Collection Zone Rouge. Mes Origines Allemandes. Saison I (1/5)
Voici une nouvelle histoire que je publie après correction dAnne en plusieurs saisons.
Voici la saison I.
Mes parents mont appelé ta en souvenir de ma grand-mère Marlène qui était venue de Berlin pendant la guerre.
Jai horreur de ce prénom et jai réussi à ce que tout le monde mappelle Lolo.
Je suis en fin dadolescence, ce que jentends ce jour-là a été le début de léveil de ma sexualité qui avait été sage jusquà ce jour.
Jusquà cette fin de nuit mes doigts navaient jamais rencontré ma fente qui sest couverte de poils remplaçant mon fin duvet sur la surface de ma minette assez impressionnante.
Je suis brune aux yeux verts, ma croissance nétant pas terminé, je ne peux dire quelle est ma taille exacte, elle change de façon permanente.
Nous habitons un pavillon de banlieue dans lEst de Paris, quand mes parents lont construit à ma naissance.
Ils nétaient pas bien riches et les contraintes administratives les ont obligés à ne pas dépasser une certaine hauteur, comme ils espéraient le faire.
Je couchais dans la même chambre que mon frère, ce qui nest pas facile pour une jeune fille qui séveille au monde.
Il y a deux ans, ils ont gagné une grosse somme au loto et la plus grande partie a été investie pour faire des plans sur lextension du pavillon.
Cest comme cela quune petite aile a été construite avec passage dans le corps principal non loin de la salle à manger et une porte donnant directement sur le jardin.
Vers la fin des travaux, nous avons parlé ensemble de celui qui récupérerait la chambre avec salle de bains qui avait été construite.
Ils semblaient tous daccord que mon frère aîné dun an, la récupère.
Je ne lentendais pas de cette oreille et jai fait valoir mes droits.
Il faut dire que cette chambre, outre la sortie individuelle dont je ne voyais pas lintérêt à cet âge était construite sur une partie à moitié enterrée où mon père voulait faire son atelier et la baie vitrée donnait sur une petite terrasse.
Cette terrasse était ensoleillée une grande partie de la journée et cachée des regards de toute personne.
Pour y accéder seule la porte de ma chambre le permettait.
Je me voyais déjà me faire bronzer à cet endroit avec mes copines.
Narrivant pas à nous décider mon père toujours pragmatique a proposé que nous tirions à pile ou face.
Pour la première fois de ma jeune vie, moi qui nai jamais gagné au Monopoly, jai eu le droit de minstaller dès que les travaux ont été terminés.
Un soir de Pâques, mon frère était parti à son camp scout, je me suis retirée dans ma chambre pour écrire dans mon cher journal les banalités que javais lhabitude dy coucher.
Jétais dans ma chambre depuis une demi-heure lorsque la porte mal enclenchée sest ouverte.
Je me suis levée pour la refermer lorsquune conversation ayant lieu entre mes grand-mères toutes les deux veuves et mes parents ma intriguée.
À ce que jai compris au début comme pour la chambre, grand-mère Marlène parlait à mes parents de lourd secret qui entourait leur vie.
Il faut dire que sur la table tout le repas et jusquau soir les bouteilles de bons vins avaient défilé déliant certainement les langues.
Ma grand-mère Marlène avec son accent bien de chez elle a commencé son récit.
- Javais un peu plus de seize ans lorsque la guerre a éclaté, je ne connaissais rien de la vie ayant vécu dans une famille très bourgeoise de Berlin.
Nous habitions rue Grunewaldstrabe, je sais pour vous, cest impossible à prononcer.
Mon père Karl était pianiste dans le grand orchestre symphonique de la ville et ma mère harpiste dans cette même formation.
Javais commencé des études de violon qui devaient me conduire à suivre leurs traces, et un jour rejoindre moi aussi ce prestigieux orchestre.
Ma mère Ashley toujours la bouche ouverte se sentait le droit de linterrompt de temps en temps.
En évoquant le nom de maman, je me suis toujours demandé pourquoi alors que grand-mère était allemande, elle avait un prénom à consonance anglo-saxonne.
- Je nai jamais compris pourquoi tu as refusé de te servir du violon qui est posé chez toi sur ta cheminée.
- La suite de mon histoire tappendra pourquoi je lai conservé, mais aussi pourquoi je nen joue plus.
- Souvent dans ma prime jeunesse, jallais avec ma nounou chercher mes parents à la salle de concerts et jécoutais la fin des répétitions.
Je les rejoignais sur scène et chaque fois des messieurs bien intentionnés me prenaient sur leurs genoux pour me dire que jétais belle.
Ma mère ne pensait quà pavaner auprès de ces messieurs et mon père semblant aimer être entouré dhommes certains assez efféminés.
Il semblait navoir dyeux que pour celui qui jouait du triangle qui chaque fois quil devait taper sur son instrument, cest-à-dire deux à trois fois par morceaux envoyait des regards appuyés vers lui.
- Tu as connu la montée du nazisme.
- Plutôt deux fois quune, mon père brun aux yeux bleus se targuait, dessin à lappui, quand il recevait de faire partie de la race pure.
Mon frère a rejoint les jeunesses hitlériennes et le jour de son départ a été pour moi la dernière fois où je lai vu.
Mon père, vu son rang sest retrouvé officier à Paris dès que le front a enfoncé les défenses françaises.
Ma mère Herta au début de la guerre avait toujours son rang bien que la plupart des musiciens aient quitté lorchestre, elle aussi a subi bien des choses, mais jen parlerai plus tard.
Un bruit de chaise ma alerté, au moment où je repoussais ma porte sans la fermer.
Jai vu mon père aller vers la cuisine pour en revenir avec une autre bonne bouteille.
Rassurée, jai remis ma porte pour bien entendre, à ce moment seul le bruit du liquide coulant dans les verres me parvenait aux oreilles.
- Merci, Serge, jadore votre petit blanc, raconter mon histoire me donne soif.
Un jour, le chef dorchestre que je voyais de plus en plus souvent à la maison et qui se rapprochait de ma mère dès que je partais vers ma chambre lui a proposé que je rejoigne la structure mise en place par le parti où les filles de bonne famille recevaient une éducation de grande valeur.
Elle a été enchantée que le parti ait pensé à moi pour entrer dans une telle institution.
Ça allait la soulager, car depuis le départ de mon père et les différents fronts que notre Chef suprême ouvrait, elle avait peur pour moi.
Dans ces années-là, je lisais beaucoup et à laide dun dictionnaire allemand français ainsi que des livres que javais trouvés dans notre grenier.
Javais appris à lire dans la langue de lun de nos ennemis et pouvoir dire quelques mots pour faire des phrases, si papa nous avait fait venir près de lui.
Jétais puérile, je faisais partie de ces filles qui pensaient que lAllemagne était grande grâce à notre Führer et que nous allions régner sur le monde comme les propagandes nazies le disaient à la radio.
Quand je vois votre poste de télévision mes s, je note le chemin que la vie ma fait parcourir.
Les voix que nous entendions augmentaient leur pouvoir de persuasion surtout quen apprenant seule, jai vite compris que je parlais comme une vache espagnole.
- Maman, jaimerais parler lallemand comme tu parles le français.
- Arrête de minterrompt à tout moment, je perds le fil de mon histoire.
Des bruits de chaises mont fait peur, mais tout est revenu à la normal.
- Le 1e septembre 1939, deux jours après mon anniversaire, une petite valise à la main et surtout mon violon, jentrais dans un grand manoir à lest de Cologne à six cents kilomètres de Berlin.
Je ne comprenais pas au fil des kilomètres que pour mon éducation, je ne puisse pas rester à Berlin et retourner chez moi le week-end.
Le chef dorchestre assis à mes côtés, qui avait un chauffeur ne madressait jamais la parole mais navait pas le moindre geste équivoque.
En ce moment de grande solitude seul mon violon que je serrais sur mon cur me reliait avec mes années de bonheur.
Une nouvelle fois, les verres sentrechoquaient.
- Arrivée devant une immense bâtisse, où de nombreuses voitures étaient garées, semblant appartenir à de hauts dignitaires, toutes ayant un chauffeur qui attendait, soit au volant, soit en les lustrant.
Mayant fait entrer, au moment de franchir la porte dune chambre, la soubrette maccompagnant ma arraché mon violon, sans aucun ménagement.
Je suis restée seule pendant six jours, je ne voyais quelle sans jamais entendre le son de sa voix, même quand je lui posais des questions.
Après ce temps coupé du monde, quand la porte toujours fermée à clef mempêchant de circuler, sest ouverte, cest celui que je considérais comme mon protecteur qui est entré.
Je me suis précipitée dans ses bras les larmes me venant aux yeux.
Jai appris plus tard que cétait sa méthode pour assouplir les filles.
Quelques minutes après sans que jaie eu le temps de me poser la moindre question, je me suis sentie propulsée sur le lit, mes vêtements personnels que javais gardés arrachés.
Jétais complètement dans le brouillard et comme loie blanche que jétais, je me suis retrouvée avec un morceau de chair encore assez mou dans la bouche.
Dans ces années-là, tout était caché aux filles et dans les nombreux livres que javais trouvés chez nous, aucun ne mavait montré un sexe dhomme et encore moins nen avait parlé.
- Cest à ce moment que tu as vu une verge pour la première fois ?
- Où jen étais, arrête de minterrompre.
Oui, sa bite en bouche dont je ne savais quen faire, rapidement les ordres sont venus.
- Suce-la, comme si tu mangeais une glace.
Ces mots pour moi étaient pleins dincompréhension, que venaient faire ces glaces dans son récit ?
- Jadorais les glaces, cétait mon grand plaisir dans ces années de bonheur avec mes parents.
Ils men offraient quand nous nous promenions dans le parc près de notre appartement.
Jen suçais et je croquais à belles dents dans la grosse boule surtout à la fraise.
Une fraction de seconde, je me suis revue dans ce parc, jai donné un grand coup de dents dans ce morceau mou.
Mon bourreau a hurlé et jai ramassé une magnifique baffe qui ma fait tomber dans les pommes.
Il a quitté la chambre en emportant mes vêtements.
Plusieurs jours après, le temps que mon geste qui lui avait entamé le morceau cicatrice, je ne lai pas revu, jusquau moment où la porte a claqué et quil mapparaisse nu comme un ver.
Cest dur de la suivre certaines phrases et des mots étant incohérents pour moi.
- Les ordres sont arrivés sans quil remette son engin dans ma bouche craignant certainement mes réactions.
Allongée sur le lit, cest avec ma main quil ma appris à le masturber.
En même temps mon éducation sexuelle allait rapidement senrichir de mots comme bite, chatte, verge, trou du cul, pénétration vaginale ou anale, sucette et autres sodomies.
Celle qui ma porté le plus dinterrogation, cest lorsquil ma dit quil allait falloir apprendre à pomper des dards aussi bien que ma salope de mère.
Mère, je comprenais, mais dard, je ne voyais pas ce que les abeilles ou les guêpes venaient faire dans ce que je subissais tout en étant attentive à ce que je découvrais.
Le pompon fut, le mot « salope », jamais dans notre monde, on ne laurait prononcé surtout pour parler dune femme ayant la classe naturelle de ma petite maman.
La flèche que le mouvement de ma main au bas du corps de ce satyre développait mintriguait, quand il a été à son maximum.
Il faut dire quà ce moment il métait impossible de comparer, je lai vu plus tard.
- En as-tu masturbé beaucoup ?
- Écoute la suite tu le verras bien, Serge sert nous un verre, jai soif
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