Magali 2/6 Chez Magali
Je suis vite prêt, mais comme j'ai dis une heure, je traîne volontairement. Je laisse comme ça du temps aux femmes pour parler entre elles. Je fais bien d'ailleurs, car Magali va me raconter ensuite la discussion âpre qu'elle a eu. La plus hostile est sa sur, qui la traite de folle, dinconsciente. Je ne suis pas un homme pour elle. Je suis trop vieux. Pour sa mère, c'est surtout une affaire de religion et « que vont penser les gens ? » Magali ne lâche rien. Elle est aussi sûre de mes sentiments que des siens. Elle n'a jamais ressenti cela et puis, elle est enceinte et veut que son ait un père. Bref, elle ne changera pas d'avis.
Quand je retourne chez elle, elle sort aussitôt avec ses affaires. Elle ne veut pas que sa mère et sa sur recommencent leur diatribe devant moi. Si elles ne sont pas d'accord, alors on se mariera en petit comité, sans cérémonie. Une seule condition : ce sera après la naissance du bébé pour montrer à tous qu'il est l' de l'amour.
« Les gens pourront dire que je ne suis pas le père.
Sûrement pas ! D'abord, il ou elle te ressemblera. Et je dirai à tous que tu m'as engrossée et que tu es un merveilleux amant.
Ouh là ! Je vais faire des jaloux et des envieux !
Tant pis pour eux ! Tu m'a révélée. Tu es mon amour. Demande-moi ce que tu veux et je le ferai.
Justement, je suis très... gourmand et inventif. Je ne sais pas si tu accepteras toutes mes idées.
Tout, je te dis. Demande-moi tout. Je sais que ce sera pour mon bien.
Même si mes demandes sont un peu... perverses ?
Surtout si elles le sont ! Je veux tout connaître avec toi.
Je peux être très vicieux. Tu sais à mon âge, on n'a pas beaucoup de tabous.
Par exemple ?
Je vais t'emmener dans des saunas et des clubs libertins
D'accord.
Tu baiseras avec d'autres hommes, avec des femmes.
D... D'accord.
Ah tu vois ! Tu as déjà hésité.
Ce n'est pas ça. J'ai été surprise, mais aucun problème mon amour.
Bien sûr. Même si plus tard tu voudras être seule, quand je ne pourrai plus ou que je ne serai plus là.
Mais tu me feras l'amour longtemps mon chéri! J'en suis persuadée.
Tu es prête alors à continuer ?
Toujours !
Alors commence pas enlever ta culotte !
Quoi ? Ici ? Dans la voiture ?
Tu vois ! Tu renâcle déjà !
Je... Mais... D'accord »
Magali se trousse, passe ses mains sous la robe et retire son sous-vêtement. C'est un joli string noir. Je lui demande de me le passer. A sa grande honte, il est humide à l'entre-jambes. Je le porte à mon visage pour en humer les effluves.
« Un jour, tu te mettras nue à cette place et quand on doublera les camions, les chauffeurs pourront t'admirer et auront tous envie de te baiser. Peut-être même, on sarrêtera sur un aire de repos et ils te baiseront là !
Tu es complètement fou ! Mais si tu me le demandes, je le ferai !
Tu es merveilleuse. Tu passes du statut de fille coincée à celui d'une femme complètement libérée, même si ça passe par une certaine soumission. Je ne veux pas que tu sois ma soumise, je veux que tu t'épanouisses en tant que femme. Si tu veux que je sois ton pygmalion, je le serai, pour ton bonheur surtout, mais tu verras qu'il faudra que tu fasses tomber quelques barrières.
Je t'ai dis et je le redis, Demande-moi et je te suivrai. Je sais que tu le feras pour mon bonheur. Avec toi j'ai l'impression d'être plus belle, même si je ne le suis pas.
Non, tu n'es pas belle, tu es plus que belle! Tu es superbement sensuelle. Ton corps est un plaisir des yeux. Tu ne le sais pas encore, mais tu es un fantasme pour beaucoup d'hommes, il suffit simplement que tu acceptes tes formes, que tu apprennes à mettre ton corps en valeur avec des habits plus modernes et du maquillage et tu feras bander tous les hommes.
Et toi tu veux que je fasse bander les autres hommes ?
Oui ! Ils auront tous envie de ma femme et j'en serai fier.
Et tu n'as pas peur ?
Que tu me quittes. Oui. Que tu baises avec d'autres hommes ou des femmes, tu le feras et je t'y amènerai.
Oh !
Eh oui, mon amour, je vais te partager et tu aimeras ça. Je serai avec toi et j'espère garder ton cur, mais je serai très heureux de te voir baisée par d'autres.
Tu es complètement fou ! Et moi je suis folle, parce que je sais que je le ferai. »
Nous arrivons chez elle. Après avoir posé nos affaires, Magali me fais visiter son appartement. Très coquet et meublé de façon moderne. Un grand living s'ouvrant sur une petite terrasse, une belle cuisine aménagée, une petite salle de bain et enfin la chambre avec un lit pas très grand, la pièce s'ouvre par une grande baie sur un balcon, qui donne sur une cour intérieure.
Magali papillonne fébrilement. C'est une façon pour elle de faire tomber la pression. En effet, maintenant qu'elle est dans son environnement, tout change. Elle n'est plus aussi à l'aise. Est-ce qu'elle se rend compte de l'incongruité de la situation ? Je l'interroge :
« Qu'y a-t-il ? Tu te rends compte de la folie que tu as déclenchée ?
Non. Ce n'est pas ça ! Depuis que j'habite ici, aucun homme n'y est entré. Chaque fois que j'ai eu une aventure, c'était dans une voiture, où chez le mec. Ça ne durait d'ailleurs jamais, un soir ou deux au maximum et je ne voulais plus le revoir. Lui non plus dailleurs et surtout ne pas être vu avec une grosse !
Il me reste une nuit alors.
Tu es malade ? Non. Toi je te garde pour la vie. Je le sais et même si tu n'as plus envie de moi, tu resteras toujours dans mon cur.
J'aurais toujours envie de toi mon amour, même quand je ne pourrai plus te satisfaire. Pour moi tu seras toujours jeune et belle. Je me promènerai avec toi et tous verront la belle femme bien ronde que jaime !
Je ne suis pas belle !
Oh que si, tu ne t'en rends pas compte, mais fais moi confiance, je vais te faire changer de tenues et tu vas faire bander tous les mâles qui vont te voir.
Et tu ne seras pas jaloux ?
Si, affreusement ! En même temps je serai fier que ma femme soit belle.
Et... si je rencontre un autre homme ?
Tu en rencontreras, puisque je te les présenterai.
Non mais... si je l'aime ?
Alors je m'effacerai, c'est normal.
Non, tu ne t'effaceras pas. Tu es et tu resteras mon homme. Celui que jaime et que jaimerai toujours. Celui qui m'a révélée, qui m'a faite mère, qui me fait jouir comme une folle.Tu sais que je n'avais jamais... eu d'orgasme aussi fort avant toi ? Je me demande même si j'avais jamais jouis.
Sûrement oui.
J'ai eu du plaisir, mais jamais au point de... gicler comme hier ! Oh j'ai honte !
Tu ne dois pas avoir honte ! Il y a peu de femme qui jouissent aussi fort. On le appelle des femmes fontaines et je t'assure que beaucoup d'hommes seraient heureux de tomber sur une femme comme toi.
Peut-être, mais c'est toi qui a tout déclenché. Mais tu es sûr que ça ne te gêne pas ?
Le seul problème est pour ta literie, dis-je en riant. Pour moi, tu peux m'arroser autant que tu veux, sur le corps et dans ma bouche, je compte bien me soûler en buvant ton nectar. Bien. Maintenant, j'aimerai que tu te déshabilles. J'adore te voir nue.
Je ne comprends pas. Je suis grosse et avec mes lunettes, je fais vieille.
Oui tu es ronde, avec des courbes affolantes. Quand on voit tes épaules comme hier soir, tu es bandante mon amour ! Je vais t'apprendre à mettre en valeur tes courbes, tes seins, tes hanches, ta taille fine et tes jambes. Tu vas être transformée pour mon plus grand bonheur et beaucoup d'hommes vont regretter de n'avoir pas vu comme tu es belle.
Tu es trop gentil ou trop fou mon amour, mais je veux te plaire et que tu sois fier de moi en toute circonstance.
Tu vas me faire bander en permanence !
J'espère bien ! Tu as réveillé la folie en moi, l'envie de sexe que j'avais rarement, alors je te dois bien ça. Je te fais confiance, même si je sais que tu vas me choquer parfois, m'étonner en tous cas et la mère de ton , pourquoi pas de tes s parce que j'ai envie de t'en faire plein avec toi, et être digne de ton amour.
C'est les yeux embués et le cur serré que nous tombons dans les bras de l'autre et comme je n'aime jamais autant Magali que nue, je la déshabille prestement pour avoir la chance de l'admirer, malgré ses protestations.
Une fois nue, je lui demande de remettre ses bas et ses talons, de se maquiller et de se placer devant la grande glace afin de se rendre compte comment elle peut être sexy.
« Il ne manque qu'à te trouver des vêtements qui mettent ton corps en valeur et tu vas être une bombe ! » Devant la psyché, Magali est bien obligée de reconnaître qu'elle « n'est pas si mal » même si elle a honte de se montrer ainsi. « Je vais t'emmener chez l'esthéticienne et dans un magasin de lingerie, On va changer un peu ta garde-robe vieillotte et tu vas tous les faire baver !
Tu es complètement malade ! Allez ! Viens me montrer ce que tu sais faire dans ma chambre !
Mais non, petite pute. Avec ta tenue de salope tu vas te mettre à genoux et venir sucer ton maître !
Ici ?
Bien sûr ! Je pourrais faire des photos de nous dans la glace. Tu verras comme c'est obscène et excitant. En plus on va en faire tout au long de ta grossesse, si tu es vraiment enceinte, ou quand tu le seras, tu verras comme tu es belle mon amour.
Mais JE SUIS enceinte ! J'en suis sûre ! Je le sens ! Mais, tu vas en faire quoi de ces photos ? Tu ne vas pas les montrer tout de même ?
D'abord on les regardera ensemble, ce sera excitant et j'en mettrai sur Internet...
Non ! Pas ça voyons ! J'aurais trop honte !
Je cacherai ton visage, mais je suis sûr que tu auras un succès fou. Regarde maintenant avec cette mannequin grande taille américaine, les hommes redécouvrent qu'une femme qui a des formes est une belle femme. Fini les anorexiques ! »
Je m'agenouille devant ma compagne et écartant ses belles cuisses pleines je lèche sa touffe en lui conseillant de nous regarder, de se regarder dans la glace. Quand elle va jouir et marroser, Magali, tétanisée va sapercevoir en direct pour la première fois de la quantité de liquide quelle expulse. Horrifiée tout dabord, en voyant mon visage réjouit elle va s rendre compte du bonheur quelle me donne.
Le lendemain, Magali travaille jusquà midi. Elle donne des cours de chant à la faculté. Après le déjeuner, je lui propose daller se promener en ville.
Tu acceptes de paraître avec moi ?
Non seulement jaccepte, mais je serai fier dêtre à tes côtés ! On ne peut quêtre fier daccompagner la femme de sa vie et de montrer aux autres notre amour !
Je taime toi tu sais !
Pendant la matinée, jétais allé faire un tour en ville. Même si beaucoup de commerces sont fermés le lundi, jai trouvé la boutique que je cherchais.
Nous commençons à déambuler un peu au hasard tout dabord. On se tient la main, on senlace, on sembrasse sous parfois les regards plus ou moins conciliants des badeaux. Une femme nous ayant croisés sest exclamée Si cest pas une honte ! Jaurais voulu la sermoner mais Magali a lancé Mal baisée ! Décidément, ma petite chérie se dévergonde vite ! Elle rajoute : Oui, cest mon homme et lui me baise comme une reine ! Elle est tellement heureuse dafficher notre amour et de se promener à mon bras, quelle se libère totalement. Quelques jours auparavant, elle était timide, renfermée et complexée. Ce temps là est fini.
Nous sirotons un rafraîchissement à la terrasse dun café. Là aussi on note quelques regards surpris, parfois réprobateurs. Une jeune fille avec un homme manifestement plus âgé. Les jugements sont rapides.
Nous entrons dans un magasin, ou plutôt jentraîne ma compagne dans une boutique de vêtements. A la vendeuse qui sapproche je demande de nous trouver quelques tenues afin de rajeunir la garde robe de Magali. Je lui indique quelles doivent mettre en valeur la silhouette et être plus en rapport avec son âge, que la tenue quelle porte aujourdhui.
La vendeuse qui est elle aussi un peu ronde, nous fait un large sourire et nous demande de nous installer pendant quelle va chercher quelques modèles.
Magali est gênée au départ et quand elle sort de la cabine avec la première tenue, elle déclare que cela ne lui va pas. Aidé de la vendeuse, je lui affirme le contraire. Finalement, après plusieurs essayages, nous optons pour deux tenues. Pour améliorer sa vente, la femme nous propose aussi quelques sous vêtements plus en adéquation avec une jeune fille. Elle a remarqué que la culotte et le soutien gorge de Magali, sont assez vieillots.
Tout ceci me permet de noter les mensurations de ma chérie, notamment un 100D pour le soutien gorge et une taille 4 pour la culotte. Oui, ma chéri est bien ronde et ça me plaît !
Nous quittons la boutique sous loeil ravi de la vendeuse qui nous souhaite beaucoup de bonheur et lance :
Et jespère à bientôt !. Je lui réponds
Sûrement ! Car ma chérie va prendre de belles proportions très bientôt !
Félicitations ! Attendez ! Je vais vous faire une carte de fidélité. Vous bénéficierez ainsi de remises sur notre rayon femme enceinte !
Nous sortons joyeux du magasin, sous loeil attendri de la vendeuse. De là nous empruntons de petites rue, vers celle que jai repéré le matin. Magali est encore toute réjouie de ses emplettes. Même si elle pense quelle ne pourra mettre lune delles en public. Je la convainc du contraire :
Contrairement à ce quelles pensent, les femmes qui ont des formes, doivent les mettre en valeurs. Le pantalon slim que jai choisi, avec la blouse légère et sans manches feront un très bel effet sur toi. Tu verras, les mecs vont te remarquer et tu verras dans leurs yeux, le désir que tu inspires.
Tout de même !
Tu vois, moi. Je nétais pas attiré par les femmes rondes, mais depuis vendredi, je ne vois que toi et je me demande encore comment je faisais avant. Tu mes apparue comme une évidence. Lincarnation de la beauté féminine.
Tu es trop fou mon amour !Ou trop amoureux ! Moi non plus je ne pensais pas quun jour je serai amoureuse dun homme plus vieux. Pardon mon chéri ! Je ne pensais pas non plus pouvoir plaire, ni me promener ainsi dans la rue au bras dun homme.Je pensais quils avaient tous honte de sortir avec une grosse.
Pas tous ! Il y en a au moins un qui adore être à ton bras. Même si jai le double de ton âge. Cest surtout ça qui me fait peur.
Pourquoi ?
Parce que dans vingt cinq ans, je serai un vieil homme et toi une magnifique femme, que je ne pourrai plus satisfaire !
Je ne crois pas ça ! Je taime ! Et je taimerai toujours pour ce que tu mas fait découvrir.
Et tu nas pas fini de découvrir !
Oh oui !
Justement nous arrivons devant la boutique repérée. Jenlace Magali et je lembrasse. Je la retourne enfin et lui montre la boutique. Il sagit dun salon desthétique.
Entrons là ma chérie. Tu vas te faire toute belle!
Mais
Je
Ne tinquiète pas. Tu mas dis que tu me faisais confiance. Maintenant, suis moi.
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