de nombreuses mimiques au fur et à mesure de la lecture, passant du rire à la consternation, puis à une excitation qui pouvait laisser penser qu'il allait peut-être éjaculer sur le champ) : "Mademoiselle, avec moi vous auriez le droit à un traitement de faveur. En effet, le dépucelage de vos orifices semble s'imposer. Vous avez 16 ans et n'avez connu qu'une brève relation médiocre qui n'a même pas mis votre sexe à la fête ! Dans ses conditions, laissez-moi vous le dire Mademoiselle : considérez-vous comme toujours vierge. Avoir subi le bref coït du braquemart insuffisant d'un chétif amant de 16 ans, ça ne fait pas de vous une femme. Ce qui ferait de vous une femme, c'est le traitement que je vous ferai subir. Tout d'abord, entièrement nue et offerte à mon regard, vous passeriez sous mon bureau. Je déboutonnerai ma braguette et gratifierait de mon sexe votre bouche voluptueuse. Je vous expliquerai, pendant que vous auriez la bouche pleine, la bonne façon de traiter le membre viril avec vos lèvres et votre langue. Puis, au bout d'un quart d'heure de ce traitement, je vous allongerai, le dos sur une table, votre sexe ouvert à mes fantaisies. Après quelques caresses rendues nécessaires par votre inexpérience, j'acomplirai alors la deuxième action que je crois nécessaire à votre traitement, Mademoiselle : j'enfournerai mon sexe dans votre chatte mouillée, et j'accomplirai des va-et-vient qui vous laisseront entrevoir les délices de l'amour. Nous continuerons ainsi dans diverses positions que je vous expliquerai le moment venu, et que vous reproduirez docilement. Au bout d'une demi-heure, il faudra encore changer. En effet, votre anatomie, que j'ai pu observer toutes les fois que vous étiez debout au tableau, m'inspire une action nécessaire : je vous allongerai donc sur le ventre, sur une table et, après avoir à nouveau pénétré votre chatte ruisselante, je forcerai d'un coup l'entrée de votre cul. Cela vous inquiétera peut-être au début mais - croyez moi, Mademoiselle ... - la sodomie est une pratique quasiment obligatoire quand on possède, comme vous, un si joli petit postérieur. Je vous sodomiserai donc avec douceur d'abord, mais avec vigueur. S'il faut vous maintenir pour vous tranquiliser, je le ferai avec force. Ma verge transpersera votre anus comme elle aura transpersé votre bouche et votre vagin. Ma bite aura bien vite connu tous vos orifices, ma chère petite Constance, vous crierez de plaisir à chaque mouvement. Puis, vous vous mettrez à genoux devant moi, toute ruisselante de plaisir, pendant que je réfléchirai à l'orifice que j'utiliserai pour jouir en vous. Au moment où j'écris ces lignes, ce choix n'est pas arrêté. Choisirai-je de déverser mon sperme dans votre bouche candide, celle-là que j'aime tant à écouter donner les bonnes réponses en cours ? Ou bien prendrais-je votre chatte, votre trésor, au risque de vous engrosser si vous ne prenez pas la pilule ? Ou bien alors déciderai-je de souiller votre petit cul, celui pour lequel je vous fais si souvent passer au tableau - et donc vous faire à nouveau allonger sur le ventre, afin de vous sodomiser encore plus profondément que précédemment - arrivé à un certain point, le pilonnage sera tellement intense, vous vous sentirez enculée avec une telle vigueur, que vous crierez vous aussi. Que faire, donc ? Ce choix est encore à éclaircir. Sauriez-vous que décider ?"
"Ouah, ça c'est un prof pervers"
"Hihi, c'est un fou, hihi."
"Je pense qu'il devait se branler sur ce texto", ajouta Constance. Le lendemain, il était tout rouge en me voyant, il m'a plus jamais adressé la parole. A toi de jouer, Julie."
J'obtempère pendant que chacun continue de parler de Monsieur Jean, et tombe avec satisfaction chez Noham qui hésite avant de me laisser jouer un gage (le salaud !). Le gage est clair : "Noham, retire le soutien-gorge de Julie." Je me lève, toute guillerette. Noham s'approche de moi, de face. Il est toujours entièrement habillé ! Avec un petit sourire goguenard, il passe ses bras sous mes aisselles, et d'un geste expert, dégraffe mon soutien-gorge et dévoile mes deux beaux seins bien ronds. Alors, sur un coup de tête, j'approche mes lèvres des siennes et lui vole un bref baiser. Mais il se recule et proclame "Ah non, mademoiselle, vous brûlez les étapes ! C'était pas dans le gage, ça."
Je suis vexée comme un pou par cette rebuffade. Les tours et les gages se succèdent, "Thomas doit lécher et sucer la lèvre supérieure de Constance", ce qui semble plaire aux deux participants. Constance, nue, semble aimer le jeu. Hugo est pret à se jouir dessus à tout moment. Thomas savoure lui aussi la situation, et Clara semble plus en retrait à présent. Quant à Noham, toujours entièrement habillé, il collectionne l'argent comme un proxénète. Il semble avoir jeté son dévolu sur Constance.
C'est arrivé à ce point que le programme affiche : "Passage au niveau 3 - érotique". Clara, manifestement soulagée, s'écrie "Ca y est, on a terminé, on a dit qu'on ne dépasserait pas le niveau 2 !" Et elle se lève en se dirigeant vers ses vêtements.
Instantanément, les plaintes fusent. Constance et Hugo s'écrient qu'il faut continuer encore, et Thomas la retient par le bras. "Mais non, voyons ma puce, on continue un peu. Fais pas ta prude !"
"Hihi je fais pas ma prude, c'est juste qu'on avait dit niveau 2 seulement. Hihi"
"Allez, encore un niveau et on arrête" propose Constance.
"Alleeeeeez" s'écrie Hugo
Thomas finit par convaincre Clara. Pendant ce temps-là, je m'avise que j'ai soif, et annonce que je vais à la cuisine, à côté, pour me servir un verre d'eau. "Est-ce que quelqu'un d'autre en veut ?"
Derrière moi, Noham propose de ramener des verres et de l'alcool. Il me suit à la cuisine. Me voilà en train de remplir des verres d'eau au robinet lorsque je sens la main de Noham sur mes fesses. Je n'ai alors qu'une culotte. Il m'attire à lui d'un geste fort, puis me plaque contre le frigo et me roule une pelle.
"C'est ça que tu voulais, hein, petite coquine ?"
Le contact de mon dos contre le frigo m'avait fait frissonner. Noham prend mes deux seins dans ses mains et les malaxe quelques secondes, puis me donne à nouveau un long baiser, tout en me pinçant les tétons d'une façon qui devient vite douloureuse. Il les lâche bien vite, et me serre la fesse droite d'une main, puis me donne une claque sonore dessus. Sous le coup de la surprise, je ne réponds rien. Aussitôt, son autre main plonge dans ma culotte, parcourt ma toison et vient caresser mon clitoris.
"C'est ça que tu voulais, hein ?" répète-t-il. "Mais tu sais pas comment l'avoir, c'est ça ?"
Et en même temps, sa main quitte mon clitoris, descend plus bas, et je sens un doigt s'enfoncer dans mon vagin, puis un deuxième.
"C'est ça", continue-t-il, "tu mouilles bien. Tu sais ce qui m'excites ? C'est les salopes. Soit une salope, excite-moi comme le fait Constance avec ses histoires qui sont sans doute de gros mythos, mais c'est pas grave."
Ces deux doigts me ramonent le sexe sans ménagement, un peu brutalement. Je suis terriblement excitée, mais j'ai le souffle coupé, je ne dis rien.
"Tu sais, salope c'est pas une critique hein, et encore moins une insulte. C'est la nature qui est comme ça. Les femmes sont faites pour se donner, pour exciter, c'est tout. Libère toi, sois une salope."
Il ressort ses doigts de ma chatte, et me donne une violente claque sur la fesse droite, qui me fait mal. Il se retourne, attr les verres et les alcools posés sur un plateau, et file vers la pièce à côté, me laissant seule, la chatte en feu et sans doute une fesse rouge. Je me dirige à mon tour, les mains vides, vers l'autre pièce, prête pour le niveau 3...
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