La Punition

Le peintre et sa muse
Chapitre 18
La punition

Toute la nuit Annie avait dormi seule, nue et attachée aux montants du lit. Bernard, lui, avait dormi dans la chambre d’ami et François dans le canapé du salon.
Bien sûr au matin Annie se réveille avec surtout une envie de se rendre aux toilettes, elle appelle plusieurs fois et Bernard entre dans la chambre.

- Bonjour ma chérie tu as bien dormi ?
- Non Bernard et j’ai envie d’aller aux toilettes !
- Je n’ai pas la clé des menottes c’est François qui les a, je vais voir si il est en bas.
Annie se sent soulagée car elle entend les deux hommes parler dans le salon, puis les bruits de pas dans l’escalier se rapprochent, et enfin François apparaît dans l’encadrement de la porte.

- Bonjour ma chérie, mal dormi ?
Annie ne daigne même pas lui répondre, pensant que ça lui fera les pieds et lui faire ainsi connaître son mécontentement.
François vient la détacher du lit, et une fois qu’Annie est debout, il referme les menottes dans le dos et emmène Annie à la salle de bain au lieu des toilettes.
- Les toilettes ce n’est pas par là !
- Qui t’a dit que tu allais aux toilettes ?
- Mais enfin j’ai envie.
- Ne t’inquiète pas tu vas pouvoir faire, mais comme je veux !
- Comment ça comme tu veux ?
- Allez entre dans la salle de bain (François la pousse pour la faire entrer).

- Assieds toi sur le bidet, jambes bien écartées, je veux te voir faire ton pipi.
- Nullement question !
- Moi j’ai le temps, j'attends.
François referme la porte et il s’y adosse.
Annie tente bien de serrer les jambes mais son envie est trop pressante, alors elle cède à la demande de son amant et elle s’assoie sur le bidet, jambes bien écartées.

François savoure pleinement ce moment de domination.
Et il regarde avec plaisir Annie uriner, tout comme l’autre fois sur la route, mais cette fois-ci elle est nue et a les bras entravés.



Son regard va de la vulve d’Annie qui est lisse et on voit bien ses lèvres, fines et longues, jusqu’à son visage où il peut lire le plaisir que prend Annie à s’exhiber ainsi.

Sa miction terminée, Annie reste assise sur le bidet, les jambes écartées, elle sait très bien que ça excite François.
Elle espère
reprendre en main la situation et obtenir de lui ce dont elle a envie.
Mais François s’approche, passe la main derrière elle et remplit d’eau le bidet. Puis uniquement avec la main, il vient lui laver la vulve.
Ses doigts passent dans tous les plis de son sexe, effleurent le clitoris juste suffisamment pour l’exciter.
Annie écarte un peu plus les jambes, et elle avance son bassin à la rencontre de la main mouillée qui fait monter rapidement son plaisir, mais François sent les lèvres du sexe se couvrir de cyprine et se gonfler de plaisir tandis que le clitoris se tend afin d’obtenir une caresse plus insistante.
C’est le moment que choisit François pour abandonner ses caresses, laissant Annie frustrée, elle le supplie de continuer.

- Branle moi ! Prends moi ! J’ai besoin de ta bite, laisse-moi te sucer au moins.
- Debout, on a autre chose à faire, on t’attend en bas.

François aide Annie à se relever il la tient par la taille et avant qu’elle n’ai resserré les jambes, il s’empare d’une serviette et il lui essuie la vulve énergiquement et sans ménagement. Il la sèche.

Puis il aide Annie, toujours menottée dans le dos, à descendre les escaliers.
Il admire ses seins qui, avec les bras dans le dos, sont très dressés.
Elle entend des voix dans le salon. Mon dieu se dit-elle, François va m'obliger à me présenter nue devant la personne qui discute avec Bernard !
En arrivant au salon Annie découvre que la personne qui discute avec son compagnon n’est autre que Aziz, non pas en tenue de peintre mais en costume, comme un patron.
Bernard dit : " Je ne te présente pas Aziz vous vous connaissez, mais la seule chose que tu ne sais pas Annie, c’est qu’Aziz est un ami de François.
Il est architecte et non pas peintre. Cette petite rencontre avec les peintres que tu as vécue en notre absence, nous l’avons mise sur pied pour voir jusqu’où tu pouvais aller.
Tu as dépassé nos espérances.
Tu t'es offerte à Aziz comme une pute. Mais maintenant tu vas suivre Aziz qui va se charger
de la suite pour ta punition.
Donc tu vas partir et lui obéir sans discuter."
François retire les menottes et Aziz aide Annie à revêtir un manteau léger. Elle est toute nue dessous, ne portant que des escarpins. Il la prend par la taille et avant de quitter la maison, Aziz
pose un bandeau sur les yeux d’Annie avec interdiction de le retirer.
Et ils quittent la maison pour l’inconnu.
Arrivés à la voiture Aziz fait monter Annie à l’arrière.
Annie sent Aziz prendre place à ses cotés et la voiture démarre. Annie se dit qu’Aziz a donc un chauffeur.
La voiture roule environ 30 minutes puis Aziz aide Annie à descendre de la voiture. Il la prend par la taille pour la guider, ils traversent un chantier dont Aziz est l’architecte.
Annie se cogne à des planches, à des briques, à de la tôle.
Annie entend une porte qui s’ouvre elle se demande bien où Aziz a bien pu l’emmener.
Elle sent la chaleur de la pièce et les premières gouttes de transpiration coulent entre ses seins.
Aziz lui retire le manteau, la voilà nue, elle entend des chuchotements et puis des mains se posent sur son corps.
Vu le nombre de mains qu’elle peut ressentir, elle réalise qu’ils sont plusieurs, des doigts pincent ses tétons qui dardent sous cette action virile, ils s’allongent.
Et puis maintenant des mains remontent le long de ses cuisses pour atteindre sa vulve qui est toute chaude et aussitôt l’investir.
Des doigts lui écartent les lèvres, d’autres glissent dans son vagin et d’autres frottent et pincent son clitoris raide et sensible. Il est petit mais très dur. Et puis elle sent d’autres mains lui palper les fesses et un doigt tourne autour de son petit œillet.

C'est terrible, elle semble devenir folle. Et enfin, après avoir pris de la mouille entre ses babines, le doigt prend possession de son petit cul.
Tous ces attouchements l’amènent à quelques secondes de l’extase. Mais tout s’arrête et on la soulève et on l’emporte pour la poser sur une table, du moins c’est ce qu’elle suppose. Le support est plat et froid.
Le fait d’avoir les yeux bandés, ça exaspère ses autres sens, cela amplifie les sensations. Elle sent les parfums de transpiration de sexe d’homme et puis on lui prend les mains pour les poser sur des verges. Ces sexes lui semblent d’un gros diamètre car ses doigts ne peuvent pas se refermer entièrement dessus.
Alors deux mains lui écartent ses grandes lèvres, et un gland brûlant se pose sur ses petites lèvres, et se frotte à son clitoris lui retroussant le capuchon, elle sait combien elle mouille dans ces
conditions et la verge en profite pour bien s’en enduire jusqu’aux bourses.
Après l’odorat et le toucher, ne manquait plus que le goût, et c’est chose faite quand deux glands se posent sur sa bouche, apportant à son nez, l’odeur de la transpiration mêlée à l’urine et au sperme.
Aussitôt elle passe sa langue sur ces deux glands chauds à souhait, elle essaye de les emboucher tous les deux mais ils sont vraiment trop gros et elle ne peut en prendre en bouche qu’un seul à la fois et puis le sexe qui glisse dans sa vulve s’arrête juste à l’orée de sa grotte et juste au
moment où le gland dilate à l’extrême l’entrée du vagin, deux mains se posent
sur ses seins et pincent ses tétons tendus et durcis par le plaisir.
La bite d’un seul coup s’enfonce entièrement dans son vagin dilatant les chairs comme jamais, il lui semble que celui qui la prend est en train de la déchirer.
Elle ouvre grande sa bouche pour hurler sa douleur et une des bites étouffe son cri en s’enfonçant jusque dans sa gorge.
Celui qui est au fond de son ventre à la décence d’attendre que sa gaine à plaisir s’habitue à une telle pénétration.

Ouf cela va mieux et la douleur se transforme en plaisir.
Et quand l’homme sent que le vagin prend la forme de son sexe, il commence un va et vient lent afin de faire apprécier la chaleur de sa queue. Et au moment où tout s’accélère, bites dans le sexe et en bouche, tétons et clitoris triturés, malaxés, étirés, Annie entre en transe, la vague de plaisir la
surprend dans tout son corps.
Elle crie son plaisir, elle secoue son corps, elle bouge dans tous les sens.
C’est le moment choisi par Aziz pour lui retirer le bandeau qui lui masquait les yeux.
Et au moment où son orgasme déferle en elle, Annie découvre les hommes qui la font tant jouir. Cinq hommes noirs, chacun bien gâté par la nature. La vue de ces gros sexes décuple le
plaisir de la femelle, car Annie se sent comme une femelle en chaleur au moment du rut.
Elle se doute que chaque homme voudra profiter de son corps un instant.
Le temps de changer de sexe dans sa bouche, elle croise le regard d’Aziz qui est
en train de filmer avec son portable sa déchéance, sa punition encore qu’elle
doute que ce soit une punition, tellement elle prend du plaisir.
Et bien sûr chaque homme change de position et ils maintiennent Annie pratiquement dans un orgasme permanent au point qu’au bout d’une heure elle ne réagit même plus à cette tournante, même quand les hommes la soulèvent et la mettent à califourchon sur la plus grosse bite qui lui investit la chatte.
Un autre homme vient lui dilater l’anus et chacun se démène dans l’orifice qui lui est dévolu, on lui force la bouche pour la prendre en gorge profonde.
Puis les hommes la retournent, dos sur la table, et lui tenant la tête et la bouche ouverte, chaque homme vient se masturber et éjaculer sur son visage.
Annie finie maculée de sperme sur la figure, dans les cheveux.
Celui qui a la plus grosse queue lui pince le nez pour lui faire ouvrir la bouche et il lui enfourne sa bite jusqu’à la glotte et il lui déverse une quantité phénoménale de sperme dans l’estomac obligeant Annie à avaler sous peine de s’.
Aziz s’empare d’une bouteille d’eau et la verse sur le visage d’Annie et d’une main il la débarbouille tant soit peu.
Il l’aide à se relever lui met son manteau et ils quittent le bungalow sous les applaudissements des cinq noirs et les « tu reviens quand tu veux nos bites seront prêtes ! ».
Aziz soutient Annie et ils regagnent la voiture, Annie s’écroule sur la banquette arrière et elle s’endort en entendant Aziz lui dire, « tes hommes vont être contents de voir mon petit film, mais la punition n’est pas finie !"
Annie n'entend plus cette dernière remarque, comblée, rassasiée, elle plonge dans un sommeil profond.


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