Amour En Musique 7

Interlude

En parlant de caresses et de baisers… Pendant que nous émergeons de notre partie de jambes en l’air et que nous retrouvons un second souffle, des flashs de nos ébats me reviennent. Nos regards… La découverte progressive de nous, de nos corps, et de nos âmes… Notre premier baiser… Les premiers attouchements… Quand elle m’a masturbé… Quand elle m’a sucé… Les baisers… Les caresses… Mes doutes, mon appréhension… Quand j’ai pris de l’assurance quand je posais mes mains et ma bouche sur elle… Quand j’ai léché sa belle «petite» chatte appétissante… Ses soupirs, ses gémissements… Ses cris… La première fois où je l’ai faite jouir, de mes doigts et de ma langue… Quand je l’ai pénétrée… Notre jouissance finale, ensemble…

Et pendant que je me refais le film de la nuit, ce film que nous avions tourné et dans lequel nous étions les uniques acteurs, où nous étions nos propres réalisateurs, ce film qui n’appartient qu’à nous, à jamais, Laura me caresse distraitement les mamelons du bout des doigts. Qu’elle les aime bien, mes petits mamelons, cette petite coquine ! Notre nuit d’amour… et de sexe me le rappelle bien ! Ma première fois… Pour rien au monde, je ne l’oublierai.
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Caresses, égards et baisers

Laura était là, dans mes bras. Son corps m’impressionnait, oui. Et pourtant… j’avais envie de la caresser partout. Je la désirais fort. Elle était en petite tenue. Elle était sexy. Elle me faisait de l’effet. Beaucoup d’effet. J’avais chaud. Je bandais. Je bandais pour elle. Je la désirais. J’avais envie d’elle à cet instant. Et chaque millimètre carré de sa peau rose pâle n’arrangeait rien : j’avais envie, plus que tout au monde, de toucher, de caresser, de goûter à cette peau. SA peau dont je suis persuadé qu’elle s’occupe avec soin.

Laura était dans mes bras, et à la manière dont elle se collait et se frottait contre moi, telle une chatte ou un petit chat, j’avais comme l’impression qu’elle (en) demandait plus.

Qu’elle VOULAIT plus. Qu’elle avait envie d’aller plus loin, elle aussi. J’ai posé mes mains sur le bas de ses reins, et je l’ai regardée intensément. Elle m’avait libéré de mes doutes et de mes questions existentielles à propos de ma virginité tardive. Je lui faisais alors comprendre, à travers ce regard, que j’avais envie d’elle et que je ne pouvais réfréner mon désir plus longtemps.

– Tu peux, Benoit… Tu peux me caresser. Là où tu veux. Partout où tu en as envie. Me dénuder. Parce que moi aussi, j’en ai envie. N’oublie pas que je suis à toi. Fais de moi ce que tu veux. Je… suis… à… toi.

Elle portait ce joli «petit» ensemble bleu poudre, et d’après ce que je comprenais, elle s’était déshabillée puis elle s’était vêtue de cette lingerie sexy à souhait, et j’en salivais. Comment résister à un corps féminin aussi voluptueux et si bien mis en valeur par de la lingerie sexy ? Impossible.

Dans mon moment d’audace, je laissais glisser une main sur ce corps parfait, sensuel, sexy, partout où ma main pouvait s’aventurer. Et ma bouche prit son cou d’assaut. Laura se cambra, et glissa une main dans mes cheveux. Comme pour me demander de continuer mes baisers et mes caresses.
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"Love to Love You Baby..."

Sur fond de musique, Laura et moi étions là, l’un contre l’autre. Nous étions en train de nous embrasser. De nous découvrir. De nous peloter comme des adolescents qui découvrent les plaisirs sensuels, le plaisir des caresses intimes et des baisers tantôt légers tantôt osés. C’était si bon d’embrasser Laura et de poser mes lèvres sur les parties de son corps qui étaient à ma portée. J’y prenais du plaisir, vraiment. Et, et je le dis avec le recul… j’espère que Laura en prenait aussi.

Elle se frottait encore, encore et toujours contre moi, telle une chatte qui a besoin qu’on la caresse. Elle semblait aimer le contact de nos corps. Mon corps contre le sien… J’avais beau me focaliser sur les baisers que je lui donnais et sur les caresses de mes mains sur son corps, je sentais bien que son corps, justement, répondait à mes baisers et caresses.
Je sentais qu’elle jouait de son bassin, et que son bassin se frottait contre mon ventre. Mon bas-ventre. Mon… pénis, aussi ? C’est probable, parce que je me sentais durcir, au fur et à mesure que Laura accentuait ses mouvements de bassin. Cette «petite» savait décidément ce qu’il fallait faire pour donner bien du plaisir à un homme.

Quant à moi, je continuais de déposer des baisers dans son cou. Des baisers légers. Des baisers mouillés. Je donnais aussi des petits coups de langue. Je léchais son cou. Laura y prenait du plaisir, parce que je l’entendais de plus en plus haleter. Ses mouvements de bassin, eux, devenaient plus rapides, plus prononcés. En résumé, plus… intenses.

Love to Love You de Donna Summer...

Je l’embrassais...dans le cou, et je l’entendais haleter. Sa respiration était désormais plus rapide. Et, il me semblait que j’arrivais à entendre son cœur battre, vu que nous étions dans les bras l’un de l’autre. Nous étions corps-à-corps, et je sentais sa peau nue contre la mienne. Son cœur devait, à mon avis, battre le chamade dans sa poitrine parce que j’arrivais percevoir des battements.

Je me suis décidé à quitter le cou de Laura, et à l’aide de mes lèvres et de ma langue, je suis descendu. Ses omoplates… Sa clavicule… Son épaule… Des baisers, mouillés. Des petits coups de langue, lents. Laura donnait de la voix. Ça commençait davantage à se rapprocher de sons audibles. Elle soupirait. Elle poussait des petits bruits de plaisir. J’entendais sa respiration. Elle devait, peut-être, retenir son souffle. Elle devait, peut-être, appréhender la suite des événements. Ma main, de son côté, continuait sa balade et la découverte du corps généreux de la belle jeune femme rousse. Elle était posée sur l’une de ses hanches.

Ma bouche continuait, elle aussi, son petit bonhomme de chemin. De l’épaule, elle est revenue au niveau du cou et de la gorge. Puis, elle est descendue. Plein axe. Arrivée au creux des seins de Laura, elle s’y arrêta.
Y déposa des baisers. Des coups de langue. Laura gémit. Sa main se posa sur l’arrière de ma tête, comme pour me rapprocher de sa poitrine. Comme un appel à la caresser. Protégée par son armure de dentelle bleu poudre, elle était sensuelle. Sexy. Je ne pouvais alors que placer de fins coups de langue sur le décolleté. Laura gémit. Ma bouche descendit un tout petit peu plus bas, et se posa sur le sein de Laura, pile au niveau des aréoles et des tétons. J’y posai ma bouche… Hmmm… Ça me plaît. J’espère que ça lui plaît, aussi…

Love Hangover de Diana Ross...

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