Suzanne 1
Suzanne Jour 1
Elle se prénomme Suzanne . Je la vois depuis trois ou quatre mois. Elle a au moins vingt ans de plus que mois. Cinquante à cinquante-cinq ans. Mûre, pour sûr, mais très bien conservée. On se voit parfois dehors, mais le plus souvent chez elle. Jamais chez moi, mes colocs ne comprendraient pas. Sur sa porte, elle a bien écrit son nom en entier. Suzanne Martin . Mais, est-ce vraiment son nom ? Pas sûr.. Et elle a bien mis en évidence ses initiales en gros caractères. S et M
S M, comme Suzanne Martin, SM comme Sado Maso, et elle a bien pris soin de me préciser « Je suis surtout le S de SM , mais parfois aussi le M. Jaime bien. Tu te sens fait pour ça ?». Me voici prévenu. Dailleurs laffaire a été claire dès le départ. Son profil ne laisse planer aucun doute.
Premier rendez-vous chez Suzanne. Un lundi , à 18h30, après le boulot
« Quand tu viens chez moi, tu sonnes en bas. Je te verrai à laide du portier vidéo. Tu montes, je suis au dernier étage. Tu trouveras mes instructions sous le paillasson. La porte nest pas verrouillée.»
Je la savais originale, mais pour le coup, jen suis resté baba. Un petit mot sous le paillasson. En fait, un ordre : « En slip ! ».
Et, à gauche de la porte, un seau en plastique avec une étiquette « vêtements ».
Inutile de me faire un dessin . En dix secondes, mon polo, mon jean et mes baskets sont dans le seau. Jentre, en slip comme demandé. Jentends sa voix, sévère comme je my attendais.
- Referme la porte, mets le verrou.
- Mes fringues, dehors ?
- Tu les retrouveras plus tard, ce soir. Ou demain. Approche.
- Où êtes-vous Suzanne ?
- Au salon, approche, je ne vais pas le répéter trois fois, dit-elle de manière autoritaire et sans réplique.
- Bonjour Suzanne.
- Non, petit insolent, on dit Bonjour Madame. Amène toi par là que je voie la marchandise. Dans l annonce tu avais mentionné « Bien bâti, Endurant, Prêt à tout ».
- -Oui, Madame, dis-je en bombant le torse et en mettant en valeur mon sexe que javais eu la bonne idée de mettre gland en haut, dans le slip fendu que je réserve aux belles occasions.
- - Hmmmm Belle bête, en effet. Tu es vicieux ? Tu as déjà servi ?
- Vicieux, oui, je le crois. Et jai un peu servi. Un vieux couple pervers. Je leur servais de bonniche à tout faire.
- Vraiment tout ?
- Oui, Madame, vraiment tout. Et toujours en petite tenue.
- A poil, en somme ?
- Oui, Madame, presque toujours à poil, même quand il faisait froid. Sinon un petit tablier blanc de bonniche, pour servir à table, et parfois un string quand ils me mettaient un truc à garder dans le cul, le dimanche.
- Quand tu auras un objet dans lanus, je mettrai quelque chose de beaucoup plus efficace pour que ça reste bien enfoncé.
- Quoi donc ?
- Surprise
Ils te frappaient souvent, les vicieux ?
- Quelquefois ; surtout elle. A la main sur les fesses, et au fouet aussi , elle visait mon sexe et ça me faisait bander encore plus. Mais elle allait parfois jusquà mécorcher.
- Ton meilleur souvenir avec eux ?
- Heu
Je nose pas dire
- Ne te dégonfle pas, dis le. Je suis sûr que ce sera bien pire ici.
- Bon, voilà. Un soir, le vieux ma mis à poil ; mais ça, cétait tous les jours. Il ma dit « Encule la vieille, là, tout de suite, à sec ». A vrai dire jen rêvais. Il a disposé la meuf en levrette, face à la porte-fenêtre grande ouverte. Il ma branlé deux minutes pour me donner la consistance, il ma laissé minstaller à genoux derrière le cul de sa grosse, et cest lui qui a placé mon gland à lentrée du trou du cul. «Pousse, à fond, je la mets en perce pour toi, poinçonne la, fais la gueuler cette salope , ce tas de viande».
Ainsi fut fait. (cest bien dit, nest-il pas ?). Mais il nen est pas resté là. La vieille était à quatre pattes par terre sur la moquette ; moi jétais abouté dans son cul, dur comme un zèbre en rut, et là le vieux sest mis à poil et ma enculé à son tour.
- Il ta fait mal ?
- Oui il ma fait mal, très mal, et il les a pour ainsi dire écrasées ou explosées pour que je jouisse le plus tard possible dans lanus de sa vieille.
- Et lui ?
- A un moment il ma dit «Touche moi les couilles, écrase les, griffe moi, fais moi mal » . Pas facile mais jy suis arrivé, et il sest mis à gueuler ; jai compris quil allait me mettre une sacrée dose dans le cul, le salopard. Cest ce quil a fait. Javais mal partout.
- Belle histoire. Mais tu nes pas venu pour des parlotes mais pour du sérieux. Aujourdhui, cest en quelque sorte la prise de contact, les présentations ».
Ce faisant, la Suzanne ne sest pas embarrassée de préliminaires. Elle a enlevé sa chemise longue, et sest levée. Une vraie statue . Un body noir transparent, un collant noir et manifestement rien dautre, à part des chaussures assez hautes.. Cruella! me dis-je.
- Je vais tévaluer. Fais voir ton attribut, dit-elle en riant; autant que tu le saches je suis fétichiste des couilles. Tu lavais deviné en lisant mon profil, jimagine. Et avec moi tu le sentiras passer, et tu en redemanderas, cest sûr.
A lentendre, et malgré moi, je me mets à bander et je sens que le gland dépasse en haut de mon slip.
- Belle bite que voilà, et
beau calibre.
Et sans attendre elle sen saisit, baisse mon slip et soupèse les couilles comme des fruits murs. La cochonne, elle va me faire jouir si ça continue. Jaurais pas dû marquer « endurant ». Et, prenant un objet dans un tiroir, elle me le tend. « Enfile ça ; cest pour ta bite et tes couilles».
Cest un anneau de caoutchouc assez rigide Je comprends mal. Le diamètre me semble surprenant. Alors elle sempare de lobjet, enfile ma bite. Jusque là pas de souci, ça passe largement. Puis elle chope les couilles et, en force, les fait passer dans lanneau.
- Ah, nous y sommes. Tu garderas ça jusquà nouvel ordre. Tu as mal ?
- Mal ? Pas vraiment ; Mais ça serre un peu.
- Cest fait exprès. Attends, approche toi. Et, disant cela, elle fixe un mousqueton à lanneau, comme pour les colliers de chien. Tu garderas ça aussi.
Voilà que je suis à présent à poil, avec un anneau serré à la base de ma bite et avec un mousqueton pour collier de chien. Et une femme, vingt ans de plus que moi, qui samuse avec ma queue. Et sans rien dire, la voilà qui se met à poil à son tour. Et qui se met à quatre pattes. Et qui me fait bander , la garce.
- « Prends moi, à sec, cest ta fête aujourdhui. Comme la Vieille de ton histoire.
- Dans le cul ?
- Oui, dans mon cul, vas-y, comme une brute ; jaime ça moi aussi.
- A sec ? Mais ça ne va pas rentrer !!!
- Prends du jus à lentrée de ma fente, juste un peu de pisse ou de mouille, et mets moi en perce, enfile-moi, perce moi, embroche-moi, fais moi mal, et fais toi mal à toi aussi, je le veux »
Dit comme ça, il ny a pas à hésiter. Cest une superbe sodomie ; et contre toute attente, je finis par lui remplir le boyau. Je mérite ladjectif « endurant » ,; il est vrai quelle ma un peu aidé.
- Rhabille toi, à demain. Même heure
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